FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Pascaly, 1er septembre 1892
Envoi d'un chèque de 300 F. Sujets divers : à propos d'une interview de « Uret » ; de conversations avec Dequenne et Doyen ; du retour de Bernardot et d'un prochain article sur la participation dans L’Émancipation ; sur des imprimés et textes du congrès de Berne envoyés par un abonné au Devoir et madame Fischer.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 30 décembre 1892
Nouvelles de la famille de Bernardot. Voeux de nouvelle année à la famille Bernardot et à leurs proches. À propos d'un article court demandé à Bernardot par Édouard de Boyve. Sur le discours prononcé par Bernardot aux funérailles civiles d'un habitant du Familistère, publié dans des journaux quotidiens ou hebdomadaires du département plutôt que dans Le Devoir. Sur la lecture d'épreuves du livre de François Bernardot, Le Familistère de Guise (Guise, 1893) : remerciements pour les renseignements grammaticaux et la promesse d'envoi de la feuille 3e ; émotion à la lecture de la scène du père Alix. La famille de Bernadot enrhumée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 6 août 1887
Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 4 août 1887. Elle lui explique qu'Ugo Rabbeno et de Boyve devraient visiter le Familistère au moment du congrès coopératif de Tours et qu'ils pourraient loger dans deux des trois chambres d'amis du couple Godin, que la troisième chambre lui serait réservée, mais que Holyoake et sa fille seraient alors obligés de loger dans un hôtel de Guise. Elle signale à Neale que le dimanche n'est pas un jour favorable pour la visite du Familistère et de l'usine et qu'en outre l'assemblée générale de la Société du Familistère aura lieu le 25 septembre 1887, jour de l'arrivée des Holyoake.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 19 septembre 1887
Sur la visite de Neale au Familistère. Marie Moret pense que Neale qui se trouve à Tours avec Rabbeno saura avant elle le jour de la venue de ce dernier. Elle informe Neale que de Boyve a écrit qu'il retournera auprès de sa femme malade et n'accompagnera pas Rabbeno au Familistère. Elle suppose que, le congrès de Tours s'achevant le lendemain mardi, Rabbeno viendra au Familistère avant lui et qu'ainsi les chambres d'amis seront libres pour lui et la famille Holyoake. Elle demande à Neale de s'entendre avec Rabbeno sur cette question. Elle propose à Neale, s'il arrive le samedi 24 septembre avec les Holyoake, d'assister le dimanche à l'assemblée générale des associés de l'Association du Familistère et de montrer le lundi aux Holyoake tout ce qui constitue l'Association.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 16 février 1888
Marie Moret accuse réception de la brochure de la traduction en flamand des Pionniers de Rochdale, qui a été reçue le matin suivant la mort de Godin. Elle évoque la rencontre de Godin et d'Anseele. Sur un projet de visite du Familistère par Anseele pendant les deux jours de Pâques : à la différence du Vooruit, qu'il est préférable de visiter le dimanche et les jours fériés, il vaut mieux visiter le Familistère en pleine activité un jour de la semaine. Elle propose à Anseele de lui offrir l'hospitalité au Familistère. Elle remercie le Vooruit d'avoir inscrit le nom de Godin sur un des cartels de sa grande salle « parmi ceux des grands hommes que le peuple vénère ». Elle attire l'attention d'Anseele sur Auguste Fabre, inspirateur du mouvement coopératif de Nîmes qui a pour organe le journal L'Émancipation rédigé par de Boyve.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 17 février 1888
Marie Moret explique à Fabre qu'elle n'a pas répondu à trois lettres d'Édouard de Boyve : celle du 10 janvier 1888 annonçant à Godin qu'il avait rompu ses relations avec Fougerousse ; celle du 16 janvier 1888 présentant ses condoléances à Godin à la suite du décès d'Émile Godin ; celle du 22 janvier 1888 à Marie Moret dans laquelle il évoque son désir de voir le Familistère et rencontrer son fondateur. Marie Moret demande à Fabre d'accompagner de Boyve au Familistère. Elle l'informe qu'elle a écrit à Anseele à son propos et à celui d'Édouard de Boyve et de L'Émancipation. Sur son rôle de gérante de la Société du Familistère : elle lui signale qu'il lira dans Le Devoir qu'elle a délégué une partie de ses pouvoirs de gérante à messieurs André, Dequenne et Pernin ; Fabre et Neale ont les mêmes idées sur son rôle ; sa gérance ne peut être que transitoire ; elle est une gérante fictive ; elle pense que le pacte social et les prescriptions testamentaires constituent un lien suffisamment fort pour maintenir l'œuvre. Elle fait référence à une lettre de Fabre à Émilie Dallet évoquant les photographies de la famille Godin-Moret-Dallet : elle lui explique qu'elle cherche à faire tirer de nouvelles épreuves d'un portrait photographique de Godin exécuté il y a une douzaine d'années, meilleur que le portrait paru dans Le gouvernement... « qui ne m'a jamais plu » ; elle lui enverra ce portrait avec les portraits d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à James Johnston, 30 juin 1895
S'inquiète de l'exactitude de l'adresse d'envoi de sa lettre. Annonce l'envoi la veille de numéros de janvier à juin 1895 du journal Le Devoir. Propose de lui envoyer les ouvrages figurant sur la couverture du Devoir. S'informe sur le retour de James Johnston, de sa famille et de ses compagnon·nes de voyage chez eux [après leur visite au Familistère]. Indique qu'elle a écrit à madame Martyn et à monsieur Snell. Précise que les numéros du Devoir contiennent l'histoire de Robert Owen par Auguste Fabre, ami d'Édouard de Boyve. Elle joint à son envoi le numéro d'avril 1893 du Devoir, qui présente les travaux de James Johnston en faveur des jeunes gens.
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