FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 10 février 1890
Séjour à Nantes de François Bernardot, malade de l'influenza : vœux de rétablissement. Appréciation par Édouard Champury du livre de François Bernardot sur le Familistère. Lettre de Charles Lemonnier à Bernardot, président de la Société de paix du Familistère. Nouvelles de Doyen et de Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ludwig Kunwald, 15 décembre 1891
Réponse à la lettre de Kunwald en date du 9 novembre 1891 ; remerciements pour le témoignage de sympathie de Kunwald à l'égard de Godin et de Moret ; envoi d'un portrait photographique de Marie Moret de 1883, contemporain de celui de Godin paru dans Le gouvernement... ; don du livre La République du travail, orné d'un portrait de Godin de 1872.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, vers le 3 octobre 1892
Lui retourne la communication de Hodgson Pratt car ne voit pas quoi en faire. Le numéro du Devoir est complet : elle reste dans l'attente des derniers textes que Bernardot doit lui fournir. Le remercie pour le prêt de l'ouvrage Cent ans après.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 28 octobre 1892
Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet à Paris, du 21 au 30 octobre 1892. Au sujet du tirage du nouveau numéro du journal Le Devoir qui a retardé la rédaction de cette lettre. Est contente que Bernardot ait pu revoir les épreuves à sa place, n'en ayant pas eu le temps. Sur le prochain départ de la famille Dallet-Moret vers l'ouest.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 1er décembre 1892
Envoi de 10 exemplaires du Devoir d'octobre avec le discours de Bernardot au Crystal Palace. Est ravie du travail fourni et de la rapidité de l'imprimeur Roger et Laporte. Regrette que l'impression de la seconde édition du livre de Bernardot sur le Familistère n'ait pas été confiée à Roger et Laporte. Lui demande de faire part à Sekutowitz que son fils s'est bien installé dans ses fonctions de major. Dans le post-scriptum, Marie fait part des volontés d'Émilie à avoir des nouvelles de son filleul, fils de Bernardot, notamment après son changement de classe, mais aussi des nouvelles de « la physionomie générale des choses là-bas ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 14 décembre 1892
Réponse à la lettre de François Bernardot en date du 8 décembre 1892. Relecture d'épreuves de la deuxième édition du livre de François Bernardot, Le Familistère de Guise…. (Guise, 1893). À propos d'une apparition de Godin dans un rêve de Bernardot, et sur les divisions au sein de l'Association.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 19 décembre 1892
Sur la relecture d'épreuves de la biographie de Godin insérée dans le livre de François Bernardot, Le Familistère de Guise, Association du Capital et du Travail et son fondateur, Jean-Baptiste André Godin... (Guise, 1893).

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 26 décembre 1892
Sur la relecture d'épreuves du livre de François Bernardot, Le Familistère de Guise, Association du Capital et du Travail et son fondateur, Jean-Baptiste André Godin... (Guise, 1893) : sur la faute d'accord du mot « tracées » en page 35, 3ème ligne. Demande de nouvelles de Bernardot. La santé est bonne et le temps est beau.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 30 décembre 1892
Nouvelles de la famille de Bernardot. Voeux de nouvelle année à la famille Bernardot et à leurs proches. À propos d'un article court demandé à Bernardot par Édouard de Boyve. Sur le discours prononcé par Bernardot aux funérailles civiles d'un habitant du Familistère, publié dans des journaux quotidiens ou hebdomadaires du département plutôt que dans Le Devoir. Sur la lecture d'épreuves du livre de François Bernardot, Le Familistère de Guise (Guise, 1893) : remerciements pour les renseignements grammaticaux et la promesse d'envoi de la feuille 3e ; émotion à la lecture de la scène du père Alix. La famille de Bernadot enrhumée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 17 mars 1893
Marie Moret prévient Bernardot de la parution prochaine, dans la collection des ouvrages de propagande en vente au Bureau du journal L'Émancipation, d'une biographie de Jean-Baptiste André Godin, par Auguste Fabre. L'ouvrage de Bernardot sur le Familistère fera partie des documents de référence, grâce au travail sur les chiffres et les faits. Marie Moret et Fabre souhaitent s'assurer de l'exactitude absolue des chiffres qui y sont présentés, en particulier le chiffre des naissances et décès dans la population de Guise comparée à celle de la ville de Guise : « M. Fabre dit qu'il y a devoir pour nous de mettre ces chiffres en vedette, de nous appuyer sur eux et de défendre par les arguments qu'on peut en tirer les avantages incontestables de l'habitation unitaire. » Remercie Bernardot pour l'envoi de la feuille de la nouvelle édition du livre Le Familistère de Guise et espère qu'il sera bientôt publié. Demande des nouvelles des affaires industrielles du Familistère. Sur la « magique éclosion » du printemps à Nîmes, les longues promenades dans la campagne et les rencontres qui rappellent les membres de la famille Bernardot.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 17 novembre 1893
Réponse à une lettre de François Bernardot en date du 16 novembre 1893 : Marie Moret ne donne pas suite à la demande de M. Torrent d'acheter une page d'annonce dans Le Devoir ; elle n'a pas l'intention de publier dans Le Devoir un article sur la coopération en plus du compte rendu du congrès coopératif de Grenoble. Nouvelles météorologiques de Nîmes. La famille Moret-Dallet n'est pas encore allée au théâtre de Nîmes, où se produit un acteur de théâtre [ou un chanteur d'opéra ?], sosie de Bernardot : « pourtant, il a dû briller l'autre soir dans la Favorite » [de Donizetti ?]. Le post-scriptum demande des nouvelles de « Kiriquette ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 21 mars 1896
Marie Moret félicite Bernardot de la réussite des études de ses enfants et des premiers succès de Kiriquette. Envoie à Angéline Bernardot la brochure d'Henri Roehrich La mission de la femme et les questions sociales. Sur l'appréciation de la portée sociale de « Robert Owen » par Bernadot et les enseignements qui peuvent en être tirés : « L'homme a besoin d'une grande culture intellectuelle et morale pour être en état de se gouverner lui-même. » Marie Moret regrette qu'il ne s'agisse que d'une lapalissade. Pense reproduire en 1897 dans Le Devoir des descriptions d'entreprises sociales bien faites aux États-Unis pour « convaincre les lecteurs ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 7 mars 1897
Félicite Bernardot pour son premier article sur Godin paru dans le numéro de mars 1897 du journal The Avenue et félicite la traductrice « car le style est à la fois substantiel, simple et clair ; trois qualités que j'ai vues réunies plus souvent chez les américains que chez les anglais ». Marie Moret a ouvert dans le numéro de février 1897 du Devoir un « nouveau sillon » pour la « Biographie complète » de Godin ; vie de Godin de 1840 à 1852 : « Sa figure grandit de plus en plus dans ma pensée, à mesure que je le saisis dans les années où je ne vivais pas à côté de lui et qui me le révèlent sous des aspects qui complètent ceux sous lesquels je l'ai connu. » Travail accompli pour « quelques rares penseurs du moment présent convaincus que l'économie sociale ne se constituera vraiment à l'état de science qu'en employant le procédé scientifique : la vérification expérimentale. C'est pourquoi en cette matière, échecs et succès, tout doit être relevé ». Demande des nouvelles de la famille de Bernardot. Informe Bernardot : qu'Émilie Dallet a bien reçu sa lettre du 27 février 1897 et la photographie de Paul Bernardot ; que Jeanne a bien reçu la lettre de Madeleine Bernardot et qu'elle promet d'envoyer une photographie du portrait de Godin. Remercie Bernardot pour le mot adressé à Auguste Fabre à l'occasion du décès de son petit-fils, un an après le décès de son fils ; le faire part de décès de son petit-fils a été adressé de Tarn-et-Garonne à Bernardot par la mère de l'enfant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 18 avril 1897
Réponse à la lettre de François Bernardot du 16 avril 1897 annonçant son départ du Familistère : Marie Moret regrette ce départ ; souhaite à Bernardot succès pour l'entreprise de tonnellerie qu'il va diriger [à Nantes] et où il pourra « appliquer les principes dont vous êtes l'apôtre » ; promet de lui envoyer Le Devoir à sa nouvelle adresse. Nouvelles diverses : réception par Bernardot du portrait de Godin ; « licenciement » des élèves de l'École des arts et métiers de Châlons-sur-Marne ; sur la famille de Bernardot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Bernardot que sa femme a hâte de le revoir et qu'il lui a annoncé son retour le vendredi prochain au plus tard. Il lui adresse 7 traites acceptées.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret n'ira au Familistère que jeudi en raison du jour férié. Elle corrigera les épreuves depuis chez elle. Demande à Bernardot de venir récupérer, si cela lui est possible, des manuscrits sinon elle lui remettra jeudi.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie madame Bernardot pour sa lettre du 30 juin 1899 qui témoigne de son intérêt pour l'œuvre de Godin. À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret indique à François Bernardot qu'elle sert Le Devoir à la bibliothèque de la rue Gambetta à Nantes dont le conservateur Joseph Rousse lui a accusé réception. Un président de chambre de commerce lui ayant dit récemment que les chambres de commerce seraient de bons asiles pour le journal, Marie Moret demande à François Bernardot quel serait le meilleur lieu de conservation à Nantes du Devoir, dont les « Documents biographiques de J.-B. A. Godin » contiennent des enseignements importants. Dans le post-scriptum, elle demande à Bernardot à quelle adresse elle doit lui écrire.
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