FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Eugénie Louis que la famille Moret-Dallet est bien arrivée à Nîmes, ainsi que les malles et caisses, qu'Émilie Dallet a envoyé un télégramme à Flore Moret en arrivant à la gare de Nîmes, que l'emménagement est en cours avec l'aide d'Auguste Fabre au moment où elle lui écrit. Elle demande à Eugénie Louis de lire sa lettre à madame Roger pour la distraire. Elle décrit le voyage à Nîmes : le temps était mauvais quand elles sont arrivées à Paris ; elles ont vu Jules Pascaly à la gare du Nord avant de partir pour le Midi à 8 h 00 du soir ; elles ont été réveillées plus d'une fois lors des entrées en gare ; à 5 h 30 du matin, elle a pensé à Eugénie Louis déjà active et aux ouvriers du Familistère allant se rendre à l'usine ; elle décrit le paysage à l'aube ; ne pouvant dormir, elle a ouvert le sac à provisions, dont elle a tiré le chocolat préparé par Eugénie Louis et mangé une poire donnée par Césaire Louis ; Émilie Dallet à son tour a pris une provision et à Valence, Marie-Jeanne a bu du chocolat chaud, mais pas fameux selon elle ; Auguste Fabre les attendait à la gare de Nîmes et Sophie Quet à la maison. Elle indique à Eugénie Louis que le temps est mi ensoleillé, mi brumeux, qu'il fait trop doux pour allumer le feu, que sa main est fatiguée par le voyage et le déballage des affaires, et que la famille ira porter la lettre à la poste pour marcher un peu. Dans le post-scriptum, elle demande à Eugénie Louis de transmettre son souvenir à Henri et Victoire Buridant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret explique à Eugénie Louis qu'en plein travail, elle n'a pas répondu plus tôt à son mot du 19 novembre 1900, mais savait qu'Émilie Dallet lui avait écrit. Elle lui demande de rappeler « au magasin » la commande d'une guimpe en lainage fourré qu'elle avait passée avant son départ. Elle lui indique qu'elle écrit à Henri Buridant. Dans le post-scriptum, elle lui demande de saluer madame Roger.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prie monsieur Houdin de communiquer à Henri Buridant le « Mouvement des assurances » et l'« État-civil » du mois d'octobre 1900.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Guillaumin et Cie pour leur carte du 18 décembre 1900. Elle leur demande s'ils connaissent un membre du Congrès international de physique possédant les Procès-verbaux sommaires du Congrès disposé à les céder. Elle serait prête à payer la brochure la moitié de la somme de cotisation au Congrès, soit 10 F. Elle renouvelle son désir de recevoir le quatrième volume des rapports et procès-verbaux du Congrès international de physique. Elle commande pour Marie Buridant La sœur Thérèse de Perrault, volume illustré et relié paru chez Hetzel à expédier à Henri Buridant. Elle demande à Guillaumin et Cie si son crédit chez eux est épuisé ou non avec l'achat des volumes du Congrès international de physique.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe son correspondant qu'elle charge Henri Buridant de lui remettre la lettre qu'elle écrit. Elle lui indique que Buridant a confirmé que tout ce que présentait le devis d'E. Colin d'un montant de 540 F pour la réparation du landau était utile, et précise que le devis comprend le nettoyage de la couverture du landau. Elle lui indique qu'elle souhaite que les couleurs de la carrosserie du landau soient inchangées et que les trois chiffres de l'écusson soient exactement reproduits. Elle demande à E. Colin de lui dire quand il compte avoir fait le travail, que contrôlera Henri Buridant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Eugénie Louis de lui avoir envoyé quatre superbes poires, probablement cueillies par Césaire Louis à Lesquielles ; elle lui signale que les fruits, arrivés le 7 février, ont gelé pendant le transport et lui indique qu'il est préférable de les manger à Guise à leur santé. Elle écrit qu'elle est absorbée par son « vrai travail », notamment par la lecture des volumes [du Congrès international de physique] qu'elle attendait impatiemment à Guise. Elle évoque le travail de classement des collections du journal Le Devoir que doit réaliser Eugénie Louis. Elle l'informe qu'elle écrit à Henri Buridant au sujet du landau à réparer. Elle espère que sa santé est bonne malgré le froid, demande des nouvelles de mesdames Roger et Allart, et leur transmet son meilleur souvenir et celui d'Auguste Fabre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Eugénie Louis pour sa lettre du 12 février 1901. Elle l'informe qu'elle a délaissé son « vrai travail » pour écrire aux bibliothèques de France et de l'étranger et leur envoyer les ouvrages qu'elle avait apportés à Nîmes. Elle donne des nouvelles météorologiques : il ne fait pas chaud même si le soleil brûle et le mistral souffle. Sur le classement des collections du Devoir par Eugénie Louis, en attente du beau temps. Sur des travaux domestiques à faire dans l'appartement de Marie Moret au Familistère : les rideaux du lit de Marie Moret à confier à monsieur Hanquet, le sommier du lit, les cordons de tirage à remplacer dans le salon et le cabinet de travail, un rideau du salon. Marie Moret imagine madame Louis et les ouvriers montant à l'usine du Familistère dans la lumière du matin. Elle lui demande de donner des nouvelles d'elle à madame Roger, et signale qu'Auguste Fabre et que Juliette et Antoine Médéric Cros, qui étaient à Nîmes pendant les vacances de Pâques, lui présentent ainsi qu'à madame Roger leur meilleur souvenir. Elle l'informe qu'elle a écrit la veille à Henri Buridant et qu'elle ne reprendra son « vrai travail » qu'à son retour au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Eugénie Louis qu'elle écrit à Henri Buridant à propos du chocolat, dont il a été question dans une lettre d'Eugénie du 24 avril 1901 ; elle demande à Eugénie Louis de prier Buridant de s'approvisionner en chocolat de la Compagnie coloniale. Elle lui demande de lui faire savoir ce qu'elle lui doit, à elle ou à son aide si elle y a eu recours, pour les travaux qu'elle a faits. Elle lui communique les remerciements d'Émilie Dallet pour les informations la concernant. Elle transmet son souvenir à madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Eugénie Louis son retour au Familistère à la fin du mois de mai et lui demande de s'assurer qu'elle y disposera d'encre ordinaire, d'encre à copier et de colle.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Eugénie Louis que la famille Moret-Dallet quittera Nîmes le jeudi 30 mai 1901 pour arriver à Guise le vendredi 31 mai à 4 h 15 de l'après-midi. Elle lui indique qu'elle écrira à monsieur Marchand et qu'elle écrit à Henri Buridant pour qu'il lui remette les fonds dont elle aura besoin. Elle l'informe qu'elle a demandé à Flore Moret de dîner chez elle le soir de son arrivée. Elle évoque les caisses et colis expédiés à l'adresse de Buridant , et transmet ses pensées à madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret espère que la santé de son correspondant s'est rétablie et qu'il pourra effectuer les travaux dans le jardin [de sa propriété de Lesquielles] avant les gelées : planter l'if dont Henri Buridant peut avancer les frais, abattre l'orme, déplacer les rejetons d'acacias épineux dans la haie en face de la maison Lamartine, élaguer ou entrecroiser les branches des haies pour protéger les clôtures. Elle l'invite à prévenir Émile Venet lorsqu'il souhaitera être payé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret rappelle à Guillaumin et Cie qu'ils doivent envoyer à Nîmes l'ouvrage Les vierges fortes dès qu'il sera paru. À la place de La justice des choses, épuisé, elle passe commande du livre Histoire d'un âne et de deux jeunes filles de P. J. Stahl, à adresser à Marie Buridant au Familistère de Guise.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret transmet à la famille Ducruet les remerciements de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre pour leurs vœux de bonheur à l'occasion de la nouvelle année et leur adresse les leurs en retour. Santé et travail vont bien à Nîmes et au Familistère bien que Louis-Victor Colin vienne de perdre son père. Elle complimente Henri Buridant dont sa correspondante a peut-être des nouvelles et qui occupe en son absence l'ancienne chambre du couple Ducruet au Familistère près de la sienne. Marie Moret compatit aux deuils de la famille Ducruet et présente son souvenir à ses membres.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret souhaite rémunérer monsieur Houdin à hauteur de 0,50 F pour chaque article « Mouvement des assurances » et « État-Civil » qui paraissent dans Le Devoir. Elle informe son correspondant qu'elle charge Henri Buridant de lui remettre 4 F pour les articles parus depuis janvier 1900 et le prévient que le numéro de mars 1900 comprendra deux « État-Civil ». Elle prie son correspondant de remettre au plus vite à Henri Buridant l'« État-Civil » d'avril 1900 car le numéro est déjà en composition ainsi que le « Mouvement des assurances » de janvier 1900, non paru en raison d'un retard dans les écritures.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Eugénie Louis pour sa lettre datée du 9 février 1900 et la prévient du prochain retour de la famille Moret-Dallet au Familistère : elle confie aux bons soins de sa correspondante la préparation de leurs appartements et la prie de lui signaler toute observation qu'elle aurait à faire à ce propos. Elle signale qu'elle va répondre à une lettre de Buridant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret prévient Eugénie Louis de son retour et celui d'Émilie Dallet au Familistère samedi 26 mai 1900, par le train de 4 h 15 de l'après-midi. Elle l'informe qu'elle va écrire à Henri Buridant pour lui demander de lui avancer si besoin les frais nécessaires à la préparation de leur appartement, qu'elle confie à ses bons soins. Flore Moret est invitée à partager leur repas à leur arrivée mais elles ne seront que trois car Marie-Jeanne restera à Paris dans leur famille pour visiter l'Exposition universelle. Elle prévient sa correspondante de l'arrivée de colis et de malles au nom de Buridant. Marie Moret et Émilie Dallet se réjouissent de revoir bientôt Eugénie Louis et Marie-Jeanne Dallet lui transmet son cordial souvenir. Toute la famille et Auguste Fabre lui envoient, ainsi qu'à mesdames Roger et Allart, leurs meilleures pensées.
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