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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1845
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent : monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier la théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 12 janvier 1846
Godin demande que monsieur Gosse de Prisches (Nord), nouveau sympathisant phalanstérien, soit inscrit dans la série du dévouement au nombre des actionnaires de La Démocratie pacifique pour la somme de 100 F ; il demande à ce que le titre soit envoyé chez lui et non à Prisches ou chez Doloi à Saint-Quentin. Sur la rente de l'École sociétaire : Godin et Lhermitte versent deux cents francs ; encouragements de Godin. Godin envoie 9 F pour deux abonnements au numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique aux noms de Pierre Vaudois à Prisches par Landrecies (Nord) et de Salandre-Dessons à Sains-Richaumont par Guise (Aisne). Sur le titre de monsieur Moricourt-Viéville.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélémy Godin, 14 août 1847
Godin envoie à son frère 50 F et lui communique le tarif approximatif des transports de marchandises à destination de plusieurs villes. Il l'informe que l'expertise [dans l'affaire de contrefaçon Degon] a eu lieu la veille, mais que le procès-verbal des experts n'est pas encore connu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 4 septembre 1848
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : à la suite du renvoi par les Hauts-fourneaux du Nord d'effets impayés, Godin solde son compte en leur adressant un mandat de 687,90 F à percevoir à Reims au 15 septembre 1848 ; il commande un bateau de fonte de première qualité qu'il propose de payer comptant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Deloffre-Bertaux, 16 [octobre 1849]
Godin remet à Deloffre-Bertaux la facture des marchandises livrées le jour même et accuse réception de paiements en effets et en espèces remis par le voiturier de Deloffre, d'une valeur globale de 400 F. Il lui signale que l'effet sur Landrecies présente une surcharge qui en élève le montant à 46 F au lieu de 40 F. Il lui demande s'il peut lui réclamer le règlement du solde de sa facture.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Froment, 26 octobre 1843
Sur la créance due par Jean Martroux : Godin en attente d'un courrier de Froment qu'il n'a pu voir lorsqu'il est venu le voir à Landrecies.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre [1845]
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent ; monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier le théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 janvier 1871
Godin informe Émile que Guise vit dans l'inquiétude de l'arrivée de l'ennemi, que 750 Prussiens se trouvaient à Origny la veille pour venir à Guise, mais qu'ils ont été détournés par un contre-ordre sur la route de Bohain. Godin reconnaît avec Émile que les Allemands sont hardis : il donne l'exemple d'éclaireurs venus jusqu'au faubourg de Guise défier les francs-tireurs. Godin exprime à Émile son inquiétude : il est sans nouvelles de lui malgré la réorganisation du service à Landrecies, et il ignore la situation de son bataillon, qu'on dit être à Maubeuge. Le post-scriptum, difficilement déchiffrable, est relatif à la fabrication d'épinglettes.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 janvier 1871
Godin informe Émile des événements de la guerre survenus à Guise. Les Prussiens ont réclamé le lundi 23 septembre une contribution de 500 000 F de la part du canton de Guise. Ils ont enlevé trois otages – Delorme, Devillers et Azambre – et réquisitionné 8 chevaux, dont les deux de Godin. Ils ont laissé en échange à Godin deux chevaux tués de fatigue, dont l'un, s'il se remet, pourra peut-être servir à Émile. Mercredi, une colonne ennemie venue de Landrecies a logé à Guise. Jeudi, Godin est allé à Saint-Quentin voir ses collègues otages ; il n'a pu les faire libérer et ils ont été dirigés à Ham. Godin est obligé d'organiser l'accueil de 500 blessés transportés de Saint-Quentin, qu'il faut ensuite acheminer à Landrecies.

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Auteur : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 11 juillet 1856
Les Fonderies et manufactures annoncent à Brullé que les foyers au bois des poêles n° 8 n'ont pas été expédiés en raison de frais de transport élevés. Elles lui envoient le dessin du foyer pour qu'il le fasse réaliser à Forest. Elles lui signalent que la facture de transport des 6 poêles n° 8 compte un transport de Guise à Landrecies, soit 3,15 F, alors qu'ils ont été transportés jusqu'à Valenciennes, aussi lui demandent-elles d'ajouter 3,10 F à la facture. Elles signalent à Brullé que Godin est absent pendant quelques jours et qu'il répondra à son retour à sa dernière lettre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 septembre 1856
Godin explique à Brullé qu'il était absent quand on a répondu pour lui à sa lettre du 12 septembre et qu'on lui a indiqué qu'il le recevrait avec plaisir à Guise. Il lui communique les renseignements pour voyager jusqu'à Guise : départ à 12 h 13 de Charleroi, arrivée à Landrecies pour la correspondance avec la voiture allant à Guise. Il transmet ses sentiments cordiaux à monsieur et madame Brullé.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 octobre 1857
Godin répond à une lettre de Brullé qui lui annonce qu'il a acheté 57 000 pannes [tuiles] au format de Hollande. Godin avertit Brullé qu'il doit y avoir une erreur. Si les pannes achetées ont bien pour dimensions 33,5 cm de hauteur sous le crochet et 22,4 cm de large, 45 000 tuiles suffiraient. Godin demande à Brullé de vérifier la dimension des tuiles achetées et de solliciter du fournisseur l'envoi d'un échantillon de 30 pannes par chemin de fer à Landrecies via Erquelinnes par exemple.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 janvier 1858
Godin annonce à Brullé qu'il n'a pu confier à quelqu'un des matières à émailler pour les emporter à Forest car la voiture de Landrecies n'a pas voulu les charger. Il lui indique que rien se s'oppose à son voyage à Bruxelles sinon le froid, et il lui demande de lui arranger une réunion avec quelqu'un pour l'achat du terrain du nouvel établissement industriel. Godin donne à Brullé les détails de la composition d'un émail et de la façon de le préparer. Sur le nouvel établissement à fonder en Belgique : « Le chiffre de la vente que vous avez fait cette année n'a-t-il pas un peu mis en vous d'hésitation dans ce que doit être l'acquisition à faire pour l'établissement définitif à fonder en Belgique ? Quant à moi, mes réflexions me conduisent à penser que la vente de mes produits qui doit chaque année gagner en Belgique n'en a pas moins à passer par des développements si lents et voici pourquoi. La Belgique est un pays de fabrication de fourneaux, depuis longtemps en est pourvu, et ce n'est que remplacer [...] au nous avons à [...] en concurrence des fabricants en tôle qui feront encore leurs efforts pour nous [...] Cela fait que je me demande si, eu égard au développement probable de notre affaire, l'usine Story ne vous paraît pas une bonne affaire. » Godin adresse ses vœux de bonne année au couple Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Collin, Denis et fils, 31 janvier 1861
Sur le tracé du chemin de fer par Guise et sur l'industrie à Fourmies. Godin demande à Collin ce qui se fait à Aubenton au sujet du chemin de fer. Il lui rappelle que Collin lui avait promis de lui fournir une statistique de l'industrie à Fourmies, dont il a besoin pour faire imprimer une étude comparée du tracé du chemin de fer par Guise et la vallée de l'Oise avec le tracé de Landrecies à Bazuel par Le Nouvion, La Capelle et Hirson. Godin précise que la zone de Guise comprend 70 199 habitants et que celle du Nouvion comprend 49 026 habitants, que les communes situées à moins de deux kilomètres du tracé par Guise sont au nombre de 26 peuplées de 29 000 habitants tandis que celles situées sur le tracé par le Nouvion sont au nombre de 9 peuplées de 12 000 habitants, qu'il y a 600 habitants par kilomètre sur le tracé de Guise contre 300 habitants par le tracé du Nouvion, et que la meunerie le long du tracé du Nouvion est trois fois moins importante que le long du tracé de Guise. Il ajoute que l'étude du tracé par Landrecies n'a pas été faite et que le tracé est presque en ligne droite de Landrecies à Hirson en passant par Le Nouvion et La Capelle. Il conclut en félicitant Collin de sa nomination dans la commission d'enquête.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Malardot, 15 octobre 1863
Godin accorde à Malardot la somme de 30 F pour couvrir les frais de son déplacement à Guise. Il lui indique le moyen de s'y rendre par chemin de fer de la voie de Charleroi jusque Landrecies ou Bohain puis par voiture.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 28 avril 1862
Sur le tracé par Guise du chemin de fer. Wallerand a appris à Godin que la réunion du Conseil d'État n'avait pas été favorable au tracé du chemin de fer par la vallée de l'Oise. Godin demande à Wallerand si les houillères du Pas-de-Calais ne se satisferaient pas d'un tracé de Hachette à Valenciennes, bien que ce tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord doit favoriser la concurrence des charbonnages belges et assurer à la compagnie un monopole au détriment de la ligne belge par Mariembourg, ou si elles restent partisanes du tracé par la vallée de l'Oise. Dans ce dernier cas, explique Godin, même si le gouvernement accorde à la Compagnie du Nord un tracé par Avesnes, il resterait la possibilité d'honorer le décret sur une ligne reliant le chemin de fer d'Erquelinnes à Mézières à un point entre Busigny et Landrecies, et que la concurrence d'une autre compagnie pourrait inciter la Compagnie du Nord à réaliser celle-ci. Godin demande à Wallerand de lui faire savoir où vont les intérêts de sa contrée.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.
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