FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Courtois qu'il n'a pas pu aller voir ses marronniers car sa lettre est arrivée à Paris après son départ. Il lui demande de lui expédier 22 marronniers de 2,5 mètres de hauteur et 7 beaux marronniers plus gros, à expédier de la gare du Nord à la gare de Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Turquet de lui avoir adressé la lettre du ministre des Travaux publics. Il lui demande quel a été le résultat de son entretien avec monsieur Véron-Duverger. Godin juge inutile d'envoyer à ce dernier des renseignements sur la concession à la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes [de la ligne du Cateau à Saint-Erme] car les documents ont été envoyés au gouvernement et qu'il lui en a parlé plusieurs fois lorsqu'il était à l'Assemblée nationale. Godin demande à Turquet de lui envoyer la liste des adresses des députés et sénateurs républicains pour leur envoyer le premier numéro du journal Le Devoir qui paraîtra à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin reproche à Henri de Hulster de ne pas lui fournir des échantillons de sols : le sondage de La Capelle a été abandonné sans qu'il ait pu obtenir un échantillon ; le sondage de Guise a atteint 215 mètres et il n'a pu obtenir qu'un seul échantillon. Godin demande à Henri de Hulster de respecter ses engagements.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime le désir de voir Henri de Hulster à Guise pour parler d'un nouveau sondage à côté de son usine. Sur le sondage de Guise : Maurois a indiqué à Godin qu'il manquait de matériel pour poursuivre le travail ; Godin demande à de Hulster de faire le nécessaire ; Godin s'est rendu sur place et a appris qu'un éboulement s'est produit ; le sondage a atteint 285 m de profondeur. Le fils de Henri de Hulster a accusé réception d'un chèque de 6 000 F envoyé par Godin : Godin lui fait remarquer qu'il a envoyé un chèque de 7 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur sa proposition de lui communiquer le moyen de se procurer un bulletin politique hebdomadaire et le montant de l'abonnement correspondant. Il demande à Levasseur s'il est mesure d'imprimer son journal, même si les relations entre Guise et Laon sont difficiles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le sous-préfet que, retenu à Guise, il ne pourra honorer son invitation du 21 mai, qu'il espère le recevoir à Guise à l'occasion du concours agricole et qu'il le verra le lundi suivant à Laon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Compiègne de lui retourner les épreuves des photographies qu'il lui a envoyées pour les comparer avec d'autres et s'entendre avec lui sur ce qu'il y aura à faire quand il viendra à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin expose au ministre la question de l'implantation de la gare à Guise, commune aux lignes de Saint-Quentin à Guise et du Cateau à Saint-Erme. Le projet initial prévoyait d'implanter la gare près de l'usine du Familistère, projet qu'il avait soutenu en tant que premier maire républicain de Guise. Après sa révocation en 1874, une nouvelle enquête fut provoquée qui aboutit à une autre implantation de la gare, dans la partie basse de la ville, éloignée d'un établissement employant 1 200 personnes ayant le tort d'être républicaines. Le raccordement de la gare existante à la ligne du Cateau à Saint-Erme nécessiterait de traverser toute la ville et de créer 12 passages à niveaux. Godin plaide pour l'implantation initiale de la gare de la ligne du Cateau à Saint-Erme, économe en argent et en distance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin réclame la présence de Henri de Hulster à Guise. Il l'informe que Maurois se déclare impuissant à retirer les tubes du trou de sondage et qu'il manquera ainsi de tubes pour son puits artésien.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Émile Muller a exprimé son désir de visiter le Familistère dans les premiers jours du mois d'août. Godin lui explique qu'il est difficile de faire le voyage en un seul jour ; il lui communique les horaires de train et le prévient qu'il n'est pas possible de visiter l'usine et le Familistère en une demi-journée. Il lui propose de venir la veille et de coucher à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daguet du 28 novembre 1878. Il lui explique que l'administration du Familistère gère les questions de mutualité et d'association et que pour le reste, les familles s'occupent d'elles-mêmes, et aussi que le Familistère n'admet que les familles des ouvriers et employés attachés à l'établissement. Il l'informe que la ville de Guise compte 6 000 habitant·es, qu'elle compte plusieurs établissements industriels mais qu'elle offre moins de possibilités pour un employé que la ville du Mans. Il précise qu'il ne cherche pas de nouveaux employés en ce moment.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gosselet du 1er décembre 1878 qui lui demandait une coupe de son sondage de Guise. Il lui explique qu'il a commencé un nouveau sondage pour approvisionner en eau le Familistère et son usine et qu'il avait retardé sa réponse pour lui donner des renseignements plus précis grâce à celui-ci. Ce nouveau sondage traînant en lenteur, il lui promet une réponse prochaine.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire d'Étréaupont qu'il ne pourra se rendre à la réunion dimanche prochain à Étréaupont relative à la ligne de chemin de fer par la vallée de l'Oise. Godin l'assure qu'il soutient la création de la ligne de chemin de fer par Guise et par Hirson, comme en témoigne la pétition envoyée l'année précédente au ministre des Travaux publics, dont il lui envoie 10 exemplaires. Il lui envoie également 10 exemplaires de la brochure La question des chemins de fer devant le conseil général de l'Aisne. Il explique que la ligne de Guise à Hirson a été classée par le gouvernement, comme celle de Busigny à Hirson ; les deux lignes n'entrent pas en concurrence selon lui ; Il indique qu'il a lui-même soutenu la ligne de Busigny à Hirson ; il lui demande d'encourager les communes de la vallée de l'Oise à soutenir ce tracé. Godin renvoie Violette à la lecture d'une page du Journal officiel du 4 décembre 1878 relative aux chemins de fer dans l'arrondissement. Il indique enfin que la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme, qui passe par Guise et Laon, justifie le tracé par la vallée de l'Oise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin n'est pas opposé à l'installation d'un pharmacien au Familistère, mais il ne connaît pas Vénard et ne peut savoir s'il peut remplir d'autres fonctions comme il l'a proposé. Godin indique à Vénard qu'il existe trois pharmaciens dans la ville de Guise du fait que la région compte 22 000 habitants, et que le Familistère se fournit alternativement chez chacun d'eux. Il ajoute qu'il existe trois médecins à Guise qui viennent tous au Familistère et prescrivent des médicaments.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le chemin de fer de la vallée de l'Oise. Soye a informé Godin que la ligne de la vallée de l'Oise a été classée dans le projet de loi. Godin annonce à Soye qu'il peut convoquer une réunion de la commission formée à Guise sur le sujet, mais que la question à traiter est davantage la ligne de Valenciennes à Laon, dont le projet déposé par Wilson ne dit rien des lieux desservis, que la ligne de la vallée de l'Oise : Valenciennes et Le Cateau sont nommés, mais pas Guise. Il demande à Soye d'en parler à Wilson.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gosselet du 24 mars 1879 en le prévenant qu'il expédie par chemin de fer une caisse d'échantillons de son sondage de Guise. Il précise que ce n'est pas à 224 m mais à 175 m de profondeur que se trouve la nappe d'eau jaillissante, comme en atteste selon lui l'échantillon d'argile coté 178 m.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Courcelles a écrit le 19 février 1879 à Godin pour lui proposer de représenter les Fonderies et manufactures du Familistère en qualité de voyageur de commerce : Godin lui indique qu'il pourrait lui confier l'ouest de la France, mais qu'il doit auparavant le rencontrer et qu'il sera nécessaire qu'il fasse un stage dans l'usine de Guise avant son entrée en fonction. Il lui propose de venir à partir de samedi prochain, après la session du conseil général de l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'étonne que Boutin veuille faire le voyage de Laon à Guise plutôt que lui envoyer par la poste l'objet en question, mais il se dit prêt à lui rembourser ses frais de voyage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le ministre que Louis Quentin Dubois, âgé de 64 ans et habitant à Guise, lui a adressé le 16 février 1878 une demande pour que son fils Louis Dubois, mécanicien à bord du croiseur La Themis affecté au port de Toulon, soit renvoyé dans ses foyers car ce dernier est le seul soutien du vieillard presqu'aveugle et infirme. Il ajoute que Louis Dubois est en permission à Guise depuis 29 jours et demande à bénéficier d'un congé définitif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Elliot, propriétaire de deux pièces de terrain au lieu-dit Le puits Maillet près de Guise, s'il est disposé à les lui vendre ou à les échanger contre d'autres terres pour faciliter l'exploitation de carrières d'extraction utiles à l'usine du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Mathias que le chef de gare de Saint-Quentin l'avait consulté pour l'amélioration du transport des marchandises de l'usine du Familistère de Guise par la Compagnie du chemin de fer du Nord. Godin demande à Mathias un rendez-vous pour en parler avec lui et il sollicite aussi un rendez-vous avec l'ingénieur chargé des études des tracés. Il explique qu'il voudrait obtenir des renseignements sur le tracé définitif dans la ville de Guise de la ligne de Valenciennes à Laon pour pouvoir arrêter le plan des nouvelles constructions qu'il va édifier dans l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pascaly ce qu'il sait en comptabilité. Auguste Fabre l'a informé qu'il avait des compétences en la matière et qu'il touchait actuellement 1 200 à 1 300 F d'appointements par an, ce qui lui semble insuffisant compte tenu de ses charges. Godin souhaite être mieux fixé sur les services que peut rendre Pascaly avant qu'il fasse le voyage de Nîmes à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin voudrait obtenir des références sur Pascaly, mais ne peut s'adresser à son actuel employeur. Il lui demande de lui communiquer le nom d'autres personnes chez lesquelles il a travaillé auparavant. Il lui demande également s'il fait usage de tabac. Il le prie de dire à Auguste Fabre qu'il lui écrira dans quelques jours.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Chapron que la session du conseil général de l'Aisne est terminée et qu'il peut venir à Guise s'entretenir avec lui de la fonction qu'il pourrait remplir à Guise.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Antoine Massoulard que Jean-Baptiste André Godin va répondre le jour même à sa lettre du 16 septembre 1879 et à sa dernière qui est arrivée quelques heures avant leur départ de Guise. Elle lui indique que Picot peut conserver son mobilier quelque temps encore. Elle est heureuse de savoir que Massoulard travaille avec plaisir à la traduction du discours de monsieur Stuart qu'elle lui a demandée. Dans le post-scriptum, elle l'informe qu'elle et Godin ne partiront pas de Paris avant dimanche.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Sadi Carnot qu'une pétition des habitants de Guise au sujet du tracé à travers Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon a été adressée au ministre des Travaux publics et que lui-même s'est rendu à Paris pour essayer sans succès de lui en parler. Le maintien d'un projet considéré à l'origine comme impossible tient selon Godin à deux cause : les intérêts de la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ; l'opposition du parti de la réaction. Il évoque les importants intérêts industriels qu'il a personnellement dans cette affaire, et il demande rendez-vous à Sadi Carnot.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce au préfet que l'état de sa santé ne lui permet pas de se rendre à la réunion à laquelle il est invité. Il lui fait part de l'accord intervenu entre les maires du canton de Guise sur la répartition des secours aux familles. Il l'informe que la ville de Guise a 250 familles à secourir en temps ordinaire mais qu'elle en compte 500 actuellement, et que cette situation existe dans d'autres communes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leblon que ses établissements vont être constitués en association comprenant plus de 1 000 personnes participant aux bénéfices de l'industrie, et que la personne recrutée aura dans ses attributions le contrôle et la surveillance des conseils de l'association. Il ajoute qu'il recherche des hommes au caractère bienveillant. Il demande à Leblon de venir à Guise pour s'entretenir avec lui et il propose de payer ses frais de voyage à hauteur de 30 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Ganault qu'il se rendra à Laon le mardi 3 février et qu'il sera heureux de le voir à la préfecture pour consulter les documents d'enquête et étudier l'avant-projet de l'ingénieur pour la ligne du Cateau à Saint-Erme et le projet définitif, que l'ingénieur en chef lui a permis de consulter. Godin rapporte à Ganault qu'une réunion s'est tenue la veille à Guise en présence du préfet, non pour discuter du tracé à travers la ville de Guise, mais pour obtenir le concours financier des communes ; il lui explique qu'il a été à cette occasion sollicité pour une subvention de 25 000 F, qu'il a indiqué qu'il pourrait verser davantage à la condition que le tracé évitât le malheur public de 5 passages à niveau, que Menche de Loisne fut invité à parler du chemin de fer par le préfet, qu'il a répondu en montrant les avantages du tracé sous le faubourg de Villers, mais que le préfet et Menche de Loisne ont un parti pris. Godin remercie Ganault de lui prêter son concours auprès de la commission d'enquête et auprès du ministre Varroy.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des 3 lettres de Gaston Ganault et le remercie pour son article du journal Le Glaneur. Il fait toutefois observer qu'Hourdequin n'a pas envoyé des exemplaires de celui-ci à tous les conseillers municipaux. Il l'informe que le conseil municipal de Guise a voté la résolution qu'il lui a présentée, que la commune de Lesquielles a délibéré en refusant le tracé de l'ingénieur et les 2 000 F demandés et a voté une subvention de 20 000 F en faveur du tracé de 1873, et que les autres communes s'apprêtent à délibérer dans le même sens. Il lui envoie une carte et un plan et lui indique qu'il fait étudier comparativement par un ingénieur, élève de l'École centrale et auparavant attaché aux études de la compagnie du Nord, les travaux d'art du tracé de l'ingénieur et ceux de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin s'en remet à Ganault pour ce qu'il y a à écrire dans Le Courrier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin rappelle à Ganault son télégramme lui demandant de venir à Guise consulter les documents qui seront produits à l'enquête. Il l'informe que ces documents vont partir le soir même à la mairie de Guise pour être envoyés à la préfecture de l'Aisne et il les décrit : deux protestations, une pétition au ministre, un contre-projet avec plan et profil. Il lui annonce que Turquet arrivera à l'hôtel de ville de Guise le lendemain.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin confie à Ganault que la suite administrative donnée à l'enquête sur le chemin de fer du Cateau à Laon le préoccupe et qu'il craint que le préfet veuille escamoter l'affaire en la présentant en avril au conseil général « avec tout l'art jésuitique possible ». Il affirme qu'il faut aller voir le ministre pour parer les manœuvres du préfet et des bonapartistes. Sur un tracé de la voie de Tupigny aux Coutures par Lesquielles. Godin demande à Ganault d'acquérir pour lui deux volumes des sessions du conseil général d'avril et août 1872 qu'il a égarés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 13 mars 1880. Il voudrait obtenir des nouvelles du rapport de la commission d'enquête, que Ganault avait promis d'aller consulter à Paris. Il l'informe qu'il achève une étude complète du tracé de Wassigny à Guise par Hannapes, Lesquielles et Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin se plaint de l'acharnement administratif contre la ville de Guise et contre lui en particulier à propos de l'implantation de la gare de Guise, question que le préfet entend porter devant le conseil départemental mais aussi auprès de la commission d'enquête du département du Nord. Il demande à Ganault de venir à Guise pour en parler avec lui.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Turquet qu'il devait venir à Sains et lui parler de l'opportunité d'un voyage de lui-même et de Ganault à Paris pour voir le ministre des Travaux publics. Il lui demande de lui donner son avis sur l'opportunité du voyage. Il l'informe que Ganault est prêt à partir jeudi et qu'il lui a demandé une étude sur le raccordement possible entre la ligne de Saint-Quentin et la ligne de l'État passant par Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault qu'il a reçu l'épreuve de son discours au conseil général de l'Aisne qui contient des documents essentiels pour soutenir sa proposition et dont il veut faire une brochure intitulée Observations présentées au conseil général sur le projet de chemin de fer de Wassigny à Guise. Il demande à Ganault de presser Levasseur pour faire le tirage. Il pense qu'il serait utile de remettre la brochure au ministre. Il indique à Ganault que l'étude sur un raccordement de la ligne de Saint-Quentin à Guise avec la ligne de l'État par Les Coutures ne sera pas achevée le jeudi suivant mais qu'il pourra fournir toutes les explications à ce sujet. Il l'informe qu'il a écrit la veille à Turquet, qu'il attend sa réponse et qu'il pense que le voyage devrait être différé pour avoir les exemplaires de son discours du conseil général. Dans le post-scriptum, il indique que l'étude sur le raccordement est achevée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au ministre des Travaux publics une audience pour l'entretenir du chemin de fer de Wassigny à Guise sur la ligne de Valenciennes à Laon. Il l'avertit qu'il viendra avec Gaston Ganault, conseiller général de l'Aisne et ancien député comme lui. Il lui indique qu'il joint à son courrier une brochure montrant que les études d'avant-projet de l'ingénieur en chef des ponts et chaussées compromettent les intérêts de l'État, des communes, de l'industrie et du trafic général. Il lui annonce qu'il lui remettra des plans et des profils rectificatifs de cet avant-projet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin désire avoir une entrevue avec Bourgouin. Il l'invite à venir à Guise et propose de lui rembourser ses frais de voyage à hauteur de 30 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie une somme de 30 F à Cantrel pour lui permettre de faire le voyage à Guise afin d'y séjourner et de faire preuve de ses capacités. Il lui précise qu'il le rémunérera 100 F par mois le temps de son essai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin s'adresse au ministre en qualité de conseiller général de l'Aisne au sujet du tronçon de Guise à Wassigny de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Il joint à sa lettre une lettre de lui et de Delorme, maire de Guise, au Conseil général des ponts et chaussées. Godin conteste l'avant-projet de l'ingénieur Menche de Loisne, et soutient le contre-projet qui comprend la réalisation par l'État de 1 700 m de raccordement de la ligne d'intérêt local au chemin de fer de l'État.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin annonce à Boysset qu'il se rendra le lendemain à Paris pour s'entretenir avec Sarrien, député de Saône-et-Loire et rapporteur de la question du chemin de fer de Valenciennes à Laon passant par Guise pour la commission des chemins de fer de la Chambre des députés. Il indique à Boysset que le projet de tracé va à l'encontre de l'intérêt général. Il demande son aide auprès de Sarrien qu'il ne connaît pas et l'informe qu'il se trouvera au Grand hôtel de la place du Palais-Royal en espérant qu'il lui fixera un rendez-vous.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin avertit Latrade qu'il ne faut pas confondre le contre-projet [au projet de l'administration des ponts et chaussées] établi à la hâte pour les besoins de l'enquête publique en mars 1880 et le contre-projet remis au ministre des Travaux publics en mai 1880. Il réfute certaines objections de l'administration des ponts et chaussées et des personnes ayant déposé pendant l'enquête publique à l'encontre du contre-projet, et il pointe les difficultés du projet de l'administration. Sur l'accès à la gare projetée dans le contre-projet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin communique à Edmond Turquet une longue lettre qui pourrait être utile dans la bataille du chemin de fer de Guise à Wassigny. Il accuse réception du pli relatif à une bourse accordée au fils de madame Streiff dans lequel il s'attendait à trouver une indication sur le jour de sa venue à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin informe Turquet qu'il a écrit au ministre des Travaux publics, au président de la commission des chemins de fer [de la Chambre des députés], au rapporteur de la commission et à Crozet-Fourneyron. Il fait un résumé de cette correspondance qui soutient le contre-projet de la ligne de chemin de fer de Guise à Wassigny et son passage à Guise contre le projet de l'administration des ponts et chaussées.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin annonce à Sarrien qu'il envoie à Paris l'ingénieur Leblon, pour savoir où en est l'affaire de la ligne du Cateau à Guise. Il lui demande à être entendu par la commission de la Chambre des députés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la délégation cantonale : Godin conteste les griefs de négligence de la part de membres de la délégation cantonale à son encontre ; chacun d'eux sait parfaitement, selon lui les communes qui lui sont assignées ; il communique au sous-préfet la liste des délégués et des communes auxquelles ils sont assignés (copiée folio 384v).

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin explique au maire de Guise que la déclaration d'utilité publique du chemin de fer de l'État du Cateau à Laon doit donner lieu à une enquête sur la situation des gares et stations de la ligne, et que la ville de Guise aura à se prononcer sur l'implantation de la gare aux Coutures ou à l'emplacement de la gare actuelle de la ligne de Saint-Quentin à Guise. Au nom du conseil de gérance de la Société du Familistère de Guise, Godin s'engage à verser à la ville de Guise la somme de 100 000 F pour la création d'une avenue prolongeant le boulevard d'Enfer débouchant sur la gare établie dans le quartier des Coutures.

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