FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (21) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pitty a écrit à Godin le 22 mars pour lui demander de renseigner les lecteurs du journal Le Devoir sur la possibilité d'établir une cité de 100 ménages. Il lui indique qu'il a déjà traité le sujet dans les numéros 122 à 124 du journal dans lesquels il est question d'une cité de 200 ménages. Il accuse réception d'un mémoire sur des impôts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Dejey et Cie une annonce modifiant l'annonce parue dans son journal.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à son correspondant qu'il a besoin de 1 000 étuis en carton teintés en vert ou en rouge, de 45 mm de diamètre intérieur et de 260 mm de longueur intérieure. Il lui demande de lui envoyer un échantillon et de lui indiquer à quel prix il peut les lui fournir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Achkinasi un chèque de 200,08 F en règlement des articles parus dans les numéros 128 à 135 du journal Le Devoir (898 lignes à 0,10 F et 860 lignes à 0,05 F).

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Achkinasi que son article sur la mort du tsar ne pourra être publié dans Le Devoir qu'à la condition que le deuxième article traite de l'influence du règne d'Alexandre II sur les classes laborieuses : « Le Devoir ne peut relater les faits de politique courante que pour en tirer les conséquences sociales qu'ils renferment. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Babille le prix de 500 à 1 000 étuis en carton de 4 à 5 centimètres de diamètre et de 31 cm de long, très solides, destinés à recevoir des papiers roulés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Babille de lui envoyer deux échantillons d'étui en carton de 4,5 et 5 cm de diamètre intérieur et de 26 cm de longueur, de couleur verte ou rouge.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Billiant qu'il accepte sa candidature à un emploi.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Bourgeois qu'il revient de voyage et qu'il lui envoie les tarifs et albums qu'il demande. Il l'autorise à publier dans les journaux de sa localité tout ce qu'il voudra emprunter au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Cadoret des information sur les tables d'écoles [du Familistère]

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Champsein, candidat à un emploi, du 2 juillet 1881. Il lui explique qu'il lui semble qu'il a davantage d'aptitude pour les travaux publics plutôt que pour les occupations industrielles et qu'il ne pense pas qu'il puisse trouver dans l'Association du Familistère une place équivalente à celle dont il jouissait auparavant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Chevalier que son abonnement au journal Le Devoir s'achève le 1er avril 1881. Il l'informe que les nouvelles qu'il pourrait adresser au Devoir seront les bienvenues à condition qu'elle se rapportent aux idées de réforme sociale défendues par le journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Clapeyron a proposé à Godin d'employer ses fils. Godin explique à Clapeyron qu'il veut bien examiner sa proposition s'il s'agit de jeunes gens prêts à coopérer intellectuellement et moralement à l'association du Familistère, mais qu'il vaudrait mieux qu'il garde ses fils à Saint-Étienne s'il s'agit seulement de leur faire faire leurs débuts dans la carrière industrielle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Maistre que la publication de ses articles dans le journal Le Devoir a été différée. Il l'avertit qu'il attendra désormais d'avoir le travail complet pour publier des articles suivis des mots « à continuer ». Il le remercie pour l'envoi d'une carte géographique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin proteste auprès de Clavequin contre les paroles qui lui sont attribuées dans le procès-verbal que ce dernier lui a remis. Il précise qu'il a dit que le travail de mines qu'on lui demande de réaliser dans les piles et culées du pont qu'il a construit ne pouvait s'effectuer qu'à la condition de démolir le pont, et qu'il était donc dans l'impossible de réaliser le travail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Coutelier que monsieur Dallet, qui lui remettra la lettre, fera de temps en temps l'inspection du port pour faciliter le déchargement des bateaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à Dalmas de venir le voir pour parler de l'emploi qu'il pourrait occuper à Guise et il propose de lui rembourser ses frais de voyage à hauteur de 25 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte, malgré la distance entre Aix-en-Provence et Guise, que Deffoux entre dans la Société du Familistère en qualité d'ouvrier ou de dessinateur. Il lui demande de prendre avec lui ses références et de lui indiquer ce qu'il a étudié à l'école.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Drubigny que la Cour de cassation n'apprécie pas la contrefaçon en elle-même mais apprécie la régularité du jugement de la cour d'appel, et qu'il ne peut le conseiller.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos d'une offre d'emploi parue dans Le Réveil social. Godin demande à Dubois que son fils lui écrive quelles sont ses connaissances en comptabilité et ses aptitudes à l'industrie et au commerce, quels sont les appointements auxquels il aspire et s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Hameray qu'il lui est difficile d'apprécier les services qu'il pourrait rendre à la Société du Familistère s'il ne peut se renseigner sur son compte. Il l'informe que la Société du Familistère de Guise construit des appareils de chauffage et qu'elle emploie 1 200 à 1 500 ouvriers. Godin demande à Hameray s'il a des dispositions qui lui permettent d'apprécier les conditions nécessaires à une parfaite exécution des travaux industriels, et s'il a l'esprit d'invention.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Bourgeois d'avoir recherché, même sans succès, un jardinier pour le Familistère capable de donner des leçons de jardinage aux enfants des écoles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie son correspondant du soin mis à lui procurer un employé. Il l'informe que Billiant, mécanicien et dessinateur, vient d'entrer en formation. Il lui demande de penser à lui s'il se présente des hommes intelligents et recommandables car il a besoin d'augmenter le personnel de son établissement.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Maréchal du 30 juillet 1880 en lui annonçant qu'il ne retient pas sa candidature à la direction de la comptabilité de l'association du Familistère. Il lui explique que la personne recherchée doit être un savant comptable et aussi posséder les qualités morales pour faire partie des conseils de l'association.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Marie que l'emploi concernant l'administration du Familistère n'est pas fait pour lui et que ses prétentions salariales sont trop élevées. Il l'avertit qu'il ne peut lui offrir davantage que 350 F par mois et il l'invite à venir le voir à Guise en lui promettant de le dédommager de ses frais de voyage pour 30 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Marie un mandat postal de 30 F pour le remboursement de frais de voyage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Morizet s'il peut réaliser un timbre sec à appliquer sur des titres d'action ayant 27 centimètres de largeur, et s'il fournit les presses pour utiliser le timbre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pearce du 30 juin 1881 : il ne peut tirer parti de l'offre qu'il lui fait car le journal Le Devoir n'est pas illustré.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Au sujet d'un certificat dont les chefs de service de l'usine n'ont pas de trace.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Raquet du 30 octobre 1880. Il assure Raquet qu'il n'a pas reçu de mauvais renseignements sur lui, mais que son choix s'est porté sur un autre candidat. Il lui fait remarquer que sa dernière lettre montre une susceptibilité de caractère peut-être incompatible avec la bienveillance devant régner parmi le personnel d'une association.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des rapports de Régnier et l'informe qu'il peut venir occuper l'emploi auquel il postule.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une réclamation de Gauchet. Godin informe Riche que Tisserant lui a fait réponse le 6 juillet 1880 et qu'il ne peut que confirmer cette lettre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la demande d'Eugène Nus, Godin envoie à Rivière un exemplaire de Mutualité sociale, qui contient les statuts de l'association du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a vu dans les Petites affiches l'annonce de Sholler s'offrant comme jardinier. Il prie Sholler de lui donner les moyens de se renseigner sur son compte et souhaite connaître son âge, sa situation familiale et les appointements qu'il désire obtenir. Il lui demande en outre s'il est capable de donner un cours hebdomadaire de jardinage aux enfants des écoles du Familistère âgés de 12 à 14 ans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à Sholler, intéressé par l'emploi de jardinier au Familistère, de venir visiter l'établissement et de lui rembourser 25 F pour ses frais de voyage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Sholler qu'il peut venir occuper le poste de jardinier du Familistère pour lequel il lui a rendu visite à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Streiff la lettre de recommandation auprès d'Edmond Turquet qu'il lui a demandée le 11 octobre 1880.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin sollicite des informations sur les [statues] en terre cuite que Visseaux a en magasin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Visseaux qu'il a bien reçu la statue l'Été en bon état. Il lui demande d'envoyer sa facture.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Visseaux quelle largeur de base il doit donner aux piédestaux destinés à recevoir les statues qu'il doit lui envoyer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amaudru, candidat à un emploi [de rédacteur du journal Le Devoir], de lui communiquer les adresses des personnes auprès desquelles il a travaillé et il lui demande s'il fait usage de tabac.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Amaudru qu'il ne le choisit pas comme rédacteur du journal Le Devoir, car il lui faut quelqu'un parlant allemand.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Tony-Noël du 25 juin 1881. Il lui rappelle qu'il est convenu qu'après l'exécution du bronze ou du marbre, il lui retournera les plâtres à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Tony-Noël, qu'il a vu à Paris, la commande de deux bustes, l'un de lui et l'autre de Marie Moret. Il lui rappelle qu'il a promis de venir à Guise pendant la première quinzaine de juillet pour exécuter les plâtres. Il lui précise qu'il aura à sa disposition de la terre, du plâtre et un endroit pour travailler, et que la table et le logement lui seront offerts. Il lui rappelle également qu'ils ont convenu que les bustes coûteraient 2 600 à 2 800 F en bronze et 3 500 F en marbre, qu'ils auront environ 0,95 m de hauteur, et qu'il s'est engagé à finir les plâtres à Guise pour les soumettre à leur appréciation.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de publier dans sa revue une offre d'emploi pour un jardinier du Familistère capable de donner un cours de jardinage hebdomadaire aux élèves des écoles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Leymarie propose à Godin les services d'un voyageur de commerce nommé Delattre. Godin se souvient avoir déjà correspondu avec un Delattre. Godin précise à Leymarie qu'il est indispensable de bien connaître la fabrication et les produits de la manufacture pour s'occuper des affaires du Familistère, alors que Delattre s'est occupé de draperie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Leymarie son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail, et il lui demande d'en faire un compte rendu dans le prochain numéro de la Revue spirite. Il l'informe que monsieur Bourgeois n'a pu trouver un jardinier pour le Familistère, mais qu'il est entré en relation avec monsieur Pothenot qui lui propose quelqu'un âgé de 64 ans. Godin demande à Leymarie s'il faut renouveler l'offre d'emploi dans la Revue spirite.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos d'une conférence que Leymarie doit prononcer sur les moyens pour fonder un Familistère : « Il est tout naturel que la partie du Familistère que je vous ai expliquée soit applicable dans la société sur tous les points du monde. » Godin suggère à Leymarie d'engager ses auditeurs à lire Solutions sociales et Mutualité sociale. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos de l'école mixte. Godin renvoie son correspondant à la lecture des numéros du journal Le Devoir des 30 mai et 6 juin 1880 sur les bienfaits de la mixité des sexes dans les écoles, et des numéros des 17, 24, 31 mars et 14, 21 et 28 avril 1878 sur l'école primaire, où se trouvent des articles sur le mobilier scolaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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En réponse à la lettre d'Audigier du 24 janvier 1881, Godin l'informe que d'après ses renseignements, les personnes qui s'occupent d'éducation en Amérique sont absolument favorables à l'école mixte.

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