Correction des épreuves du numéro de juin 1894 du Devoir.

Correction des épreuves du numéro de juin 1894 du Devoir.

Demande à l'imprimerie d'intégrer les dernières corrections envoyées par Jules Pascaly avant de procéder au tirage des feuilles du numéro de juin 1894 du Devoir.

Marie Moret accuse réception de la facture qu'elle règlera lorsqu'elle sera en possession du nouveau numéro du Devoir. N'a pas encore reçu l'exemplaire du tirage demandé mais Pascaly vient de recevoir le sien. Adresse plusieurs articles et documents pour le prochain numéro, dont le sommaire. Demande à ce que Veuve Laporte soumette à Auguste Fabre un exemplaire des épreuves et lui restitue son manuscrit le plus tôt possible. Sur la composition du numéro.

Suppose la bonne réception des documents envoyés par Pascaly et envoie un chèque de 197 F pour solder la facture du 28 mai 1894.

Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Pascaly.

Confirme sa lettre du 20 juin 1894 et retourne à Veuve Laporte les épreuves de la feuille 4 et de la couverture. Sur la mise en page de « Sans famille ». Prie Veuve Laporte de lui adresser un exemplaire du tirage, de même qu'à Pascaly.

Pascaly et Marie Moret accusent réception du numéro de juillet du Devoir. Confirme l'impression de la brochure de Fabre, Deux épisodes de la vie de Robert Owen, dont les frais sont à porter sur la facture du Devoir.

Pascaly et Marie Moret accusent réception du numéro de juillet du Devoir. Confirme l'impression de la brochure de Fabre, Deux épisodes de la vie de Robert Owen, dont les frais sont à porter sur la facture du Devoir. 100 exemplaires de la brochure seront à joindre aux exemplaires du Devoir expédiés, les autres seront à remettre directement à Fabre.

Plusieurs points concernant l'édition du journal Le Devoir : envoie 9 pages de documents biographiques de Godin pour le prochain numér ; Pascaly enverra aussi un article ; elle et Pascaly ont bien reçu le numéro 605 du Devoir ; Fabre leur enverra bientôt un article de Gide « Des contrats de salaire » ; envoie un chèque de 197 F en règlement de la facture.

Envoie des articles à insérer dans le prochain numéro du journal Le Devoir ; sur l'insertion de l'article de Gide, « Des contrats de salaire », après la biographie Godin ; sur l'arrivée au Familistère du ballot des 320 exemplaires du journal.

Retourne les pages du Devoir demandées. Marie Moret remercie Veuve Laporte du mot sur la conférence de Gide. Sur l'envoi du sommaire par Pascaly.

Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Pascaly.

Retourne l'épreuve d'une page du Devoir ; sur un prochain envoi de Pascaly mais son enfant étant malade, il ne pourra peut-être pas y procéder rapidement ; pour la composition, demande à l'imprimerie de se baser sur le sommaire qu'elle envoie avec cette lettre.

Sur la composition du prochain numéro du Devoir et la rubrique « Ouvrages reçus ».

Envoi d'articles et composition du prochain numéro du Devoir.

Sur la composition du prochain numéro du Devoir. Accuse réception du ballot arrivé au Familistère et leur envoie un chèque de 197 F en règlement de la facture.

Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Pascaly.

Retourne sous pli séparé les épreuves des pages 513 à 540 du prochain numéro du Devoir. Enverra les autres pages une fois que Pascaly lui aura envoyé ses corrections. Sur les modifications à apporter à l'article de Pascaly « Les socialistes au Parlement ».

Marie Moret satisfaite des corrections régulières du Devoir effectuées par l'imprimerie. Sur les modifications et corrections de la feuille 2 ; Marie Moret retourne les épreuves des feuilles 3 et 4 et de la couverture ainsi que la suite de « Sans famille ».

Accuse réception la lettre de Veuve Laporte du 5 septembre 1894 et des manuscrits qui n'ont pu être insérés dans le numéro du Devoir du mois. Marie Moret envoie avec cette lettre plusieurs articles à insérer dans le prochain numéro d'octobre qu'il faut mettre en composition. Pascaly en vacances, Marie Moret demande à ce qu'elle soit la seule à recevoir les épreuves à corriger.

Sur l'échange gratuit du Devoir avec le journal La France socialiste : fait parvenir à son directeur les 3 derniers numéros du Devoir et le prie d'adresser le service d'échange à Pascaly.

Transmet les condoléances de Pascaly à Grançon. Marie Moret lui conseille de suivre « le mouvement de la vie » car « c'est en se rendant utile aux autres qu'on supporte le mieux sa peine ». Envoie des brochures de Gide et des exemplaires du Devoir à Grançon qu'elle le charge de distribuer aux personnes dont elle a indiqué le nom en couverture.

Informe qu'elle transmettra à Pascaly la communication que Virginie Griess-Traut vient de lui envoyer pour Le Devoir. Cependant, le numéro d'octobre est déjà tiré et celui de novembre sera consacré aux compte-rendus de plusieurs assemblées générales. Sur son doute concernant l'adhésion de la Société de paix du Familistère aux idées de Virginie Griess-Traut.

Accuse réception de l'exemplaire du Devoir et envoie les 45 pages de compte-rendu de l'assemblée générale de la Société du Familistère, à placer dans le nouveau numéro du journal. Sur la composition du numéro et la mise à disposition de tirés à part du compte-rendu de l'assemblée générale pour Dequenne et Cie.

Annonce l'envoi de deux chèques : l'un de 300 F à Pascaly, l'autre de 45 F à Jaluzot et Cie.

Demande de faire envoyer à Paris chez Pascaly La Revue mutualiste avec laquelle Le Devoir pratique l'échange.

Donne des nouvelles de son séjour à Nîmes. Jeanne Dallet peint des chrysanthèmes. Sur le mauvais temps à Paris et les rhumatismes de Pascaly. Sur la réception d'une lettre « de cet animal de Marcel Laporte » envoyée d'Alger à Lesquielles-Saint-Germain : « ce malheureux détraqué » y profère des injures à l'encontre de Marie Moret ; Marie Moret compte sur l'intelligence d'Élise Pré pour ne pas lui dire où elle se trouve. Joint un télégramme à cette lettre pour que Flore Moret la prévienne si Laporte arrive à Guise. Précise qu'elle préviendra la police en cas de besoin. Joint à sa lettre une lettre d'Émilie Dallet qui lui est adressée.

Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

Remercie Gobat pour les réponses à ses questions envoyées à Ducommun et renouvelle sa proposition d'assurer un échange du Devoir avec La Conférence interparlementaire. Envoie les deux derniers numéros du Devoir dans lesquels se trouvent des articles sur la paix.

Annonce l'envoi de deux chèques : l'un de 400 F à Jules Pascaly, l'autre de 6,35 F à La Ménagère.

Sur le chantage exercé par Laporte et son équilibre psychologique : « Quelle folie ! ». Sur l'arrivée dans la période des encombrements postaux et de ses désagréments. Sur le mauvais temps à Guise et à Paris et la santé de Pascaly et de son garçon, malade d'influenza.

Sur les problèmes psychologiques et les méchancetés de Laporte qui lui apporteront du trouble une fois qu'il sera « dans le monde des esprits ». Sur l'aggravation de l'état de santé du mari d'Élise Pré, sa mise à la retraite et son incapacité à travailler selon le docteur Devillers. Émilie et Jeanne Dallet heureuses que Flore Moret ait apprécié leur envoi; progrès de Jeanne en peinture. Sur les douleurs d'estomac d'Émilie et la gentillesse de Sophie Quet. Transmet les hommages de Fabre, parti à la chasse. Sur l'état de santé du garçon de Pascaly.

Présente ses très affectueux vœux pour la nouvelle année, de la part de la famille Moret-Dallet. Transmet les bons souhaits et hommages de Fabre et Pascaly. Sur le mistral à Nîmes. Demande de prévenir Doyen et Élise Pré que les 5 F d'étrennes du facteur sont de la part d'Émilie Dallet et de la sienne.

Annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

Informe de l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

Sur l'état du compte financier du journal Le Devoir, les ajouts ou suppression de services du Devoir mentionnés dans une note jointe à la lettre et les échanges avec plusieurs revues : La Revue libérale, La Revue immortaliste, La Vie marseillaise (refus de l'échange), Le Progrès spirite. Demande à Doyen de remettre l'Almanach de la coopération française envoyé avec cette lettre à la bibliothèque du Familistère et de lui retourner le numéro du Devoir de mai 1892. Sur la note jointe sont indiqués : « à effacer » du service d'échanges, la Revue des institutions de prévoyance et La Femme et l'enfant ; « à ajouter » aux services gratuits, F. Aimé à Paris et F. Bitard à Bordeaux.

Retourne à Veuve Laporte les épreuves corrigées de « Robert Owen », « Assurance contre le chômage », du sommaire et de la dernière page de la couverture. Les prie d'accélérer la composition.

Accuse réception des 1 000 F demandés et des certificats de dépôts. Informe de l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

Envoie un exemplaire du numéro de mars du journal Le Devoir. Sur la possibilité d'un échange entre les services de La Conférence interparlementaire et du Devoir. Pascaly ne reçoit plus La Conférence interparlementaire.

Informe de l'envoi d'un chèque de 300 F à jules Pascaly.

Informe Flore Moret qu'elles commenceront les préparatifs du retour à Guise après le 12 mai 1895. Sur l'état de santé d'Émilie et Jeanne Dallet et celle de Marie Moret, qui doit toujours se coucher aussitôt après le dîner et qui souffre de rhumatisme par temps humide. Sur l'article nécrologique de Pagliardini dans Le Devoir de mai. Sur la venue de Pascaly à Nîmes dimanche prochain. Amitiés à madame Roger et aux soeurs de Flore Moret.

Marie Moret remercie Massoulard pour les statuts de la société coopérative d'Angoulême et lui donne des nouvelles du Familistère : inventaire, adoption des carnets, économat, emploi pour Jules Pascaly, rédaction des statuts. Son appartement a été vidé et une nouvelle famille s'y est installée. Elle lui demande de ses nouvelles et évoque l'enterrement de sa nièce Lilie.

Marie Moret souhaite à Antoine Massoulard d'être heureux auprès des siens suite à sa décision de quitter Angoulême pour rejoindre sa famille à Saint-Léonard-de-Noblat. Massoulard ayant proposé son aide, Marie Moret l'informe qu'il serait utile de traduire pour Le Devoir des articles anglophones sur les conditions sociales. Elle lui dresse un bilan de son passage à la direction de l'administration de l'usine du Familistère . Elle lui dresse une liste les visiteurs attendus au Familistère, dont Neale « si difficile à comprendre en français » avec qui Massoulard aurait pu parler en anglais. Elle évoque un procédé inventé par Massoulard apparu également en Amérique [le sablage des pièces métalliques], leurs pensées communes à propos de sa nièce Lilie, et le fils de Massoulard. Elle lui transmet les salutations de plusieurs personnes du Familistère. Le post-scriptum évoque la figure de Victor Hugo mentionnée dans Le Devoir.

Marie Moret remercie Massoulard pour l'article envoyé et s'excuse du délai de sa réponse, dû à la fête de l'Enfance et aux nombreux visiteurs ayant séjourné au Familistère. Réflexion sur la beauté de l'âme des personnes ayant consacré leur vie à l'espèce humaine. Neale a proposé d'intéressantes modifications aux statuts. Marie Moret décrit les améliorations apportées aux bâtiments du Familistère. Elle évoque : des exclusions du Familistère pour « ne garder que les éléments propres à entrer dans l'association » ; l'échec de Léon Godin dans ses études ; Jules Pascaly et le rôle qu'il pourrait jouer au Familistère ; une lettre de Marie Howland qui leur pardonne ce qu'ils ont fait à son texte ; l'abandon du mariage complexe par la communauté Oneida. Elle demande à Massoulard de traduire le très long discours inaugural de James Stuart au Congrès coopératif de Gloucester de 1879, et elle le remercie pour l'article de l'American Socialist qui paraîtra dans Le Devoir de la semaine prochaine.

Marie Moret accuse réception d'un télégramme de Massoulard annonçant son retour prochain au Familistère. Marie Moret revient sur les critiques faites à Massoulard, et les relations difficiles qu'il a entretenues avec la comptabilité lorsqu'il travaillait au Familistère. Elle lui fait part qu'Auguste Fabre, qui va venir au Familistère, avait prophétisé le retour de « l'hirondelle » [Massoulard]. Elle recommande Pascaly à sa sympathie.

Après le départ d'Auguste Fabre de Guise, Marie Moret lui a envoyé Solutions sociales ; elle lui envoie pour la Chambre La Solidarité

Marie Moret demande à Fabre quand il compte venir et propose son aide pour l'organisation du voyage. Elle lui remet une lettre à destination des membres de La Chambrée La Solidarité suite à la faveur qu'ils ont faite à Godin et elle-même. Elle lui annonce l'envoi d'un courrier de Godin relatif à M. Philip.

Marie Moret le remercie pour les vues de Nîmes. Pascaly lui adresse l'encrier demandé. Elle donne des nouvelles de sa nièce malade.

Marie Moret remercie Fabre pour l'envoi de son portrait photographique. Elle presse Fabre de leur indiquer quand il apportera son concours au Familistère. Elle l'informe qu'elle envoie à madame Philip les photographies demandées. Elle envoie à Fabre un article de presse consacré au Familistère paru dans La France de Louis Simonin qui est venu au Familistère avec une dame australienne. Lui demande s'il est content des articles de Pascaly et l'informe du décès de sa nièce.