FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 374 résultats dans 19519 notices du site.
Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (18) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0132.T.127r.jpg
Godin répond à la lettre de son correspondant du 18 novembre 1875 en lui confirmant qu'il pourra le trouver chez lui le vendredi suivant.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0147.T.142r.jpg
Godin envoie un mandat postal de 13 F pour un abonnement d'un an au Bulletin du mouvement social et l'achat des numéros parus en 1876, à adresser à Max Veyrac, Post Office Plattsmouth, Nebraska aux États-Unis.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0300.T.291r.jpg
Godin avertit le directeur du Comptoir d'escompte de Paris que son fils Émile se présentera le mercredi 21 mars 1877 à la banque pour y percevoir 100 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0403.T.394v.jpg
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit le maire d'Aisonville qu'il peut afficher le projet d'alignement des rues de la commune. Il lui demande à quels jours et à quelles heures l'enquête doit avoir lieu.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0383.T.374r.jpg
Godin avertit Legrand qu'il le préviendra du jour où ce dernier pourra faire l'affichage de l'arrêté relatif au projet d'alignement des rues d'Aisonville, qui donne lieu à l'enquête qu'il doit conduire.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0094.T.89r.jpg
Godin informe le maire de Guise qu'il a soumis aux commissions des caisses de retraite de son usine la pièce qu'il lui avait soumise, et que les commissions ont décidé qu'elles n'avaient pas à intervenir dans la mesure où Gernelle était un enfant de Guise dont le cas relevait de l'administration publique et que les secours qui lui étaient prodigués devaient se poursuivre sous la même forme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0084.T.79v.jpg
Déclaration d'ouverture d'une librairie au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0067.T.62r.jpg
Godin répond à une lettre de sa correspondante en l'informant qu'il va prendre des renseignements sur elle et qu'elle peut venir le voir à Guise à partir du mardi suivant.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0417.T.408r.jpg
Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin envoie au préfet le manuscrit du compte-rendu de la séance de la commission d'étude du projet d'école normale et du rapport lu dans cette séance, afin qu'il le fasse imprimer.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0361.T.352v.jpg
Godin retourne au préfet de l'Aisne un questionnaire sur les tarifs des chemins de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0395.T.386r.jpg
Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin informe le préfet que lui-même, Malézieux, Soye, Leroux, Maréchal, Ringuier et Fischer, membres de la commission d'étude du projet d'école normale de Laon, sont allés visiter l'école normale en construction à Douai, et qu'ils ont été accueillis par le recteur de l'académie, l'inspecteur d'académie de Lille, le directeur de l'école normale et l'architecte. Il indique que l'architecture est en briques rouges et blanches. Il fait part des réserves de la commission sur l'exiguïté des salles, sur le manque de rigidité des planchers des dortoirs en raison de la grande portée des poutres sans colonnes de soutien, sur la trop grande surface des fenêtres des dortoirs, cause de courants d'air, et sur l'inadéquation des moyens de ventilation. Il explique que la commission estime que l'école normale de Douai n'est pas un modèle pour le département de l'Aisne et qu'elle est partisane de demander à l'architecte Georges Ermant de nouvelles études. Godin interroge le préfet sur les crédits nécessaires à ces études et sur la tenue prochaine d'une réunion de la commission pour faire le choix d'un architecte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0176.T.171r.jpg
Godin explique au préfet que la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise a soumis à son homologation un tarif spécial pour les produits en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, suivant lequel la Compagnie est exonérée de toute responsabilité en cas de dommage causé aux marchandises. Godin proteste contre cette mesure, qui revient à une interdiction d'utiliser les services de la Compagnie. Godin demande au préfet de refuser d'homologuer ce tarif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0085.T.80r.jpg
Godin communique au préfet de l'Aisne la déclaration d'ouverture d'une librairie au Familistère adressée au ministre de l'Intérieur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0331.T.322r.jpg
Godin propose à la commission administrative de l'hospice de Guise d'acquérir un passage entre son usine et une ferme attenante à l'hospice. Il rappelle au président qu'il a déjà acquis par le passé plusieurs terrains à l'hospice au prix de mille francs l'hectare.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0277.T.270r.jpg
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin soumet au président du tribunal une antériorité au brevet Scellier n° 85565 exposée à la page 265 de l'édition de 1858 du Traité de la fonderie telle qu'elle existe aujourd'hui en France et de ses applications à l'industrie par A. Guettier, aujourd'hui directeur gérant de la Société anonyme des fonderies et ateliers de construction de Tergnier-Fargniers. Godin indique que la fonte d'objets creux à une seule ouverture se pratique depuis longtemps dans beaucoup de fonderies, notamment dans la fonderie dirigée par Guettier, alors que le procureur de la République a affirmé que seuls Boucher et Cie avaient résolu le problème dans les procédés décrits soit dans leur brevet n° 74 500 soit dans le brevet Scellier n° 85 565. Godin avance que Wilkes avait parfaitement résolu le problème dès 1849 dans son brevet n° 9 130 sur les boutons de porte, et il précise qu'il en a fait l'expérience dans sa fabrication. Godin explique que le brevet Wilkes de 1849 est tombé dans le domaine public avant 1867, et que la reconnaissance de l'exclusivité de Boucher et Cie sur la fonte de pièces creuses à une seule ouverture blesse à la fois l'équité et le droit. Il ajoute que son avoué Larue a communiqué à l'avoué de Boucher et Cie le passage concerné du traité de Guettier. Sur le folio 269r est copiée une liste d' « Experts à proposer dans l'affaire Boucher » comprenant les noms de Dehaître père, fondeur constructeur à Soissons, Joseph Despret, fondeur directeur de la Compagnie des mines d'Anzin, Guettier, administrateur de la Compagnie anonyme des fonderies de Tergnier-Fargniers au 232 rue Saint-Antoine à Paris, Schreibert, fondeur constructeur, fondateur de l'École de dessin industriel de Saint-Quentin et Hanquez, ingénieur fondeur à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0217.T.211r.jpg
Godin rappelle au président du tribunal sa lettre du 22 janvier 1877. Le tribunal a reporté d'une quinzaine la comparution de Godin et du représentant de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, Godin s'est rendu à Vervins le lundi précédent, mais la comparution a été à nouveau reportée car l'ingénieur de la Compagnie n'était pas disponible. Godin estime que sa comparution est inutile. Dans la mesure où la Compagnie lui interdit depuis un an l'accès à la gare de Guise, qu'il s'agit d'une situation inédite faite à une industrie employant 1 200 ouvriers située à l'entrée d'une gare de chemin de fer et ne demandant que l'application des règles de droit commun, Godin demande au tribunal de rendre son jugement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0216.T.210v.jpg
Godin informe le président du tribunal de commerce de Vervins qu'il lui sera impossible de se rendre à sa convocation car il se trouve à Amiens jusqu'au mercredi suivant pour une affaire devant la cour d'Amiens. Il le prévient qu'il ne lui semble pas possible qu'un arrangement ait pu être conclu sous les yeux du tribunal, alors que 5 ou 6 longues conférences entre l'administration du chemin de fer et lui n'ont pu aboutir à un accord, et il souhaite que le tribunal rende son jugement. Il annonce qu'il serait prêt à conclure une convention avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise si celle-ci offrait des conditions acceptables comme celles que propose aux industriels la Compagnie du chemin de fer du Nord.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0338.T.329v.jpg
Godin accuse réception du tarif de la Compagnie accompagnant la lettre de Mariolle-Pinguet du 12 avril 1877. Godin accepte les conditions du tarif et signale que des employés de la manufacture ont déjà chargé des wagons à la gare de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0434.T.425r.jpg
Godin annonce à son correspondant qu'il sera absent la semaine à venir et il l'invite à venir chez lui le lundi 30 juillet 1877 pour qu'il lui soumette le projet de manifeste électoral qu'il a rédigé à sa demande.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0040.T.35r.jpg
Godin demande aux rédacteurs des journaux de publier une offre d'emploi pour un instituteur et une institutrice capables de tenir les classes d'une école libre de filles et de garçons.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0089.T.84r.jpg
Godin accuse réception de la lettre de Bauchart du 30 septembre 1876 lui faisant part de la décision de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise sur le tarif de transport de marchandises. Godin informe Bauchart que ce tarif est moins avantageux que le tarif du transport actuel et ne lui permet pas de se défaire de son matériel de transport. Il adresse à Bauchart un tableau comparatif des prix anciens et nouveaux montrant que sa compagnie demande 1,20 F de plus par tonne dans la direction de l'Est, 0,58 F de plus dans la direction du Nord et 0,26 F de moins dans la direction de Paris et de l'Ouest. Godin considère que ce tarif ne lui donne pas la possibilité de faire transporter ses marchandises par sa compagnie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0136.T.131r.jpg
Godin écrit à Bauchart à la suite d'une conversation qu'ils ont eue. Sur le chargement des wagons de la compagnie : Godin préfère s'en tenir à l'usage consacré qui veut que les industriels qui font leurs chargements eux-mêmes ne paient que 0,20 F de frais de gare au lieu de 0,75 F. Godin propose à Bauchart de se charger lui-même du chargement des wagons fournis par la compagnie.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
0077.T.72r.jpg
Marie Moret répond en l'absence de Godin à mademoiselle Cazé qui présente une note de frais de voyage de 25,40 F pour elle et sa mère. Marie Moret fait observer qu'elles auraient mangé à Cambrai comme à Guise et qu'ainsi les frais de nourriture ne devraient pas être pris en compte, pas davantage que les frais de voyage de la mère de mademoiselle Cazé qui s'était même offerte le 29 août dernier de venir à Guise sans que ses frais soient payés. Marie Moret lui adresse cependant un mandat postal de 10,40 F en plus de ses frais personnels dont elle a été indemnisée.

Mots-clés :

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
0409.T.400r.jpg
Marie Moret remet à Pézieux des exemplaires à vendre des ouvrages de Jean-Baptiste André Godin. Elle précise que l'ouvrage Les socialistes et les droits du travail est épuisé.

Mots-clés :

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2