FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (23) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Refoulé le catalogue des ouvrages de Jean-Baptiste André Godin avec l'indication des libraires qui les vendent. Elle lui signale qu'elle envoie un numéro du journal Le Devoir à messieurs Bruzon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Anonyme
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Les rédacteurs de la lettre demandent au ministre de la Guerre que le Génie abandonne des terrains réservés au pied du château de Guise pour que la municipalité puisse y construire une école maternelle.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Anonyme
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Les rédacteurs de la lettre expliquent au ministre de l'Instruction publique que faute de terrains disponibles, le conseil municipal de Guise ne peut mettre à exécution son projet de construire des écoles maternelles dans les quartiers de la ville. Ils demandent que le Génie abandonne les terrains qu'il a réservé près du fort dans le quartier Chantraine et prient le ministre de l'Instruction publique d'appuyer leur demande auprès du ministre de la Guerre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Gagneur que les numéros du journal Le Devoir du 8 et du 15 octobre 1882 sont épuisés. Sur le choix de candidats aux emplois de la Société du Familistère. Sur le projet d'une visite de Gagneur au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Gagneur qu'il va publier son livre le plus important qui traite des réformes sociales les plus nécessaires, dont l'une offre des ressources dont dépendent les autres. Il lui indique qu'il va éditer en plus du volume de 600 pages une brochure de 100 pages contenant la présentation de cette réforme fondamentale permettant l'extinction du paupérisme suivie d'une proposition de loi. Godin demande à Gagneur son aide pour sensibiliser les députés à la question.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Gagneur une centaine d'exemplaires du numéro de la galerie Les hommes d'aujourd'hui consacré à sa biographie. Il précise qu'il n'est pas disposé à faire retirer « la même chose » car il trouve la composition trop peu réussie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Virginie Griess-Traut un article qu'il n'a pas souhaité publier dans le journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Virginie Griess-Traut s'est étonnée de ne pas voir ses articles publiés dans le journal Le Devoir. Godin lui fait observer que sa pétition pour le suffrage commercial des femmes est parue le 29 juillet 1883 et que d'autre part le journal ne peut accepter des articles qui auraient un caractère personnel, ainsi sa lettre à Charles Rivet ; il lui fait également remarquer que dans sa note sur le pont de Brooklyn les noms propres étaient mal orthographiés et manquait de précision sur la part prise par madame Roebling dans la direction des travaux. Il l'informe que Victoire Tinayre viendra au Familistère le 10 août 1883 et il la remercie de son concours dans cette affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Versigny du 22 décembre 1882 relative à un article du journal Le Devoir, « Progrès et religion », qu'il a communiquée à l'auteur de l'article. Il lui demande de lui envoyer la copie du texte du chapitre premier d'un ouvrage traduit par Fabre d'Olivet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Versigny du 22 janvier 1883. En raison de l'importance du travail, il lui demande de négliger sa demande de copier le chapitre de la Genèse. Il lui confirme qu'il pourra consulter la traduction de Fabre d'Olivet chez son ami Charles Fauvety.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Victoire Tinayre des 25 et 28 octobre 1883 et de celle de Simon Deynaud. Il lui indique que celui-ci lui parle de la somme de 400 F pour devenir son secrétaire et non de la somme de 250 F pour être rédacteur du journal Le Devoir. Godin aurait voulu avoir le choix entre les deux fonctions. Il annonce à Tinayre qu'il envoie à Deynaud son livre Le gouvernement... en lui demandant ce qu'il pense des sujets sur lesquels son opinion diffère. À propos de mademoiselle Malveau : Godin demande à Tinayre de s'assurer de ses aptitudes à l'école maternelle. Il recommande à Tinayre de ne pas proposer aux candidat·es le logement en plus des appointements. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Victoire Tinayre qu'Edmond Fortis a cessé de collaborer au journal Le Devoir et qu'il a écrit à Aristide Claris au 62, rue de Dunkerque à Paris pour savoir s'il était encore disposé à faire un essai d'un mois en qualité de rédacteur du journal. Il demande à Tinayre si elle peut aller chez Claris pour connaître ses intentions, et si elle peut profiter de son séjour à Paris pour trouver un rédacteur. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Victoire Tinayre qui est candidate à la direction des classes enfantines du Familistère. Il lui fait observer que son âge de 52 ans est peut-être trop avancé pour l'emploi. Il lui propose de venir à Guise au mois d'août pour faire un essai rémunéré à 200 F par mois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 150 F à Victoire Tinayre pour les dépenses qu'elle pourrait faire pour lui. À propos d'offres d'emploi. Il l'informe que Claris a décidé de retourner à Paris et il lui demande de lui trouver un rédacteur du journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, qui se trouve en communion d'idées avec Tinayre, accepte d'attendre son arrivée au Familistère jusqu'au 25 août. Sur l'enseignement de l'arithmétique et sur le recrutement d'une institutrice. Il lui annonce que les appointements de celle-ci pourraient s'élever à 1 800 F par an, et l'informe que la Société du Familistère dépense déjà 300 000 F par an pour l'éducation et l'instruction.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Victoire Tinayre a demandé un sursis à Godin pour occuper l'emploi de directrice des classes enfantines des écoles du Familistère : Godin juge que sa demande compromet la bonne organisation des écoles. Il se demande si l'enseignement dans une classe enfantine et la surveillance des classes inférieures n'est pas une tâche trop pénible pour une femme d'âge avancé et prie Tinayre de lui dire si elle est bien informée du programme actuel des écoles maternelles et de l'enseignement primaire en général. Il fait l'hypothèse de lui confier non la direction des classes enfantines mais la surveillance de l'éducation et de l'enseignement de l'enfance du berceau jusqu'à 14 ans, soit de toutes les classes du Familistère. Si elle jugeait qu'elle a le caractère et suffisamment d'énergie pour se charger de la direction générale de l'enfance, il lui indique qu'il aurait besoin d'une maîtresse de classe maternelle, qu'elle pourrait l'aider à trouver.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Victoire Tinayre du 31 juillet 1883. Il attend son arrivée au Familistère avant le 10 août 1883.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la nomination de Godin dans l'ordre de la Légion d'honneur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin soumet au président de la Chambre la proposition de loi contenue dans la brochure Mutualité nationale qui élargit la question de l'amélioration du sort des classes laborieuses dont traitent déjà des projets de lois. Il lui explique que sa proposition vise à effacer la plaie sociale de la misère et qu'elle est le résultat de 30 années d'expérience dans l'organisation des assurances mutuelles. Il le prévient que l'application de son projet, qu'on peut juger trop absolu ou trop radical, peut se réduire aux proportions que l'on voudra.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la déclaration d'utilité publique des écoles du Familistère. À la suite de la proposition du préfet, Godin lui demande de saisir le conseil municipal de Guise et le conseil départemental de l'instruction publique de la question de la déclaration d'utilité publique des écoles du Familistère et de celle de l'autorisation de ces écoles en tant qu'écoles mixtes dans la ville de Guise. Godin précise qu'il veut combiner cette demande de déclaration avec la proposition de construction d'une école primaire supérieure publique constituée en pensionnat pour 80 élèves. Dans le post-scriptum, Godin demande au préfet s'il pense que le gouvernement pourrait lui accorder la subvention qu'il accorderait à la commune de Guise pour la construction d'une école primaire supérieure, ce qui lui permettrait de débuter les travaux dès le printemps suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce au préfet de l'Aisne que le conseil municipal de Guise s'est prononcé le 15 février 1883 en faveur de « la conversion des écoles du Familistère en écoles primaires publiques et mixtes pour la population du Familistère ». Il lui demande quelle décision a prise à ce sujet le conseil départemental de l'instruction publique. Il accuse réception de la lettre circulaire du 13 février 1883 relative aux commissions de statistique agricole.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin sollicite de son correspondant des renseignements sur Jules Montagne, directeur d'une fonderie à Mons qui est en liquidation.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin explique au ministre que le moment est venu de saisir le gouvernement d'un projet de loi visant à garantir les classes ouvrières contre la misère sans grever le budget de l'État de charges nouvelles, ce que permettrait une réforme du droit des successions collatérales « qui consiste à ne rien demander aux vivants, mais à prélever sur les biens délaissés à la mort ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin adresse au ministre la brochure qu'il veut soumettre à la Chambre des députés. Il explique au ministre que sa proposition a pour objet l'extinction du paupérisme en étendant la protection nationale, dont il est question dans les projets de loi dont la Chambre est saisie, à ceux qui sont privés de ressources.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les obligations de la Compagnie universelle du canal interocéanique de Panama de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la souscription de Godin et de Marie Moret à la Compagnie du canal interocéanique de Panama.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin souscrit à des obligations de la Compagnie du canal interocéanique de Panama en son nom et au nom de Marie Moret, dont les versements sont à débiter du compte Godin et Cie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit le directeur de la société du Courrier de l'Aisne qu'il se rendra à Laon le jeudi 17 janvier 1884 pour percevoir les intérêts et dividendes qui lui sont dus.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Un différend a eu lieu le samedi précédent entre le commissaire de police et un ouvrier bègue du Famiistère que le commissaire a supposé en état d'ivresse. Godin demande au commissaire de ne pas poursuivre l'ouvrier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se plaint des nuisances causées par l'abattoir dans les rues de Cambrai et de Landrecies et du Familistère. Il suggère au commissaire que l'abattoir ne doit pas respecter les règles auxquels il est soumis.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Pagliardini expédiée de Dor[...] et l'exemplaire de l'un de ses opéras, ainsi que de sa lettre du 16 août qui lui laissait espérer ainsi qu'à Marie Moret sa visite à l'occasion de la fête de l'Enfance. Sur Joseph Manier. Il lui donne raison de blâmer les articles sur le colonel Ramollot insérés dans Le Devoir par le rédacteur du journal. Il précise que Marie Moret ne s'occupe en ce moment que des citations de la sagesse antique. Il lui transmet à lui et à ses sœurs les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pagliardini du 17 avril 1883. Il l'informe qu'il a remis à Joseph Manier une lettre d'introduction auprès de lui. Il lui confirme que Courtépée, dont les études paraissent dans le journal Le Devoir, est bien réel et n'est pas un pseudonyme pour lui et Marie Moret. Il informe Pagliardini que la presse commence à s'occuper de sa brochure Mutualité nationale, mais que sa proposition du droit d'hérédité de l'État suscite des oppositions comme en témoigne la candidature d'un adversaire réactionnaire aux élections cantonales. Il lui fait part de son espoir de voir Pagliardini à Guise au moment de la visite de Neale au début de juillet. Il l'informe que les écoles sont agrandies et qu'un nouveau pavillon d'habitation, plus grand que le pavillon central, va être édifié. Il transmet ses compliments et ceux de Marie Moret à Pagliardini et à ses sœurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le logement populaire. Godin annonce à Pagliardini que sa lettre lui sera présentée par Manier, qui se rend à Londres pour étudier les habitations ouvrières Peabody. Il lui demande d'aider Manier dans ses recherches.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Mathieu qu'il n'a pas encore fait son choix parmi les candidats à l'emploi.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Stanton pour l'envoi de deux volumes. Il lui adresse ses livres Solutions sociales et Mutualité sociale et lui promet l'envoi prochain de l'ouvrage dont il donne le titre pour la première fois Le gouvernement : ce qu'il a été, ce qu'il doit être et le vrai socialisme en action. Il l'informe qu'il va détacher de ce dernier ouvrage quelques passages pour le travail qu'il lui a demandé, à propos duquel il lui demande des précisions sur le volume du texte.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pour répondre à la demande de Stanton du 19 avril 1883, Godin lui envoie la liste des lecteurs du journal Le Devoir. Il lui signale que le prochain numéro du journal contiendra une annonce de la souscription à son prochain ouvrage La femme au XIXe siècle ; il lui adresse sa propre souscription. Il lui explique qu'il n'a pas le loisir de s'occuper de l'exposition de Boston.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Stanton du 1er décembre : il lui demande s'il est toujours temps de lui communiquer ce qu'il souhaite ; il lui signale qu'il n'a pas reçu le numéro annoncé de la (sic).

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de deux manuscrits envoyés par Stanton : le texte français abrégé de l'article de Godin « La femme et le socialisme » et sa traduction anglaise. Godin ne relève aucun contresens dans la traduction anglaise ; il indique que son article serait mieux intitulé « La femme au Familistère de Guise ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Stanton un article intitulé « La femme et le socialisme » et une notice relative à sa vie publique.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Deynaud qu'il a lu sa brochure et qu'il lui envoie son livre Le gouvernement... pour connaître les sujets sur lesquels il diffère d'opinion avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Deynaud acceptant la fonction de rédacteur du journal Le Devoir, Godin l'invite à venir dès que possible à Guise. Il ne veut toutefois pas que le nom de Deynaud, qui a été mêlé aux polémiques récentes, figure dans l'immédiat dans le journal car « la rédaction du Devoir est toujours restée en dehors des personnalités et ne s'est attachée qu'aux questions de principe ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des deux lettres que Deynaud lui a écrites après qu'il lui ait envoyé son livre . Il lui demande de lui communiquer ses références. Il lui signale que selon Victoire Tinayre il consentirait à s'occuper seulement du journal Le Devoir pour 250 F par mois ou bien à lui consacrer tout son temps pour 400 F par mois. Il lui demande de lui confirmer qu'il pourrait accepter la fonction de rédacteur du Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Simon Alexandre un mandat postal de 110 F pour solde de sa facture du 11 janvier 1884.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin invite Sérabry à Guise avant de décider son embauche ; il lui précise que les jeunes employés de la Société du Familistère gagnent 60 à 80 F par mois.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Guéraut du 25 septembre 1883. Il l'assure qu'Avray Tipping peut venir à Guise et que ses études seront facilitées. Il lui annonce qu'il lui fera servir le journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à sa sœur l'obligation de 17 300 F qu'elle lui a réclamée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à sa sœur si elle a des amateurs pour la vente de ses propriétés car il veut obtenir sans retard des garanties à sa créance.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'adresse à des personnes ayant présenté à monsieur Mazoyer leur candidature à un emploi. Godin décrit aux candidats ce que comprend la Société du Familistère : deux usines à Guise et à Laeken employant 1 500 à 1 600 personnes, et un palais d'habitation où vivent 1 800 personnes. Il leur explique qu'il veut adjoindre au conseil de gérance de la Société « une capacité apte tout à la fois aux affaires industrielles et commerciales, à la production, à la vente et à la direction générale ». Il énonce les critères de choix de la personne devant remplir cette fonction et leur demande de répondre à sa lettre en lui donnant le moyen d'apprécier leurs qualités.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Lorsque Godin a vu Pierre Legrand à Saint-Quentin, il lui avait promis de lui envoyer son dernier livre. Il lui explique qu'il a tiré de ce livre une brochure, qu'il lui envoie avec le livre, qui propose une solution pour équilibrer les ressources budgétaires de l'État, plus efficace que la conversion du 5 % : « Au lieu de porter atteinte aux intérêts des vivants, elle ne demande qu'à la fortune des morts. » Il souhaite que la Chambre des députés s'intéresse à la question de l'hérédité de l'État.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Giffard pour l'envoi des deux numéros du journal contenant des articles sur le Familistère. Il lui annonce qu'il lui fera servir le journal pendant quelque temps.
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