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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-François Glatigny, 4 juillet 1848
Godin informe Glatigny qu'il a écrit à Godon pour lui demander un service et qu'il écrit à nouveau à l'un et à l'autre pour leur demander de faire insérer dans les journaux une lettre rédigée à la suite de l'invasion de sa maison par la police ce jour du 4 juillet 1848.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, vers le 4 juillet 1848
Godin demande à Léon Magnier de faire insérer une lettre dans les journaux de la ville, Le Courrier et Le Guetteur : « Au train où marche la réaction, les phalanstériens de notre contrée manqueront bientôt de sûreté. Je forme des vœux pour vous voir échapper à cette réprobation générale des socialistes. » Godin remercie Magnier pour les judicieuses observations contenues dans sa dernière lettre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 8 juillet 1848
Godin répond à la lettre de Jacques-Nicolas Moret du 2 juillet 1848 et lui exprime sa satisfaction d'apprendre qu'il a commencé à étudier la doctrine de Charles Fourier : « Vous aurez chaque jour à vous féliciter de vous être approché du fanal vers lequel le vaisseau de la civilisation vogue au milieu de la tempête pour entrer au port d'harmonie. » Il assure à son cousin, qui est allé à Paris, que les phalanstériens n'ont pas pris part aux tristes événements de juin 1848 : « Nous sommes loin d'espérer rien de bon des commotions sociales. » Godin affirme que les réformes politiques sont accessibles par le suffrage universel, que les réformes sociales ne peuvent s'opérer que pacifiquement, que les idées nouvelles peuvent subir des persécutions, et que les socialistes sont rendus responsables du mal qu'ils n'ont pas fait. Il l'informe qu'un congrès de phalanstériens, prévu le 9 juillet à Paris, a été ajourné en raison des événements. Il l'engage à répandre les idées de rénovation sociale mais avec prudence car les phalanstériens « ne sont pas en odeur de sainteté en ce moment », et lui suggère de souscrire à la rente de l'École sociétaire destinée à soutenir ses publications.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 11 juillet 1848
Sur la persécution des phalanstériens de l'Aisne : Godin explique à Bureau qu'au cours de l'interrogatoire qu'il a subi le 4 juillet 1848 pendant la perquisition de sa maison, le procureur de la République lui a demandé s'il avait vendu des livres à un prix différent de celui qui y était porté, qu'il a répondu qu'il n'avait placé que des ouvrages de la Librairie phalanstérienne et qu'il a écrit une lettre aux journaux de Saint-Quentin qu'ils ne pourront publier que le dimanche suivant [16 juillet 1848]. Sur l'expertise du procès en contrefaçon Degon : Godin rappelle à Bureau qu'il avait confié à Barral en février 1848 un rapport de contre-expertise et des documents à examiner et qu'il a compris en lisant La Démocratie pacifique les raisons pour lesquelles Barral ne lui a pas répondu ; il demande à Bureau de lui retourner les documents confiés à Barral pour lui éviter d'aller à Paris les chercher lui-même. Sur la faillite d'un monsieur Budy qui devait 413,12 F à Godin : sans nouvelles de l'huissier Lépine à qui il avait confié l'affaire, Godin propose à Bureau de charger quelqu'un de recouvrer sa créance au bénéfice de La Démocratie pacifique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Paul Perrot, 12 juillet 1848
Godin retourne à Perrot la reconnaissance de la Caisse commerciale de Saint-Quentin et l'avise qu'il émet un mandat de 862,90 F à échéance du 15 juillet 1848.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Villette-Berlancourt, 12 juillet 1848
Godin répond à Villette-Berlancourt qui lui demande de lui certifier le paiement d'une somme de 491 F : Susse ne peut prétendre devoir à Godin le paiement de la marchandise puisque Godin lui a écrit que c'est seulement à Villette-Berlancourt qu'il avait affaire et que Susse lui a déjà réglé ce qu'il lui devait personnellement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Grouselle, 17 juillet 1848
Godin demande à Grouselle de ne pas tenir compte des contestations d'Émond et d'obtenir le paiement de factures de 1844 et 1845 s'élevant à 315 F. Godin est las des prétentions d'Émond et évoque la possibilité de le poursuivre au tribunal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefébure, 17 juillet 1848
Godin commande 1 000 boules de cuivre de 40 mm

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Haye-Froment, 17 juillet 1848
Godin réclame le paiement de 736,55 F moins 100 F déjà versés par Haye-Froment.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fosset, 17 juillet 1848
Godin avertit Fosset qu'il met en circulation un mandat de 96 F à régler avant la fin du mois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 19 juillet 1848
Godin accuse réception de la lettre de la maison Allez du 14 juillet et évoque les « tristes événements de juin ». Il l'informe qu'il se prépare à expédier des devantures de cuisinières mais qu'il ne retrouve pas la note prise au mois de février précédent, et prie qu'on lui rappelle le type de cuisinière demandé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 19 juillet 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin précise à Barral que c'est la sixième lettre qu'il lui écrit pour obtenir le renvoi des pièces [relatives au procès] qu'il lui a confiées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de la Démocratie pacifique, 25 juillet 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin explique que c'est la septième lettre qu'il écrit à Barral ou à La Démocratie pacifique pour obtenir le renvoi des pièces [relatives au procès] qu'il a confiées à Barral ; il demande qu'on lui donne des nouvelles par le moyen de la « Petite correspondance » du journal, et il fait part de ses regrets « d'avoir pensé à occuper un phalanstérien d'une pareille affaire » et déclare qu'il s'adressera désormais aux « Civilisés ». Godin commande des livres et demande si La Démocratie pacifique veut communication des professions de foi des candidats de l'Aisne aux élections.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Demarlies, 29 juillet 1848
Godin réclame à Demarlies le paiement de ce qu'il doit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 30 juillet 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin, annonce qu'il aura prochainement récupéré toutes les pièces [utiles à son procès] et demande à Oudin-Leclère de lui fixer un rendez-vous à Vervins

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carpentier, 1er août 1848
Godin demande à Carpentier de lui indiquer les mesures à prendre pour se faire payer par Susse, marchand de fer de Roye, de la somme de 581,83 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Décamp, 1er août 1848
Godin informe Décamp qu'il va lui expédier la cuisinière demandée, qu'il lui cède à 85 F ; il lui signale qu'il n'acceptera que les paiements comptant cette année et lui indique qu'il joindra des prospectus à l'emballage de la cuisinière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viltart, 1er août 1848
Sur le recouvrement d'une créance. Godin demande des renseignements sur les garanties présentées par la maison Vermond.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carpentier, 5 août 1848
Sur le recouvrement d'une créance auprès de Susse : Godin envoie un protêt à Carpentier ; il l'informe que Susse lui a envoyé deux billets de banque de 100 F avec une lettre annonçant qu'il paierait peu à peu : il lui adresse un pouvoir pour le représenter dans l'affaire contre Susse.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pourrier, 5 août 1848
Sur une créance de Moucheron : Godin remet un pouvoir à Pourrier, lui précise son numéro de patente de fondeur, et établit le compte de Moucheron, débiteur de 21,75 F, après l'achat en octobre 1842 d'un poêle de cuisine et de tuyaux ; il joint à sa lettre une lettre de Moucheron lui indiquant que sa femme, qui a acheté le poêle et a versé les 100 F, ne lui a jamais communiqué le prix de l'appareil. À propos d'une créance de Delleaux : Carpentier mentionne une somme de 269,85 F, mais Godin ajoute des frais d'acte portant le total à 276,75 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie Pacifique, 5 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin informe ses correspondants que Barral lui a écrit le 28 juillet 1848 pour lui annoncer qu'il avait déposé les documents du procès en contrefaçon à La Démocratie pacifique, et qu'il ne les a toujours pas reçus.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barbet, 9 août 1848
Godin annonce à Barbet qu'il ne pourra se rendre prochainement à Paris, qu'il a envoyé deux pièces de fonte à son dépôt de Paris pour servir de référence aux dimensions d'un modèle à exécuter d'après les croquis envoyés par Barbet ; Godin indique qu'il désire faire des observations sur les croquis mais que cela est difficile par courrier. Godin répond négativement à une demande d'emploi de Barbet en lui expliquant que l'activité industrielle est réduite en province, que le peu d'ouvriers qu'il a conservés produisent plus de marchandises qu'il ne peut en vendre et qu'il n'a pas besoin d'embaucher un sculpteur car les ornements sont accessoires dans sa fabrication. Godin envoie un croquis avec cotes d'un modèle à réaliser, et 35 F pour rémunérer le premier travail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Carpentier, 10 août 1848
Sur la créance de Susse : Godin informe Carpentier que Susse père lui a proposé un arrangement pour éviter des poursuites contre son fils ; Susse donnerait en nantissement des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire d'une valeur supérieure de 100 F à sa créance ; il réglerait en espèces la moitié dans deux mois et le reste dans trois mois, retard et frais compris ; Godin demande à Carpentier d'accepter l'arrangement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-François Minich, 10 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : informe Minich que Barral a rédigé un rapport et lui a envoyé pour signature ; Godin demande à Minich de bien vouloir le signer et lui explique qu'il préfère le rapport à la déclaration que Minich lui a transmise car celui-ci résulte d'un examen accompli par deux personnes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 10 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. À l'invitation d'Adolphe Sabran, Godin fait un historique de ses relations avec Barral dans l'affaire du procès en contrefaçon contre Degon et le prie de présenter sa lettre aux gérants de La Démocratie pacifique : « Barral s'est chargé des pièces d'un procès dans lequel est engagé tout l'avenir de mon industrie » ; Godin a écrit dix fois à Barral et à La Démocratie pacifique sans rien pouvoir obtenir ; il exprime le regret que « des phalanstériens se montrent aussi peu soucieux des intérêts d'autrui ». Godin s'apprêtait à se rendre à Paris le 30 juillet quand il a reçu une lettre de Barral l'informant qu'il avait déposé les pièces à La Démocratie pacifique, mais il attend depuis 13 jours leur envoi. Godin demande à Véran Sabran de se rendre à la Démocratie pacifique pour retirer les pièces et les lui expédier. Godin décrit les pièces à retirer : 4 brevets, 3 dessins, 8 déclarations particulières, 3 mémoires, 1 copie d'un rapport d'expertise, 1 contre-rapport d'expertise, le travail de Barral.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur des fours à coke d'Azincourt, 12 août 1848
Approvisionnement en coke des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin annonce que lui est parvenue une voiture de coke contenant 8 % d'eau et demande à être crédité de 6 F ; il exige que lui soit livré du coke bien sec.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coche, 12 août 1848
Sur un dysfonctionnement d'un appareil des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin explique que l'inconvénient est dû au fait que les surfaces de fonte ne sont pas enduites de suie et que le combustible n'est pas sec ; il propose de changer la chaudière si celle-ci fuit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pottier-André, 14 août 1848
Godin informe Pottier-André qu'il a changé les dispositions des cuisinières à trois fours, qu'il n'en a pas changé le prix, et qu'il prévoit, au prochain hiver, de se faire payer comptant en accordant davantage de remises.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Houlon, 16 août 1848
Godin répond à une commande de 14 fourneaux de la part de Houlon : il lui annonce qu'il pourra lui expédier les appareils dès qu'il lui aura versé 9,40 F qui correspondent aux frais encourus à l'occasion d'une précédente affaire ; il l'avertit qu'il doit modifier ses conditions de vente en raison de la situation, qu'il vend uniquement au comptant avec une remise de 5 % sur le prix des appareils ; il demande à Houlon d'agréer les nouvelles conditions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Becquet, 17 août 1848
Godin sollicite l'huissier Becquet pour obtenir le paiement de 45,50 F par Gavet d'Origny-Sainte-Benoite pour l'achat d'un poêle de cuisine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Huet, 17 août 1848
Godin sollicite l'huissier Huet pour obtenir le paiement de 62,95 F par Denis [ferronnier à Crécy-sur-Serre dans l'Aisne].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Colas, 17 août 1848
Godin demande à l'huissier Colas de le représenter pour obtenir le paiement d'une créance de 656,50 F par Nozal-Legay, dont la maison est en faillite.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 17 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin demande qu'Oudin-Leclère agisse pour que l'affaire soit appelée devant le tribunal même si Beaudelot ne préside pas le tribunal de Vervins et même s'il n'a pas reçu le rapport qu'il attend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Curé, 19 août 1848
Godin demande à Curé des renseignements sur la solvabilité de Decroix, Pottier-André et Laplace-Borgnet, marchands de fer à La Fère. Il lui indique qu'il peut lui rembourser d'éventuels frais, par exemple de consultation au bureau des hypothèquess, et que Laplace-Borgnet est le marchand qu'il connaît le moins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Richard, 19 août 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin accuse réception de la lettre de Victor Richard du 7 août 1848 et des pièces qu'elle contenait. Il le remercie pour ses services dans l'affaire de l'expertise par Barral, mais exprime son regret que trois mémoires et d'autres pièces ne lui aient pas été renvoyés et qu'on lui ait fait croire à l'existence d'un rapport qui n'existe pas.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 23 août 1848
Godin envoie les factures de ses expéditions des 27 juillet et 21 août 1848 d'un montant total de 382 F et établit le compte de la maison Allez, débiteur de 517 F. Il évoque les conditions de vente pour la saison à venir et demande à Allez quelles sont ses prévisions de commandes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ormière, 23 août 1848
Godin informe Ormière qu'il lui a expédié la cuisinière demandée d'un coût de 92 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gauchet, 23 août 1848
Godin évoque la situation des affaires qui ne lui a pas permis de donner suite à ses intentions. Il propose à Gauchet de lui faire une remise de 6 % sur le prix de ses marchandises payées comptant, compte tenu du coût du transport pour Blois. Il lui annonce qu'il peut envisager une remise supérieure dans le cas d'une commande importante.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Foy, 23 août 1848
Godin explique à Foy qu'il n'a pas changé les prix de ses appareils mais qu'il a apporté des perfectionnements de ses fourneaux pour rôtir à la broche et griller la viande. Il lui annonce qu'il lui enverra son tarif dès qu'il sera imprimé, et il l'encourage à passer commande immédiatement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Buisson cadet, 23 août 1848
Godin explique à Buisson que la situation des affaires l'oblige à ne vendre qu'au comptant et lui demande s'il doit lui expédier les cuisinières demandées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Houlon, 23 août 1848
Après l'expédition de marchandises de la veille, le compte de Houlon est débiteur de 1 015,45 F. Godin fait des observations sur le prix des appareils et demande à Houlon quelle modalité de paiement il choisit pour régler sa créance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ormière, 23 août 1848
Godin explique à Ormière que la cuisinière à 5 ouvertures qu'il lui a expédiée la veille et qui ne figure pas sur le tarif qu'il possède coûte 94 F et qu'il lui a accordé 2 F d'escompte. Il donne des précisions sur le « second foyer » de la cuisinière, propre à brûler le bois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Douce-Fricoteaux, 29 août 1848
Godin communique au quincaillier Douce-Fricoteaux les prix de cuisinières pour familles nombreuses et l'informe qu'il peut lui accorder une remise de 2 % sur ces prix en cas de paiement au comptant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Adolphe Moureau, 29 août 1848
Godin demande à Moureau d'imprimer ou lithographier à 150 exemplaires une circulaire sur papier timbré.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gauchet, 31 août 1848
Godin demande à Gauchet si les cuisinières qu'il demande doivent fonctionner au bois ou à la houille ; il se dit surpris que Gauchet n'ait pas commandé pour son parent une cuisinière avec le nouveau dispositif pour rôtir à la broche et griller la viande, qui coûte 112 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 4 septembre 1848
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : à la suite du renvoi par les Hauts-fourneaux du Nord d'effets impayés, Godin solde son compte en leur adressant un mandat de 687,90 F à percevoir à Reims au 15 septembre 1848 ; il commande un bateau de fonte de première qualité qu'il propose de payer comptant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Houlon, 4 septembre 1848
Godin renvoie le billet envoyé par Houlon et l'avertit qu'il émet deux mandats, plus avantageux pour lui, d'un montant total de 1 064,60 F comprenant les frais de transport qui s'élèvent à 4 F les 100 kg, soit 49,15 F pour 1 220 kg. Il indique à Houlon que la prétendue cassure d'une pièce du poêle de 63 cm qu'il a reçu est en réalité une disposition nécessaire à son bon fonctionnement et que la mention d'Esquéhéries sur l'appareil s'explique car l'empreinte d'origine a longtemps été utilisée après le transfert des ateliers à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Briatte, 4 septembre 1848
Godin informe Briatte qu'il peut venir charger les marchandises mais lui recommande de passer commande plus longtemps en avance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacquet, 5 septembre 1848
Godin répond à une demande de trois cuisinières de la part de Jacquet, fumiste, par l'envoi d'une circulaire grâce à laquelle il pourra préciser sa demande. Il lui précise qu'il pourra lui accorder une remise de 2 % sur le prix des appareils pour un paiement comptant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gauchet, 6 septembre 1848
Après une expédition de marchandises, Godin envoie à Gauchet une facture de 287 F. Il précise que le prix du transport jusque Paris est de 6,75 F.
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