Archives Marguerite Audoux

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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
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Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : Correspondants
Auteur : Garreau, Bernard-Marie
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1913
Auteur : Garrouste, Placide
Archives Marguerite Audoux
Envoi d'une brochure - Antonin Dusserre

Collection : 1909
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
Préparation du numéro spécial de la NRF du 15 février 1910 consacré à Charles-Louis Philippe

Collection : 1910
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
Réédition de La Mère et l'Enfant



Collection : 1910
Auteur : Gide, André
Lettre d'André Gide à Marguerite Audoux
Traduction de Marie-Claire en allemand - Calomnie de Madame Tournayre - Réaction de Paul Claudel à la lecture de Marie-Claire

Collection : 1911
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
L'affaire Bachelin

Collection : 1911
Auteur : Gide, André
Archives Marguerite Audoux
L'affaire Bachelin (suite et fin)

Collection : 1930
Auteur : Gossez, Alphonse-Marius
Archives Marguerite Audoux
Demande de renseignements pour des Morceaux choisis

Collection : 1919
Auteur : Harry, Myriam
Archives Marguerite Audoux

Première lauréate du Prix Vie heureuse (en 1904) avec La Conquête de Jérusalem (la vie, romancée, de son propre père), Myriam Harry (1869‑1958) représente ainsi un jalon dans l'histoire du féminisme (ce qui ne signifie pas pour autant qu'elle soit elle‑même féministe), en tant que représentante du tout nouveau Prix littéraire, réponse au « Pas de femmes parmi nous » de Rosny aîné, alors président du Goncourt. Myriam Harry est née à Jérusalem d'un israélite russe et d'une doctoresse allemande (luthérienne). Elle a une jeunesse cosmopolite (Londres, Berlin, Paris, les Indes, la Tunisie). Si elle écrit sous le pseudonyme de Siona, on pourrait penser que c'est en fervente sioniste. En réalité, c'est tout simplement parce qu'elle est née sur le Mont Sion.

Citons, de Myriam Harry, un extrait de « Souvenirs du Femina », article inclus dans une brochure de 1954 pour le cinquantenaire du prix [Louis Lanoizelée, dans son Charles‑Louis Philippe (Plaisir du bibliophile, 1953, p. 80‑81) mentionne déjà ce même fantaisiste passage comme figurant dans La Revue de Paris. Il s'agit donc, pour la brochure en question, de la reprise d'un article déjà édité]. On comprend que c'est à l'occasion du Prix 1910 que les deux femmes ont fait connaissance :

« Marguerite Audoux présente Marie‑Claire, en même temps que Péguy avec Le Mystère de la Charité, dont il avait vainement espéré le prix Goncourt.
C'est sous la présidence de Mme Alphonse Daudet, dans ses beaux salons de la rue de Bellechasse, sous les regards des portraits de Renoir, si mélancoliques, des Sisley, si clairs, des Manet, flamboyants, et des rutilantes études de Besnard, rapportées des Indes.
Je crois que je regardais beaucoup plus les tableaux que je n'écoutais les discussions. On soupçonnait Marguerite Audoux de ne pas avoir écrit son livre toute seule… Avait‑elle été pastourelle ? était‑ce une pauvre couturière ? Vivait‑elle avec… et patati et patata. Je ne savais rien d'elle, mais j'aimais son roman, et lorsqu'elle emporta nos suffrages, j'étais heureuse d'aller lui porter moi‑même la bonne nouvelle. Je ne la trouvai pas chez elle, mais mon mari alla la chercher pour déjeuner chez nous quelques jours plus tard. C'était une petite personne d'agréable tournure, enjouée, «naturellement naturelle» selon l'expression de Jules Lemaître, parlant avec aisance, clarté, pittoresque et très capable d'avoir écrit Marie‑Claire. Comment en avait‑elle eu l'idée ?
- Charles‑Louis Philippe me l'avait donnée. Il habitait une petite chambre mansardée au quatrième étage, qui voisinait avec celle où, venue à Paris pour chercher du travail, j'étais échouée en plein chômage. Lui, métrait les terrasses des cafés à cent francs par mois, et faisait un peu de journalisme (et, malicieuse, elle ajoute) : il rêvait de métrer les paratonnerres… Je lui racontais mes moutons. «Il faut écrire cela ! Je vous corrigerai.» En attendant il fallait vivre. Nous étions si pauvres que nous n'avions qu'une paire de bottines à nous deux, donnée à Philippe par Gustave Geoffroy, pour lequel le cordonnier les avait faites trop courtes. Elles sont beaucoup trop longues pour son pied. Et pour le mien, donc ! Vous souvenez‑vous combien l'hiver était glacial ? On ne pouvait pas sortir en savates. Il les mettait l'après‑midi pour aller à l'Hôtel de Ville, et moi le matin pour mes courses. Je les attachais à mes chevilles avec des ficelles. Pour descendre cela allait. Mais pour remonter !... la partie vide fléchissait sur les marches. J'essayais de monter de biais en sautillant de marche en marche, comme ça… mais je tombais sur les genoux. Alors je me suis retournée et je grimpais à reculons. C'est long quatre étages ! Avec un seau à charbon à une main et un cabas de pommes de terre dans l'autre. Je n'en finissais pas et les gens dans l'escalier se tordaient. Ils m'appelaient «l'écrevisse».
Et le rire de Marguerite Audoux sonne clair comme un rire de source.
- Heureusement cela n'a pas duré. Un matin, en ouvrant ma porte, je vois une ravissante petite paire à douze boutons. Je n'ai jamais su à qui je les devais. »

Louis Lanoizelée (Ibid.) commente ainsi : « Madame Harry a beaucoup d'imagination. Il est certain que jamais Marguerite Audoux ne lui a dit de semblables racontars. »

On rappellera en effet que Marguerite Audoux est déjà depuis une vingtaine d'années à Paris quand elle fait la connaissance de Philippe par le truchement de Michel Yell. Elle ne vient donc pas de monter à Paris, et elle n'a d'ailleurs, si l'on excepte Vincennes et la rue de Lagny, jamais quitté le quartier Montparnasse. C'est en réalité depuis longtemps qu'elle emplit ses petits cahiers. Yell les découvre après 1900 (la future romancière arrive dans la capitale en 1881), qui en parle à Philippe, lequel s'enthousiasme. L'auteur de Bubu est bien le promoteur, mais non l'instigateur de Marie‑Claire.

Cela rectifié, il faut également se méfier de la romancière qui, elle aussi, « a beaucoup d'imagination ». D'où sans doute ces autres articles (où souvent, comme dans cette prosopopée, on lui prête la parole) qui se contredisent. Dans la lettre 32 à Giraudoux, fait non moins curieux, elle le remercie de sa préface qu'elle trouve parfaite (« Vous avez dit exactement ce qu'il fallait dire »), alors que cette présentation s'égare parfois dans des considérations discutables [« [E]lle songea alors, pour gagner sa vie, à écrire. » (Préface de la prépublication de Marie‑Claire dans La Grande Revue de Jacques Rouché, 14e année, n° 9, 10 mai 1910, p. 14‑15 – p. 14 pour ce passage ‑)].

Ce que dit Myriam Harry elle‑même, en revanche, est tout à fait exact, en particulier les propos des dames du Fémina. Le 25 novembre 1910, Alain‑Fournier écrivait à Péguy : « [U]ne des dames de la Vie heureuse répand le bruit imbécile que ce n'est pas Marguerite Audoux qui a fait son livre. Et les dix‑neuf autres dindes en sont tout effarouchées. » (Alain‑Fournier – Charles Péguy, Correspondance 1910‑1914, Fayard, 1973, p. 30). Tout en laissant à Alain‑Fournier la responsabilité de ses formules, on ne peut donc que constater que ces affabulations ont bien été (et sont encore) proférées.

Collection : 1926
Auteur : Harry, Myriam
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 254

Collection : 1921
Auteur : Hauman, Germaine
Archives Marguerite Audoux
Cette lettre, qui concerne Léon Denis, prolonge et éclaire les lettres 275, 276 et 277 de ce dernier à la romancière.

Collection : 1936
Auteur : Infirmière de Marguerite Audoux
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1929
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Sculpteur et médailleur né à Marcille (en Seine‑et‑Oise) le 26 mars 1903, élève de Jean Boucher, Félix Joffre obtient le Prix de Rome en 1929 avec L'été.

Collection : 1930
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1930
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1930
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1931
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1932
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1932
Auteur : Joffre, Félix
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 334

Collection : 1917
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Santés précaires de l'épistolier et de son épouse - Lulu (leur fille Lucie)

Collection : 1926
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 245

Collection : 1928
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Rente faite à l'écrivaine par ses amis

Collection : 1931
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Mariage de Lulu - Frantz-Philippe et son fils

Collection : 1931
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Mort de Régis Gignoux - Vie de famille des Jourdain - Enucléation oculaire de Chanvin

Collection : 1935
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Frantz Jourdain (1847-1935), le père de Francis, était architecte et président du Salon d'Automne. Il était très lié avec Octave Mirbeau, à qui Francis est allé porté - on sait avec quel succès - le manuscrit de Marie-Claire.

Collection : 1936
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
À propos de Suzanne Bauman‑Franchimont, évoquée dans la présente lettre, David Roe porte à notre connaissance un billet de la main de Francis Jourdain, écrit sur une feuille de papier quadrillé :
« Manuscrits de Charles‑Louis Philippe
prêtés pour étude (thèse) à
Madame S. Bauman‑Franchimont
Rijinstraat 100
Amsterdam (2)
13 .
10 33 »
(Collection David Roe, don de Mme Gubisch).
Le même jour que celui de la création de la présente lettre (ce 8 février 1936), Francis jourdain envoie cette carte‑lettre à Madame Pajault :
« Chère madame,
J'ai reçu ce matin votre lettre et hier soir celle de Madame Suz[anne] Bauman‑Franchimont (Rijinstraat 100 à Amsterdam 2) qui, en réponse à ma demande, m'avise que les manuscrits sont, bien entendu, à votre disposition.
J'ai cru bien servir la mémoire de mon cher vieil ami en facilitant le travail que Mme Bauman‑Franchimont entreprenait sur l'œuvre de celui‑ci et je veux espérer que ce travail est assez avancé pour n'être pas compromis par votre si juste et si naturelle réclamation devant laquelle mme B[auman‑] F[ranchimont] ne peut que s'incliner.
Attachant le plus grand prix aux documents qui lui ont été confiés, elle n'ose les expédier par poste et viendra me les apporter elle‑même à Paris. Étant professeur de lycée, il lui faut pour cela demander un congé qu'elle n'obtiendra sans doute que la semaine prochaine, et s'excuse auprès de vous de ce léger retard. M. Pajault aura‑t‑il, par son travail, l'occasion de passer à Paris la semaine suivante, c'est‑à‑dire dans la 2e quinzaine de février ? Ou préférez‑vous que je confie au chemin de fer le précieux paquet (ce qui comporte peut‑être quelque risque) ? J'attends à cet égard votre décision et vous prie en attendant de croire à la sincérité de ma très dévouée sympathie.
Francis Jourdain
Peut‑être serait‑il utile de transmettre à Buriot‑Darsiles[1] l'adresse de Mme B[auman‑] F[ranchimont] qui accepterait sans doute d'adhérer à la Sté des Amis de Charles‑Louis Philippe.
8.
2. 36. »
(Médiathèque Valery-Larbaud de Vichy [Ph.Jou 20])
[1] H. Buriot‑Darsiles est alors le Secrétaire Général et le rédacteur du Bulletin des Amis de Charles‑Louis Philippe. Le premier numéro va paraître le 21 décembre 1936, date anniversaire de la mort du romancier.

Collection : 1912
Auteur : Lagerlöf, Selma
Archives Marguerite Audoux
Dramatisation de "La Fille du Grand-Marais" - Marie-Claire

Collection : 1920
Auteur : Lapaire, Hugues
Archives Marguerite Audoux
Natif de Sancoins, comme Marguerite Audoux, Hugues Lapaire (1869‑1967) a d'autres points communs avec la romancière : à cinq ans, il est orphelin de père et de mère, et doit aller habiter, avec sa sœur aveugle, chez les grands‑parents maternels à la « maison au perron » (titre d'une œuvre autobiographique), sise faubourg de Nevers (aujourd'hui rue Maurice‑Lucas), la même rue que celle où Marguerite Audoux vécut ses premières années. Rétif à l'institution scolaire, il claque la porte du lycée, mais s'inscrit néanmoins dans une boîte à bachot qui lui permet d'avoir son diplôme et de suivre en Sorbonne des études de lettres égayées par une vie estudiantine mouvementée. On retrouve le fervent régionaliste aussi bien chez l'écrivain que chez le journaliste, qui n'hésite d'ailleurs pas – et ses écrits sur Marguerite Audoux le prouvent – à instiller sa propre fantaisie dans la réalité des faits.

Notons en effet qu'Hugues Lapaire est l'auteur d'un article paru dans Le Berrichon de Paris du 16 septembre 1912. Ces lignes seront réutilisées, pour la partie consacrée à la romancière, dans les Portraits berrichons précités. La page 220 laisse apparaître les deux mêmes erreurs que dans l'article : Francis Jourdain devient Frantz Jourdain (le père du premier), et, à propos de la fin de l'épisode solognot, l'éviction de la ferme de Berrué (à cause de l'idylle entre Henry Dejoulx et la bergère) est ainsi transformée : « Elle est mince et très délicate, aussi les braves gens chez qui elle se trouve en condition ne peuvent la garder. Elle retourne à l'Hôpital, où elle reste jusqu'à dix‑huit ans, époque où elle vient à Paris. » Dans les pages suivantes, d'autres évocations trahissent la veine poétique du journaliste qui relate les affres de la création allant jusqu'à la tentation du suicide (p. 221), ou encore (p. 225) un dialogue peu vraisemblable, dans le fond et la forme, avec André Gide :
« Le maharajah de la Nouvelle Revue française a daigné gravir ses six étages ! ce personnage lui parut gonflé de prétention. Il lui dit sur un ton assez désagréable :
‑ Vous avez de la chance que l'on vous fasse passer par le grand escalier !
‑ Vous eussiez préféré, monsieur, lui répondit‑elle, que je prisse l'escalier de service ? Je ne suis pas assez reluisante à vos yeux, sans doute, pour me permettre le même chemin que vous ? Si cela vous offusque, tant pis ! Toute fille du peuple que je suis, je prends le grand escalier ! »


Collection : 1910
Auteurs : Larbaud, Valery ; Fargue, Léon-Paul
Carte postale de Valery Larbaud et Léon-Paul Fargue à Marguerite Audoux
Carte amicale

Collection : 1912
Auteurs : Larbaud, Valery ; Bennett, Arnold
Carte postale de Valery Larbaud et Arnold Bennett à Marguerite Audoux








Arnold Bennett (1867-1931) est un romancier anglais dont Larbaud entreprend la traduction d'une des nouvelles, The Matador of the Five Towns. C'est également le préfacier de la traduction anglaise de Marie‑Claire par John Raphaël (voir infra). Arnold Bennett devient célèbre en 1908 pour son roman The Old Wives' Tale. Influencé par Zola et Goncourt, il participe à la vie littéraire française (dîners de La Plume, réceptions du Mercure, …). Son réalisme teinté de compassion humaine le rapproche de Charles‑Louis Philippe, qu'il n'eut pourtant pas le temps de connaître, mais dont il entendit parler par son ami Cipa Godebski, lequel avait des attaches avec La Revue blanche. C'est très probablement Léon‑Paul Fargue qui fit connaître Marguerite Audoux à Arnold Bennett. C'est lui, en tout cas, qui donne force détails à l'écrivain anglais pour la rédaction de la préface de Marie‑Claire, d'après ce qu'on apprend dans le journal de Bennett en date du 6 janvier 1911.



Collection : 1930
Auteur : Larbaud, Valery
Carte postale de Valery Larbaud à Marguerite Audoux
Lettre amicale de remerciements et de voeux

Collection : 1922
Auteur : Lefranc, Marie
Archives Marguerite Audoux
Marie Le Franc est née en 1879 dans une famille de douaniers. Après des études à l'école normale de Vannes, elle devient institutrice. Éprise d'un héros de Fachoda, le capitaine Jean-Baptiste Marchand, elle se rend à Paris sur son invitation mais l'idylle tourne court et cette blessure sentimentale explique partiellement son envie de partir. En janvier 1906, elle s'embarque pour le Canada où elle séjournera trente ans, avec de courts séjours à Sarzeau. Enseignante dans la région de Montréal, elle publie en 1925 son premier roman, Grand-Louis l'innocent dont l'édition parisienne est primée en 1927 par le jury Femina. Le succès de ce roman décide de sa carrière et son inspiration fait alterner figures bretonnes et québécoises dans une fascination qui remonte à son enfance : celle de la mer, des plages et des dunes [Le Poste sur la dune (1928), Dans l'île (1932), Pêcheurs de Gaspésie (1938), Pêcheurs du Morbihan (1946)]. Mais il y a aussi en elle ce goût breton de la ruralité et comme son compatriote brestois Louis Hémon, elle est attirée par ces figures emblématiques que sont les coureurs des bois (Hélier, fils des bois, 1931) et les défricheurs (La Rivière solitaire, 1934)…
Durant l'un de ses séjours en Bretagne, auprès de sa mère, la guerre de 1939 éclate et la retient à Sarzeau. A partir de cette époque, elle ne retournera au Canada qu'épisodiquement. D'abord de 1947 à 1950 où elle effectue de longues randonnées en forêt d'où sortira Le Fils de la forêt, publié en 1952. Lorsqu'elle revient en France elle est fatiguée et malade, elle songe pourtant à repartir et retrouve Montréal pour un séjour d'un an de 1953 à 1954, puis en 1957. De retour à Sarzeau, épuisée et affaiblie par son dernier voyage elle continue pourtant à écrire et achève un récit autobiographique, Enfance marine, publié en 1959. Elle se prépare pour une nouvelle traversée mais la maladie lui fait annuler son voyage. Hospitalisée à Vannes à la clinique Sainte-Claire, elle est opérée à deux reprises sans résultat. C'est à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye qu'elle décède le 29 décembre 1964, laissant une œuvre double, bretonne et québécoise, marquée par le double imaginaire de la mer et de la forêt.
(Renseignements fournis par le Professeur Marc Gontard)



Collection : 1934
Auteur : Lepuschütz, Frida
Archives Marguerite Audoux
Demande de permission et de renseignements pour la rédaction d'une thèse

Collection : 1934
Auteur : Lepuschütz, Frida
Archives Marguerite Audoux
Questionnaire en vue de la rédaction d'une thèse

Collection : 1934
Auteur : Lepuschütz, Frida
Archives Marguerite Audoux
Proposition d'un questionnaire réduit

Collection : 1935
Auteur : Les jeunes filles de Cahors
Archives Marguerite Audoux
Demande de marrainage par la promotion de normaliennes

Collection : 1912
Auteur : Marielle, Georges
Archives Marguerite Audoux
Georges Marielle est instituteur à Autrecourt, dans les Ardennes. La présente lettre est la première trace que nous ayons de cette amitié.
Peut‑être Marie‑Claire est‑elle à l'origine de cette relation, littéraire et amicale, probablement favorisée par Werth, puisqu'on retrouve les deux lettres de Marielle à Marguerite Audoux (181 et 182) dans le fonds familial, et que la romancière, dans une lettre à son «animal poilu» du 5 septembre 1919 (259), parle de Mme Marielle. Voir aussi les lettres 256, 257, 282 (à Lelièvre), et 283 (à Huguette Garnier) et une lettre de Paul d'Aubuisson, du 14 janvier 1925, à sa mère adoptive, dans laquelle le jeune homme écrit à propos de la fille :
« J'ai reçu une lettre de Louise Marielle, qui me dit qu'elle apprend à danser à son père, qui lui aussi espère te faire pirouetter aux prochaines vacances. Louise met aussi : «Comme ta tante vient passer les trois mois, j'espère que tu viendras l'accompagner.» »
(Fonds d'Aubuisson)
Cependant, on peut se demander si cette amitié ne remonte pas à plus loin, dans la mesure où les Ardennes sont présentes dans le conte « Le Chaland de la Reine », publié dès le 28 décembre 1908 dans Le Matin. Ce n'est qu'une hypothèse ; mais l'on sait que Marguerite Audoux fonde la plupart du temps ses fictions sur des lieux connus (on retrouve le Jura où elle fut avec les Besson dans « Valserine », l'Île‑d'Yeu dans « Les Poulains » et Douce Lumière, etc.).

N.B. : Nous n'avons une trace épistolaire que d'un séjour de la romancière chez ses amis ardennais, celui d'août 1921 (lettre 282).

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