Godin répond à la lettre de Gueül du 28 février 1886 relative à l'emploi de jardinier. Il lui demande s'il est encore libre et s'il peut, dans ce cas, lui donner les moyens de se renseigner sur lui.

Sur le « portrait biographique » de Godin : Godin ne veut pas avoir l'air d'une « réclame ». Il annonce à Gagneur qu'il va publier dans Le Devoir une brochure qu'il lui a envoyée et que l'article sur les hôpitaux paraîtra dans le prochain numéro du journal. Il lui indique qu'il a lu dans l'Almanach de Poupin l'article qu'il lui a signalé. Sur l'arbitrage international : Godin pense que la question va devenir secondaire au moment où les nations ont besoin de leur tranquillité intérieure.

Godin accuse réception de la lettre de Gagneur du 8 février 1887. Il lui annonce que le numéro du journal Le Devoir contenant la pétition de la commune de Bréry (sic) [en faveur de l'arbitrage international et du désarmement européen], et lui retourne l'original de la pétition. Il le remercie de l'envoi du texte de la proposition de Boyer et de Planteau.

Godin accuse réception des deux lettres de Gagneur du 7 mars 1887. Sur l'envoi de documents parlementaires à Guise par chemin de fer ou par colis postaux. Sur la publication de en volume. Il lui signale dans le numéro de la semaine du journal Le Devoir la mention du monument à Voltaire et à Christin et celle du dépôt des pétitions relatives à l'arbitrage.

Godin demande à Gagneur d'envoyer un exemplaire de la brochure de madame Gagneur, La part du feu à G. Morel, directeur du journal francophone La Croix fédérale (57, Bleecker street à New York) qui veut la publier.

Godin accuse réception de la lettre de Gagneur du 22 janvier 1887. Il lui renvoie des documents sur le mouvement en faveur de la paix qui s’est arrêté après les dernières élections législatives générales, et qui pourrait reprendre si Frédéric Passy et les sociétés de paix s’entendaient pour cela. Godin demande à Gagneur combien il veut d'exemplaires du numéro du journal Le Devoir qui contiendra les noms de la commune de Bléry (sic) signataires de la pétition [à la Chambre des députés en faveur de l'arbitrage international et du désarmement européen]. Il le remercie de lui avoir envoyé le texte de la proposition de Passy et souhaite recevoir celui de la proposition de Antide Boyer. Il le remercie enfin pour l’envoi des portraits biographiques de Passy et de Brazza.

Godin remercie Bullock Hall pour la double information contenue dans sa lettre du 23 juin 1887. Il l'informe que Marie Moret a reçu le livre qu'il lui a adressé et qu'elle lui a envoyé une carte pour le remercier.

Godin répond à la lettre de Bullock Hall du 16 mai 1887. Il l'informe qu'il lui a adressé l'étude sociale Le Familistère et les deux derniers numéros du journal Le Devoir.

Godin accuse réception des lettres de Barns des 7 et 12 avril 1886 et les numéros de The Age of steel. Sur l'échange de The Age of steel avec Le Devoir.

Godin accuse réception de la lettre de Barns du 12 mai 1886, qui lui annonce l'envoi du volume d'un symposium. Il lui annonce que le journal Le Devoir va publier les coupures de presse qu'il lui a envoyées. Il lui demande l'adresse du professeur John Fiske pour lui envoyer des documents.

Godin confirme à Barns sa lettre du 3 décembre et lui envoie dans sa lettre recommandée l'article qu'il lui a demandé. Il l'informe qu'il a demandé à Laurence Gronlund, l'auteur de The cooperative commonwealth en séjour au Familistère, de traduire son article en anglais.

Godin répond à la lettre de Barns du 18 novembre 1886 : il l'avertit qu'il va lui envoyer par le paquebot poste du 11 décembre l'article demandé.

Godin retourne à Virginie Griess-Traut l'article de mademoiselle Bertholon, dont il ne peut pas contrôler l'exactitude.

Godin répond à la lettre de Victor Marchand du 26 avril 1886 : Le Devoir n'est pas en mesure de publier l'ouvrage qu'il lui propose.

Sur une pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin informe son correspondant qu'il lui a envoyé un numéro du journal Le Devoir contenant un projet de pétition destiné à remédier aux abus de la concurrence entre chefs d'industrie ; il lui demande de recommander la pétition auprès de ses collègues.

Godin informe son correspondant qu'il a choisi un autre candidat pour l'emploi de rédacteur du journal Le Devoir.

Godin explique au rédacteur du Daily News qu'il possède les numéros des 7 et 8 septembre du journal, qui comprennent le début du compte rendu du congrès de Hull, et qu'il voudrait obtenir les numéros suivant qui contiennent les résolutions du congrès.

Godin envoie un mandat postal de 22 F à Wysłouch pour recevoir la collection de 1886 de la revue Przegląd Społeczny et pour échanger celle-ci avec le journal Le Devoir, qui a reproduit un article de Bolesław Limanovski.

Sur les droits dus sur un rachat et sur une délégation de rente enregistrés chez le notaire Carré le 1er décembre 1885. Godin conteste le montant de la réclamation sur ce rachat de rente réalisé pour éviter la faillite de sa sœur, décédée peu de temps après.

Sur les droits dus d'un rachat et d'une délégation de rente enregistrés chez le notaire Carré le 1er décembre 1885. Godin conteste le montant de la réclamation sur ce rachat de rente réalisé pour éviter la faillite de sa sœur, décédée peu de temps après.

Godin accuse réception de la lettre de Babut. Il l'informe que les articles qu'il lui envoie exigent une traduction et ne peuvent être publiés immédiatement. Il promet de lui adresser les numéros mensuels du journal Le Devoir consacrés à la paix et l'étude sociale L'arbitrage international et le désarmement européen.

Godin informe la Compagnie du canal de Panama qu'il souscrit 23 obligations de son prochain emprunt et qu'il a demandé à Offroy et Cie de lui verser la montant de la souscription.

Godin accuse réception de la lettre du 14 décembre 1886 de la Compagnie du canal de Panama relative à la conversion des actions au porteur en titres nominatifs. Godin demande des précisions.

Godin accuse réception des intérêts de ses 769 actions de la Compagnie du canal de Panama.

Sur les actions de Godin dans la Compagnie du canal de Panama : sur la conversion de titres au porteur en titres nominatifs.

Sur les actions de la Compagnie du canal de Panama de Godin. Il informe le président-directeur de la compagnie que ni lui ni Marie Moret ne pourront assister à l'assemblée générale du 21 juillet ; il lui envoie un pouvoir et lui demande d'adresser un pouvoir à Marie Moret, qui possède 170 actions et a droit à 5 voix.

Godin répond à la lettre du préfet de l'Aisne du 16 octobre 1886 : il accepte d'être membre du comité départemental de l'Exposition universelle de 1889.

En réponse à la lettre du préfet de l'Aisne du 2 juin 1887, Godin lui transmet des documents relatifs à Léon Alfred Montigny, candidat à l'École des arts et métiers de Châlons et à une bourse d'études.

Godin retourne à Flamant un dossier concernant les écoles et lui envoie le duplicata de la lettre envoyée à Ermant.

Godin demande au maire de Guise de publier les bans de son mariage avec Marie Moret, écrivain. Il lui demande de dire à François Bernardot s'il est nécessaire de produire les actes de décès de leurs pères et mères.

Sur la cession de terrains dans la proximité de la propriété de Godin à Esquéhéries.

Godin informe Hauet qu'il a reçu une lettre de l'agent voyer du Nouvion-en-Thiérache du 27 février 1887, relative à la cession d'une parcelle de terrain. Godin propose à Hauet de lui vendre la parcelle à son prix d'achat, à la condition que la commune d'Esquéhéries lui cède une partie de chemin abandonnée.

Sur une lettre anonyme. Godin indique au juge de paix qu'il pourra réunir le lendemain les délégués des ouvriers dans la salle du conseil de l'usine pour qu'il les entretienne d'une lettre anonyme. Il l'incite à les interroger pour découvrir les auteurs de la manœuvre, « vu, surtout, le récent incendie qui a eu lieu à l'usine ».

Godin répond à la lettre d'Ugo Rabbeno du 10 août 1887. Il l'assure qu'il sera le bienvenu au Familistère et qu'il fera en sorte de s'y trouver le 15 septembre 1887. Il le remercie pour l'envoi d'ouvrages et il lui adresse l'étude sociale Le Familistère.

Godin répond à la lettre du directeur du haut-fourneau et des fonderies de Baudin du 7 juillet 1886. Il l'informe qu'il a employé à titre d'essai Jules Mignot il y a plusieurs mois malgré la crise industrielle, mais qu'il s'est séparé de lui sans avoir rien à lui reprocher, dans la mesure où il est mécanicien plutôt que fabricant.

Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère de Guise.

Godin se plaint auprès du directeur du bureau de poste de Guise de l'impolitesse et de l'inconvenance de subalternes du bureau à l'égard des jeunes gens faisant le service de la poste pour la Société du Familistère.

Sur des actions de la Compagnie du canal de Panama détenues par Godin.

Sur des actions de la Compagnie du canal de Panama détenues par Godin.

Godin répond à la lettre du directeur de la Boulangerie coopérative d'Angoulême du 27 avril 1886. Sur le recrutement d'un garçon boulanger pour conduire les débuts de la boulangerie du Familistère dont le four est en cours d'installation. Il invite le candidat proposé par son correspondant à lui faire part de ses conditions.

Godin répond à la lettre de Theodore Stanton du 18 septembre 1886. Il l'informe qu'une souscription relative à Theodore Parker n'aurait pas de chance d'aboutir car Parker n'est pas connu en France. Il lui envoie 10 F à titre personnel.

Godin répond à la lettre de Taylor du 26 décembre 1886. Il l'avise qu'il sera heureux de recevoir sa visite en janvier. Il lui recommande d'éviter un dimanche ou un jour férié.

Godin accuse réception de la lettre de Minon de la veille. Il attend sa venue le 3 août 1887.

Godin annonce à René Minon qu'il l'accepte pour occuper un emploi d'instituteur au Familistère rémunéré 120 F par mois pour commencer. Il précise que l'instruction au Familistère exige de la bienveillance.

Godin répond à la lettre de Peckover du 3 février 1887. Il l'autorise à reproduire un extrait de qu'il a publié sur la guerre [dans le journal Le Devoir].

Godin répond à la lettre de Delozanne du 2 juillet 1887. Il lui fait observer qu'en tant que lecteur du journal Le Devoir depuis plusieurs d'années, il a dû remarquer qu'il s'occupe exclusivement des questions d'intérêt social, et qu'il ne peut engager les gens à placer leurs ressources dans des entreprises financières qui ne seraient pas placées sous la responsabilité de l'État.

Godin adresse à Offroy et Cie l'étude sociale n° 1 sur le Familistère, dont la couverture présente le catalogue complet de ses ouvrages, parmi lesquels Mutualité sociale qui est en vente chez Guillaumin et Cie au 14, rue Richelieu à Paris.

Sur le compte de Godin chez Offroy et Cie et sur ses actions du canal de Panama.

Sur le compte de Godin. Godin informe Offroy et Cie qu'il souscrit 23 obligations de la Compagnie du canal de Panama à 432,30 F chacune. Il demande à la banque de verser 9 942 F à la Compagnie.

Godin approuve son extrait de compte, créditeur de 10 014,12 F.