FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 22 janvier 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin informe son correspondant que l'avocat d'Esther Lemaire demande au notaire Gauchet de s'intéresser particulièrement au compte de Marie Moret et à celui d'Émile Godin dans la comptabilité de la manufacture du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 20 janvier 1868
À propos de la séparation des époux Godin-Lemaire et de l'évaluation des biens de la communauté des époux. Godin a remis au notaire Gauchet 64 livres de comptabilité de la manufacture Godin-Lemaire, mais ne souhaite pas effectuer des travaux de comptabilité demandés par les conseillers d'Esther Lemaire. Il indique ne pas détenir un inventaire détaillé du matériel des usines de Guise et de Laeken et se demande pourquoi il devrait communiquer l'état de ses affaires en 1868 alors que la liquidation de la communauté est arrêtée à 1863. Godin demande quelles sont les instructions de Jules Favre à ce sujet et joint des documents à son courrier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 24 janvier 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin reproche à Lecoq de Boisbaudran un manque d'initiative et s'interroge encore sur ce que ses adversaires veulent tirer de leur enquête sur le compte de Marie Moret. Godin indique à son correspondant, dans le cas où un scandale serait déclenché par ses adversaires, qu'en 1863, il avait cessé de résider au Familistère pour résider à l'usine, mais qu'il y est retourné habiter avec son fils après être tombé gravement malade en juillet 1868.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 3 mars 1868
Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il se rendra à Paris demain, à l'Hôtel du Louvre, et espère pouvoir le voir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 2 mars 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin reproche à Lecoq de Boisbaudran de le laisser sans nouvelles de l'avancement de son travail, alors que ses adversaires sont actifs. Il communique à Lecoq de Boisbaudran la copie du nouveau relevé effectué par le notaire Gauchet dans la comptabilité industrielle du Familistère. Godin évoque les lettres anonymes qu'il reçoit et soupçonne son ancien comptable Vigerie d'en être l'instigateur et la femme de celui-ci d'en être l'autrice.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 1er avril 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il a reçu le mémoire de monsieur Hébert pour Esther Lemaire. La lettre est consacrée à la préparation du mémoire de Godin en réponse à celui de son épouse et au peu de temps dont Godin et Lecoq de Boisbaudran disposent pour ce faire. Delpech a informé Godin que les plaidoiries auront lieu le 25 mai 1868.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 28 mars 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'Esther Lemaire se trouve à Paris avec ses amis et lui demande s'il a eu communication du mémoire de son avocat. Il communique à Lecoq de Boisbaudran, qu'il a vu à Paris, une nouvelle sommation de la part d'Esther Lemaire pour qu'il lui fasse part de ses objections.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 10 mars 1868
Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il vient de recevoir une nouvelle sommation de la part de son épouse, lui transmet ses observations et demande de lui envoyer la réponse à faire. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que la présentation de l'affaire au tribunal est reportée au 11 mai.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 10 avril 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il se rendra à Paris lundi pour le voir. Godin attire l'attention de Lecoq de Boisbaudran sur la jurisprudence relative au droit de la communauté sur les entreprises, en faisant référence à un jugement du tribunal de Caen du 6 mars 1849.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 21 mai 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin rend compte à Lecoq de Boisbaudran de l'audience du tribunal d'Amiens à laquelle il a assisté et des conversation qu'il a eues avec Delpech, Borgnon ou l'ancien président du tribunal de Vervins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 28 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin indique à Lecoq de Boibaudran que son capital s'est accru de 250 000 à 300 000 F depuis la demande en séparation et qu'il n'a pas, depuis la demande, dépensé en construction une somme égale au montant des bénéfices. Il presse Lecoq de Boisbaudran de venir à Guise. Il lui demande le montant de la provision à lui verser. Il lui communique l'état de son capital et lui indique qu'il doit absolument entreprendre pour 100 à 150 000 F de constructions nouvelles dans l'usine et au Familistère. Le folio 475v présente un état détaillé du capital au 20 novembre 1863 et au 31 janvier 1865.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 29 avril 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Sur la nomination de notaires liquidateurs de la communauté de biens : Godin n'a pas de motif pour repousser la nomination du notaire choisi par sa femme, avec lequel il a eu de bons rapports, mais estime qu'il est mu par l'intérêt et qu'il n'a pas eu une attitude loyale les jours précédents ; il pense qu'il faudrait un second notaire et nomme Flamant, notaire et premier adjoint au maire de Guise, qui jouit d'une réputation d'intégrité. Il demande conseil à Lecoq de Boisbaudran avant l'audience du tribunal d'Amiens.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 9 mai 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin fait parvenir à Lecoq de Boisbaudran une dépêche indiquant que le tribunal de Vervins est compétent pour se prononcer sur la liquidation de la communauté de biens et sur la nomination de notaires. Il demande conseil à Lecoq de Boisbaudran ainsi qu'à Jules Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 11 mai 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Sur la liquidation de la communauté de biens. Godin avance des propositions de conciliation avec Esther Lemaire : lui verser 600 000 F en contractant un emprunt si elle ne veut pas accorder de délais, ou lui verser 800 000 F dont 100 000 F comptant et le reste payable en annuités de 50 000 F avec intérêt de 3 %. Godin émet l'hypothèse que ses ennemis préféreront spéculer sur un enrichissement à long terme, ou au contraire que son homme de confiance veuille tirer profit immédiatement d'un capital important. Godin signale que la cour d'Amiens a renvoyé toute l'affaire au tribunal de Vervins. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran s'Il doit prier Oudin-Leclère de venir à Guise le jour de l'audience de conciliation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 20 mai 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Sur la liquidation de la communauté de biens. Sur l'audience de conciliation devant le juge de paix de Guise. Godin rend compte de l'audience de conciliation : Esther Lemaire a exigé la moitié de la somme apparaissant dans la comptabilité de l'usine au jour de sa demande, augmentée de la moitié des fruits qu'elle a produits depuis ; elle a rejeté la proposition de Godin de 800 000 F. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran d'adopter désormais une stratégie de résistance dans le but de préserver le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 20 juin 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'Esther Lemaire veut que ses prétentions sur les profits des biens de la communauté soient l'objet des plaidoiries au tribunal de Vervins le 6 juillet 1865. Godin indique qu'il hésite encore sur le choix d'un notaire après avoir appris qu'Aimé Flamant est homme de sacristie et marguillier de la paroisse ; il raconte qu'un autre notaire est venu le visiter, mais que celui-ci trouve que le Familistère est une folie. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran son avis sur la nomination d'un second notaire en plus de celui nommé par sa femme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 24 juin 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin précise à Lecoq de Boisbaudran que la séance de juillet au tribunal de Vervins, qui a pour objet la nomination des notaires, sera l'occasion pour ses adversaires de présenter leurs prétentions sur les profits des biens de la communauté jusqu'au jour de la liquidation définitive. Godin ne veut pas s'y opposer car il est favorable aux lenteurs de la procédure.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 19 juillet 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Lecoq de Boisbaudran le jugement du tribunal de Vervins sur la question des fruits de la communauté, qui exclut les brevets des biens de la communauté et qui lui semble rendu avec équité. Godin pense que son intérêt est de faire « éterniser » l'affaire et considère que la licitation en masse serait une affaire périlleuse, car il serait contraint de racheter l'usine pour exploiter ses brevets. Il veut provoquer des lenteurs dans la procédure pour continuer à développer l'usine et le Familistère malgré les avis contraires de Jules Favre et de Lecoq de Boisbaudran. Godin évalue ce qui reviendrait à Esther Lemaire du Familistère si la licitation intervenait dans 10 ans : 200 000 F sur 1 200 000 F. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si le tribunal peut se prononcer sur la possibilité de développer l'usine et le Familistère et il le prie d'attirer l'attention de Jules Favre sur le sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 24 juillet 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin pense qu'à la réflexion, le jugement du tribunal de Vervins ne lui paraît pas équitable. Sur la licitation en masse des immeubles demandée par ses adversaires : ceux-ci comptent que Godin n'a pas d'autre choix que de racheter l'usine ; la licitation a été présentée comme la seule voie de la liquidation de la communauté et le partage a été rejeté. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran les avantages qu'il voit dans la solution du partage : l'usine peut se diviser en deux parties exploitables ; Esther Lemaire ayant sa part de biens immobilier, il ne serait pas contraint de lui céder toute la partie liquide de sa fortune et conserverait ainsi des capitaux ; l'exploitation par Esther Lemaire de la partie de l'usine lui revenant serait ruineuse ; le Familistère pourrait aussi être divisé en deux lots ; seule l'usine de Belgique devrait être licitée. Godin pense que son exemple montre l'absurdité des lois sur la séparation des biens industriels. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran s'il doit demander au tribunal la division par lots en vue du partage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 7 octobre 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il a reçu une sommation pour se rendre le 12 octobre en l'étude du notaire Gauchet. Il lui communique les observations de son notaire au sujet de la liquidation et indique qu'il est possible d'en hâter ou d'en retarder la résolution. Il lui demande conseil et sollicite les conseils de Jules Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 janvier 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin envoie à Lecoq de Boisbaudran la copie du travail de son notaire sur le partage de la communauté afin de le soumettre à Jules Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 18 janvier 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin confirme à Lecoq de Boisbaudran que le travail de son notaire Borgnon, qui s'est séparé de son confrère qui sert les intérêts d'Esther Lemaire, lui fournira un bon état des lieux. Il explique que le travail de Borgnon contrarie le projet de ses adversaires d'un partage immédiat de la communauté de biens sur la base de l'inventaire du 30 janvier 1864. Il signale à Lecoq de Boisbaudran que ses adversaires cherchent à s'adjoindre les services de son ancien comptable Vigerie, et il l'informe qu'il craint qu'ils veuillent provoquer une expertise. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran au sujet d'une éventuelle expertise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 mars 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'Oudin-Leclère l'a averti que les plaidoiries sur la liquidation auront lieu le jeudi 19 avril 1866. Il lui demande si les conclusions ne doivent pas être examinées par Jules Favre ou par lui. Sur une lettre de Lecoq de Boisbaudran détenue par Borgnon, gravement malade, dont a besoin Oudin-Leclère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 29 mai 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que les craintes de Borgnon sur la régularité de la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ne sont pas fondées, que les juges de Vervins sont ignorants de la comptabilité et que des renseignements imprécis avaient été fournis en son absence à Oudin-Leclère sur les bénéfices. Godin rétablit le chiffre réel des bénéfices de la manufacture. À propos de brevets d'invention dans la liquidation de la communauté.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 11 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin remercie Lecoq de Boisbaudran de lui envoyer une annonce passée par Jacquet. Il lui communique la copie des conclusions de Delpech avec ses observations. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran l'erreur qui a été commise dans le calcul des bénéfices nets des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 12 juillet 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran s'il doit faire appel du jugement du tribunal de Vervins rendu le 11 mai 1866.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 26 juillet 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de bien. Lecoq de Boisbaudran lui demandant s'il compte charger Dauphin de son procès en appel, Godin lui répond qu'il avait été entendu avec Jules Favre que Lecoq de Boisbaudran serait son conseil courant, pour éviter d'avoir recours inutilement au talent de Favre. Il demande à Lecoq de Boisbaudran de plaider toutes ses affaires en première instance et souhaiterait lui soumettre toutes les questions soulevées par son affaire même si Dauphin viendrait à plaider. Il lui annonce qu'il lui donnera l'explication des « 787 mille de M. Gauchet » après avoir reçu réponse à sa lettre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 5 novembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il n'a pu lui remettre le dossier de l'affaire Jacquet qu'il veut que ce dernier suive et pour laquelle il veut qu'il plaide à Vervins. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Il lui signale également qu'il doit reprendre l'examen de l'affaire de la liquidation de la communauté de biens Godin-Lemaire. Il l'avertit que le notaire Borgnon s'en entretiendra avec lui à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 17 novembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin cite une lettre de Delpech qui l'informe qu'Esther Lemaire va faire appel du jugement qui a décidé qu'elle n'avait pas droit aux bénéfices réalisés depuis la demande en séparation. Il annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il écrit à Jules Favre pour le prier de suivre l'affaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 21 mars 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin se plaint que le rapport des experts ne soit pas en sa faveur. Il se demande si un procès en déchéance du brevet de rôtissoire de Jacquet serait suspensif du jugement du tribunal de commerce de Vervins. Il lui demande de s'entendre avec Oudin-Leclère pour la suite à donner à l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 28 mars 1867
Sur l'affaire Jacquet. À propos de documents relatifs au procès.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 12 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet : à propos de la venue à Vervins de Lecoq de Boisbaudran avec Jules Favre et de la visite qu'ils pourraient faire au Familistère. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : leur visite au Familistère serait l'occasion de parler des suites de la liquidation. Sur une affaire de déchéance de brevet à porter devant le tribunal de Metz et d'un futur procès en contrefaçon à intenter.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 10 décembre 1866
Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il sera à Paris le lendemain. Il espère pouvoir le voir le surlendemain vers 8h30 du matin ou à un autre heure qu'il lui indiquera en écrivant chez Cantagrel au 2, rue de la Coutellerie à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 1er avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que Jules Favre lui a donné comme lui son acceptation. Il lui demande quelle provision il doit adresser à Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 4 avril [1867]
Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il passera chez lui le lendemain matin pour savoir quand il lui sera possible de rencontrer Jules Favre.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 10 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il lui envoie le deuxième volume du Traité des arts céramiques de Brongniart demandé par Jules Favre, dans lequel Godin a repéré les passages relatifs aux vernis plombeux et plombifères des poteries communes. Dans le post-scriptum, il indique qu'il prévient Oudin-Leclère de l'arrivée de Lecoq de Boisbaudran à Laon la veille des plaidoiries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 23 avril 1867
Godin informe Lecoq de Boisbaudran que son fils Émile reprendra dans quelques jours la malle qui lui a été adressée par erreur. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Il l'avertit qu'il va lui envoyer les pièces du dossier qu'il vient de perdre à Charleville-Mézières et les lettres de son avoué et de son avocat qui l'enjoignent à interjeter appel. Il prie Lecoq de Boisbaudran de voir si Jules Favre voudrait se charger de l'affaire dans la mesure où il va déjà plaider contre Jacquet. Il lui indique qu'on lui avait conseillé Boulange du barreau de Metz, qu'il va entamer un nouveau procès en contrefaçon au tribunal de Charleville, dont l'appel pourrait être jugé à Metz, et qu'il faut estimer l'influence qu'une affaire pourrait avoir sur l'autre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 8 mai 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos du brevet de Corneau frères pour un calorifère : Godin fait l'historique de son enquête sur ce brevet dont l'irrégularité semble être la cause de l'accusation de contrefaçon portée à son encontre. Il suggère à Lecoq de Boisbaudran que la nullité du certificat d'addition du 20 mars 1861 est un argument à mettre en avant. Il lui demande si l'agent en brevets recommandé par Jules Favre n'est pas Armengaud qui lui a donné autrefois les mauvais renseignements qui ont conduit au procès. Godin confirme sa volonté d'interjeter appel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran que Jacquet ne se presse pas pour lui remettre, conformément au jugement, les objets qu'il lui a livrés : les uns sont à l'Exposition universelle, il en a vendu d'autres et il s'en trouve à Soissons et Reims qu'il ne peut faire venir à Paris ; Jacquet réclame les 10 000 F de dommages et intérêts qui lui sont dus mais semble vouloir garder l'argent de la vente des appareils qu'il a réalisée. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin indique qu'il ne connaît aucun avoué à Metz mais son avocat de Charleville a recommandé Charles René Noizet. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si Jules Favre ne s'oppose pas à ce choix.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, vers le 24 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin communique à Lecoq de Boisbaudran l'état des appareils que Jacquet doit lui remettre. Sur l'appel du jugement par Jacquet. Godin pense qu'il n'a plus de motif de faire appel puisqu'il a offert de lui verser 10 000 F à mesure qu'il remettra les objets qui lui ont été livrés, mais qu'il se trouve peut-être gêné pour lui remettre les objets et qu'il est peut-être balloté par ses hommes d'affaires. Godin suggère à Lecoq de Boisbaudran que Vuillamy, qui désire se mettre en voyage, ne sera plus utile à Paris si Jacquet se refuse à remettre les appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 22 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que Vuillamy fera verser le lendemain à la Caisse des dépôts par la banque Béchet, Dethomas et Cie la somme de 10 000 F. Il lui demande de lui communiquer la formule nécessaire au dépôt. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères : Godin demande à Lecoq de Boisbaudran de répondre à sa dernière lettre sur la question d'un appel devant la cour de Metz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 29 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin avertit Lecoq de Boisbaudran qu'il adresse à Guillemont la signification envoyée par Jacquet et que la somme de 10 000 F sera remise à l'avoué le lendemain.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 19 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'en raison de l'indisponibilité de Jules Favre retenu au Corps législatif, il va devoir demander à Emmanuel Arago d'être son avocat dans l'affaire devant la cour de Metz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 2 mai 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin s'étonne de ne pas avoir de nouvelles du mémoire. Il transmet l'avis de Delpech à Jules Favre sur la tenue de l'audience le 25 mai à Amiens.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 5 mai 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur les chiffres de la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin souhaite que son travail et ses bénéfices soient considérés comme lui appartenant. Sur le matériel, les modèles et les brevets : ils ne doivent pas être compris dans la licitation de l'usine. Godin recommande de ne pas aborder la question dans le mémoire. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il ne peut pas se rendre immédiatement à Paris car il souffre d'irritation et d'inflammation à cause d'un remède mal appliqué.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 6 mai 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin confirme à Lecoq de Boisbaudran sa dépêche lui annonçant son impossibilité de se rendre à Paris pour achever avec lui le mémoire à imprimer. Sur la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 14 mai 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il se trouvera à Paris lundi et mardi et il lui demande quand il pourra voir Jules Favre. Le post-scriptum est relatif à la réaction de Gauchet après la lecture du mémoire dans lequel il est dit qu'il a communiqué hors de son étude à Esther Lemaire les livres de comptabilité, et à la difficulté qu'il éprouve à communiquer à celle-ci son inventaire.

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