Sur l'affaire Story : Godin avertit Demeure qu'il émet un mandat de 6 677 F au crédit de Cambier et Cie, une somme reçue par l'avocat dans le cadre de l'affaire.

Informations relatives à l'usine de Laeken : expédition de calorifères par l'usine de Guise ; difficulté avec l'administration de la poste qu'Alexandre Brullé n'avait pas connue ; sur l'émaillage à Laeken : Godin demande s'il n'est pas plus avantageux de faire émailler chez Delloye-Masson ; opérations comptables.

Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : commande de 50 tonnes de fonte à livrer par bateau à Laeken avant le curage du canal.

Informations relatives à l'usine de Laeken : paiement de droits en douane de Bruxelles pour un colis, de modèles notamment, d'un poids de 1 994 kg d'une valeur de 660 F ; une somme reçue dans le cadre de l'affaire Veuve Desfossez ; dépôt de marchandises chez Bolsius ; conflit avec Van Gennip qui prétend avoir passé un accord avec Brullé de représentation des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire pour 10 ans à 100 florins par an ; prix de revient de calorifères ; approvisionnement en coke et en fonte ; à propos de cheminées ; lithographies et nouveaux clients ; dette de Louis Piette et remplacement de Scholtus.

Godin a été informé par l'usine de Laeken que la Société de charbonnage de La Louvière et la Paix a livré 10 000 kg de fonte sans l'avoir demandé ; il adresse pour paiement un effet de 275,80 F.

Godin informe Wérix qu'il dispose sur lui de 28,65 F lui revenant de la créance de madame veuve Desfossez.

Godin annonce qu'il examine les pièces de l'affaire Van Gennip envoyées par l'usine de Laeken. Le post-scriptum, signé Leseix, porte sur des opérations comptables et la déclaration de la valeur de colis en douane.

Godin informe Van Gennip qu'il a relu la correspondance entre lui et l'usine de Laeken : il n'a jamais été question d'un accord pour 10 ans ; il lui a été indiqué en février 1863 que la maison Godin-Lemaire ne participerait pas à l'établissement de son nouveau local ; Van Gennip a vendu en 1862 439,88 F de marchandises et a reçu 233,49 F de Godin-Lemaire, soit 50 % des ventes. En outre, Godin fait remarquer que les appointements de Van Gennip de 100 florins sont pour lui une ruine. Godin lui accorde une remise de 6 % sur le prix du tarif s'il veut continuer à vendre ses produits pour son propre compte ; il demande la restitution des appareils en dépôt chez Van Gennip.

Godin transmet une facture de 802,60 F pour une expédition faite par l'usine de Guise. Il communique à l'usine de Laeken la copie de sa lettre du 22 mai 1863 à Van Gennip et lui demande de ne rien lui livrer avant qu'un accord soit trouvé avec lui. Le post-scriptum évoque une opération comptable et la mise en recouvrement par un huissier d'une dette de Gilson.

À propos d'une liste de noms belges et hollandais établie par l'usine de Laeken : Godin demande que la forme exacte des patronymes composés soit précisée pour que soient évitées des erreurs d'écriture.

Godin remet à la banque des valeurs d'un montant total de 963,14 F.

Godin remet à Louis Ackermans un effet de 44 F sur Paris pour solde d'une facture.

Godin crédite le compte de l'usine de Laeken de la somme de 212,40 F à verser aux femmes de maçons belges [travaillant à Guise] : Marie-Françoise Moulard-Bodainghem à Céroux-Mousty et Marie-Thérèse Frappez-Lechien à Gosselies. Le post-scriptum porte sur des déclarations en douane.

Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin rappelle à Cambier et Cie sa commande du 13 mai 1863 de 50 tonnes de fonte ; il avertit que l'usine de Laeken manque de fonte et que le chômage des canaux de Bruxelles va commencer prochainement. Il lui rappelle aussi une commande de fonte pour l'usine de Guise.

Informations relatives à l'usine de Laeken : opérations comptables ; sur le remplacement de pièces de fours de cuisinières ; sur le blanchiment des maisons de la digue ; sur une commande de Milan : l'usine doit se faire payer d'avance ou avoir la caution d'une banque en France ou en Belgique.

Sur l'affaire Van Gennip : Godin demande à l'usine de Laeken de lui communiquer l'adresse à Amsterdam d'un sieur Sanders, associé de Van Gennip pour la distribution des produits de Godin-Lemaire, et des renseignements sur cette personne ; il demande également si l'usine de Laeken connaît un huissier ou homme de loi à Amsterdam. Informations relatives à l'usine de Laeken : comptes dans les banques Adan et Delloye, Tiberghien et Cie ; autorisation donnée pour le blanchiment des maisons de la digue ; impossibilité de faire voyager Van Laer en France ; sur une livraison de 20 tonnes de fonte ; sur de nouveaux modèles. Le premier post-scriptum porte sur les envois d'argent des maçons belges à leurs familles.

Godin demande une réponse rapide à sa lettre du 23 juin 1863.

Sur l'affaire Van Gennip. Godin rappelle à Sanders qu'ils ont été autrefois en pourparlers pour confier à Sanders seul le dépôt à Amsterdam des produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin n'avait pas donné suite car il espérait que Van Gennip s'en occuperait sérieusement. Godin demande à Sanders s'il est encore intéressé et lui annonce qu'il va se rendre à Amsterdam.

Informations relatives à l'usine de Laeken. Sur l'affaire Van Gennip : Godin regrette que l'usine de Laeken ne se soit pas renseignée auprès de Victor et Cie d'Amsterdam pour identifier un huissier; il annonce qu'il va écrire directement à Amsterdam. Opérations comptables.

Sur l'affaire Van Gennip. Godin explique au consul général que l'usine de Laeken a mis en dépôt 3 à 4 000 F de marchandises chez Van Gennip au 422, rue Schippersgracht à Amsterdam, mais qu'il va reprendre ces marchandises car le dépositaire ne s'en occupe pas et veut changer les conditions de leurs relations d'affaires. Godin demande au consul si la loi néerlandaise permet d'exiger la restitution sur le champ des marchandises, Godin ne pouvant séjourner que 48 ou 72 heures à Amsterdam.

Informations relatives à l'usine de Laeken : sur la caisse de secours des travailleurs et travailleuses de l'usine de Laeken ; sur les retraits d'argent à la banque ; sur le compte de l'avocat Demeure et celui de monsieur Dansaert ; sur le compte de Van Gennip ; demande de renseignements sur Van Elewyck, qui a déjà acheté 2 000 F de marchandises ; achat de manches de pelles ; régularisation des comptes de clients belges débiteurs des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire ; bonification de clients ; ne poursuivre les clients insolvables Theunissen (Theunissens ?) et Gilson qu'avec la certitude de résultats satisfaisants ; sur le compte de Van Laer ; demande de remplacer le jardinier Alderson par un autre locataire ; opérations comptables.

Informations relatives à l'usine de Laeken : opérations comptables ; retraits d'argent à la banque ; compte Van Gennip ; déclaration en douane. Le post-scriptum annonce l'arrivée de Vigerie par le chemin de fer.

Godin annonce à Demeure que son « principal employé », Vigerie, va se rendre à Bruxelles, et lui demande de lui remettre l'état des frais de ses différentes affaires.

Godin annonce à Van Gennip que Vigerie, son « principal employé » va profiter d'un voyage à Bruxelles pour se rendre à Amsterdam pour régler la restitution du dépôt de marchandises et solder le compte de Van Gennip.

Godin annonce à Sanders que Vigerie, son « employé principal », va se rendre à Amsterdam pour s'entendre éventuellement avec lui pour le dépôt de marchandises et la représentation de la maison Godin-Lemaire.

Godin autorise monsieur André, directeur de l'usine de Laeken, à retirer sur son compte 2 000 F par mois en moyenne. La copie de la lettre fait mention de la signature de monsieur André.

Godin informe la banque que Vigerie, son employé principal, va se rendre en Hollande pour trouver des débouchés à ses produits ; il demande à la banque de bien vouloir lui donner des lettres d'introduction à ses correspondants dans les principales villes des Pays-Bas afin qu'il se renseigne sur les maisons avec lesquelles il pourrait faire des affaires.

Godin accuse réception de la lettre du consul en date du 3 juillet 1863 et l'informe que son principal employé, Vigerie, va se rendre à Amsterdam et lui remettre cette lettre. Godin prie le consul de bien vouloir apporter son aide à Vigerie pour la résolution de l'affaire Van Gennip exposée dans sa lettre du 30 juin 1863.

Godin fait part de son accord sur l'état de son compte au 30 juin 1863. Il remet à la banque des valeurs d'un montant total de 429,40 F

Sur un accord commercial avec Coquenet et Van Heusden. Godin remet à ses correspondants une lettre de Van Gennip et une lettre à Van Gennip relatives à la mise à disposition des marchandises qu'il tenait en dépôt. Il demande à Coquenet et Van Heusden de contrôler l'état du dépôt des marchandises. Il leur suggère de ne pas faire connaître à Van Gennip qu'ils vont représenter la maison Godin-Lemaire et leur demande de correspondre avec l'usine de Laeken.

Sur un accord commercial avec Coquenet et Van Heusden. Godin confirme à Coquenet et Van Heusden : qu'ils percevront une commission de 5 % sur toutes les affaires conclues aux Pays-Bas ; que Godin prendra à sa charge les frais de transport des marchandises, les frais de douane et de correspondance ; qu'ils prendront à leur charge la publication de quatre annonces annuelles dans le journal Handelsblad indiquant aux marchands qu'ils sont les agents de Godin-Lemaire dans les Pays-Bas et au public les maisons des différentes villes où se trouvent les appareils Godin-Lemaire. Il les informe qu'il préviendra par circulaire ses clients des Pays-Bas qu'ils représentent la maison Godin-Lemaire et que Van Gennip n'est plus en relation avec cette dernière. Il indique que l'accord prendra effet le 15 août 1863.

Sur un accord commercial avec Coquenet et Van Heusden. La lettre fait suite à un entretien avec Coquenet qui a eu lieu le 24 juillet 1863. Godin confirme à Coquenet et Van Heusden : qu'ils seront les vendeurs des produits Godin-Lemaire dans toute la Hollande ; qu'ils assureront la distribution par leurs agents et leurs voyageurs ; qu'il s'engage à leur déposer un nombre suffisant d'appareils ; qu'ils vendront uniquement aux marchands revendeurs et non aux particuliers ; que l'usine de Laeken fera, sauf exception, les expéditions, facturera les acheteurs et recouvrera les créances ; qu'ils ne pourront vendre à un prix supérieur à celui du tarif ; qu'ils percevront une commission de 5 % du montant des ventes réalisées aux Pays-Bas, mais de 1 % seulement sur les ventes dont les ordres seraient passés directement à la maison Godin-Lemaire par les clients qu'elle a déjà à Breda, Bois-le-Duc, Nimègue, Arnhem, Utrecht, Amsterdam, Leyde, Haarlem, La Haye, Delft, Schiedam, Dordrecht et Rotterdam ; que cette commission sera la seule contribution de la maison Godin-Lemaire à l'activité de Coquenet et Van Heusden ; qu'ils participeront à hauteur d'un dixième aux pertes dues au non-paiement de marchandises vendues par eux. Il les informe qu'il sera en mesure de leur confier un dépôt d'appareils la semaine prochaine après avoir mis fin à ses relations avec son agent précédent.

Godin demande à Van Gennip de remettre à Coquenet et Van Heusden toutes les marchandises de la maison Godin-Lemaire.

Sur la rémunération d'un voyageur de commerce des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Opérations bancaires sur le compte de Godin-Lemaire et versement de valeurs d'un montant total de 1073,19 F.

Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : Godin demande un état des clients belges passés et présents de l'usine de Laeken, par ville, avec le chiffre moyen annuel des affaires faites avec chacun d'eux ; il demande l'envoi du tarif de Laeken et de lithographies avant de mettre en route un employé ; il recommande d'attendre, pour lancer un nouveau tarif en Hollande et une circulaire relative à Coquenet et Van Heusden, l'avis que ces derniers sont bien en possession du dépôt de Van Gennip ; il rappelle que les prix des marchandises de la salle d'exposition doivent être marqués en noir pour les francs belges et en rouge pour les florins néerlandais ; il demande qu'on lui fournisse à l'avenir le nom des clients des Pays-Bas pour les associer aux produits à facturer et ainsi faciliter les opérations.

Sur la location des jardins de Laeken : Godin informe André que mademoiselle Perpète de Tirlemont est venue le voir à Guise et a sollicité une réduction de prix pour les trois premières années de location des jardins ; Godin a consenti à louer au prix de 1 520 F la première période de trois ans en reportant la différence sur les autres années du bail, soit 1 950 F pour chacune des autres périodes de trois ans ; le bail serait de 9 ans avec possibilité d'y mettre un terme de trois ans en trois ans ; Godin souhaite obtenir la superficie des terrains compris entre les habitations occupées par André et les bâtiments de l'usine et celle du terrain situé derrière le grand bâtiment, car il veut se réserver la possibilité d'en disposer et de les soustraire à l'exploitation ; mademoiselle Perpette (sic) n'a pas encore décidé, elle demande que le loyer soit de 1 800 F les six dernières années et doit s'en entretenir avec sa mère ; Godin réclame qu'un arpentage des terrains soit réalisé rapidement ; mademoiselle Perpète offre pour garantie un an de location d'avance et un immeuble à Tirlemont ; Godin demande à André d'obtenir des renseignements sur la famille, qui réside au n° 16, rue des Voyageurs à Tirlemont.

Godin presse l'usine de Laeken de lui adresser les documents et deux petits albums utiles au voyageur de commerce qui s'apprête à partir pour Laeken. Godin précise que le voyageur ne montrera que les dessins des produits fabriqués par les ouvriers de Laeken pour leur venir en aide.

Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : comptabilité de l'usine ; demande l'envoi des dessins et tarifs réclamés le 7 août 1863 ; demande de confirmer à Coquenet et Van Heusden [qu'un voyageur de commerce va visiter la Belgique] ; transmet une lettre à remettre à Van Laer ; demande d'imprimer immédiatement une circulaire selon un modèle joint [non copié] destinée aux clients belges en tenant compte de l'itinéraire de monsieur Ville annexé à la lettre pour que l'avis de passage de celui-ci ne précède pas de plus de 8 jours sa visite ; il précise que monsieur Ville partira le 17 août ; sur l'organisation du voyage de monsieur Ville ; il confirme à André que le voyageur ne montrera les produits de Guise que lorsqu'il aura échoué à placer ceux de Laeken ; il annonce l'expédition à venir de marchandises aux Pays-Bas et à Laeken. Dans le premier post-scriptum, Godin informe André que monsieur Ville ne visitera pas Bruxelles et il lui demande d'aller voir tous ses clients dans la ville, et il l'avertit également qu'il a dû supprimer une partie de l'itinéraire en raison des difficultés de communication (Brugelette, Hannut, Nederbrakel, Salm-Château, Vielsalm). Le deuxième post-scriptum est relatif à des renseignements insuffisants fournis par Delloye, Tiberghien et Cie sur deux marchands des Pays-Bas, Van der Sande et Cie à Amsterdam et Fellows et Heigermans [Heyermans] et Cie à Rotterdam, renseignements que Coquenet pourrait fournir. La copie de la lettre est suivie de l'itinéraire en Belgique du voyageur monsieur Ville, intitulé « Août 1863. Itinéraire du voyage de M. Rémi Ville en Belgique », qui comprend 143 étapes.

Godin informe Van Laer qu'il cessera de lui confier des voyages et de lui verser une allocation mensuelle de 50 F à partir du mois suivant : « Dans l'impossibilité où je suis de subordonner l'offre de mes produits en Belgique aux voyages que vous fait faire votre maison principale, me détermine à mettre en route, tout spécialement, un employé de mon établissement. » Godin lui indique qu'il pourra toujours continuer à placer les produits de l'usine de Laeken s'il le désire, en bénéficiant d'une commission de 3 % sur les ventes mais en contribuant à 1/10e des pertes en cas d'insolvabilité d'un client.

Sur les voyages commerciaux pour les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Godin demande à Coquenet et Van Heusden de remplir une formalité pour sceller leur accord sur la distribution des marchandises Godin-Lemaire aux Pays-Bas, conclu lors du voyage de Vigerie à Amsterdam.

Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : Godin annonce à l'usine de Laeken que monsieur Ville est parti la veille et il demande qu'on lui envoie à Mons 50 exemplaires de papier à lettres à en-tête ; sur la location des jardins de Laeken : avant de réaliser le bail avec madame Perpète, Godin souhaite que l'actuel locataire, Petrus Alderson, cultivateur à Laeken, lui adresse une demande de résiliation de son bail dont le modèle est donné dans la lettre ; une partie du texte de la lettre semble manquer entre le texte de la fin du folio 367r et celui du début du texte du folio 368v. Sur l'expédition de marchandises aux Pays-Bas : l'envoi de produits émaillés aux Pays-Bas à Coquenet et Van Heusden est retardé à cause de l'absence de monsieur Mandler ; les noms des acheteurs et le numéro de commande sont inscrits sur les produits expédiés de Guise (Kempen à Rotterdam, Fens à Breda, Van de Seyp à Delft, Post à Schiedam) et Godin prie l'usine de Laeken d'en faire de même pour les produits qu'elle envoie aux Pays-Bas ; sur les frais de douane et le taux de change du florin.

Sur la location des jardins de Laeken et sur la distribution des appareils Godin-Lemaire aux Pays-Bas.

Sur la distribution des produits Godin-Lemaire aux Pays-Bas par Coquenet et Van Heusden : difficultés soulevées par Van Gennip ; Godin transmet à Coquenet et Van Heusden la lettre envoyée par Van Gennip et le duplicata de sa réponse ; si Van Gennip continue à faire des difficultés, Godin autorise Coquenet et Van Heusden à le poursuivre en justice.

Godin répond à la lettre de Van Gennip du 18 août 1863 : il lui indique que Coquenet et Van Heusden sont autorisés à prendre les marchandises Godin-Lemaire déposées chez lui.

Godin remet des valeurs à la banque pour un montant total de 781,64 F.

Informations diverses relatives à l'usine de Laeken : Godin annonce que la tournée de Rémi Ville a bien commencé et qu'il espère qu'elle permettra de vider les magasins de l'usine de Laeken ; il recommande toutefois de la modération dans la fabrication ; il demande d'écrire au marchand Fellows et Heyermans pour obtenir des garanties de leur solvabilité ; il signale que monsieur Mandler n'est pas de retour et que son absence retarde l'expédition aux Pays-Bas ; sur une expédition de « marbre » [des pièces émaillées à l'imitation du marbre] et de vernis noir et blanc ; sur le bail de location de jardins à madame Perpète et la résiliation du bail d'Alderson.

Godin accuse réception de la lettre de Rémi Ville datée de la veille ; il déclare être satisfait de ce début de tournée et demande à Ville de continuer à lui adresser son bulletin chaque dimanche.

Sur la location des jardins de Laeken.