FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godin, 21 février 1858
Godin demande à son cousin des renseignements sur la réputation de l'horticulteur Berthin, faubourg de Montreuil à Versailles, et sur les plants qu'il veut acheter à ce dernier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Demeure, 10 décembre 1862
Sur le rapport d'expertise de l'affaire Cappelmans. Godin veut établir que l'usine Cappelmans [Cappellemans] est seule responsable des dégâts advenus en 1859 aux terrains qu'il avait consacrés à l'horticulture, où il avait édifié une serre et des châssis, fait pousser mètres d'espaliers de pêchers et d'abricotiers, et qu'il a été obligé d'abandonner. Les experts mettent en cause le sol, sans raison selon Godin qui incrimine les fumées et les gaz d'une cheminée de l'usine Cappelmans qui a été abaissée. Il fait valoir que Cappelmans pourrait dédommager la Ville de Bruxelles pour la perte d'arbres bien plus éloignés que les siens.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Considerant, 28 juillet 1854
Au sujet de la Société de colonisation du Texas. Godin fait part à Considerant de doutes de la part des partisans du projet du Texas, qu'il partage lui-même. Godin se demande comment se préparer à quitter l'Europe sans connaître les bases du contrat liant les colons. Considerant a demandé de faire des collections de graines, et à Godin de conserver les noyaux de cerises qu'il mangeait, mais sans préciser la période des semis ; Godin a demandé aux ouvriers de la fonderie de Guise de lui amener des noyaux de cerise, et il en collecte ainsi 12 000 par jour, qu'il place dans l'eau ; ceux qui tombent au fond sont jugés bons et placés dans des tonneaux dans du sable humide ; il importe de connaître quand pourront se faire les semis. Godin rend compte de ses recherches sur les procédés Boucherie de conservation des bois par le sulfate de cuivre. Godin évoque trois réunions de discussion sur les statuts de la Société de colonisation du Texas : il juge que ces statuts sont d'une importance secondaire et pense qu'il vaudrait mieux publier des statuts incomplets et provisoires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 5 mai 1844
Godin répond à une lettre de son correspondant et l'informe qu'il doit retarder son voyage à Paris. Sur la colonie sociétaire de Cîteaux. Godin propose de contribuer au capital de la société : « Si la foi et la volonté suffisaient à son avenir, je croirai pouvoir être fort utile, mais les capitaux sont les premiers nécessaires et la fortune n'est pas mon partage. Malgré cela je vous remettrai un pouvoir pour une action quand je saurai où la placer pour le bien de l'œuvre [...] » Godin transmet un message de son ami Lhermitte, qui souhaite également contribuer à l'essai de Cîteaux, sur une machine agricole dont il soumet l'idée à l'École sociétaire : « Lorsque les ouvrages de Fourrier (sic) me tombèrent sous la main, j'étais à organiser une fabrication à laquelle il ne manqua dès lors pour ma satisfaction que d'être une œuvre d'avenir mais forcé de réaliser des bénéfices je continuai. Maintenant Cîteaux est venu réveiller en moi le désir de poursuivre l'idée d'une machine destinée à faucher mécaniquement. Cette machine où plutôt ce récolteur conduit par un homme et mue (sic) par deux chevaux pourra suivant mes prévisions faire en moyenne le travail de dix-huit personnes. Si comme je l'imagine Cîteaux possède désormais un atelier de mécanique, sans doute que l'exécution de toutes les machines destinées à l'agriculture y sera au premier rang comme moyen de faire engrener les travaux industriels avec les travaux agricoles ; s'il en est ainsi ce récolteur entrerait avec avantage dans son exploitation ; je me croirai heureux d'avoir pu aider à la prospérité de l'association. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérant directeur de La Démocratie pacifique, 5 avril 1844
Godin demande communication des statuts de la Société de Cîteaux évoquée dans un article de La Démocratie pacifique du 3 avril 1844. Il explique à son correspondant qu'il voudrait lui parler à Paris d'un nouvel instrument aratoire qui pourrait être essayé à Cîteaux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augustin Sabaté, 19 juillet 1893
Réponse à une lettre de Sabaté en date du 1er juillet 1893 : à propos d'un article sur l'association agricole signalé par Sabaté.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 7 avril 1893
Réponse à une lettre de monsieur Alavoine en date du 4 avril 1893. Sur les jardins potagers loués par Marie Moret à messieurs Caudron et Casseleux à Lesquielles ; sur le jardin d'agrément et la mauvaise santé des arbres fruitiers de la maison de Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 9 février 1893
Explique palier son absence de correspondance avec Flore Moret par les lettres régulières de Marie-Jeanne et Émilie Dallet. Sur l'absence d'humidité du climat de Nîmes, favorable à la santé de la famille Moret-Dallet, et le beau temps leur permettant de sortir tous les jours. Sur l'hiver exceptionnellement rigoureux connu par les Nîmois, dont Marie Moret se moque, et qui a ravagé la végétation. Marie Moret « infiniment mieux qu'à Guise pour le travail, pour la vie intellectuelle - à cause de la présence de M. Fabre ». Remercie Flore Moret d'avoir remis 13 F à Élise Pré et de s'être arrangée avec Doyen. Demande des nouvelles de différentes personnes de Guise : le père de Sylvain Lefèvre ; Marcel Laporte ; les affaires industrielles. Sur les étrennes du facteur de Guise : prie Flore Moret de ne pas donner les 3 F car elle l'a demandé à Doyen.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 5 août 1870
Godin transmet à Coulon une lettre de monsieur Barré relative à l'acquisition d'un terrain. Godin juge le prix élevé et interroge Coulon sur l'indemnité à verser au fermier pour compenser la plantation de luzerne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Menard, 10 décembre 1874
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin désire renouer des relations avec Menard à qui il avait rendu visite à Huppemeau et qui avait visité le Familistère à ses débuts. Il lui explique que le Familistère s'est développé à travers mille difficultés causées par la rivalité de la ville de Guise avec celui-ci, que la population le voit comme une concurrence et que le commerce du pays a fait cause commune avec les ennemis de toute réforme sociale et politique. Godin indique qu'il étudie si une entreprise comparable aurait les mêmes embarras si elle était un peu isolée du monde, installée sur un domaine éloigné de toute population. Il pense que le domaine devrait être traversé par une voie de chemin de fer comme celle de Tours à Nevers par Vierzon et Bourges, ou d'Orléans à Vierzon, et situé près d'un canal comme celui du Berry. Il imagine qu'il pourrait fonder une usine, faire arriver 200 familles et s'intéresser moins à l'agriculture qu'aux travaux d'amélioration du sol et à l'élevage. Godin demande à Mesnard si le centre de la France se prête à une telle fondation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Druet, 6 décembre 1866
Sur l'emploi de jardinier du Familistère. Godin pourrait accepter les appointements auxquels prétend Jules Druet si ce dernier avait la capacité propre à l'emploi. Il le prie de venir à Guise pour parler avec lui et lui demande de le prévenir trois jours à l'avance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pierre Cressiot, 6 décembre 1866
Sur l'emploi de jardinier du Familistère. Godin pourrait accepter les appointements auxquels prétend Pierre Cressiot si ce dernier avait la capacité propre à l'emploi. Il le prie de venir à Guise pour parler avec lui et il lui demande de le prévenir trois jours à l'avance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Liévrard, 6 décembre 1866
Sur l'emploi de jardinier du Familistère. Godin pourrait accepter les appointements auxquels prétend Liévrard si ce dernier avait la capacité de produire des légumes moins chers que ceux qu'on achète à l'extérieur. Il le prie de venir à Guise pour parler avec lui et lui demande de le prévenir trois jours à l'avance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Liévrard, 30 novembre 1866
Sur l'emploi de jardinier du Familistère. Godin explique à Liévrard qu'il existe trois hectares de jardin, dont deux hectares de jardin légumier, et que jusqu'ici, les dépenses ont été plus importantes que les recettes. Il lui demande s'il a la capacité de diriger de temps à autre une petite troupe d'enfants au travail des jardins, et à quels appointements il prétend.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bar-Beaubouchez, 26 novembre 1866
Sur l'emploi de jardinier du Familistère. Godin précise à Bard-Beaubouchez, candidat à l'emploi de jardinier du Familistère, que le jardinier actuel perçoit 100 F par mois. Il lui demande des renseignements sur sa famille et sur lui-même. Il ajoute qu'il souhaite recruter un jardinier capable de rendre profitable la culture de 3 à 4 hectares de jardins et de donner des cours de jardinage aux enfants des écoles pendant les heures de récréation.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 29 juillet 1896
Lettre remise à Sophie Quet par Auguste Fabre avec un billet de 50 F pour sa rémunération de juillet 1896. La famille Moret-Dallet se réjouit de la bonne santé de Sophie Quet. Informe qu'elle a joint 50 F à la lettre envoyée à Fabre afin de régler les dépenses faites pour le compte de Marie Moret. Sur les grandes chaleurs à Nîmes et à Guise et leurs conséquences sur la végétation et les cultures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gautrelet, 28 février 1875
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin donne à Gautrelet des compléments d'information sur la propriété qu'il cherche à acquérir : sur l'approvisionnement en minerai de fer et en houille que le monopole de la Société du Creusot sur la houille et le coke rendrait difficile ; sur la création d'habitations, de jardins et de vergers en même temps que l'industrie. Il avertit qu'il ne pourra acheter que sous condition résolutoire. Sur les 7 % d'honoraires de Gautrelet : Godin juge le montant élevé pour une propriété importante.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rolland, 27 février 1875
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin donne à Rolland des compléments d'information sur la propriété qu'il cherche à acquérir : approvisionnement en minerai de fer et en houille ; 50 hectares pour les habitations d'une colonie industrielle, des jardins, des potagers et des vergers ; des prairies pour nourrir les chevaux et les vaches. Il l'informe qu'il ne pourra acheter que sous condition résolutoire afin d'étudier les lieux. Il indique que sa préférence va à une propriété à l'est de Clamecy et qu'il aimerait qu'elle se situe à au moins deux kilomètres de toute population.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'étonne du silence de Courtois. Il lui demande s'il peut lui fournir les marronniers demandés.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Courtois qu'il n'a pas pu aller voir ses marronniers car sa lettre est arrivée à Paris après son départ. Il lui demande de lui expédier 22 marronniers de 2,5 mètres de hauteur et 7 beaux marronniers plus gros, à expédier de la gare du Nord à la gare de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Baudry de lui écrire à l'hôtel du Pot d'Étain à Paris pour lui dire s'il peut aller voir ses marronniers à Clamart le 21 février. Dans le cas où il ne pourrait visiter les arbres, Godin demande à Baudry de lui indiquer quelles précautions il prendrait pour protéger les branches et les racines qui pourraient geler pendant le transport.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin renvoie un pouvoir à Moricourt. Sur la valeur d'une récolte perdue à l'emplacement de l'atelier de sondage de La Capelle.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Sholler qu'il peut venir occuper le poste de jardinier du Familistère pour lequel il lui a rendu visite à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à Sholler, intéressé par l'emploi de jardinier au Familistère, de venir visiter l'établissement et de lui rembourser 25 F pour ses frais de voyage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a vu dans les Petites affiches l'annonce de Sholler s'offrant comme jardinier. Il prie Sholler de lui donner les moyens de se renseigner sur son compte et souhaite connaître son âge, sa situation familiale et les appointements qu'il désire obtenir. Il lui demande en outre s'il est capable de donner un cours hebdomadaire de jardinage aux enfants des écoles du Familistère âgés de 12 à 14 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Aubertin qu'il a accepté, à l'occasion de sa visite, de faire un essai de deux mois en qualité de jardinier du Familistère aux appointements de 167 F par mois. Après lecture de sa lettre du 23 août 1880, il le prévient qu'il veut recruter des personnes au caractère facile et que les leçons de jardinage à donner aux enfants requièrent de la bonté de caractère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte Aubertin en qualité de jardinier du Familistère pour un essai de deux mois rémunérés sur la base de 2 000 F par an.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Aubertin que le jardinier du Familistère perçoit actuellement 66 F par mois, qu'il loue son logement au Familistère (un logement de deux pièces à 11 F par mois) comme le reste du personnel et qu'il achète ses combustibles et ses légumes dans les magasins. Il ajoute qu'un jardinier attaché à l'association du Familistère aurait droit à une participation aux bénéfices annuels. Dans le cas d'un accord, Godin demande à Aubertin de l'autoriser à prendre des renseignements sur lui dans les maisons où il a travaillé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le recrutement d'un jardinier du Familistère. Godin fait observer à son correspondant que la profession d'architecte-entrepreneur, qu'il dit avoir exercé, est éloignée du jardinage. Il lui demande des renseignements : s'il connaît la taille des arbres, à quels appointements il prétend, si sa femme exerce une profession et si elle sait lire et écrire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Pothenot de la peine qu'il s'est donné pour trouver un jardinier, mais il l'informe qu'il ne peut accepter un homme de 64 ans dans l'association du Familistère. Il lui rappelle sa promesse de lui envoyer des articles pour le journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Leymarie son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail, et il lui demande d'en faire un compte rendu dans le prochain numéro de la Revue spirite. Il l'informe que monsieur Bourgeois n'a pu trouver un jardinier pour le Familistère, mais qu'il est entré en relation avec monsieur Pothenot qui lui propose quelqu'un âgé de 64 ans. Godin demande à Leymarie s'il faut renouveler l'offre d'emploi dans la Revue spirite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pothenot de lui préciser l'âge et la situation familiale du candidat jardinier qu'il lui propose, et souhaite savoir si ce dernier a les mêmes opinions religieuses que lui. Il lui demande s'il ne veut pas collaborer au journal Le Devoir en lui précisant que sa préoccupation « est d'élever l'action sociale au sentiment religieux et de traduire la pensée religieuse en action sociale ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de publier dans sa revue une offre d'emploi pour un jardinier du Familistère capable de donner un cours de jardinage hebdomadaire aux élèves des écoles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 15 marronniers et 6 tilleuls argentés.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Baron-Veillard s'il peut lui fournir 15 à 20 marronniers d'Inde à tige et 15 à 20 tilleuls argentés d'une hauteur de 4 mètres.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à son « cher collègue » des renseignements sur les marronniers et les tilleuls argentés qu'il pourrait lui fournir.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à son ou sa correspondant·e si il ou elle peut lui fournir 30 à 40 marronniers ; il souhaite obtenir plusieurs renseignements sur les arbres, sur leur prix et il veut savoir s'ils peuvent être expédiés à Guise par chemin de fer.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 17 mars 1893
Marie Moret prévient Bernardot de la parution prochaine, dans la collection des ouvrages de propagande en vente au Bureau du journal L'Émancipation, d'une biographie de Jean-Baptiste André Godin, par Auguste Fabre. L'ouvrage de Bernardot sur le Familistère fera partie des documents de référence, grâce au travail sur les chiffres et les faits. Marie Moret et Fabre souhaitent s'assurer de l'exactitude absolue des chiffres qui y sont présentés, en particulier le chiffre des naissances et décès dans la population de Guise comparée à celle de la ville de Guise : « M. Fabre dit qu'il y a devoir pour nous de mettre ces chiffres en vedette, de nous appuyer sur eux et de défendre par les arguments qu'on peut en tirer les avantages incontestables de l'habitation unitaire. » Remercie Bernardot pour l'envoi de la feuille de la nouvelle édition du livre Le Familistère de Guise et espère qu'il sera bientôt publié. Demande des nouvelles des affaires industrielles du Familistère. Sur la « magique éclosion » du printemps à Nîmes, les longues promenades dans la campagne et les rencontres qui rappellent les membres de la famille Bernardot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Bourgeois d'avoir recherché, même sans succès, un jardinier pour le Familistère capable de donner des leçons de jardinage aux enfants des écoles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des nouvelles de sa commande de marronniers du 24 octobre 1883. Il demande à Croux et fils d'y ajouter un tilleul argenté.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Croux et fils de lui livrer 30 marronniers blancs à fleurs doubles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à son correspondant s'il peut lui livrer 30 marronniers.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Oudin aîné et fils un mandat postal de 37,50 F pour solde de leur facture du 3 octobre. Il leur demande s'il peut planter sans inconvénient des pieds de Mespilus mélangés avec de l'épine ordinaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à son correspondant qu'il pourrait commencer un essai de plantation d'une centaine de pieds de Mespilus s'il lui garantit qu'il aura des haies plus défensives qu'avec l'épine ordinaire. Il lui demande des précisions sur le prix des pieds.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Oudin aîné si la plante appelée poiret, qu'il a repérée dans son catalogue de 1884-1885, donne de bonnes haies dans les terrains crayeux. Il lui en demande le prix pour quelques centaines de mètres et la période de plantation.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Navarre que Lemaire lui a proposé d'acheter une pâture derrière le cimetière. Il demande à Navarre s'il consentirait à ajouter la pâture à ses locations, et le prie de faire l'arpentage du terrain.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Croux et fils sa commande d'arbres.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une proposition d'achat de terrain à Lemaire et sa location par Navarre, fermier de Godin. Il lui confirme qu'il lui versera les loyers des terres que lui doit son beau-frère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin souhaite obtenir de Desbois des renseignements pour appliquer son système de taille de poiriers, exposé dans la brochure de Roy-Chevrier. Il l'interroge sur le pincement des bourgeons.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Croux et fils de lui livrer des tilleuls et des marronniers blancs.

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