Marie Moret répond à Richer en qualité de parente de Godin, parti à la Conférence internationale de Bruxelles. Elle lui adresse à sa demande un article explicatif sur le Familistère. Elle lui transmet les remerciements de Godin pour l'expression de sa sympathie à lui-même et à son œuvre, et pour sa proposition d'ouvrir le journal Le Droit des femmes aux communications qu'il voudrait faire.

Godin informe Muzeau qu'il peut lui offrir la direction d'une classe des écoles du Familistère aux appointements qu'il souhaite. Il lui communique des informations sur les écoles : 5 classes mixtes de 35 à 40 élèves ayant chacune son professeur ; programme de toutes les classes concerté entre les maîtres. Il lui demande de venir immédiatement et propose de lui allouer la somme de 250 F pour ses frais de déplacement.

Godin envoie à James Bishop les ouvrages Mutualité sociale, dont la traduction en anglais de madame Bristol est incomplète et contient des erreurs, La richesse au service du peuple et deux numéros du journal Le Devoir, qui contiennent le bilan de l'association du Familistère. Il accuse réception du volume envoyé par Bishop.

Godin demande à Falaize s'il a fait le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère de Guise.

Godin demande à Gauchet des informations sur la population qu'il pourrait avoir à loger à Laeken. À propos d'une visite mensuelle de Bourgeois à Guise. Sur les modèles d'une cuisinière et de poêles.

Godin informe Tisserant que lui et Marie Moret n'ont pas reçu les numéros du journal Le Progrès de l'Est contenant un article sur la Société du Familistère et la lettre de Tisserant à Morand, mais d'autres numéros. À propos de la Conférence internationale sur la paix et l'arbitrage de Bruxelles : Godin pense qu'il faudrait organiser des conférences internationales dans différents pays et éditer en trois langues à Paris, Londres et Berlin une revue de l'arbitrage et de la paix, organe de la fédération des associations internationales de l'arbitrage et de la paix. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

À propos de dommages et intérêts à réclamer dans une affaire.

Godin retourne à Edmond Potonié-Pierre le roman Une honnête femme qui ne peut être publié dans le journal Le Devoir.

Godin transmet à Falaize les conclusions de Lecomte dans une affaire.

Godin annonce à Edmond Potonié-Pierre qu'il cesse à sa demande de lui adresser 50 numéros du journal. Il lui envoie un chèque de 26,85 F en règlement de ses articles parus dans les numéros 204, 207, 209 et 217 du Devoir et de celui d'Eugénie Potonié-Pierre paru dans le numéro 219. Il l'avertit qu'il n'est pas actuellement en mesure de le recommander à quelqu'un ou de lui confier des traductions.

Godin adresse à Vallot un exemplaire des journaux Le Papillon et Le Droit des femmes contenant un article sur le Familistère.

Godin demande à l'inspecteur des renseignements sur Broperon, instituteur à Grandhoux et candidat à la direction des cinq classes des écoles du Familistère. Il précise que celles-ci sont une institution libre, que Broperon devrait par conséquent avoir rempli son engagement décennal et qu'il serait prêt à offrir 300 F par mois à ce dernier.

Godin demande à l'inspecteur de l'aider à trouver un instituteur pouvant diriger les écoles du Familistère, qui aurait fait son engagement décennal car les écoles ne sont pas déclarées d'utilité publique, et qu'il pourrait rémunérer 300 F par mois.

Godin fait des observations sur le modèle d'une cuisinière belge dont Gauchet lui a envoyé le dessin. Sur un puits.

Godin demande à l'inspecteur des renseignements sur Broperon, instituteur à Grandhoux et candidat à la direction des cinq classes des écoles du Familistère.

Godin demande à Fontaine des renseignements sur deux de ses anciens élèves, Gustave Leroy et Édouard Carpentier, qui demandent à entrer dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il informe Fontaine que l'administration lui a envoyé les certificats d'études de messieurs Grandjean, Poulet, Petit et Pigeon.

Godin avertit qu'Herbaux va se rendre à Paris pour examiner les affaires à faire avec les bazars et les grands magasins en vue du Jour de l'an. Il lui demande de ne pas le considérer comme un concurrent, et suggère qu'il rende visite à la maison Allez et à la maison À la ménagère.

Godin avertit Tisserant qu'il a reçu l'accusé de réception de l'ouvrage Mutualité sociale de la part de monsieur Chanove. Il l'informe qu'Émilie Dallet fait faire pour lui une copie des conférences de Drivon. Il lui annonce que le journal Le Devoir signalera ses articles parus dans Le Progrès de l'Est quand le travail sera complet. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Godin répond à la lettre d'Édouard Raoux du 31 août 1882. Il l'informe qu'il n'a pas eu le temps de s'occuper du Congrès de la paix de Genève ni des publications révolutionnaires dont il lui parle. Il l'avertit que le journal Le Devoir ne peut consacrer de longs développements à la question de la réforme orthographique. Il lui signale que le numéro du Devoir de la semaine publiera sa note sur la guerre envoyée le 10 novembre mais ne pourra rien faire des détails donnés sur les constructions de New York. Il lui explique que l'hygiène fait partie du programme d'enseignement au Familistère « puisque nous suivons le cadre tracé par le dernier décret du gouvernement qui institue sur des bases véritablement remarquables l'instruction publique » et qu'il n'a pu développer le sujet dans son rapport à l'assemblée générale de l'association du Famillistère. « Du reste, ajoute-t-il, l'hygiène ici est plus qu'à l'état d'enseignement, elle y est à l'état de pratique. » Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Godin répond à une lettre de Vicente Guimerá du 12 novembre 1882 en lui adressant un exemplaire de Mutualité sociale et deux numéros du journal Le Devoir qui rendent compte de la dernière assemblée générale de l'association du Familistère.

Godin demande à l'inspecteur des renseignements sur monsieur Clausse, auparavant instituteur à Le Thour et candidat à la direction des classes des écoles du Familistère.

À propos d'un litige relatif à la construction d'un mur au bord de l'Oise.

Godin répond à la lettre de Bour du 12 novembre en lui indiquant que les emplois d'instituteur sont tous pourvus au Familistère et en lui demandant s'il connaît les matières premières pour pouvoir s'occuper de la correspondance des approvisionnements de l'usine.

Godin répond à la lettre du 27 novembre 1882 de madame Gasc : il l'informe qu'il a empêché son mari de rester au Familistère car il ne s'y est pas installé définitivement comme il avait promis de le faire ; il précise que Gasc est parti en novembre.

Godin informe Bernardot qu'il peut offrir 400 F d'appointements fixes à l'ingénieur occupant la fonction en question. Il lui précise que le personnel est associé aux bénéfices de la Société du Familistère. Il lui demande si ses aptitudes industrielles sont en rapport avec la fabrication d'appareils de chauffage et de cuisson domestiques.

Loquay a sollicité un emploi d'ingénieur le 2 décembre 1882. Godin lui répond qu'il ne considère pas qu'il ait les aptitudes pour remplir la fonction mais pense qu'il pourrait s'occuper de la construction des modèles d'appareils au gaz et des modèles en général s'il ne prétend pas prendre en son nom des brevets se rattachant à la fabrication. Il lui demande quel serait le montant des appointements qu'il désire obtenir.

Godin demande à Chalot et Cie de lui adresser une épreuve de la photographie de sa dernière pose, propre à faire une gravure. Il lui demande de compléter les photographies de Marie Moret.

Godin demande à Godement d'insérer une offre d'emplois d'ingénieurs et de directeur de la comptabilité dans le prochain numéro du Petit journal.

Godin avertit Chalot et Cie qu'il fera faire ailleurs une photographie que celui-ci ne peut réaliser. Il lui demande d'envoyer des épreuves de son portrait et de celui de Marie Moret.

Loquay a informé Godin le 6 décembre qu'il demande 300 F d'appointements et 100 F de frais de déplacement. Godin accepte de le faire entrer dans la Société du Familistère.

Godin répond à la lettre du préfet du 6 décembre 1882 : il lui annonce qu'il ne voit pas d'inconvénient à la tenue de la réunion le 26 décembre 1882 de la commission cantonale de la statistique agricole, mais qu'il préférerait qu'elle se tienne à 1 heure plutôt qu'à midi.

À propos d'un article de Pellarin sur Herbert Spencer.

Godin communique au sous-préfet une note sur l'industrie et les écoles du Familistère de Guise.

À propos d'un article de Pellarin sur Herbert Spencer.

Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement....

Nihour a répondu le 10 décembre à une offre d'emploi [parue le 10 décembre 1882 dans ] en indiquant qu'il a étudié la question des phalanstères. Godin lui demande de lui communiquer les documents qu'il a rédigés à ce sujet. Il lui adresse une circulaire destinée aux candidats aux emplois offerts. Il lui demande des renseignements sur son compte.

Godin accuse réception de documents envoyés par Bernardot. Il lui annonce qu'il n'a pas encore choisi parmi les candidats à la fonction d'ingénieur attaché à la fabrication.

Godin répond à la lettre de Mérian du 16 juillet 1882. Il lui explique qu'il avait alors déjà trouvé le directeur qu'il cherchait. Il lui demande s'il accepterait un emploi de sous-chef de fonderie aux appointements de 200 F par mois.

Godin annonce à Courtépée que le dernier numéro du journal a publié la fin de son travail. Il lui demande s'il doit lui retourner son manuscrit. Il lui fait observer qu'il a supprimé des chapitres de son travail exposant des idées contraires aux principes exposés dans Le Devoir.

Godin annonce à Sabathier qu'il accepte sa candidature à un emploi dans la Société du Familistère de Guise et qu'il peut entrer en fonction aussi vite que possible.

Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement... : Godin, qui n'a reçu que les épreuves de 48 pages du livre réclame l'envoi régulier des épreuves à suivre de manière à achever l'ouvrage dans un ou deux mois.

Godin annonce au sous-préfet qu'il se rendra dimanche à son invitation.

Godin annonce au couple Hugues qu'il accepte son invitation à dîner.

Godin remercie Courtépée pour l'envoi de ses réflexions sur la polémique entre la Revue du mouvement social et le journal Le Devoir. Il lui retourne le manuscrit de « L'unité de la vie ». Il lui demande de lui adresser un autre manuscrit dont il pourra lui parler lorsqu'il aura l'occasion de le voir.

Godin annonce à Villain qu'il accepte les palmes d'officier d'Académie : « Peut-être trouverai-je en elles un préservatif contre tout retour des difficultés que les écoles de la Société du Familistère ont éprouvées sous le gouvernement de l'ordre moral. »

Godin adresse à l'inspecteur Vézier une note réclamée par celui-ci la veille. Il l'informe qu'il mettra sa voiture à sa disposition samedi matin pour prendre monsieur Vapereau à la gare.

Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement... : Godin fait des observations sur la correction des épreuves.

Godin annonce à Bernardot qu'il a accordé à un autre candidat la direction des ateliers de montage. Il souhaite cependant recruter Bernardot et lui propose provisoirement la surveillance des brevets et des approvisionnements de l'usine.

Godin informe Sabathier que sa rémunération sera de 400 F par mois. Il l'avertit qu'il devra attendre le mois de juin pour être accepté en qualité de membre des conseils et d'associé de l'Association coopérative du capital et du travail. Sur le logement de Sabathier et sur une indemnité de déplacement.

Godin répond à la lettre de madame Rossat du 13 décembre 1882 : il lui annonce qu'il accepte que le jeune homme à propos duquel elle a écrit se présente à Guise le 2 ou le 3 janvier 1883. Il lui adresse une copie de la lettre envoyée à tous les candidats à l'emploi en question.