FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 25 bouteilles d'eau de Spa du Pouhon du Prince de Condé, à expédier à la gare de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du tarif de la Compagnie accompagnant la lettre de Mariolle-Pinguet du 12 avril 1877. Godin accepte les conditions du tarif et signale que des employés de la manufacture ont déjà chargé des wagons à la gare de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin a envoyé à Crozet-Fourneyron un état des marchandises expédiées par la Société du Familistère à la gare de Guise, qu'il le prie de transmettre à Sarrien. Godin explique que la manufacture du Familistère expédie par la gare de Guise 26 fois plus de marchandises que la manufacture Chenest et Cie et 3 fois plus que la ville et la totalité des établissements de Guise, y compris Chenest et Cie ; il en conclut que le tracé de Wassigny par Hannapes serait plus avantageux pour le trafic général et en particulier pour son établissement qui occupe 1 300 personnes, loge 400 familles et met en mouvement 185 chevaux-vapeur. Godin fait part à Sarrien des observations qu'il a faites à Latrade sur la hauteur des tranchées du projet de l'administration des ponts et chaussées et du contre-projet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Crozet-Fourneyron les relevés de transport de marchandises à la gare de Guise qui font apparaître que la Société du Familistère envoie 3 fois plus de marchandises que tout le reste du pays et 27 fois plus que la maison Chenest et Cie. Il précise qu'il en va de même pour l'arrivage des matières premières. Il précise que la force vapeur de l'usine de Guise est de 123 chevaux-vapeur et bientôt de 185 chevaux-vapeur, qu'elle emploie 1 300 personnes et que 400 familles sont logées au Familistère. Il proteste contre le projet qui détourne la ligne de son établissement et souhaite que la commission, dont Crozet-Fourneyron fait partie, sauvegarde les intérêts de l'industrie et des populations.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin informe Turquet qu'il a écrit au ministre des Travaux publics, au président de la commission des chemins de fer [de la Chambre des députés], au rapporteur de la commission et à Crozet-Fourneyron. Il fait un résumé de cette correspondance qui soutient le contre-projet de la ligne de chemin de fer de Guise à Wassigny et son passage à Guise contre le projet de l'administration des ponts et chaussées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin adresse à Sarrien le relevé des transports de marchandise en gare de Guise. Il demande à Sarrien de lui permettre de réfuter auprès de la commission des chemins de fer de la Chambre des députés les arguments erronés avancés par le préfet de l'Aisne et l'ingénieur en chef des ponts et chaussées de l'Aisne qui se trouvent depuis plusieurs jours à Paris.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret suppose qu'Eugénie Louis a dit à Henri Buridant que la famille Moret-Dallet est bien arrivée à Nîmes. Elle informe celui-ci qu'un employé de la gare de Guise lui a réclamé 0,25 F pour un envoi de livres en Norvège, et qu'elle lui a dit que c'est à lui qu'il devait s'adresser. Elle l'informe également que le voiturier monsieur Marchand lui a dit qu'il fallait repeindre le landau, qu'elle lui a demandé qu'un monsieur Lesage fasse l'évaluation du prix de la peinture et de communiquer ce prix à Buridant. Elle lui demande de lui envoyer des exemplaires du numéro de novembre du journal Le Devoir dès leur réception. Elle l'informe qu'elle a prié Césaire Louis de demander à monsieur Houdin de communiquer à Buridant l'« État civil » et le « Mouvement des assurances » du mois de septembre 1900. Elle lui demande le numéro du logement de monsieur Vaudois, et des nouvelles de la santé de monsieur Henquet. Elle espère que tout se passe bien au Familistère, accuse réception de ses envois et transmet son souvenir aux personnes du Familistère, dont madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe monsieur Marchand qu'elle arrivera à la gare de Guise le 31 mai à 4 h 15 de l'après-midi. Elle demande qu'il mette à sa disposition un omnibus et un camion pour le transport des malles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Buridant que des caisses et colis de livres, manuscrits et vêtements, ainsi qu'une caisse « appareil peinture et gymnastique », sont expédiés le matin même à son adresse, et qu'elles pourraient être livrées avant l'arrivée à la gare de Guise de la famille Moret-Dallet le vendredi à 4 h 15 de l'après-midi.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret donne des nouvelles d'Auguste Fabre, parti de Guise pour Paris chez Jules Pascaly le 21 septembre 1901, qui avait bien reçu avant son départ la lettre d'Antoine Médéric Cros l'informant de son retour à Castelsarrasin. Elle remercie Cros pour la phrase cordiale que la lettre contenait au sujet de son travail. Elle remercie également Antoine Médéric et Juliette Cros pour l'envoi de 26 pêches soigneusement emballées. Elle l'informe que la situation de madame Pascaly s'aggrave. Elle évoque son travail sur les liens entre l'idéal philosophique et social de Godin et la science contemporaine, son étude de Lord Kelvin et de Kant, et le bénéfice des conversations à ce sujet avec Auguste Fabre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Venant d'apprendre par une lettre de Guillaumin et Cie que l'ouvrage La justice des choses est épuisé, Marie Moret propose trois autres ouvrages à offrir à Marie Buridant dont deux de Stahl « couronnés par l'Académie Française. » Elle prie Henri Buridant de mettre la circulaire du Musée social en réserve à Guise car Auguste Fabre l'a aussi reçue et lui demande des nouvelles de la voie ferrée reliant l'usine à la gare de Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à monsieur Marchand de tenir à disposition un omnibus en gare de Guise le 26 mai 1900 à 4 h 15 pour transporter la famille Moret-Dallet au Familistère, ainsi qu'un camion et deux hommes pour le transport des malles.
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