FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a été informé par Emmanuel Épaulard qu'Eugène André est de retour au Familistère. Il voudrait savoir sir les fourneaux d'Ayresome peuvent fournir de la fonte n° 1 ; il pense qu'il faut s'approvisionner car le cours de la fonte ne va pas cesser de monter, que la fonte de Clarence n'est pas meilleure que celle d'Ayresome et qu'il faut voir lequel des deux établissements vend au meilleur prix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Eugène Nus qu'à l'occasion de leur entrevue récente, il lui a laissé espérer qu'il prendrait une part dans la rédaction du journal Le Devoir. Il lui fait part de la proposition de Fauvety d'attacher au journal des collaborateurs rémunérés uniquement par le partage des bénéfices éventuels, mais lui confie que ce mode d'organisation ne lui semble pas offrir toutes garanties possibles pour s'attacher des collaborateurs assidus. Il lui annonce qu'il est prêt, malgré les frais qu'il doit supporter pour la publication du journal, à lui offrir une rémunération pour ses articles. Il assure Nus qu'il n'a jamais été autant en communion d'idées avec quelqu'un. Il lui demande quand il viendra étudier le Familistère sur place et lui offre l'hospitalité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Nus pour sa réponse. Il l'invite à venir au Familistère le plus tôt possible pour parler du journal Le Devoir ou de la revue qui lui succédera, voire pour y séjourner et partager avec lui « l'idée que l'œuvre de l'association du Familistère doit être un point de départ pour bien des réformes à accomplir dans nos sociétés modernes, et particulièrement pour l'inauguration de l'association du capital et du travail, non avec l'idéal de bonheur qu'y attachaient autrefois les phalanstériens, mais au moins avec la certitude d'introduire la justice dans la répartition des fruits du travail et de traduire en pratique l'idée religieuse qui nous est commune ». Godin demande à Nus s'il connaît un rédacteur imbu de l'idée de l'association et des réformes sociales nécessaires, qui pourrait remplacer Champury. Il lui communique les horaires des trains de Paris à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Pouillet que le litige avec Cresson est résolu. Godin exprime sa satisfaction que Pouillet puisse se charger de ses intérêts et le prie de donner suite au projet, arrêté avec Tisserant, de venir à Guise pour constater les procédés de fabrication soumis aux experts. Il invite Pouillet à venir chez lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Pouillet pour son concours dans l'affaire Boucher et Cie. Il lui envoie, en accord avec Alexandre Tisserant, un chèque de 4 000 F en paiement de ses honoraires. Il espère que la cour prendra une décision en rapport avec le talent déployé par Pouillet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences à accomplir dans l'usine du Familistère de Guise : Pouillet avait envisagé de venir la semaine précédente, mais c'était la fête du pays et il n'était pas certain que les ouvriers nécessaires étaient disponibles ; Godin propose à Pouillet de venir un jour de la semaine à venir ; il lui communique les horaires de chemins de fer et les informations pratiques de son séjour.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Eugénie Potonié-Pierre un chèque de 45,65 F sur la Caisse commerciale en paiement de neuf articles publiés dans le journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Euphémie Garcin d'avoir pensé à lui à la lecture de l'annonce dans le journal Le Devoir, mais il lui explique que son ami d'une cinquantaine d'année est trop âgé pour la fonction.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Mathias que le chef de gare de Saint-Quentin l'avait consulté pour l'amélioration du transport des marchandises de l'usine du Familistère de Guise par la Compagnie du chemin de fer du Nord. Godin demande à Mathias un rendez-vous pour en parler avec lui et il sollicite aussi un rendez-vous avec l'ingénieur chargé des études des tracés. Il explique qu'il voudrait obtenir des renseignements sur le tracé définitif dans la ville de Guise de la ligne de Valenciennes à Laon pour pouvoir arrêter le plan des nouvelles constructions qu'il va édifier dans l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Cantagrel de lui donner les adresses des conseillers municipaux de Paris et des députés à qui il pourrait envoyer utilement le livre qu'il va publier sur l'association et les caisses mutuelles nationales pour l'extinction du paupérisme, intitulé Mutualité sociale et association des travailleurs, qui contiendra les statuts de l'association du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à François Cantagrel qu'il attend une réponse à sa dernière lettre à la suite des réunions de la commission [de la Chambre des députés] relative au projet de loi sur les associations.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le projet d'association du Familistère. Sur un projet de loi déposé à la Chambre par François Cantagrel concernant l'association du Familistère. Godin explique à Cantagrel qu'il est empêché de déposer les statuts de l'association du Familistère car elle ne rentre dans aucun des formes de société prévues par la loi ; il pense que le projet de loi de Cantagrel lui permettrait de déposer les statuts, mais il s'interroge sur la réception du projet de loi. Godin indique à Cantagrel que l'association du Familistère est l'association complète du capital et du travail et qu'elle permet l'intervention du travail dans l'élection au scrutin d'une partie des membres du conseil d'administration. Il ajoute qu'il veut conserver la gérance et qu'en conséquence, la forme de société anonyme ou en commandite ne peut être appliquée à l'association. Il ajoute qu'il pourrait adopter la forme de la commandite simple mais qu'il serait alors obligé de sacrifier une partie des droits qu'il voulait garantir aux travailleurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le projet d'association du Familistère. Godin présente à Cantagrel les points principaux des statuts qui s'opposent aux lois « qui n'ont pas été faites pour les besoins nouveaux de l'industrie et du travail associés ». Il évoque : l'incertitude de la forme de la société entre la société anonyme et la société par commandite simple ; l'impossibilité de céder des actions en-dessous de 500 F pour un capital de 5 à 6 millions de francs ; la question des classes sociales au sein de l'association et des assemblées générales. Godin conclut qu'il est facile de fonder une association de capitaux mais presqu'impossible d'organiser une association où les intérêts du travail sont représentés à l'égal de ceux du capital. Il explique que les lois font obstacle à son projet d'association qui embrasse l'habitation, la production, la consommation et les secours mutuels de retraite et de maladie. Il l'informe qu'un exemplaire manuscrit des statuts de l'association se trouve entre les mains d'Auguste Vavasseur au 10 rue du Caire à Paris, qu'il a chargé d'en faire l'étude. Il estime qu'il est bon que la commission des lois de la Chambre des députés ait choisi de séparer la question de la liberté de réunion de celle de la liberté d'association, mais que le climat actuel des influences politiques et religieuses ne favorise pas la liberté. Godin assure Cantagrel qu'il est prêt à témoigner devant la commission.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 6 chemises à exécuter d'après la chemise-modèle qu'il a reçue, avec des coins de col arrondis et non pointus.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Gamas et Carré que la chemise modèle qu'il a reçue a l'encolure trop étroite. Il leur demande de lui faire une autre chemise avec une encolure plus large de 21 mm et leur envoie un chèque de 7 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à La Chemiserie spéciale un chèque de 17 F pour recevoir la chemise modèle demandée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Ganault une lettre demandant audience au ministre des Travaux public pour qu'il l'envoie avec deux exemplaires de sa brochure [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise]. Il lui propose de descendre avec lui à l'hôtel de la place du Palais-Royal à Paris lorsque le ministre aura fixé le jour de l'audience.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin confie à Ganault que la suite administrative donnée à l'enquête sur le chemin de fer du Cateau à Laon le préoccupe et qu'il craint que le préfet veuille escamoter l'affaire en la présentant en avril au conseil général « avec tout l'art jésuitique possible ». Il affirme qu'il faut aller voir le ministre pour parer les manœuvres du préfet et des bonapartistes. Sur un tracé de la voie de Tupigny aux Coutures par Lesquielles. Godin demande à Ganault d'acquérir pour lui deux volumes des sessions du conseil général d'avril et août 1872 qu'il a égarés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin approuve l'idée de Ganault de rédiger un article sur le chemin de fer de Valenciennes à Laon. Il lui suggère de s'occuper particulièrement du tronçon de Wassigny à Guise. Il lui signale qu'il a appris que les habitants de Wassigny sont enragés contre lui : on pense qu'il veut faire passer le chemin de fer par Étreux plutôt que par Wassigny, alors que l'idée est de Menche de Loisne. Il ajoute qu'on répand de fausses informations pour exciter la population de Wassigny contre celle d'Étreux et celle de Mennevret contre celle de Tupigny. Il propose d'habituer ces populations à croire à l'excellence du tracé par Hannapes. Godin envoie à ce sujet une série de notes à Ganault. Il propose que son article s'intitule « Chemin de fer du Cateau à Laon. Lettre d'Hannapes ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin accuse réception de la lettre de Ganault de la veille qui l'informe que Menche de Loisne a parlé devant la commission d'enquête de relier l'usine du Familistère à la gare par tramways ou par chemin de fer. Il rappelle que Menche de Loisne avait parlé devant le Conseil général de l'Aisne d'une liaison avec l'usine par chemin de fer. Il fait observer que les tramways seraient moins économiques que ses transports par camions et qu'il est opposé à ce système : « Deux ponts à jeter sur l'Oise, un tunnel sous la route et sous les magasins, des machines élévatoires dans ces magasins, tout cela coûterait très probablement trois cent mille francs. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault que Turquet devait lui donner des nouvelles de ses démarches auprès du ministre sur la question du chemin de fer, mais qu'il n'est pas venu dans la région de Guise. Il propose à Ganault d'aller avec lui à Paris et il lui demande s'il a un plan de campagne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des 3 lettres de Gaston Ganault et le remercie pour son article du journal Le Glaneur. Il fait toutefois observer qu'Hourdequin n'a pas envoyé des exemplaires de celui-ci à tous les conseillers municipaux. Il l'informe que le conseil municipal de Guise a voté la résolution qu'il lui a présentée, que la commune de Lesquielles a délibéré en refusant le tracé de l'ingénieur et les 2 000 F demandés et a voté une subvention de 20 000 F en faveur du tracé de 1873, et que les autres communes s'apprêtent à délibérer dans le même sens. Il lui envoie une carte et un plan et lui indique qu'il fait étudier comparativement par un ingénieur, élève de l'École centrale et auparavant attaché aux études de la compagnie du Nord, les travaux d'art du tracé de l'ingénieur et ceux de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin s'en remet à Ganault pour ce qu'il y a à écrire dans Le Courrier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Ganault de lui rendre le service d'aller à la préfecture voir s'il est possible de consulter les plans de l'ancienne concession du chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Il l'avertit qu'il a des communications intéressantes à lui faire au sujet du tracé de la voie de Valenciennes à Laon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault qu'il a reçu l'épreuve de son discours au conseil général de l'Aisne qui contient des documents essentiels pour soutenir sa proposition et dont il veut faire une brochure intitulée Observations présentées au conseil général sur le projet de chemin de fer de Wassigny à Guise. Il demande à Ganault de presser Levasseur pour faire le tirage. Il pense qu'il serait utile de remettre la brochure au ministre. Il indique à Ganault que l'étude sur un raccordement de la ligne de Saint-Quentin à Guise avec la ligne de l'État par Les Coutures ne sera pas achevée le jeudi suivant mais qu'il pourra fournir toutes les explications à ce sujet. Il l'informe qu'il a écrit la veille à Turquet, qu'il attend sa réponse et qu'il pense que le voyage devrait être différé pour avoir les exemplaires de son discours du conseil général. Dans le post-scriptum, il indique que l'étude sur le raccordement est achevée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Ganault sa lettre du matin. Il lui envoie l'épreuve corrigée [de son discours au conseil général de l'Aisne], que lui a envoyée Albert Abot, chef de la 1re division. Il lui demande d'en surveiller la correction et de faire le nécessaire auprès d'Abot et de Levasseur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 13 mars 1880. Il voudrait obtenir des nouvelles du rapport de la commission d'enquête, que Ganault avait promis d'aller consulter à Paris. Il l'informe qu'il achève une étude complète du tracé de Wassigny à Guise par Hannapes, Lesquielles et Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'édition d'une brochure [avec le discours de Godin au conseil général de l'Aisne sur les chemins de fer de Wassigny à Guise] imprimée par l'imprimerie du Courrier de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin rappelle à Ganault son télégramme lui demandant de venir à Guise consulter les documents qui seront produits à l'enquête. Il l'informe que ces documents vont partir le soir même à la mairie de Guise pour être envoyés à la préfecture de l'Aisne et il les décrit : deux protestations, une pétition au ministre, un contre-projet avec plan et profil. Il lui annonce que Turquet arrivera à l'hôtel de ville de Guise le lendemain.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Ganault le manuscrit de sa brochure [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise]. Il lui demande d'en suivre l'impression. Il lui indique que ce document leur permettra de répondre à toutes les objections qui leur ont été faites. Il lui signale que l'imprimeur peut réutiliser la composition faite pour le volume du conseil général.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Levasseur a envoyé à Godin un télégramme lui réclamant les épreuves corrigées [de sa brochure sur le chemin de fer de Wassigny à Guise], alors qu'il n'a pas reçu ces épreuves. Il suppose que Ganault a dû se charger lui-même des corrections. Il lui envoie une addition au manuscrit qu'il lui a envoyé la veille.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ajout d'une délibération du conseil général de l'Aisne à la brochure de Godin [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin se plaint de l'acharnement administratif contre la ville de Guise et contre lui en particulier à propos de l'implantation de la gare de Guise, question que le préfet entend porter devant le conseil départemental mais aussi auprès de la commission d'enquête du département du Nord. Il demande à Ganault de venir à Guise pour en parler avec lui.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Ganault qu'il se rendra à Laon le mardi 3 février et qu'il sera heureux de le voir à la préfecture pour consulter les documents d'enquête et étudier l'avant-projet de l'ingénieur pour la ligne du Cateau à Saint-Erme et le projet définitif, que l'ingénieur en chef lui a permis de consulter. Godin rapporte à Ganault qu'une réunion s'est tenue la veille à Guise en présence du préfet, non pour discuter du tracé à travers la ville de Guise, mais pour obtenir le concours financier des communes ; il lui explique qu'il a été à cette occasion sollicité pour une subvention de 25 000 F, qu'il a indiqué qu'il pourrait verser davantage à la condition que le tracé évitât le malheur public de 5 passages à niveau, que Menche de Loisne fut invité à parler du chemin de fer par le préfet, qu'il a répondu en montrant les avantages du tracé sous le faubourg de Villers, mais que le préfet et Menche de Loisne ont un parti pris. Godin remercie Ganault de lui prêter son concours auprès de la commission d'enquête et auprès du ministre Varroy.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que Tisserant est revenu de Paris où il est allé consulter l'avocat Pouillet pour plaider dans l'affaire Boucher et Cie, mais que ce dernier refuse de se charger de l'affaire dans la mesure où Cresson aurait affirmé qu'il était son débiteur. Godin rappelle à Cresson comment son compte a été soldé définitivement. Godin avertit Cresson que dans le cas où il maintiendrait son dire, il se verrait obligé de reprendre son dossier auprès de Pouillet, mais qu'il saisirait immédiatement le conseil de l'ordre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lubelski qu'il lui enverra les statuts de l'association du Familistère dès qu'ils seront imprimés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise : établissement du compte de Henri de Hulster pour le percement d'un trou de sondage à 228 m de profondeur. Godin désire arrêter le travail car Maurois est dans un état d'ébriété qui rend la chose impossible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Sur le règlement du compte de Henri de Hulster que Godin établit à 5 448,20 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise : Godin est dans l'attente du compte de Henri de Hulster ; il l'informe que le travail est à l'arrêt faute de matériel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Henri de Hulster des nouvelles de son compte pour pouvoir régler l'affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin adresse à Henri de Hulster un chèque de 5 448,20 F sur la Caisse commerciale de Paris. Il se défend des reproches que lui adresse de Hulster en lui rappelant qu'il a subi tous les désagréments que son équipe lui a causés sans le tenir pour responsable.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise : Godin établit le compte des sommes dues à Henri de Hulster pour le sondage de 255 mètres de profondeur. Il discute des opérations qui restent à accomplir pour recueillir l'eau de la source.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Sur le solde du compte de Henri de Hulster. Godin rappelle à de Hulster que ce solde laisse à sa charge tout le temps perdu, y compris celui pendant lequel Maurois était au « violon ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Levasseur un chèque de 30 F pour sa collaboration à la rédaction du journal Le Devoir à la suite de sa réclamation du 25 décembre 1879.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'impression des statuts de l'association du Familistère. Godin annonce à Levasseur que l'impression des statuts comprendra environ deux cent mille lettres. Il l'avertit qu'il faudra faire un premier tirage de 100 exemplaires et conserver la composition pour pouvoir effectuer des modifications.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Levasseur qu'il est son débiteur pour les 4 derniers mois de sa collaboration au journal Le Devoir. Il lui demande s'il est prêt à reprendre une part dans la rédaction du journal et lui propose un certain nombre de thèmes à traiter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Levasseur un chèque de 210 F en paiement de sa collaboration au journal Le Devoir jusqu'au 1er janvier 1880.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur qu'il doit venir à Guise pour voir s'il ne peut embaucher Migrenne. Godin pourrait l'occuper mais à 100 F par mois seulement : il demande si Levasseur peut lui offrir davantage. Il lui indique que le temps est beau, favorable pour qu'il vienne le voir, et précise qu''une chambre sera à sa disposition chez lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Levasseur qu'il va supprimer le bulletin politique du journal Le Devoir en raison des modifications qu'il va apporter au journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Levasseur un chèque de 180 F pour régler le premier trimestre 1879 de sa collaboration au journal Le Devoir. Sur le cas de Migrenne : Godin ne peut en dire davantage que ce que les journaux ont écrit ; il précise qu'il l'a employé comme auxiliaire dans les bureaux.
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