Facturation de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire et recouvrement de la facture. Annonce de l'envoi prochain des dessins explicatifs du fonctionnement des poêles livrés.

Réponse à une lettre de monsieur Laplace-Borgnet en date du 1er octobre 1845 : Godin demande des précisions sur une commande de marchandises et communique le prix de trois nouveaux appareils de la manufacture Godin-Lemaire.

Facturation de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Compte de monsieur Laplace-Borgnet.

Réponse à une demande de Laplace-Borgnet du 16 octobre 1843 par l'envoi d'un tarif des appareils de la manufacture Godin-Lemaire et la communication de précisions sur la garniture en zinc ou en cuivre des poêles.

Recouvrement de factures de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Facturation de poêles de la manufacture Godin-Lemaire. Contestation d'une réclamation de monsieur Laplace-Borgnet relative au modèle d'un poêle.

Sur le paiement de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Facturation et expédition de marchandises. Godin explique qu'il peut lui livrer directement le chargement complet d'un cheval ou qu'il peut faire déposer un volume moins important à Guise ou à Origny.

Réponse à une lettre en date du 30 août 1846 sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : craignant que le transport fluvial de la fonte prenne du retard, Godin informe les Hauts-fourneaux de Couillet qu'il a demandé à monsieur Lucq d'envoyer une voiture à charger de fonte.

Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin demande si les Hauts-fourneaux de Hourpes peuvent fournir 60 tonnes de fonte n° 1 à la reprise de la navigation sur la Sambre ; si la réponse est positive, Godin prévoit de demander à monsieur Lucq d'envoyer un voiturier de Charleroi pour charger une tonne de fonte afin de juger de sa qualité.

Godin conteste le montant du droit de patente qui lui est imposé. Description de la fonderie d'Esquéhéries, où sont employés deux mouleurs.

Sur le remboursement d'un cautionnement.

Sur le remboursement d'une consignation.

Fait suite à la lettre de Godin aux douanes de Valenciennes en date du 3 juin 1846 : Godin remercie le directeur des douanes de l'autoriser à se faire rembourser une consignation de 5,50 F au bureau de Coulsore.

À propos d'un procès-verbal dressé par la gendarmerie de Leschelle (Aisne) à l'encontre du voiturier Chevalier pour avoir transporté un colis postal adressé par Godin vraisemblablement au domicile parisien de Véran Sabran et contenant des cheveux destinés à une magnétiseuse ; Godin demande l'indulgence pour le voiturier.

Godin informe Lefébure qu'il envoie un messager charger chez lui des bobines de fil de fer, qu'il veut de fer doux. Godin recommande de respecter exactement les diamètres des fils demandés.

Facturation de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Sur la fourniture de poêles et cuisinières de la manufacture Godin-Lemaire : Godin confirme, après une longue absence, qu'il ne change pas ses prix pour les modèles existants ; il donne à Lefert le prix des nouvelles cuisinières, dont une cuisinière à trois fours qui permet de rôtir à la broche ; il annonce qu'il enverra prochainement des dessins explicatifs et un tarif général de ses produits.

Envoi d'un tarif des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire et expédition d'appareils. Godin attire l'attention de monsieur Lefert sur les nouveaux modèles figurant au verso du tarif, dont il croit qu'une vente considérable pourrait être faite à Reims.

Godin en mauvaise santé « depuis longtemps ». Facturation et commande de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire. Les lithographies représentant les nouveaux modèles de poêles elliptiques ne sont pas encore exécutées.

Recouvrement d'une créance : Godin réitère une demande de règlement et signale qu'il n'a rien reçu de monsieur Compain.

Godin informe monsieur Lefèvre qu'il a besoin d'argent et qu'il veut encaisser un billet de 400 F.

Recouvrement d'une créance : Moricourt-Viéville avait refusé de payer le bon de 150 F remis par Lefevre, qui avait promis de régler son compte en janvier 1846 ; Godin l'invite à lui régler rapidement la somme de 782 F.

Sur l'achat par Godin d'une maison à Guise (Aisne).

Sur une dette de monsieur Lefèvre et un bon de 150 F que Godin n'a pu se faire rembourser chez Moricourt-Viéville [banquier au Nouvion-en-Thiérache].

Sur le règlement d'une traite due par monsieur Lefèvre.

Avise Lefèvre que des poursuites seront engagées dans 8 jours à son encontre pour factures impayées.

Commande de creusets pour le cuivre et la plombagine.

Godin explique qu'il est « sur le point » de mettre en activité une nouvelle fonderie à l'extrémité du faubourg de Landrecies et qu'il va recevoir d'importantes quantités de combustible pour fabriquer des marchandises destinées à l'exportation et non pour la consommation intérieure de la ville. Il sollicite de jouir du privilège d'entrepôt accordé aux marchandises destinées à l'exportation.

Envoi du tarif des appareils de la manufacture Godin-Lemaire, faute de pouvoir se rendre lui-même à Compiègne.

Demande de propriété temporaire de brevets de perfectionnement et d'addition aux brevets des 15 février 1841 et 22 décembre 1844.

Sur le transport de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Sur le renouvellement d'un traité commercial avec monsieur Lenoir-Bry pour la distribution des appareils de la manufacture Godin-Lemaire : Godin répond tardivement à la lettre de Lenoir-Bry du 9 juillet 1846 à cause du transfert de sa manufacture ; Godin accepte de renouveler le traité avec Lenoir Bry en précisant que le seul avantage qu'il y trouverait serait de pouvoir livrer la marchandise avant la fin de septembre afin d'éviter l'encombrement des magasins de la manufacture.

Sur un accord commercial pour la distribution des appareils de la manufacture Godin-Lemaire.

Sur le transport fluvial et terrestre de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire : Godin fait déposer des poêles au rivage de monsieur Moret-Bethune, au Gard, écluse n° 1 du Canal de la Sambre à l'Oise ; le transport et la mise en bateau coûtent 4 à 5 F la tonne ; le messager envoyé par Godin sera chez monsieur Lepreux aubergiste, rue Saint-Martin.

Annonce l'expédition tardive de cuisinières de la manufacture Godin-Lemaire et envoi de la facture correspondante.

Sur une commande de cuisinières auprès de la manufacture Godin-Lemaire : Godin demande s'il doit expédier les cuisinières que monsieur Lenoir n'est pas pressé d'obtenir ; il pourrait les utiliser pour satisfaire les nombreuses demandes qu'on lui fait. Facturation de marchandises de la manufacture.

Une indisposition « assez grave » empêche Godin de s'occuper des écritures depuis trois semaines et de la fabrication. Aussi, l'expédition des cuisinières commandées a été retardée. Godin explique qu'il a fait depuis des modifications sur le dessus des appareils dont le prix a augmenté de 3 F : il expédie deux cuisinières à monsieur Lenoir pour qu'il juge si les appareils lui conviennent, et envoie la facture correspondante.

Envoi d'une traite relative à la fourniture de marchandises et proposition de visite commerciale à Ham pour la présentation d'un modèle réduit de nouveaux appareils.

Expédition et facturation d'une cuisinière de la manufacture Godin-Lemaire. Sur une traite annulée par Godin.

Godin annonce la livraison de cinq cuisinières à Saint-Quentin (Aisne) et envoie la facture d'une précédente commande.

Sur la solvabilité de monsieur Damaye, marchand de fers à Saint-Quentin (Aisne) et employé de Lenoir, qui a fait des propositions à Godin.

Sur une commande de cuisinières.

Recouvrement de factures de marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Demande à monsieur Lenoir-Bry qu'il lui écrive pour lui faire savoir le nombre de poêles dont il souhaite encore être livré.

Sur le transport et la vente de poteries : Godin recommande à Lenoir de s'adresser à Blanchard, marchand de charbon à Étreux, pour charger des poteries sur un bateau ; il ajoute que Blanchard propose d'offrir à Lenoir un espace de 5 m² dans son magasin et précise qu'il y a 12 à 13 lieues de route de Signy-le-Petit à Étreux en passant par Esquéhéries.

Fait suite à la lettre de Godin au préfet de l'Aisne en date du 6 novembre 1845, restée sans réponse, sur l'accident de la route survenu la nuit du 2 novembre 1845 sur la route de Guise à Leschelle (Aisne) à un transport d'appareils de la manufacture Godin-Lemaire, à cause de travaux de construction non signalisés d'un aqueduc ayant entraîné une chute de trois mètres de hauteur de la voiture : Godin fait part au préfet des recherches qu'il a menées à Vervins et à Saint-Quentin pour prendre connaissance du traité passé avec l'entrepreneur qu'on lui a dit être entre les mains du conducteur des travaux monsieur Lecerf à Ribemont ; Godin demande au préfet d'intervenir.

Sur l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie Godin-Lemaire édifiée à Guise : Godin explique qu'il a présenté un état de concession des terrains à acquérir pour alignement à l'ingénieur de Saint-Quentin qu'il a vu à plusieurs reprises, que celui-ci promettait à la fin de juillet que l'arrêté d'autorisation n'en tarderait pas et qu'il s'étonne des difficultés que lui a causé monsieur Lecerf conducteur des ponts et chaussées ; il demande au préfet les motifs qui retardent l'autorisation et empêchent la reprise des constructions ; il explique qu'il a été menacé d'un procès s'il faisait construire à moins de deux mètres de la route , qu'il a en conséquence suspendu les travaux, mais que le préjudice qu'il subit est considérable ; il signale que 40 ouvriers devaient être employés aux constructions.

Sur l'exposition de cinq poêles en fonte de fer et leur présentation au jury de l'Académie de l'industrie.