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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 5 mai 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech qu'il charge Larue d'interjeter appel du jugement du tribunal de Vervins dans son affaire de liquidation. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin confirme à Delpech lui avoir envoyé la signification de l'arrêt de la Cour de cassation.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 6 juin 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une demande d'argent par Esther Lemaire. Godin demande à Ganault de venir passer quelques jours à Guise. Sur l'affaire Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 9 juin 1876
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie le dossier de l'affaire et lui demande le jour de sa venue à Guise pour en parler avec lui. Sur le procès intenté par Boucher à Vervins pour contrefaçon de boutons de porte et d'objets de fonte creuse, en parallèle au procès en appel à Amiens : Godin espère obtenir une indemnité équivalente à celle que le tribunal de Nancy avait accordée à Boucher et Cie ; il expose à Delpech une stratégie pour confondre Boucher et Cie. Sur l'affaire du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise relative à la responsabilité de dommages subis par des marchandises, en appel à Amiens : Godin propose une stratégie à Delpech.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 27 juin 1876
Sur le choix d'un avocat : Godin indique à Ganault qu'il préférerait Goblet à Dauphin pour avocat, mais qu'il a encore plusieurs affaires en cours avec Cresson. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin voudrait parler de son mémoire sur la question des boutons avec Ganault. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin espère voir Ganault prochainement, à propos notamment d'un incident qui a eu lieu chez les notaires qui ont décidé de renvoyer les parties devant le tribunal.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 17 juillet 1876
Godin informe Larue qu'il a appris que Dupont, architecte de Vervins pourrait être présenté avec Delorme, ancien entrepreneur de bâtiments à Guise, comme experts dans le référé qu'il va produire. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin avertit Larue qu'il va se rendre à Amiens pour s'entendre avec Delpech et que Goblet plaidera dans la question du compte [des époux Godin-Lemaire]. Sur l'affaire Boucher et Cie : il confirme à Larue que Cresson plaidera dans cette affaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. À l'invitation d'Édouard Larue, Godin prévient Cresson que l'affaire Boucher sera plaidée à Vervins dans trois semaines. Sur les indemnités à obtenir de Boucher et Cie : Godin cite une lettre d'Alphonse Delpech, son avoué à Amiens.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin demande à Bozérian son avis sur l'arrêt de la Cour de cassation. Il cite un passage de la lettre d'Alphonse Delpech à ce sujet. Il cite un passage d'une lettre de Guillaume Ernest Cresson sur le même sujet, qui expose une interprétation contraire à celle de Delpech.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Delpech qu'il a demandé à Jules Bozérian son avis sur la portée du renvoi de l'affaire Boucher et Cie devant la cour d'Amiens, étant donnée la différence d'interprétation entre lui et Cresson. Godin cite une lettre de Cresson lui demandant de consulter son avocat à la Cour de cassation, et il cite la réponse de Bozérian lui demandant le jugement du tribunal de Rocroy, l'arrêt de la cour de Nancy et l'arrêt de la Cour de cassation pour pouvoir émettre un avis. Godin juge que les arrêts de la cour d'Amiens et de la Cour de cassation sont obscurs et il demande à Delpech s'il revient à la cour d'Amiens ou à celle de Nancy de les interpréter.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie à Delpech un chèque de 338 F pour régler une affaire de référé. Godin souhaite que Goblet plaide dans tous ses procès avec peut-être l'intervention de Cresson dans certaines affaires.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Tisserant ait recouvré la santé. Tisserant lui propose de se charger de ses procès : Godin ne voit pas comme cela pourrait se passer en pratique car Tisserant réside à Nancy, ce qui nécessiterait d'entretenir avec lui une correspondance chronophage, mais il est prêt à en discuter avec Tisserant ; il lui demande quel rôle il pourrait jouer à côté de ses avoués locaux et quels honoraires il demanderait. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin explique à Tisserant que Grebel lui a appris que Senart, l'avocat de Boucher, se refuse à plaider le 14 décembre 1876 dans le procès en contrefaçon que celui-ci lui a intenté il y a deux ans ; Godin pense que son avocat Cresson ne pourra refuser le report ; il demande son avis à Tisserant sur la question. Il l'informe qu'il a transmis son souvenir à monsieur Tenant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin apprend d'Alphonse Grebel de retour à Guise que Boucher prétend que Cresson demande lui-même en faveur de maître Senart la remise des plaidoiries fixées au 14 décembre 1876. Godin estime que c'est à son adversaire de faire la demande de remise au tribunal de Vervins et que Cresson devrait demander au tribunal la fixation définitive d'une audience la plus rapprochée possible au vu des lenteurs que Boucher et Cie fait subir au procès.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense qu'il faudrait demander à la Cour de cassation d'interpréter son arrêt dans l'affaire Boucher pour savoir si c'est la cour d'Amiens ou celle de Nancy qui doit apprécier la question des dommages et intérêts et si le brevet pris en 1864 pour une cheminée et ses organes accessoires peut être entaché de nullité par cet arrêt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Tisserant s'occupe du contentieux de ses affaires, à commencer par le procès avec Boucher et Cie. Il l'invite à venir à Guise le plus tôt possible.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech que Godin partira demain pour lui porter les réponses à ses questions. Il l'informe qu'il ne se rendra pas à Amiens le mardi suivant car il est convoqué par le substitut du procureur de Vervins pour le procès en contrefaçon Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin remercie Ganault de ce qu'il a fait pour lui suivant sa lettre du 9 février 1877. Il lui explique que si la transaction avec Esther Lemaire n'aboutit pas, la cour d'Amiens rendra son jugement le 5 mars 1877, qu'il craint lui être défavorable. Sur l'affaire Boucher et Cie : le jugement est en délibéré ; Godin informe Ganault qu'il va faire distribuer le lendemain les conclusions en réponse à celles de Boucher et Cie. Il demande à ce que monsieur Roullier lui envoie des fonds par la poste. Il signale à Ganault qu'il lira avec intérêt la brochure sur l'utilité publique de l'école normale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant qu'il a fait opposition à la demande de maître Diet sur les frais de notaire d'Esther Lemaire et que l'audience a été remise au 1er mars. Sur une transaction avec Esther Lemaire : Godin estime qu'un montant de 1 million, intérêts compris, est trop élevé ; il informe Tisserant qu'il a envoyé à Delpech un calcul précis des intérêts et des loyers. Il lui annonce que le tribunal de Vervins a rendu son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin a eu gain de cause et la Compagnie est condamnée à lui verser 50 F d'amende par jour de retard pour effectuer le transport de ses marchandises. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin prévoit de terminer le jour même l'impression des conclusions. Godin demande à Tisserant quand il viendra à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin prévient Larue qu'il ne voit pas la nécessité de se rendre le lendemain à Vervins au sujet de l'opposition à la demande de maître Diet, Tisserant n'étant pas encore de retour à Guise. Godin estime que maître Diet a intégré dans ses frais de procédure les frais du travail de maître Barnier qui devraient être la charge exclusive d'Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Larue que Grebel ira le vendredi suivant à Vervins pour lui demander de remettre un document au président du tribunal. Sur l'affaire Graillot : Eugène André a appris que le tribunal de Vervins avait condamné Godin à payer trois mois d'appointements à Graillot ; il voudrait faire appel du jugement à Amiens et prie Larue de demander à Alphonse Delpech si la cour d'Amiens est susceptible de juger dans le même sens que le tribunal de Vervins.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin soumet au président du tribunal une antériorité au brevet Scellier n° 85565 exposée à la page 265 de l'édition de 1858 du Traité de la fonderie telle qu'elle existe aujourd'hui en France et de ses applications à l'industrie par A. Guettier, aujourd'hui directeur gérant de la Société anonyme des fonderies et ateliers de construction de Tergnier-Fargniers. Godin indique que la fonte d'objets creux à une seule ouverture se pratique depuis longtemps dans beaucoup de fonderies, notamment dans la fonderie dirigée par Guettier, alors que le procureur de la République a affirmé que seuls Boucher et Cie avaient résolu le problème dans les procédés décrits soit dans leur brevet n° 74 500 soit dans le brevet Scellier n° 85 565. Godin avance que Wilkes avait parfaitement résolu le problème dès 1849 dans son brevet n° 9 130 sur les boutons de porte, et il précise qu'il en a fait l'expérience dans sa fabrication. Godin explique que le brevet Wilkes de 1849 est tombé dans le domaine public avant 1867, et que la reconnaissance de l'exclusivité de Boucher et Cie sur la fonte de pièces creuses à une seule ouverture blesse à la fois l'équité et le droit. Il ajoute que son avoué Larue a communiqué à l'avoué de Boucher et Cie le passage concerné du traité de Guettier. Sur le folio 269r est copiée une liste d' « Experts à proposer dans l'affaire Boucher » comprenant les noms de Dehaître père, fondeur constructeur à Soissons, Joseph Despret, fondeur directeur de la Compagnie des mines d'Anzin, Guettier, administrateur de la Compagnie anonyme des fonderies de Tergnier-Fargniers au 232 rue Saint-Antoine à Paris, Schreibert, fondeur constructeur, fondateur de l'École de dessin industriel de Saint-Quentin et Hanquez, ingénieur fondeur à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la carte postale de Pagliardini. Il l'informe qu'Émile est arrivé à Guise souffrant, mais qu'il va mieux. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin remet à Pagliardini une lettre à Wilkes, auteur en 1849 du brevet sur la fabrication de boutons de porte que Boucher et Cie a fait breveter à nouveau ; il demande à Pagliardini de traduire la lettre et d'essayer d'obtenir une réponse. Sur la réforme de l'orthographe : Godin apprécie l'idée de Pagliardini de poser les règles d'une nouvelle orthographe en tête du papier à lettres servant à la correspondance ; « Il faut être anglais pour trouver des inventions aussi pratiques ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du télégramme de Tisserant. Godin prévient Tisserant qu'il ne veut pas engager Richon à diriger les opérations. Il explique à Tisserant qu'il a demandé 70 m² de surface pour exposer dans les classes 25 et 27 de l'Exposition universelle de 1878 et que Muller, ingénieur au 19 rue des Martyrs à Paris et président de la commission d'exposition de la classe 27, vient de lui apprendre qu'on ne lui accorde que 8 m². Godin demande à Tisserant de se rendre dans les bureaux de l'administration de l'Exposition universelle pour s'informer sur la place accordée à Boucher et Cie ; Godin soupçonne que Boucher et Cie a obtenu bien plus de surface que lui pour exposer les contrefaçons de ses produits. Godin annonce à Tisserant que, fort de ce renseignement, il pourra intervenir auprès de Krantz, son ancien collègue à l'Assemblée nationale. Godin demande à Tisserant de se renseigner également sur le sort réservé à sa demande d'exposer des tables d'école dans la classe n° 6 consacrée à l'enseignement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Cresson un chèque de 5 000 F en paiement de ses honoraires, qu'il a demandé à Alexandre Tisserant. Godin demande à Cresson si la somme couvre les frais de la suite du procès avec Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Falaize qu'il est inutile de demander la transcription de l'arrêt de la cour d'Amiens du 12 mars 1877.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Tresca a informé Tisserant qu'avec ses collègues, il se rendrait dans les ateliers des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à la fin du mois pour la suite de l'expertise dans l'affaire Boucher et Cie. Godin indique à Tresca qu'il veut en finir avec cette affaire, qui le maintient sous le coup d'une action en contrefaçon et dont les inconvénients sont nombreux y compris à l'occasion de l'Exposition universelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Thiébaut et à Piat qu'il a écrit à Tresca et lui demande de presser l'expertise dans l'affaire Boucher et Cie, et de venir dans les ateliers de la manufacture de Guise le plus tôt possible. Il les avertit qu'il est important qu'il soit délivré rapidement de la menace de contrefaçon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant son télégramme du matin le priant d'attendre à Lyon une lettre de lui. Il lui demande s'il peut recueillir dans les fonderies de Lyon et des autres villes qu'il visitera des attestations sur l'usage de lanternes dans la fonte d'objets creux comme les grenades ou les obus, dans le but de montrer que le procédé est connu de tous les fondeurs et n'est pas une nouveauté comme le prétend le brevet de Boucher et Cie. Il lui envoie un croquis [non copié].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que Tisserant est revenu de Paris où il est allé consulter l'avocat Pouillet pour plaider dans l'affaire Boucher et Cie, mais que ce dernier refuse de se charger de l'affaire dans la mesure où Cresson aurait affirmé qu'il était son débiteur. Godin rappelle à Cresson comment son compte a été soldé définitivement. Godin avertit Cresson que dans le cas où il maintiendrait son dire, il se verrait obligé de reprendre son dossier auprès de Pouillet, mais qu'il saisirait immédiatement le conseil de l'ordre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences à accomplir dans l'usine du Familistère de Guise : Pouillet avait envisagé de venir la semaine précédente, mais c'était la fête du pays et il n'était pas certain que les ouvriers nécessaires étaient disponibles ; Godin propose à Pouillet de venir un jour de la semaine à venir ; il lui communique les horaires de chemins de fer et les informations pratiques de son séjour.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin regrette que sa santé ne lui permette pas d'aller le voir à Paris ; il lui signale qu'Alexandre Tisserant lui expliquera quelles sont les recherches qu'il doit faire. Il l'informe qu'une expertise a eu lieu sur les boutons de porte en fonte de fer et qu'elle lui a donné raison contre Boucher et Cie. À propos du brevet Scellier et de la fabrication des objets creux en fonte : Godin pense que le procédé contenu dans le brevet Scellier est utilisé couramment chez les fondeurs mais il n'a pu trouver un fondeur le mettant en œuvre à Paris. Il demande à Guettier de lui fournir les preuves de l'usage commun de ce procédé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Godin communique à Tisserant une lettre de Guettier et des documents sur le sujet qui, selon lui, manquent de précision. Il lui envoie les attestations qu'il a recueillies à Paris pour la fabrication de boules creuses.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Sur les statuts de l'association du Familistère : Godin précise à Tisserant que l'imprimeuse des statuts est madame veuve Éthiou-Pérou au 2 et 4 rue de Damiette à Paris ; il lui annonce qu'il va faire dresser la liste des anciens habitants du Familistère ; il propose d'offrir à Vavasseur la somme de 2 000 F et souhaite qu'il lui demande de faire ses dernières observations. Il transmet à Tisserant le meilleur souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Pouillet pour son concours dans l'affaire Boucher et Cie. Il lui envoie, en accord avec Alexandre Tisserant, un chèque de 4 000 F en paiement de ses honoraires. Il espère que la cour prendra une décision en rapport avec le talent déployé par Pouillet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin demande à Amédée Moret de lui confirmer la vente par Boucher de boutons de porcelaine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Guettier même si son procès a été un échec complet. Il l'informe qu'il lui enverra aussi vite que possible la notice qu'il demande sur son établissement.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Eugène Nus a demandé à Godin s'il peut être utile pour lui qu'il connaisse un avocat à la Cour de cassation. Godin lui explique que depuis 10 ans il est en procès contre Boucher, industriel ancien avocat du barreau de Paris qui est parvenu, tout en étant déclaré contrefacteur, à annuler un de ses brevets sur l'émaillage de la fonte, et lui a intenté un procès en contrefaçon, aujourd'hui en cassation. Il estime que les magistrats le condamnent d'avance en qualité de socialiste, fouriériste, républicain radical et spirite. Il lui envoie des documents relatifs au procès en cassation. Il l'informe que le procès avec son fils passe en cour d'appel le jour même.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Pouillet qu'il va recevoir la visite de Leblon, ingénieur de l'usine de Guise, pour qu'il lui donne des éclaircissements sur le procès en cassation.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le partage de frais du procès avec Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Pouillet qu'après le rejet de son pourvoi en cassation dans l'affaire Boucher et Cie, il a demandé à Tisserant de se mettre en relation avec lui pour composer le dossier de dommages et intérêts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Tisserant des nouvelles de lui et de sa santé. Il lui expose le risque de contravention qu'il encourt pour défaut de dépôt légal du journal Le Devoir. Sur l'affaire Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu une lettre de Pouillet relative à l'affaire Boucher et Cie. Il lui demande de se mettre en relation avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant que Delpech lui a appris que la cour d'Amiens l'avait condamné à 80 000 F de dommages et intérêts envers Boucher et Cie. Godin considère que la cour est prévenue à l'égard du « républicain socialiste Godin » depuis 30 ans dans ses procès en contrefaçon. Godin est inquiet du silence de Tisserant. Il lui demande conseil sur la possibilité d'un pourvoi en cassation, sur un procès à Nancy et un autre contre Sougland.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Moret que suivant l'avis de Pouillet, il se pourvoit en cassation dans l'affaire Boucher et Cie et que Tisserant, de Nancy, se mettra en relation avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin informe Tisserant que Pouillet n'est pas parvenu à faire venir l'affaire devant la cour avant les vacances. Il lui signale que la presse parisienne commence à s'occuper de ses ouvrages. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Tisserant des 13 et 14 juin 1884. Il lui annonce que Bernardot a répondu à sa lettre relative à Boucher et qu'il lui retourne une lettre de Pouillet. Sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Tisserant, Alexandre (1822-1896)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Tisserant informe Tavernier que l'audience de la cour d'Amiens dans le procès de Godin contre Boucher et Cie aura lieu le 10 novembre 1879. Il lui demande où en sont ses recherches sur le moulage des pièces creuses en fonte de fer et autres métaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Moret qu'il veut, comme Pouillet lui a demandé, se pourvoir en cassation contre l'arrêt rendu le 25 novembre 1879 par la cour d'Amiens dans l'affaire Boucher et Cie de Fumay. Il lui demande le montant de la provision qu'il doit lui verser.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie à Tisserant un travail sur l'affaire Boucher et Cie qu'il envoie également à Pouillet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin demande à Sobirats une pièce extra-judiciaire signifiée par Boucher pour sa demande en dommages et intérêts. Il l'informe qu'il adresse à Tisserant et à Pouillet un avant-projet de conclusions en réponse à Boucher et Cie.

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