FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 12 août 1859
Dolot avertit Godin que des caisses de modèles sont parties le matin de Guise. Sur des traites de Bolkow et Vaughan transmises à monsieur Oppermann, dont l'une comprend une commission de banque que Godin ne veut pas payer. Il accuse réception du brouillon d'une circulaire rédigée par Godin et qu'il fait imprimer ; Dolot indique qu'il en a donné communication à messieurs Poirier et Georges et à monsieur Telliez.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 janvier 1860
Dolot communique à Godin une note sur les retenues des quinzaines de Moerenhout et Vanhaesendonck, d'un montant total de 15 F, à payer à Laeken à leurs ayants droit. À propos des voyageurs Telliez et Poirier : Dolot ne veut pas les laisser partir sans les « dessins » des appareils ; les dessins des cuisinières sont prêts à imprimer ; Dolot demande à Godin ses intentions pour l'impression du tarif et s'il ne souhaite pas cette année l'imprimer au dos de lithographies.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 16 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot rectifie une erreur comptable qui a échappé à Brullé et à Godin. Dolot demande à Godin de valider l'impression des « tarifs-lithographies ». Il lui demande également s'il peut envoyer à monsieur Marie le dessin de la petite cuisinière que monsieur Poirier réclame.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot informe Godin que monsieur Poirier partira de Paris le lendemain et que ce dernier envoie une commission pour 134 cuisinières placées auprès de monsieur Séguin. Dolot donne copie des renseignements communiqués par Poirier sur un monsieur Jacob, homme d'affaires, résidant au 47, rue de Paris à Belleville, dont la réputation semble bonne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 17 janvier 1856
Godin signale à Brullé que sa santé commence à s'améliorer. Sur la comptabilité de l'usine de Forest. Godin souhaite que Brullé remette de l'ordre dans les écritures des opérations de l'usine de Forest. Godin reconnaît qu'il a donné de mauvaises indications à monsieur et madame Brullé quand il est venu avec sa femme, et recommande de suivre le modèle d'écritures employé par Cador mais en créant des comptes spéciaux pour les matières premières (fonte, fer, tôle, coke, charbon, cuivre, étain), pour les salaires et pour l'émaillage. Il annonce à Brullé qu'il s'entretiendra avec lui de sa participation et de celle de Van Elewyck aux bénéfices de l'usine de Forest. Godin souhaite prendre en compte les pertes et demande à Brullé d'inscrire au compte des frais généraux 6 % du capital engagé et 10 % pour les détériorations du matériel. Godin propose à Brullé de lui envoyer Poirier, qui représente la maison Godin-Lemaire à Paris, pour l'aider quelque temps à la comptabilité de l'usine de Forest. Le post-scriptum de la lettre concerne une affiche soumise à Godin par Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 26 janvier 1856
Godin constate le délai d'acheminement du courrier entre Guise et Bruxelles. Sur la comptabilité de l'usine de Forest. Godin propose de vérifier si monsieur Poirier peut aider Brullé à mettre à place la comptabilité. Sur une transaction possible dans l'affaire Cador. Sur le paiement du loyer de l'usine de Forest.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 29 août 186
Godin confirme à Dolot qu'il n'a pas l'intention de lui concéder un dépôt ni consacrer du temps à faire des affaires avec lui, mais qu'il ne repousse pas l'idée d'accepter ses services s'il n'est pas obligé de s'y engager personnellement. Il lui indique qu'il ne peut lui confier la position occupée par monsieur Poirier et qu'il ne peut qu'attendre une occasion favorable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 18 décembre 1863
Sur le recrutement de représentants de commerce officiant pour Godin. Il est question du remplacement de Poirier par monsieur Sainturet d'Angoulême, qui souhaite avoir une rémunération fixe. Godin informe Cantagrel des conditions faites aux derniers voyageurs de commerce qu'il a engagés à la commission : 3 % sur les placements jusqu'à 500 F et 1 % sur le surplus. Godin précise que les voyageurs en titre ont en plus des frais de voyage mais ne jouissent pas d'une rémunération fixe. Godin annonce à Cantagrel qu'il a demandé à J. Loeb, voyageur du dépôt de la Maison de Sougland, et à Marius Imbert à Enghien-les-Bains, d'aller le voir. Il souhaiterait que Cantagrel vienne à Guise avec plusieurs voyageurs pour qu'il leur fasse un cours de fumisterie, de poêlerie, de « cuisinier », de chauffage, et de placement de ses produits. Godin demande à Cantagrel d'aller voir monsieur Marie rue du Faubourg-Saint-Denis pour lui demander le prix d'impression d'albums.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 27 avril 1864
Jean-Baptiste André Godin exprime sa déception vis-à-vis de Marius Imbert, voyageur de commerce : celui-ci veut obtenir une « carotte » de 500 F que Godin ne lui accordera pas. Godin constate qu'il nuit à ses intérêts et qu'il a abandonné son voyage à Poitiers pour rentrer à Paris, et il informe Cantagrel qu'il va envoyer un autre voyageur à sa place. Godin demande à Cantagrel d'aller récupérer cher Marius Imbert au 24 avenue de Clichy à Paris les albums et tarifs, le carnet d'adresses de la clientèle et les bandes et avis de passage. Il lui demande si Poirier lui a restitué le même matériel ainsi que des photographies. Sur l'affaire Séguin et Régnier : Godin demande à Cantagrel des informations sur ses marchandises en dépôt chez eux, qui représentent environ 2 000 F. Il précise sa demande sur les calorifères Joly à buse mobile et ouvertures dans l'enveloppe. Godin demande à Cantagrel d'aller voir Flobert et Cadillac au 58, rue de Bondy. Il lui demande s'il est possible de joindre des calques et non des dessins sur papier aux demandes de brevets en France, en Belgique et en Angleterre. Sur la demande de patente en Angleterre d'une cheminée sur laquelle Godin fonde beaucoup d'espoir pour développer ses affaires, à discuter avec Armengaud. Godin indique qu'il prépare également un brevet sur l'émaillage. Dans le post-scriptum, Godin annonce à Cantagrel qu'il lui envoie 300 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Versigny, 25 juin 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin envoie à Versigny des pièces comptables relatives à son cousin Moret, des feuilles de papier semblables à celles employées par sa femme pour faire des copies de lettres et une pièce de vers qui a marqué le début de Marie Moret en tant que médium, avant son départ le lendemain pour Paris, où il logera à l'hôtel des Trois Empereurs, rue de Rivoli près de la place du Palais-Royal.
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