FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (15) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Eugène André, 29 janvier 1875
Sur le père de Godin. Sur la bière de monsieur Drucbert (?). Godin informe André qu'il envoie à Laeken le chèque qu'il a signé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Dethou, 3 janvier 1875
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin avertit Dethou qu'il ne peut faire le voyage à Bléneau. Il rappelle qu'il cherche une propriété assez vaste pour s'éloigner de tout voisinage, soit d'une centaine d'hectares le long de voies de communications, voire de 200 ou de 300 hectares. Il précise qu'il s'agit d'établir une entreprise industrielle et qu'ainsi la voie de chemin de fer et la voie d'eau doivent se trouver sur la propriété. Il ajoute que les forces motrices seraient la vapeur, mais qu'il ne serait pas fâché d'avoir un cours d'eau. Il annonce qu'il sera en mesure de visiter des propriétés au printemps prochain, mais qu'il a déjà parlé de son projet pour être informé des ventes de vastes propriétés, comme celle de 268 hectares faite des fermes de Toury et du Matroy à Nargis et à Dordives, que lui a signalé Raige-Verger, notaire à Ferrières-en-Gâtinais. Godin remercie Dethou de lui avoir envoyé ses petites brochures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Dethou, 20 décembre 1874
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin demande à Dethou des informations sur la géologie du bassin de la Seine, particulièrement sur la nature des terrains traversés par l'Yonne et par le Loing. Il lui demande également si l'on peut trouver dans l'Yonne ou dans le Loiret une grande propriété traversée par le chemin de fer et à proximité d'un canal, sur laquelle il pourrait fonder un deuxième établissement. Il lui envoie le livre qu'il vient de publier. Il lui signale qu'il rentre à Guise, où Dethou peut lui adresser sa réponse, pour les vacances du jour de l'an.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Janiszewski, 31 mai 1874
Janiszewski a proposé ses services par sa lettre du 28 mai 1874. Godin lui demande si le bureau de l'Association des anciens élèves de l'École des Mines lui a expliqué en quoi consiste le travail de direction industrielle et quelle est son expérience.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime, 4 décembre 1873
Sur le rapport journalier de l'enseignement dispensé dans les écoles du Familistère : Godin veut que le rapport, établi par les élèves les plus capables ou par lui-même, soit détaillé ; il s'oppose à des rapports hebdomadaires identiques les uns aux autres. Godin estime que Poëtte met de la mauvaise volonté à suivre ses indications. Il le prévient que cela ne saurait durer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 7 Août 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur une citation de monsieur Perpigna relative aux brevets d'invention, reproduite par Tisserant dans un document. Sur la fusibilité de l'émail et son application [à la fonte]. Sur la différence des brevets Durand-Morimbau et Boucher avec ses procédés. Sur les appareils à présenter à Paris. « La question de description suffisante est le seul point de débat. ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 10 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense que le principal argument de Boucher et Cie est celui de la description incomplète des émaux servant à l'application des émaux opaques. Godin justifie la nature de son brevet, examine l'argumentaire que pourrait développer Boucher et Cie et lui oppose le sien qui fait valoir que la question de l'émail relève de l'émailleur et qu'on peut utiliser son procédé avec n'importe quel émail qui soit suffisamment fusible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 14 août 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Tisserant qu'il ne croit pas que le jugement de la cour d'appel de Nancy puisse donner matière à cassation ; il l'informe que Boucher commence à lui faire un procès pour des boutons. Godin ajoute qu'au moment où il prend des vacances de député l'administration lui fait procès sur procès au sujet du Familistère et qu'il en est malade.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 16 août 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin demande à Tisserant pour quoi Boucher ne lui envoie pas l'arrêt de la cour [d'appel de Nancy] ; Godin se demande si le procès qu'il lui intente au sujet des boutons, qu'il juge téméraire, est une intimidation, ou bien s'il est grisé par le succès.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 18 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant que les objets à soumettre aux experts sont en cours d'installation à Paris dans une salle des Magasins réunis. Il espère que Tisserant a fait à Boucher et Cie les sommations pour qu'il y expose les produits dont il prétend l'antériorité. Il demande à Tisserant s'il a envoyé ses notes aux experts et lui annonce qu'il joint 1 000 F à sa lettre. Sur des réponses à faire aux questions posées par la cour aux experts. Il lui demande s'il pourra le rencontrer avant la réunion des experts prévue le lundi suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 18 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accuse réception de l'épreuve de la note rédigée par Tisserant et lui communique ses observations sur l'émail de Durand-Morimbau.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 27 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant qu'il lui envoie des notes rédigées en voyage et qu'il lui enverra le lendemain ses notes sur la visite à Fumay.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant que la contre-expertise est terminée et que Barral, chimiste et ancien répétiteur à l'École polytechnique, Henri Péligot, ingénieur civil, et de Luynes, professeur à l'École des arts et métiers, ont réussi toutes leurs opérations et ont acquis la certitude de son bon droit. Il ajoute qu'ils vont envoyer leur rapport à la cour. Les experts suggèrent qu'il devrait rendre visite au président de la cour, mais Godin indique qu'il est fatigué et qu'il doit être à Laon le 10 mai prochain pour une session extraordinaire du conseil général sur une grave question de chemin de fer. Le voyage à Nancy l'obligerait, pense-t-il, à rendre une visite de politesse à M. Godelle [alors procureur général à Nancy]. Godin demande à Tisserant si une lettre au président de la cour pourrait suffire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur l'expertise. Godin est désappointé : après que Tisserant lui ait assuré à Versailles que les experts recevraient ses pièces avant le 21 juillet, il a appris d'eux vendredi qu'ils n'avaient reçu que les pièces de Boucher. Le notaire Mercier lui a appris que les experts n'avaient rien reçu : l'un d'entre eux n'avait pas prêté serment car il se trouvait encore à Vienne. Sur la présentation des produits de la manufacture à Guise ou à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant qu'il lui envoie ses notes sur la visite des experts à Fumay après celle qu'ils ont faite à Guise. Il l'informe qu'il lui renvoie deux lettres qui lui sont destinées, dont l'une porte sur des pommes de terre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 7 mai 1874
Godin adresse à Denisart un chèque de 572,75 F en règlement de son compte et de sa part dans la prime distribuée aux employés. Il signale à Denisart que les affaires à Guise sont plus mortes que jamais. Il souhaite à Denisart d'être heureux pour ses débuts [dans son nouvel emploi].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 7 octobre 1874
Godin remet à Delpech un chèque de 667,60 F conformément à sa demande du 4 octobre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 1er février 1875
Godin demande à Alphonse Grebel d'envoyer à Bozérian, avocat à la cour de Cassation au 6, rue de Tournon, les originaux de son brevet de 1862 pour l'émaillage et de son certificat d'addition, de son brevet de 1864 pour la cheminée et ses organes accessoires, et de son brevet pour l'émaillage de 1864. Il le prie de demander à Eugène André de solder monsieur de Sobirats. Sur un brevet de moulage : son fils Émile lui apporté des nouveaux boutons et il hésite à déposer un brevet spécial pour les boutons et à prendre un certificat d'addition pour les formatrices. Il l'informe qu'il se réunira dimanche prochain avec Larue et Cresson et que sa présence n'y est pas nécessaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 2 juillet 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Grebel qu'il prie de Sobirats de lui retourner son dossier ; il demande à Grebel s'il a un bordereau pouvant lui permettre de vérifier le contenu du dossier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 4 juin 1874
Godin accuse réception des lettres de Grebel des 1er et 3 juin 1874. Il lui indique qu'il n'a pas de conseil à lui donner sur son séjour à Nancy. Sur des carnets relatifs aux émaux enlevés par un nommé Laval. Sur un prétendu brevet pour la fabrication de boutons.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 5 juillet 1874
Godin répond à une question de Grebel sur les enfants Vérinos incriminés par la justice et qui sont à la charge du Familistère depuis la disparition de leurs parents : il lui indique que le Familistère aurait à gagner à en être débarrassé. Il demande à Grebel comme il l'a demandé à son fils Émile, de ne pas entrer en conflit avec le maire de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 10 juin 1874
Alphonse Grebel a annoncé à Godin qu'il voulait rédiger un article sur les institutions de prévoyance du Familistère. Godin l'autorise à le rédiger, mais il attend un article sérieux : « La fonction de journaliste est aujourd'hui très difficile et un bon correspondant est celui qui se contente de donner une narration très simple et très exacte des faits, en laissant au journaliste le soin d'y ajouter ce qui lui convient. ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 13 janvier 1875
Godin informe Alphonse Grebel que Guillaume Ernest Cresson est très malade. Il lui demande quel est le principal actionnaire de la maison de Sougland et qui est son directeur, qu'il voudrait voir à Paris. Il suggère à Grebel de demander des informations à ce sujet à Larue, qu'il doit voir le jeudi suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 14 octobre 1874
Sur un brevet pour le moulage des pièces creuses. Il lui demande d'éviter de le mettre en rapport avec Durenne, dont il a eu à se plaindre. Il ne comprend pas à quoi pourrait servir de faire breveter les lanternes à double boutons comme on les fait à Hirson et souhaite que Grebel vérifie si Huet n'a pas déjà déposé un brevet. Godin prie Grebel de demander à Cresson et à Bozérian s'il faut relancer la cour sur le fait qu'elle ait interprété à tort qu'il avait inventé des émaux alors que son invention ne concerne qu'une application nouvelle d'émaux suffisamment fusibles pour fondre au rouge.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 16 décembre 1874
Sur la tenue d'une réunion des habitants le jour de l'an. Godin explique à Grebel qu'il avait accepté ces réunions car elles avaient un caractère de spontanéité, mais qu'elle avait eu un caractère officiel l'année dernière. Il préfèrerait qu'elle n'ait pas lieu, mais s'en remet à la décision du conseil. Il prie Grebel de dire à de Sobirats qu'il cherche à sauvegarder ses intérêts. Il lui recommande de ne pas envoyer au Journal de l'Aisne son article sur les institutions de bienfaisance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 16 juin 1874
Godin accuse réception de l'article que Grebel veut publier sur le Familistère. Il pense qu'il arrive trop tard et qu'il faudrait le combiner à d'autres faits pour en justifier la publication. Il lui demande de le tenir au courant des agissements de la municipalité de Guise. Il lui signale qu'il sera rassuré sur son compte à la lecture des journaux sur la tournure politique des événements parlementaires : « Si nous ne savons pas encore où nous allons, il est désormais une chose qui se confirme de plus en plus, c'est l'impuissance présente, et toujours plus accusée, des ennemis de la République. La seule crainte qui, aujourd'hui, peut planer sur tous les esprits amis de la République, c'est que le peuple fatigué d'attendre cesse d'accorder ses sympathies à la République pour se mettre à la merci des intrigants. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 17 juillet 1874
Sur un accident mortel survenu à « La Sallière ». Godin estime qu'il est dû à la négligence des victimes. : « Mais j'aime infiniment mieux que le comité de la caisse se préoccupe d'accorder avec justice les secours mérités en pareille circonstance que de s'occuper à ériger en principe que tout ouvrier aurait droit à une pension après 20 ans de travail, sous prétexte qu'on m'aurait entendu dire cela. La sage prévoyance consiste à prévenir le malheur et à le secourir, et non pas à accorder des avantages à ceux qui n'en ont pas besoin. » Godin explique qu'il est absurde de devoir considérer qu'un apprenti engagé à 12 ou 13 ans ait droit à une retraite à l'âge de 33 ans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 18 octobre 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur un brevet pour la fabrication de boutons, dont le dépôt est souhaité par Guillaume Ernest Cresson. Il demande à Grebel si Péligot est la bonne personne pour établir un rapport dans le procès Boucher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 22 juin 1874
Alphonse Grebel a demandé à Godin un conseil sur la conduite que doit tenir le conseil municipal à l'égard des vexations dont celui-ci est l'objet. Godin recommande à Grebel de résister au maire de Guise avec patience et calme et de ne lui donner aucun motif d'esclandre : « Mais ce qu'il faut pour vous, c'est de laisser s'accumuler les uns sur les autres les actes d'arbitraire du maire sans entrer en lutte avec lui. » Il lui paraît nécessaire d'établir des procès-verbaux objectifs des délibérations du conseil municipal. Godin souhaite connaître les principaux griefs faits au maire, avoir l'assurance que le conseil ne rentrera pas en lutte avec lui au nom de la légalité et du droit, et il ne veut pas être mêlé aux débats. Dans le post-scriptum, il annonce qu'il a perdu son procès dans l'affaire Boucher et Cie à Nancy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 22 mai 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur l'éclairage de la maison Duchateau alimentée au gaz par l'usine de Guise : c'est un fait antérieur à la distribution de gaz par la ville de Guise et à l'existence de la compagnie d'éclairage, aussi n'y a-t-il pas lieu de modifier les conduites de gaz existantes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 23 mai 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie : sur les « antériorités », mentionnées dans le jugement, de Durand-Morimbaud de 1831, de Desaghre et Paris de 1840, de Mazeron de 1850, de Rogeat de 1853, et de Klarck et Henrich de 1855 ; il demande à Alphonse Grebel des informations sur cette dernière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 25 juillet 1874
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin veut connaître le motif qui retarde le dépôt du rapport des experts sur la licitation. Sur une pompe conçue par Grebel : Godin veut en installer une ou deux au Familistère pour en apprécier l'usage avant de la mettre en fabrication. Sur les brevets d'invention. Godin juge que dans la mesure où il a plus d'ouvriers qu'il n'en faut dans l'usine, le renvoi de Guerdouen donnerait un bon exemple.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 25 juin 1874
Godin informe Alphonse Grebel qu'il a écrit à son fils Émile pour répondre aux questions d'industrie posées par sa lettre du 22 juin 1874. Sur l'affaire Boucher et Cie : il lui demande de ne pas hésiter à lui dire s'il n'y a eu dans les débats du procès devant la cour de Nancy des atteintes graves portées à sa réputation par Boucher et Cie ; il lui demande également les motifs des incidents survenus entre les avocats.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 29 juin 1874
Godin avertit Grebel qu'il n'a pas de temps à consacrer à l'examen des procès-verbaux des séances du conseil municipal. Il préfère obtenir l'explication des faits saillants qui se produisent à chaque séance. Il lui demande s'il est vrai que le maire ait préparé un arrêté de suspension du conseil municipal. Il le remercie pour les notes relatives aux débats du procès [de l'affaire Boucher et Cie].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 4 août 1873
Godin demande à Amédée Moret de faire l'essai d'émaux à prendre chez différents marchands parisiens : Gauthier au 17 rue du Faubourg-du-Temple, Boudet au 4 rue des Enfants-Rouges, Appert au 66 rue Notre-Dame-de-Nazareth et Veuve Nocus au 1 rue du Rendez-Vous à Saint-Mandé et Tihy au 252 rue Saint-Martin. Il lui demande de ne pas s'occuper de Guilbert et Martin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 4 août 1873
Sur les Fonderies et manufacture Godin-Lemaire : sur une proposition de siphons par Faure ; sur la vente de boutons et sur une remise de fin d'année. À propos de livres : Godin souhaite obtenir de bons ouvrages concernant la mairie et exprime qu'il est satisfait du livre envoyé par Amédée Moret édité en 1866 ; il recommande que les volumes de l'ouvrage de 16 volumes et de celui de 7 volumes soient de même format et que tous les volumes soient imprimés sur un même papier. Sur l'affaire Boucher et Cie : dans le post-scriptum, Godin demande à Amédée Moret de trouver un magasin d'une dizaine de mètres de longueur pour y exposer des produits émaillés dans le cadre de l'expertise de la contrefaçon Boucher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 7 octobre 1874
Godin demande à Amédée Moret de faire paraître dans Le Rappel et les deux autres journaux républicains les plus lus à Paris une annonce pour une offre d'emploi de comptable d'une maison d'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 10 juin 1874
Sur un arrangement avec Lemaître pour la distribution des produits de la manufacture : Godin pense probable que Lemaître pourrait chercher à fabriquer par surmoulage ses produits à Bucarest, où il possède une fonderie ; Godin indique à Amédée Moret qu'il peut dire à Delaruelle son accord pour la suppression de son nom [du tarif de la manufacture].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 10 novembre 1874
Godin demande à Amédée Moret d'aller au 15, rue Gozlin chez madame veuve Blangi pour y voir Émile Raillard, comptable et candidat à l'emploi de chef de la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin désire savoir si Raillard est d'allure simple et modeste et s'il fait usage du tabac, s'il peut venir à Guise s'entretenir avec lui et dans quel délai il serait disponible pour entrer en fonction.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 11 août 1873
Godin demande à Amédée Moret d'acquérir plusieurs ouvrages mentionnés dans sa lettre du 2 août 1873 : le Dictionnaire municipal ou nouveau manuel du Maire ; le Code municipal par Le Berquier ; les deux séries des Plans modèles pour la construction de maisons d'écoles et de mairies par César Pompée ; les Devis pour la construction des salles d'asile avec atlas de plans modèles. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique que l'expertise devrait avoir lieu au mois d'octobre prochain et qu'une possibilité pour exposer les produits serait de trouver un magasin permanent avec un logement attenant qu'Amédée Moret pourrait occuper.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 12 novembre 1874
Godin demande à Victor Poupin de lui envoyer à Guise 200 exemplaires du livre tirés sur beau papier et 200 exemplaires sur papier ordinaire, et de garder les 200 autres exemplaires sur beau papier à Paris. Il désire savoir quand le volume sera mis en vente.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 18 février 1874
Godin demande à Amédée Moret de retirer au bureau du Journal officiel au 31 quai Voltaire à Paris un paquet de 200 brochures des discours de Louis Blanc, Pascal Duprat et Christofle, de prendre un autre paquet de brochures chez Wladimir Gagneur au 11 rue Gaillon à Paris, et de lui envoyer le tout. Dans le post-scriptum, Godin ajoute qu'Ernest Leroux, éditeur au 28 rue Bonaparte à Paris, peut lui remettre un paquet de brochures qu'il avait promises à son fils Émile.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 23 janvier 1875
Godin informe Amédée Moret que l'usine de Guise lui a indiqué avoir organisé l'atelier d'émaillage de façon à se dispenser d'un décorateur sur émail, mais qu'il désirerait tout de même pourvoir discuter avec monsieur Baude et qu'il lui écrit en ce sens. Il l'informe également qu'il a exprimé son mécontentement sur l'arrangement de la circonscription de Darras, et il lui demande s'il lui convient d'ajouter les villes suivantes à sa circonscription: Crépy-en-Valois, Senlis, Chantilly, Beaumont-sur-Oise, Méru, « Saint-Quentin-sur-Oise ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 23 mai 1874
Godin demande à Amédée Moret de faire lui-même la réponse au secrétaire archiviste de la Société des anciens élèves de l'École centrale des arts et manufactures pour lui indiquer les renseignements sur l'emploi à pourvoir : un emploi de direction dans une fonderie de fonte de fer pour la fabrication d'appareils de chauffage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 31 juillet 1873
Godin explique à Amédée Moret qu'il est allé à Paris à la Librairie Jung-Treuttel au 19, rue de Lille pour y acheter des ouvrages qu'il voulait voir pour éviter d'avoir des volumes dépareillés, mais la librairie n'en n'avait aucun. Il prie Amédée de demander à la librairie de faire venir les ouvrages et de les voir avant qu'ils soient envoyés. Il lui demande de trouver un manuel ou un traité d'administration et de comptabilité municipales à la Librairie administrative de Paul Dupont, rue de Grenelle-Saint-Honoré, ou chez Gabriel Roux au 24 rue des Grands-Augustins. Il précise qu'il a un Manuel du maire de 1852 qui, juge-t-il, n'est pas un bon ouvrage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 31 mai 1874
Godin demande à Amédée Moret de faire insérer une offre d'emploi pour la direction de l'usine de Laeken dans Le Rappel, La République française et Le Siècle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Pernin, 7 août 1873
Godin annonce à Antoine Pernin qu'il l'attend au Familistère et qu'il souhaite lui parler de sa fonction avant que celui-ci quitte Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Pernin, 23 novembre 1873
Sur un traité à établir avec Pernin. Godin ne veut pas allouer une prime obligatoire de fin d'année mais souhaite que celle-ci soit confiée « à l'arbitrage de l'organisation que je voudrais instituer au profit du personnel de mon usine » et qu'en attendant elle soit laissée à sa propre appréciation des services rendus. Godin refuse de payer les appointements de Pernin en cas de maladie ou d'absence pour raisons personnelles ; il explique que les garanties assurant contre le malheur doivent être offertes par des institutions particulières. Sur un dédit de 20 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Pernin, 26 novembre 1873
Sur un traité à établir avec Pernin. Godin a été averti par son fils que Pernin attendait une réponse rapide à son télégramme. Godin juge que sa précédente lettre à Pernin méritait une réponse par courrier, que le télégramme n'est pas le bon moyen pour parvenir à une entente et qu'il souhaite que les garanties soient réciproques. Il fait l'hypothèse que Pernin désire quitter son établissement : il lui demande de bien vouloir dans ce cas communiquer à son fils Émile en présence de monsieur Chamolle les explications nécessaires sur les dossiers en cours.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Pernin, 29 juin 1874
Sur le moulage des formatrices. Godin donne des recommandations à Antoine Pernin et lui annonce son prochain retour à Guise afin d'arrêter ce qu'il y a à faire pour les travaux de moulage mécanique. Godin compatit à la perte du fils de Pernin.
Formats de sortie

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