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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1845
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent : monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier la théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre [1845]
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent ; monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier le théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 12 août 1863
Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : comptabilité de l'usine ; demande l'envoi des dessins et tarifs réclamés le 7 août 1863 ; demande de confirmer à Coquenet et Van Heusden [qu'un voyageur de commerce va visiter la Belgique] ; transmet une lettre à remettre à Van Laer ; demande d'imprimer immédiatement une circulaire selon un modèle joint [non copié] destinée aux clients belges en tenant compte de l'itinéraire de monsieur Ville annexé à la lettre pour que l'avis de passage de celui-ci ne précède pas de plus de 8 jours sa visite ; il précise que monsieur Ville partira le 17 août ; sur l'organisation du voyage de monsieur Ville ; il confirme à André que le voyageur ne montrera les produits de Guise que lorsqu'il aura échoué à placer ceux de Laeken ; il annonce l'expédition à venir de marchandises aux Pays-Bas et à Laeken. Dans le premier post-scriptum, Godin informe André que monsieur Ville ne visitera pas Bruxelles et il lui demande d'aller voir tous ses clients dans la ville, et il l'avertit également qu'il a dû supprimer une partie de l'itinéraire en raison des difficultés de communication (Brugelette, Hannut, Nederbrakel, Salm-Château, Vielsalm). Le deuxième post-scriptum est relatif à des renseignements insuffisants fournis par Delloye, Tiberghien et Cie sur deux marchands des Pays-Bas, Van der Sande et Cie à Amsterdam et Fellows et Heigermans [Heyermans] et Cie à Rotterdam, renseignements que Coquenet pourrait fournir. La copie de la lettre est suivie de l'itinéraire en Belgique du voyageur monsieur Ville, intitulé « Août 1863. Itinéraire du voyage de M. Rémi Ville en Belgique », qui comprend 143 étapes.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 18 août 1863
Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : Godin annonce à l'usine de Laeken que monsieur Ville est parti la veille et il demande qu'on lui envoie à Mons 50 exemplaires de papier à lettres à en-tête ; sur la location des jardins de Laeken : avant de réaliser le bail avec madame Perpète, Godin souhaite que l'actuel locataire, Petrus Alderson, cultivateur à Laeken, lui adresse une demande de résiliation de son bail dont le modèle est donné dans la lettre ; une partie du texte de la lettre semble manquer entre le texte de la fin du folio 367r et celui du début du texte du folio 368v. Sur l'expédition de marchandises aux Pays-Bas : l'envoi de produits émaillés aux Pays-Bas à Coquenet et Van Heusden est retardé à cause de l'absence de monsieur Mandler ; les noms des acheteurs et le numéro de commande sont inscrits sur les produits expédiés de Guise (Kempen à Rotterdam, Fens à Breda, Van de Seyp à Delft, Post à Schiedam) et Godin prie l'usine de Laeken d'en faire de même pour les produits qu'elle envoie aux Pays-Bas ; sur les frais de douane et le taux de change du florin.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Rémi Ville, 24 août 1863
Godin accuse réception de la lettre de Rémi Ville datée de la veille ; il déclare être satisfait de ce début de tournée et demande à Ville de continuer à lui adresser son bulletin chaque dimanche.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Delloye, Tiberghien et Cie, 26 avril 1864
Godin remet 16 effets sur des villes de Belgique d'un montant total de 665,10 F à verser sur son compte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Lebret, 5 mars 1861
Godin explique à Lebret que le décret du 26 juin 1857 a donné espoir à la ville de Guise que le chemin de fer passerait par la ville, mais que la Compagnie du chemin de fer du Nord mène une lutte acharnée contre le projet de tracé passant par Guise et la vallée de l'Oise qui offrirait un débouché aux charbonnages du département du Nord au détriment de ceux du bassin de Mons et donc aux intérêts particuliers de son actionnaire principal. Il indique que la Compagnie du chemin de fer du Nord veut obtenir la concession d'un tronçon vers Maubeuge, tandis que le prolongement de la ligne de Cambrai à Busigny par Guise et la vallée de l'Oise servirait plus utilement les charbonnages de la région de Valenciennes. Il adresse à Lebret deux exemplaires de la pétition et du mémoire adressés au ministre [de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Boittelle, 14 juin 1861
Sur le tracé du chemin de fer dans le Nord et l'Aisne. De retour de Paris, Godin explique à Boittelle qu'il est urgent que les représentants des intérêts houillers du Nord et du Pas-de-Calais se concertent pour adresser au gouvernement leurs griefs sur les prétentions de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il juge que les députés du Nord (« vos députés ») croient utile de soutenir le tracé de la Compagnie du Nord plutôt que celui par Guise dans l'espoir d'obtenir le prolongement jusqu'à Lille. Godin évoque ses rendez-vous manqués à Paris avec Boittelle, chez lui ou à l'hôtel de Godin, et il relate la séance de la veille du Conseil des ponts et chaussées ajournée du fait du député Godard-Desmarest. Godin incite Boittelle à mettre à profit ce délai pour faire ses observations au Conseil des ministres ou directement à l'Empereur : « L'Empereur s'est déjà occupé de la question et je pense qu'il est de la plus grande utilité de donner des armes au gouvernement pour lutter contre la puissance de Rothschild. Et les armes du gouvernement c'est la volonté des populations. » Godin pense que le gouvernement est favorable au tracé par Guise et que le soutien des houillères que Boittelle représente peut lui être utile pour s'opposer à la volonté de Rothschild. Il rappelle que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord serait au seul bénéfice des charbonnages belges au détriment des intérêts locaux et des houillères françaises. Godin analyse le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord et conclut qu'il serait préjudiciable à l'industrie houillère dans son ensemble.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 25 janvier 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Cambier et Cie que le moyen le plus économique de transport de la fonte est le transport fluvial par la Sambre et le canal de la Sambre à l'Oise jusqu'à l'écluse n° 19 à Vadencourt ; il indique qu'il paie ordinairement 6 F la tonne de Charleroi et que le prix serait moindre si les bateaux étaient chargés à Thuin. Godin précise que le transport par le canal de Mons à Valenciennes, par l'Escaut, par le canal de Saint-Quentin et La Fère, par l'Oise puis par le canal de la Sambre à l'Oise est plus long mais que les frais de navigation sont beaucoup moins élevés. Godin ajoute que le transport par chemin de fer jusqu'à Erquelinnes et de là par bateau à 3 ou 4 F la tonne jusqu'à Vadencourt serait le plus rapide et le plus économique. Il demande à Cambier et Cie de préciser quelle quantité de fonte ils pourraient lui fournir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Clément Joseph Bivort, 14 avril 1863
Godin fait part à Bivort de difficultés sur la réception d'un bateau chargé de coke : Godin avait demandé à Leborne que le coke soit sec ; le coke a été chargé dans un bateau couvert, mais il était trempé à l'arrivée ; Godin conclut à un arrosage du minerai avant chargement. Godin refuse de prendre livraison du coke avant qu'il ne soit tenu compte du coût supplémentaire du fret et du poids de l'eau contenue dans le coke. Il compare l'expédition de Bivort avec un bateau de coke sec arrivé du bassin de Mons et transporté par chemin de fer jusqu'à Hautmont.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henri Leborne, 14 avril 1863
Godin informe Leborne que le bateau de coke de Monceau-Fontaine est arrivé avec son chargement couvert mais que le coke était trempé alors qu'un bateau arrivé du bassin de Mons était chargé d'un coke très sec. Godin annonce à Leborne qu'il refuse de décharger le coke jusqu'à ce que la société de charbonnage ait envoyé un représentant pour constater le fait et lui accorder l'indemnité qui lui est due. Il lui signale dans le post-scriptum qu'il a écrit à monsieur Bivort.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin avoue à Seydoux ne pas comprendre l'opposition du département du Nord au prolongement de la ligne de Valenciennes au Cateau jusqu'à Saint-Erme. Il explique que cette ligne mettrait directement en communication les bassins houillers du Nord avec les départements de la Marne et de l'Est, mais que la Ville de Reims promeut actuellement auprès du gouvernement une ligne allant de Reims à Hirson pour relier les chemins de fer allant à Mons et à Charleroi. Il lui envoie la carte de la pétition de la Ville de Reims au ministre des Travaux publics. Godin demande à Seydoux si le département du Nord préfère le tracé de Reims à Mons ou Charleroi au lieu d'un tracé de Reims à Valenciennes ; il fait valoir que la ville du Cateau aurait beaucoup à perdre avec le tracé de Reims.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin informe Seydoux qu'il se joindrait volontiers à lui pour aller à Paris, mais il le prévient que la visite à monsieur Mantion de la Compagnie du chemin de fer du Nord pourrait ne pas être fructueuse car celle-ci pourrait préférer le tracé de Reims à Hirson et Mons dans la mesure où Rothschild est propriétaire de houillères dans le bassin de Mons.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Gauchet de se renseigner sur Jules Montagne, propriétaire d'une fonderie à Mons, candidat à un emploi de comptable dans l'usine du Familistère de Guise, qui dit avoir été en relation avec les marchands de fer et les quincaillers dont il donne les noms. Il demande à Gauchet d'aller voir ces derniers pour obtenir des informations sur la capacité et la probité de Montagne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin sollicite de son correspondant des renseignements sur Jules Montagne, directeur d'une fonderie à Mons qui est en liquidation.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Gauchet le nom des clients de la Société du Familistère à Mons et d'indiquer ceux auxquels on peut faire confiance pour demander des renseignements.

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