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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 31 octobre 1847
Godin répond à une demande de précisions sur les connaissances théoriques nécessaires et les appointements liés à l'emploi de direction industrielle que Godin cherche à pourvoir parue dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique du 28 octobre 1847. Il fait un rapide historique de sa manufacture, et précise qu'une condition indispensable du succès est qu'il puisse se consacrer à la création de nouveaux modèles mais qu'il est absorbé par les questions commerciales, surtout depuis le départ de son frère. Il explique ce qu'il attend du candidat au poste de direction industrielle et indique le montant des appointements auxquels il pourrait prétendre. Godin assure que le service que lui rend La Démocratie pacifique bénéfice également à la cause phalanstérienne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Villette-Berlancourt, 19 juin 1847
Godin demande à Villette-Berlancourt confirmation de la commande passée à son frère de poêles à tampons sans anses, à la différence de la commande de l'année précédente, et lui précise les modalités de paiement de la commande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bladier, 19 juin 1847
À la demande de son frère Barthélémy, Godin écrit à Bladier au sujet d'une commande de poêles d'un montant de 1 560 F pour l'assurer que ce montant sera révisé en février 1848 en cas de baisse du prix des marchandises Godin-Lemaire. Godin demande à Bladier quel moyen de transport des marchandises il compte utiliser.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rivière, 19 juin 1847
Godin écrit à Rivière au sujet de la commande passée à Barthélémy Godin de huit cuisinières et d'un poêle d'un montant de 739 F : il lui garantit une révision du montant de la commande en février 1848 si le prix des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire venait à baisser. Il informe Rivière qu'à réception de sa réponse, il chargera un voiturier pour un transport des marchandises au prix de 3 F les 100 kg, et qu'il tiendra compte de la remise promise sur cette commande par son frère Barthélémy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Decroix, 1er juillet 1847
Godin informe Decroix que les marchandises qu'il a commandées par l'intermédiaire de son frère Barthélémy ont été déposées au rivage de Macaigne à Bohéries, près de l'écluse n° 1 ; Godin peut lui expédier à La Fère par bateau s'il en fait la demande ; il lui adresse la facture d'un montant de 1 042 F et lui promet de réviser la somme en février 1848 dans le cas où le prix des marchandises baisserait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rivière, 6 juillet 1847
Sur une commande faite auprès de Barthélémy Godin : Godin répond à la lettre de Rivière du 3 juillet en lui rappelant les termes de la commande (8 cuisinières et un poêle elliptique au prix de 739 F) et en lui indiquant qu'il considérerait sa commande comme non avenue s'il voulait modifier les conditions de la vente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à madame veuve François, 20 juillet 1847
À la suite de la visite de Barthélémy Godin à madame veuve François, Godin lui présente les conditions de vente avec remises sur le prix des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire valables jusqu'au mois de septembre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Évrard-Latron, 25 août 1847
Godin envoie à Évrard-Latron une facture de 89 F correspondant à l'expédition d'une cuisinière commandée par ce dernier au frère de Godin de passage à Soissons ; il lui demande pourquoi il n'a pas demandé de foyer au bois, dont on se sert pourtant à Soissons, et lui précise que les pieds des cuisinières et leurs vis sont joints à l'emballage des appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hommais, 16 septembre 1847
Godin envoie une facture de 221 F correspondant à l'expédition de marchandises commandées par l'intermédiaire de son frère de passage au Havre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 6 et 7 octobre 1847
Godin rappelle à son correspondant que son frère Barthélémy Godin lui avait laissé à l'occasion d'un voyage le tarif et les lithographies des produits de la manufacture. Godin lui propose de commander des échantillons de ses produits et l'assure qu'il ne pourra que se féliciter d'en assurer la vente en raison de leur supériorité sur tout ce qui a été fait dans le genre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 31 octobre 1847
Godin répond à une demande, parue dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique du 28 octobre 1847, de précisions sur les connaissances théoriques nécessaires et les appointements liés à l'emploi de direction industrielle que Godin cherche à pourvoir. Il fait un rapide historique de sa manufacture, et précise qu'une condition indispensable du succès est qu'il puisse se consacrer à la création de nouveaux modèles mais qu'il est absorbé par les questions commerciales, surtout depuis le départ de son frère. Il explique ce qu'il attend du candidat au poste de direction industrielle et indique le montant des appointements auxquels il pourrait prétendre. Godin assure que le service que lui rend La Démocratie pacifique bénéfice également à la cause phalanstérienne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 18 avril 1848
Godin accuse réception de diverses valeurs, dont une somme en espèces remise par le frère de Godin, pour un montant total de 1 772,62 F, soldant le compte de Bertrand.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Guillon, 21 mars 1856
À propos des modèles de la fonderie de Barthélémy Godin. Amédée Guillon a écrit à Godin que monsieur Colas souhaite acquérir des modèles ou des appareils de la fonderie de Barthélémy Godin, et il lui a demandé si des difficultés pouvaient apparaître sur le plan de la propriété intellectuelle des modèles : « Il n'est pas vrai qu'aucune contestation judiciaire eut jamais existé entre mon frère et moi sur la propriété de ses modèles. Il y a longtemps que j'ai pris la résolution de ne me défendre contre le pillage que par mes ressources industrielles. Ce n'est donc pas par mon frère que je recommencerais. Le plus grand nombre de ses modèles est de sa création. Quelques-uns sont la reproduction des miens. » Il indique à Guillon qu'il ne fera pas de difficulté à Colas, mais suggère que celui-ci n'acquiert pas des modèles qui ne seraient que la reproduction des siens. Godin exprime son désir de faire la connaissance de Colas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 février 1865
Godin répond à la lettre de Brullé du 28 janvier 1865, en lui écrivant qu'il n'a pas d'emploi de voyageur de commerce disponible en ce moment. Il lui explique qu'il a repris le personnel de l'usine de son frère, en particulier ses voyageurs. Godin pense que Brullé ne pourrait âtre attaché à ses affaires qu'en qualité de voyageur de commerce. Il l'encourage à trouver une place de voyageur pour une maison de Paris grâce à ses connaissances en horlogerie ou dans les métaux. Il transmet ses amitiés à madame Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 juin 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il abandonne l'affaire de l'octroi suivant la recommandation de ce dernier pour éviter d'être accusé d'outrage au maire de Guise. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il a choisi Borgnon pour notaire ; il lui communique une lettre du secrétaire de Jules Favre. Sur Alexandre Barthélémy Godin : Godin a reçu une lettre de monsieur Cagnart ; il juge que « c'est une assez triste idée de chicane qui est passée par la tête de mon frère en échange des services que j'ai cherché à lui rendre » ; Godin a écrit à son frère pour qu'il lui restitue des pièces comptables dérobées ; le litige porte sur le montant du rachat par Godin à son frère de matières premières ou de produits manufacturés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 30 juillet 1865
Sur le conflit avec son frère Alexandre Barthélémy Godin. Godin lui remet une assignation et il fait à Oudin-Leclère l'historique de ses relations avec son frère : il n'a pas réussi à associer son frère à l'établissement industriel de Guise ; celui-ci s'est installé à Étreux et s'est mis à contrefaire ses modèles et à imiter sa fabrication ; Godin laissa faire mais interrompit ses relations avec lui ; son frère, dont la fonderie était proche de la faillite, lui a écrit en début d'année pour lui demander de l'aide : « Vous lirez cette correspondance qui vous fera connaître les faits. » ; Godin consentit à lui reprendre son matériel pour l'aider et éviter que les contrefaçons tombent en d'autres mains et ainsi prévenir d'autres procès ; Godin et son frère établirent un contrat ; Godin versa 26 000 F à son frère, lui racheta même sa matière première pour 7 924 F et à écouler pour lui ses marchandises non écoulées pour un montant de 2 749,05 F. Godin juge que le procès intenté par son frère, qui voudrait être payé pour ses marchandises avant leur vente, est ridicule ; il signale à Oudin-Leclère que son frère a omis de produire une lettre écrite par lui qui se trouve en contradiction avec ses prétentions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 23 mai 1866
Sur des frais d'expertise : Godin fait référence à la convention établie avec son frère Barthélémy Godin pour la cession de l'établissement de ce dernier et au procès que Barthélémy lui a intenté. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos d'un jugement non favorable à Esther Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 20 novembre 1866
« Le diable se déchaîne contre moi » : Godin recense ses démêlés avec Jacquet, avec sa femme qui fait appel d'un jugement qu'il croyait définitif, avec Corneau frères, avec son « triste frère », et avec le maire de Guise qui s'oppose à son projet de locomotive terrestre. Il lui remet la lettre destinée à la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, mais ne se fait pas d'illusions sur l'effet de sa lettre. Il lui annonce que son exposition industrielle à l'Exposition universelle de 1867 est toujours en attente : Le Play lui a écrit au sujet de sa demande pour le nouvel ordre de récompenses mais ne lui a rien dit au sujet de ses produits. Il lui envoie une brochure dont il vient de recevoir plusieurs exemplaires.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 28 juillet 1869
Godin rappelle à Larue qu'en allant le voir au sujet de la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique, Grebel lui a parlé d'une affaire à terminer avec son frère Godin d'Étreux. Godin explique à Larue qu'il avait confié au notaire Flamant père le dossier qui contenait des preuves graves contre son frère et qui permettait de conclure que son frère lui devait 300 F au terme de la liquidation, mais que Flamant fils a restitué la totalité du dossier à Barthélémy Godin. Godin demande à Larue s'il peut se charger de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 25 août 1869
Godin résume les derniers épisodes du règlement du litige qui l'oppose à son frère : le règlement du litige avait été décidé par des arbitres nommés par le tribunal de Vervins ; Godin a versé à son frère une somme excédentaire de 285,90 F que celui-ci ne veut pas rembourser ; Barthélémy Godin s'est emparé des titres attestant leur convention et il a pris les pièces du dossier confié à monsieur Flamant justifiant leurs comptes. Godin demande à Larue de mettre un terme à l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 14 octobre 1869
Sur le litige avec Barthélémy Godin. Godin récapitule les faits : Barthélémy Godin s'est saisi des preuves des conventions passées avec lui sur la reprise de son fonds d'industrie ; pour éviter le scandale, Godin a demandé un arbitrage et a suivi sa décision, mais Barthélémy Godin a reçu un trop perçu qu'il refuse de rembourser ; Barthélémy a enlevé auprès du notaire Flamant le dossier des pièces justificatives des paiements, que Godin lui avait confié. Godin n'est pas d'accord avec Larue qui voudrait renvoyer l'affaire à un nouvel arbitrage ; il veut que Larue trouve le moyen de pousser le « délinquant » dans ses retranchements. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos des arrêts de la cour d'Orléans du 12 juin 1869 et de la cour de Paris du 28 août 1837 sur lesquels Esther Lemaire s'appuie pour réclamer un paiement ; Godin demande à Larue de lui confirmer son avis de résister à la demande d'Esther Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 13 novembre 1869
Sur la succession des parents de Jean-Baptiste et de Barthélémy Godin. Godin remet à Larue une citation de son frère pour conciliation sur le partage de la succession de leurs parents. Godin souhaite terminer rapidement l'affaire mais n'a pas voulu signer une déclaration soumise par son frère qu'il juge contraire à la vérité. Sur le litige avec Barthélémy Godin : Godin informe Larue que le notaire Flamant lui a envoyé la déclaration de l'enlèvement de son dossier par son frère ; il l'avertit qu'il a vu monsieur Delabarre qui accepterait la mission d'arbitre rapporteur et que Denisart se rendra à Vervins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu [monsieur Delabarre ?], 16 novembre 1869
Godin prie son correspondant de le représenter devant la justice de paix du Nouvion. Il déclare qu'il ne s'oppose pas au partage de la succession et désire même qu'il soit accompli rapidement, bien que le demandeur ait voulu lui faire signer une déclaration mensongère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 28 novembre 1869
Sur le litige avec Barthélémy Godin. Godin croit qu'il vaut mieux que son frère signe un double de la convention qu'ils ont passée ensemble plutôt que d'être l'objet d'une plainte comme le conseille Larue ; Godin pense que son frère pourrait difficilement contredire monsieur Flamant qui a déclaré lui avoir remis le dossier contenant l'original de la convention. Il demande à Larue de faire la démarche auprès de l'avoué de son frère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 19 novembre 1869
Sur le litige avec Barthélémy Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 25 mars 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Grebel qu'il sera à Guise le jeudi suivant et que Cresson lui a montré trois énormes mémoires de Boucher qu'il n'a pas lus. Godin discute des arguments de Boucher relatifs à l'antériorité de l'émaillage de la fonte par Rogeat ou par Barthélémy Godin.
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