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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (9) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Duprez, 13 février 1867
Godin remercie Charles Duprez pour l'envoi du portrait réalisé d'après une photographie de l'industriel de Guise, que celui-ci juge remarquable : « J'étais loin de supposer un pareil talent dans la main d'un maître de forges [...] ». Godin regrette de ne pas lui avoir rendu visite pendant qu'il exécutait le portrait pour donner de plus justes proportions à la figure.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 14 février 1867
Sur des essais d'émaillage. Godin fournit une série d'indications techniques pour émailler la fonte. Il informe Eugène André qu'il utilise de la fonte malléable anglaise et lui demande si on en produit en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 19 février 1867
Godin ne s'oppose pas au projet de visite de Grebel pour discuter d'un éventuel emploi avec lui, mais il l'avertit que son hésitation ne doit pas se prolonger.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 19 février 1867
Godin annonce que les essais pratiqués sur la fonte de Mineur et Demoustier ne sont pas satisfaisants et que cette fonte ne diffère pas d'une fonte n° 2. Il lui indique qu'il vaut mieux qu'il reste à Paris pour s'occuper des préparatifs de l'Exposition plutôt qu'aller voir la fonte. Il transmet ses amitiés à Cantagrel et à sa famille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dureteste, 25 février 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin autorise Dureteste à agir au mieux de ses intérêts, en faisant appel du jugement si nécessaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Collin, 21 février 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin rappelle à Émile Collin qu'ils étaient en relation en 1861 à propos du chemin de fer. Il lui demande s'il est prêt à soutenir la candidature d'Odilon Barrot, souhaitée par les électeurs de Guise comme un appel à la liberté et qui serait appuyée par les journaux indépendants.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 26 février 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin demande à Alexandre Chaseray s'il sera candidat à l'élection législative et si, « en vue d'un insuccès probable », il pourrait consentir à faire bénéficier un candidat de l'opposition des voix qui se seront portées sur son nom. « Il s'agirait moins en cette circonstance de vouloir obtenir l'impossible que de faire donner signe de vie au corps électoral [...] » Il l'informe que l'opposition à Paris serait prête à soutenir la candidature d'Odilon Barrot. Godin s'excuse de devoir parler de l'insuccès de la candidature de Chaseray dans le cadre d'un « suffrage dirigé ». Il lui demande s'il est prêt à faire part de son soutien à la candidature de Barrot aux députés de l'opposition à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Matton, 26 février 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin demande à Matton quel soutien trouverait la candidature d'Odilon Barrot dans le canton de Vervins.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 28 février 1867
Godin demande au maire de Guise l'autorisation pour les habitants du Familistère d'organiser un bal à l'occasion du Lundi gras.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 1er mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin répond aux réflexions d'Odilon Barrot sur sa candidature que lui a communiquées Jules Favre. Godin explique à Barrot qu'il veut faire sortir le suffrage universel de sa coupable apathie. Il l'informe des candidatures possibles de Piette, président du tribunal de commerce de Vervins, de Besson, maire de Guise, et de Chérubin, médecin à Guise, et lui fait part de l'opposition des électeurs de Guise aux candidats de Vervins et réciproquement. Il fait valoir que le nom de Barrot rallierait à lui les électeurs favorables à un candidat jouissant d'une notoriété, et indique que les comités électoraux pourront s'organiser complètement à partir de la déclaration de sa candidature. Il explique que le succès n'est pas garanti, mais qu'il y croit, et que même l'insuccès ne serait pas une défaite. Il lui communique deux lettres de soutien à sa candidature. Godin précise que l'agriculture est mécontente dans l'arrondissement et que la population ouvrière souffre de la cherté du pain. Il signale à Barrot que le journal Le Siècle a fait appel le 27 février aux candidats libéraux pour l'arrondissement de Vervins, il lui indique qu'il écrit à Jules Favre et lui communique une circulaire de Besson.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 1er mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin annonce à Jules Favre qu'il a répondu aux craintes et doutes d'Odilon Barrot à propos de sa candidature, même s'il faut s'attendre à ce qu'elle rencontre des obstacles dressés par l'administration. Il explique que la division des candidats de l'administration favorise la candidature d'Odilon Barrot, mais qu'il serait plus facile d'organiser les comités électoraux si la candidature d'Odilon Barrot était rendue publique. Godin évoque le numéro du 27 février du journal Le Siècle et pense que la presse nationale devra suppléer à l'insuffisance de la presse départementale.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 1er mars 1867
Godin demande à Souplet d'insérer une annonce dans le journal Le Glaneur. Le texte de l'annonce est copié sous la lettre : annonce de la formation d'un comité électoral de soutien de la candidature d'Odilon Barrot, pour reprendre la tradition de l'élection de députés de notoriété dans la circonscription de Vervins comme le général Foy et le maréchal Sébastiani ; Victor Lefèvre, cultivateur à Courcelles, est le membre correspondant du comité.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin remercie Alexandre Chaseray pour sa lettre qu'il communique à Odilon Barrot. Il l'informe des progrès de la candidature d'Odilon Barrot dans les cantons de Wassigny et de Guise et lui demande s'il peut utiliser sa lettre auprès des électeurs et s'il s'est entendu avec Matton de Vervins. Il lui fait part des démarches de lui-même à Sains et de monsieur Lefèvre à La Capelle. Il lui demande de lui communiquer les noms des personnes qui peuvent aider le comité électoral et lui indique qu'il a écrit à Cardot du Fay à Tenailles et à Loth d'Hirson. Il incite Chaseray à écrire à Odilon Barrot, dont la candidature devrait être annoncée publiquement dans quelques jours.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin tient Odilon Barrot informé de la propagande électorale. Le canton de Wassigny attendait la candidature d'Alexandre Chaseray, qui s'est présenté à toutes les élections depuis 1848 et rassemblait une petite minorité de 2 000 voix environ. Il communique à Barrot la copie de la lettre que Chaseray lui a écrite et l'encourage à lui écrire. Il lui indique que le canton de Wassigny se mobilisera sur son nom, qu'il emploie 900 ouvriers à Guise et que Chenest, qui en emploie un certain nombre, se croit des devoirs envers lui malgré ses relations avec Besson. Il l'informe que le comité va le lendemain visiter Sains et La Capelle et lui demande des noms de personnes dans les cantons d'Aubenton, de Rozoy et de Marle. Il remet à Barrot une note extraite du Journal de l'Aisne relative à la candidature de Piette.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Matton, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. À sa demande, Godin tient Matton au courant de la propagande électorale. Il pense que le canton de Wassigny est complètement acquis à Odilon Barrot, que celui de Guise a été moins travaillé, qu'Alexandre Chaseray du Val-Saint-Pierre se met à la disposition d'Odilon Barrot, que le comité va visiter le lendemain le canton de Sains et celui de La Capelle. Godin demande à Matton d'agir principalement sur les cantons de Vervins, Hirson, Aubenton, Rozoy et Marle. Il concède que les moyens du comité sont réduits par rapport à ceux des candidats officiels et officieux.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 3 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin rend compte de la propagande électorale. Il signale à Odilon Barrot le numéro du 3 mars 1867 du journal Le Glaneur de Saint-Quentin qui annonce la constitution du comité électoral en faveur de la candidature d'Odilon Barrot. Il l'informe qu'il a été à Sains le matin même. Godin décrit l'état de l'opinion : Besson est jugé incapable et Piette considéré comme un égoïste ; le canton d'Aubenton, dont Piette est conseiller général, paraît lui être acquis ; Godin fonde des espoirs dans le canton d'Hirson. Godin pense que pour gagner les masses, il faudrait pouvoir diffuser des circulaires et obtenir le soutien des journaux.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 4 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin fait part à Favre du vif désappointement du comité électoral à l'annonce de la décision d'Odilon Barrot de ne pas être candidat à l'élection. Le comité électoral de Guise veut tenter de le convaincre tout de même. Il explique qu'Odilon Barrot a eu tort de se renseigner sur la situation auprès de Chenest : Caudron et Debrotonne, dont parle Barrot, sont morts et l'industriel Chenest est aveugle. Godin fait valoir que Foucamprez s'est mis à la tête du mouvement dans le canton de La Capelle et que ce dernier accompagnera Lefèvre à Hirson. Il veut croire qu'Odilon Barrot sera élu au premier tour ou sera au moins en ballotage. « Dites-lui que l'on montait sur les tables aujourd'hui à [mot illisible] sous grains pour acclamer sa candidature. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 4 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Au nom du comité électoral de Guise, Godin tente de convaincre Odilon Barrot de présenter sa candidature. Il lui explique qu'il est mal renseigné sur le pays, que Caudron et les Debrotonne sont morts, et que Chenest est aveugle depuis près d'un an et privé de relations. Il lui annonce qu'il écrit à Favre pour le même objet et que le comité se trouve chez Chenest pour obtenir de ce dernier une rétractation.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 5 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin informe Odilon Barrot que Favre lui a confirmé sa volonté d'être candidat à l'élection. Il demande que sa candidature soit annoncée dans les journaux et réclame sa circulaire électorale. Il souhaite qu'il télégraphie l'annonce de sa candidature à monsieur Lefèvre à Hirson pour faciliter sa tâche dans le canton. Il lui annonce qu'il écrit à Jules Favre pour le même objet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 5 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin souhaite obtenir la circulaire d'Odilon Barrot et l'annonce de sa candidature dans les journaux de Paris. Il demande à Favre des renseignements sur les droits de la propagande électorale et appelle l'attention de Favre sur les formalités que doit remplir Odilon Barrot. Godin pense qu'Odilon Barrot devrait dans sa circulaire moins parler de son âge que de son ardeur à défendre les intérêts du pays et de son amour de la liberté et du bien public, qu'il doit dire un mot de l'agriculture, de l'industrie et de l'amélioration des classes ouvrières, « peut-être le tout sans que ce soit trop accentué : l'ombre de l'oppression est trop profonde pour qu'une lumière trop vive n'offusque pas les regards appauvris ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 5 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin propose à Favre un moyen original de soutenir la candidature d'Odilon Barrot : envoyer un exemplaire du numéro de chaque journal de Paris annonçant la candidature de Barrot aux aubergistes et épiciers des 182 communes de la circonscription de Vervins. Godin pense qu'une entente est possible avec les journaux pour qu'ils en fassent l'envoi aux adresses qu'il indiquera et consent à faire cet essai à ses frais.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 6 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin confirme à Chaseray qu'Odilon Barrot sera bien candidat à l'élection. Il lui annonce que ce dernier arrivera le soir même à Saint-Quentin et il évoque la circulaire électorale de Barrot.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 7 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin annonce à Chaseray qu'au lieu de venir dans le département comme il l'annonçait, Odilon Barrot vient d'envoyer un exprès de Paris pour l'informer de sa renonciation à être candidat à l'élection. Godin explique que « les habiles » ont avancé qu'il ne pouvait espérer que 12 à 15 000 voix et que sa tentative serait déshonorante pour lui, pour l'opposition et pour le département, « et on l'a arrêté quand il mettait le pied en chemin de fer pour venir ». Pour attester qu'il ne s'est pas bercé d'illusions, Godin communique à Chaseray les dépêches télégraphiques qui attestent qu'Odilon Barrot avait accepté la candidature, et il lui indique que la circulaire était chez l'imprimeur et que le serment avait été déposé chez le notaire. Il demande à Chaseray s'il peut être candidat à la place de Barrot et l'informe qu'il a particulièrement des sympathies dans le canton de Wassigny.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 8 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Comme Favre, Godin regrette l'abandon de la candidature d'Odilon Barrot : « Chacun a agi pour le bien mais chacun n'a pas fait pour le mieux ». « La France ne peut perdre le sentiment de la justice et de la liberté. Elle dort parce que rien autour d'elle n'agit pour dissiper les fumées du narcotique qui la retient engourdie. Puissions-nous faire que la crise du réveil soit d'autant moins violente que cet état sera moins longtemps prolongé. ». Le post-scriptum de la lettre est relatif à son procès [avec Esther Lemaire].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin explique à son fils Émile que, contrairement à ce que pense Cantagrel, il ne veut pas abandonner les 1 200 F qu'il a déjà versés sans exposer les produits de la manufacture, même dans de mauvaises conditions. Il prie Émile de demander à Frédéric Le Play, s'il en a l'occasion, pourquoi il est exclu du palais de l'exposition alors qu'il est la tête de l'industrie du chauffage. Il lui demande d'essayer d'intervenir auprès de Le Play lui-même pour obtenir une place dans le palais, notamment pour y placer le panorama du Familistère et de l'usine auquel il joindra des plans. Il indique à Émile qu'il fait faire des photographies du Familistère prises du côté de Courcelles et de l'usine ; il lui recommande de s'adresser à Fossillon après avoir vu Le Play ; il évoque le transport des produits de la gare de Bohain ; il lui remet une lettre destinée à Le Play et la copie des lettres qu'il lui a adressées auparavant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 11 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin se plaint auprès de Frédéric Le Play de l'exclusion du Palais de l'Industrie dont il lui semble faire l'objet. Il lui rappelle ses demandes antérieures et la visite infructueuse qu'il a faite au Palais de l'industrie. Il lui apprend que son fils l'a informé que des appareils de chauffage produits par des fabricants sans notoriété seraient exposés dans le Palais de l'Industrie, et fait observer que les vues et plans du Familistère et de l'usine auraient utilement figuré au-dessus de ses produits dans le Palais de l'Industrie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au rédacteur du Journal de l'Aisne, 11 mars 1867
Godin demande au rédacteur du journal d'insérer une offre d'emploi pour un instituteur capable d'enseigner dans les écoles privées du Familistère à deux classes de 40 à 50 enfants de 6 à 8 ans et de 8 à 10 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Depoux, 12 mars 1867
J. Depoux a demandé à Godin s'il pouvait lui offrir un emploi : Godin lui demande s'il a des références à lui présenter et quels appointements il prétend obtenir.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics, 17 mars 1867
Godin demande au ministre de lui délivrer un certificat d'addition et de perfectionnement au brevet délivré le 21 mai 1864 sous le numéro 63131 pour une cheminée et les principes et procédés d'exécution qu'il renferme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 18 mars 1867
Godin fait part au rédacteur du journal du mauvais état des routes dans la région de Guise. Il expose que ce serait une grave erreur d'abandonner les études sur la création de voies de chemins de fer dans l'Aisne initiées par le préfet et le conseil général en raison des projets de transport par locomotives routières. Il explique que ce dernier mode de transport n'est pas encore en état de fonctionner de manière efficace, parce que la boue et la poussière des chemins altèrent les organes de la machine et aussi parce que la règlementation fait obstacle à son développement, que redoute l'administration des ponts et chaussées. Il pense que les locomotives routières sont adaptées aux transports de courte distance, tandis que le chemin de fer reste nécessaire pour le transport rapide sur de longues distances. Godin souhaite qu'on ne fasse pas croire à l'opinion publique que les locomotives routières pourraient remplacer le chemin de fer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin évoque une expédition pour l'exposition. Il informe Émile que Le Play lui a répondu et qu'il va lui écrire pour lui demander les 3 mètres qu'on lui avait promis dans le Palais de l'Industrie pour y présenter des produits remarquables et des vues et plans du Familistère : « Si on ne le fait pas, c'est que le Familistère sera mis hors de concours, alors ce sera drôle. » Il demande à Émile d'aller chez un fabricant de parapluies voir sa fabrication pour savoir si le Familistère ne pourrait pas en vendre : P. Bétaille au 418, rue Saint-Honoré, Ant. Bétaille au 53, rue Richer ou Boulzaguet au 92, boulevard Sébastopol.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur V. Martin, 21 mars 1867
Sur les appointements de l'instituteur recherché par Godin. Godin demande à V. Martin, candidat à l'emploi, des renseignements sur ses aptitudes commerciales et des renseignements sur lui et sur sa situation familiale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 21 mars 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin constate que l'expertise ne lui est pas favorable. Il demande à Oudin-Leclère de se mettre en relation avec Lecoq de Boisbaudran à qui il demande d'aller plaider à Vervins. Godin estime que la situation est difficile dans la mesure où le tribunal a admis qu'il était obligatoire de placer des émaux à l'intérieur des appareils et que ce n'était pas le fait de Jacquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Crécy-Ville, 22 mars 1867
Sur un emploi d'instituteur. Godin informe Crécy-Ville qu'il est favorable à son recrutement et à celui de sa femme, dont les fonctions resteraient à définir. Il les invite à venir au Familistère pour une rémunération de 100 F par mois à répartir entre eux de façon égale comme le demandait Crécy-Ville ou à l'avantage de ce dernier comme le propose Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 27 mars 1867
Godin répond à la lettre de Grebel du 25 mars 1867. Godin est hésitant sur les services que peut rendre Grebel, mais il l'invite à venir faire un essai pour 300 F d'appointements par mois afin qu'il puisse se faire une opinion sur son compte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Delamarre, 29 mars 1867
Godin apprend par une lettre de François Humbert que Delamarre a l'intention de venir au Familistère pour en cultiver les jardins mais qu'il a le désir de visiter la propriété avant de s'engager et qu'il souhaiterait être défrayé du voyage. Godin lui accorde 30 F et il lui donne les indications utiles à son transport.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Humbert, 29 mars 1867
Godin informe François Humbert qu'il autorise Delamarre à venir visiter le Familistère et qu'il met à sa disposition une somme de 30 F pour le défrayer de son voyage. Il remercie Humbert pour son aide.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur V. Martin, 1er avril 1867
Godin accuse réception de la lettre de Martin du 29 mars 1867. Il lui fait observer qu'elle n'explique pas pourquoi il n'est pas venu à Guise. Il lui fait part de sa crainte de devoir l'attendre pour rien, lui qui semble devoir faire un voyage à Odessa. Il lui recommande la lecture de la brochure d'Auguste Oyon sur le Familistère, qu'il pourra trouver au 13, rue des Saints-Pères à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 1er avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que Jules Favre lui a donné comme lui son acceptation. Il lui demande quelle provision il doit adresser à Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Delamarre, 1er avril 1867
Godin répond à la demande de renseignements de Delamarre bien qu'il pensait que François Humbert les lui avait communiqués : le jardinier percevra 150 F par mois sans autre avantage ; il se loge à sa convenance, sa femme peut trouver une occupation selon ses aptitudes, ses enfants reçoivent une éducation gratuite ; il doit avoir la capacité de diriger 4 à 6 ouvriers jardiniers travaillant principalement au potager de deux hectares. Godin lui confirme qu'il aimerait qu'il occupe l'emploi et il lui demande de lui préciser ses intentions.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 4 avril [1867]
Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il passera chez lui le lendemain matin pour savoir quand il lui sera possible de rencontrer Jules Favre.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 avril [1867]
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Cantagrel qu'il sera à Paris le lendemain et il lui demande les notes promises sur les villes alimentées en gaz, sur les brevets Jacquet et sur l'importance des fabriques des appareils de chauffage au gaz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 4 avril 1867
Godin accuse réception de la lettre de Barbet du 1er avril 1867. Godin informe Barbet qu'il part pour Paris le soir même et il lui donne rendez-vous le lendemain au Grand hôtel du Louvre ou au hangar du palais de l'Exposition universelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Poinsot, 4 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin rappelle à Poinsot l'expérience de cuisson sur les émaux nouveaux sans plomb de sa fabrication, qu'il avait conduite en présence de Juette et en l'absence de Jacquet dans son laboratoire à Paris le 14 décembre 1866, et qu'une pièce revêtue de cet émail avait subi une altération. Il lui rappelle également que le rapport d'expertise a constaté que des altérations sur ces émaux ont eu lieu beaucoup plus tard sans préciser la date de ces altérations. Godin demande à Poinsot une déclaration à ce sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 10 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin annonce à Lecoq de Boisbaudran qu'il lui envoie le deuxième volume du Traité des arts céramiques de Brongniart demandé par Jules Favre, dans lequel Godin a repéré les passages relatifs aux vernis plombeux et plombifères des poteries communes. Dans le post-scriptum, il indique qu'il prévient Oudin-Leclère de l'arrivée de Lecoq de Boisbaudran à Laon la veille des plaidoiries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 10 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Oudin-Leclère qu'il a vu Jules Favre et que ce dernier est d'accord pour partir de Paris le 15, dîner le soir à Laon, puis aller à Vervins, et que lui-même se trouvera à Vervins le 16 mars vers 9 heures du matin. Il lui demande s'il reste à Vervins des objets émaillés ayant servi à la première audience. Il lui signale dans le post-scriptum que Lecoq de Boisbaudran accompagnera Jules Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Lheureux, 11 avril 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Lheureux de lui retourner une lettre de Berthin de Neuchâtel et ses lettres adressées à Bertrand des 26 et 29 janvier et du 29 avril. Il lui demande quelles sont les réserves faites par Corneau frères dont il est question dans le jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 13 avril 1867
Godin signale à son correspondant, à toutes fins utiles dans le procès, que sa lettre à Poinsot n'a pas reçu de réponse.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Penant, 20 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin adresse au président du tribunal de commerce de Vervins des pièces complémentaires relatives à son procès contre Jacquet, relatives notamment au prix des rôtissoires en fonte ordinaires ou en fonte vernissée et aux bénéfices retirés par Jacquet. Godin explique que des marchandises livrées à Reims, à Soissons et chez Jacquet ne lui ont pas été payées, que des appareils sont en cours d'exécution et qu'il a dépensé des frais importants de modèles et d'outillage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 20 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin transmet à Oudin-Leclère les pièces mentionnées dans son courrier au président du tribunal de commerce de Vervins du 20 avril 1867. Il explique à Oudin-Leclère que les 12 rôtissoires et autres objets livrés sans émail contredisent péremptoirement Jacquet qui a affirmé à l'audience qu'on ne pouvait faire usage des appareils non émaillés.
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