FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 4 avril 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin prévient André que Grebel se rend à Laeken pour les travaux d'évaluation des immeubles et du matériel. Sur l'usine Cappelmans. Sur la copie du rapport des experts remise à monsieur Lesne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 19 mai 1873
Sur un monsieur A. et des dommages à la propriété de Laeken causés par une usine de produits chimiques. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos de l'évaluation des brevets ; titre d'acquisition de Laeken à remettre aux experts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 22 juin 1873
Godin annonce à Eugène André qu'il lui accorde 5 % des bénéfices nets faits à Laeken après paiement de 6 % au capital au titre de sa participation aux bénéfices.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 20 juillet 1873
Sur la fabrication de modèles de pièces de cuisinières par l'usine de Guise pour l'usine de Laeken. Sur la caisse [de secours] de l'usine : Godin indique que c'est le conseil de la caisse qui doit régler la question. Le post-scriptum de la lettre est relatif à l'emploi de monsieur Desfontaines dans l'administration de l'usine ; Godin attire l'attention de Denisart sur les dysfonctionnements du dépouillement des courriers recommandés et du contrôle des expéditions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 décembre 1873
Sur les conditions de ventes aux concessionnaires. Sur la distribution des produits en Angleterre et en Belgique. À propos de circulaires préparées par Duplaquet et non soumises à Delaruelle. Sur des renseignements à prendre sur la distribution des produits en Allemagne. Godin autorise Delaruelle à demander à Carme de venir à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 11 janvier 1874
Eugène André a proposé une baisse de ses tarifs de 10 % : Godin juge que cela est excessif vis-à-vis de la France ; il lui fait part des remises d'été et de fin d'année consenties à la clientèle française ; il fait observer à André que l'usine de Laeken a bénéficié d'une importante quantité de fonte achetée au prix de 1870 et qu'ainsi son prix de revient est artificiellement bas.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 20 mars 1874
Godin demande à André de lui envoyer à Guise plusieurs ouvrages : l'Histoire des 25 premières années des chemins de fer, le Traité des dépenses d'exploitation et trois petites brochures sur les questions financières. Sur l'usine de Laeken : Godin est satisfait que les affaires se portent bien ; il lui demande de bien apprécier le mérite du personnel dans l'attribution de gratifications ; sur l'intérêt variable de la gratification d'André et le capital de l'usine de Laeken. Godin observe qu'il n'a reçu que deux des trois brochures annoncées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 1er mai 1874
André a annoncé à Godin le 27 avril 1874 que son état de santé souffrait de sa résidence à Laeken. Godin lui demande s'il accepterait la proposition qu'il lui avait faite il y a longtemps de rentrer à l'usine de Guise pour participer à la direction générale et surveiller l'usine de Laeken par le moyen de fréquents voyages. Il lui demande, dans le cas où il accepterait, de s'occuper rapidement de trouver quelqu'un pour le remplacer et il l'assure que sa position à Guise serait équivalente à celle qu'il avait à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 mai 1874
Godin renvoie à Eugène André un mandat postal. Sur le retour d'André à Guise : Godin est prêt à accepter les conditions proposées par André le 10 mai 1874 mais veut résoudre auparavant la question de l'administration de l'usine de Laeken en son absence. Il indique qu'il aurait autrefois accepté une installation d'André à Bruxelles mais pense qu'il faut faire autrement désormais.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 31 mai 1874
Godin demande à Amédée Moret de faire insérer une offre d'emploi pour la direction de l'usine de Laeken dans Le Rappel, La République française et Le Siècle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 11 juin 1874
Sur l'emploi à Guise d'Eugène André. Godin indique à Eugène André qu'il est prêt à lui accorder 600 F par mois d'appointements et 5 % de prime sur les bénéfices nets annuels de Laeken mais ne souhaite pas s'engager pour 5 ans sauf si André lui verse un cautionnement de 20 000 F, comme l'ingénieur que Godin a recruté. André a évoqué auprès de Godin son indépendance de caractère : Godin lui recommande d'écouter l'opinion d'autrui, condition d'une bonne direction en industrie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 16 juin 1874
Sur l'emploi à Guise d'Eugène André : Godin confirme à André qu'il reste ouvert à un engagement de garantie d'emploi de plusieurs années de sa part à condition que celui-ci s'engage de façon réciproque. Il signale à André qu'il y a au Familistère plusieurs appartements disponibles ou prêts de l'être et l'assure qu'il lui confiera à l'usine une action générale sur tous les services par voie d'influence et de contrôle, « mais je vous avoue que je vous verrais avec plaisir inspectant tout, voyant tout, observant tout pendant un certain temps, sans prendre une part sérieusement active dans l'usine autrement que par des conseils et par des conversations ». Il l'invite à venir rapidement à l'usine de Guise et lui indique qu'en attendant qu'il trouve son remplaçant à Laeken, il aurait de fréquents voyages à y faire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 19 juin 1874
Godin informe Eugène André que monsieur Verdavainne, qu'il propose pour diriger l'usine de Laeken, demande à faire une visite de l'établissement au début de la semaine suivante. Il le prévient qu'il hésite encore à faire le choix de Verdavainne en raison des forts appointements auxquels il a été habitué et parce qu'il n'a pas d'expérience en fonderie ou dans le chauffage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 19 juin 1874
Godin a appris qu'Eugène André se trouvait à Guise. Il lui demande de s'occuper, à la place d'Émile Godin et de Taupier, de la baisse du tarif des produits de la manufacture à la suite de la baisse du prix des matières premières. Godin lui explique comment procéder à cet examen. Il lui signale qu'il lui a écrit la veille à Laeken pour l'avertir que monsieur Verdavainne, candidat à la direction de l'usine, viendrait la visiter au début de la semaine suivante, et il lui demande de prendre les mesures nécessaires pour qu'il y soit accueilli.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 juillet 1874
Godin informe son fils Émile qu'il a choisi à l'essai monsieur de Rivière, qui a dirigé pour son compte des ateliers de céramique, pour diriger l'atelier d'émaillage, et que celui-ci doit arriver à Guise le mardi 7 juillet ; il lui demande de lui faire immédiatement fabriquer des couleurs pour juger de ses aptitudes et de l'installer s'il le veut dans les chambres occupées au Familistère par Pétilleau près de sa bibliothèque ; il lui demande également de prévenir monsieur Barbet de l'arrivée de monsieur de Rivière pour qu'il lui montre le travail de décoration des émaux, et de charger de Rivière de la surveillance de la cuisson des émaux. Il l'autorise à congédier le fils Quaintenne en prétextant que le travail manque. Il demande de quel Lefèvre Taupier parle en disant qu'il est nul. Il lui recommande d'éviter de congédier des employés qui pourraient être utiles, au magasin notamment. Godin avertit son fils qu'il ne doit pas provoquer de conflits avec la municipalité, et lui conseille de garder les eaux du jardin et de laisser passer les voitures. Il veut savoir si toutes les tables d'école prêtées à la ville ont été rendues. Godin annonce à Émile qu'Alphonse Grebel lui a parlé d'habitants du Familistère « mal famés » comme Maréchal et dont la « disparition » ferait plaisir. Dans le post-scriptum, il l'avertit qu'il joint une lettre à remettre à Delaruelle et il lui signale qu'il recherche toujours un directeur pour l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 juillet 1874
Godin transmet à Eugène André la réponse du directeur général des douanes sur le transport de son mobilier. Il accuse réception des lettres d'André des 26, 27 et 28 juin 1874. Il suppose que son fils Émile lui a indiqué que le logement de Quaintenne est vacant et qu'il pourra s'y installer ; il lui fait observer que la possibilité d'un logement à l'usine doit être examinée car tous les locaux y sont occupés. Godin informe André que plusieurs candidats se sont proposés pour la direction de Laeken et que son candidat préféré est affecté d'une légère surdité ; il lui demande si cela pourrait empêcher qu'il occupe convenablement la fonction ; il précise qu'il s'appelle Philippon, qu'il est élève de l'École centrale, qu'une partie de sa famille habite à Bruxelles, qu'il est marié et qu'il a deux enfants et qu'il avait ouvert un atelier de construction rue Saint-Maur à Paris, cédé à la suite des événements de la guerre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Philippon, 7 juillet 1874
Sur l'emploi de directeur de l'usine de Laeken. Godin informe Philippon que sa candidature retient son intérêt, mais qu'avant d'être accepté définitivement, il serait utile qu'il visite l'usine de Guise, qu'il étudie l'usine de Laeken et qu'il lui fasse un rapport sur les opérations de celle-ci. Il lui propose de le rémunérer 400 F par mois et lui précise qu'il jouira de l'habitation de l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 8 juillet 1874
Sur l'emploi de directeur de l'usine de Laeken. Godin informe André que Philippon est venu le voir à Versailles, et qu'il veut aller à Laeken avant son départ. Godin précise qu'il a demandé à Philippon de faire une étude de l'usine commerciale et industrielle de Laeken. Il demande à André de donner à Philippon toutes les indications nécessaires pour la surveillance et la direction de l'établissement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 juillet 1874
Godin avertit son fils Émile que des lettres adressées à Kate Stanton, qui est à Paris et sera à Guise dans quelques jours, peuvent arriver « chez M. Godin » [la lettre est de la main de Marie Moret]. Il reproche à Émile de ne pas lui donner des nouvelles de monsieur de Rivière. Il lui demande de conserver un article paru dans le journal Le Courrier de l'Aisne entre le 5 et le 10 juillet sur les écoles du Familistère. Il lui demande pourquoi le père Masse qui devait être congédié est toujours au Familistère. Il l'informe que sa deuxième brochure n'est pas encore publiée et qu'on peut attendre pour distribuer la France électorale. Il ne souhaite pas faire de changement à Laeken alors que l'employé capable en est parti. Sur un échantillon d'émail envoyé par Eugène André. Dans le post-scriptum, Godin signale à son fils qu'il ne s'oppose pas à la demande de congé de Quaintenne mais veut qu'il mette en ordre les dossiers des travaux qu'il a pu faire à Guise et les remettre à Alphonse Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Méchin, 7 août 1874
Méchin a correspondu avec Godin à propos de l'emploi de direction de l'usine de Laeken, qui a été pourvu, et a exprimé le désir d'avoir une situation dans l'usine de Guise. Godin lui propose de venir à Guise pendant quelques jours pour qu'il puisse apprécier les services qu'il pourrait rendre. Il lui précise que dans le cas où ils ne tomberaient pas d'accord, il lui rembourserait ses frais de voyage et d'hôtel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 janvier 1875
Godin informe André qu'il retourne à Laeken un chèque acquitté. Il l'avertit qu'il ne faut pas payer de frais à Darras pour sa venue à Guise et qu'il s'oppose à la « condition en dehors » de Lassérée. Sur le tarif des marchandises et les remises. Sur la cheminée à souffleur rotatif. Dans le post-scriptum, Godin aborde la question des affaires traitées par Darras avec la maison Seret : Seret s'engagerait à prendre chaque semaine une voiture de marchandises jusqu'à concurrence de la somme de 15 000 F, prendrait à sa convenance les marchandises pour 15 000 F supplémentaires avant le 31 décembre, et jouirait d'une remise de 6 % ; Godin n'était pas d'accord sur une livraison jusqu'à décembre des marchandises des derniers 15 000 F ; il explique à André qu'il a fait part de son mécontentement à Darras et qu'il priverait ce dernier de ses commissions pour les marchandises livrées à Seret après le mois de septembre.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Eugène André, 29 janvier 1875
Sur le père de Godin. Sur la bière de monsieur Drucbert (?). Godin informe André qu'il envoie à Laeken le chèque qu'il a signé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 22 février 1875
Godin informe Eugène André qu'il a envoyé à Laeken le chèque de 1 500 F soumis à sa signature. Sur les foyers des buanderies : Godin recommande de perfectionner les foyers en terre réfractaire au lieu de les abandonner au profit de foyers en fonte, plus chers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 1er mars 1875
Sur la situation comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire et du Familistère. Godin juge que les résultats qu'on lui présente n'ont jamais été aussi peu clairs et il estime qu'il est urgent de trouver un chef de comptabilité habile. Il demande une série de renseignements sur les résultats d'inventaire. Dans le post-scriptum, Godin demande à son fils si Chevrolat a été remplacé au restaurant et lui demande d'en parler à François Dequenne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 mars 1875
Godin informe André qu'il a recommandé aux voyageurs de ne plus vendre sinon avec une augmentation de 6 à 8 %. Sur une machine à vapeur à installer à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 juin 1875
Godin annonce à Eugène André qu'il a envoyé à Laeken, à Andenne et à Origny les chèques qu'il lui a soumis. Sur un procédé de nickelage. Il autorise André à embaucher un sculpteur. Il lui demande quelle était la forme de son pouvoir auprès de Delloye à Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 juillet 1875
Sur une expérience de nickelage. Sur la fabrication d'un cylindre à Guise pour une machine de Laeken : Godin regrette que cette pièce n'ait pas été faite en Belgique. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : il reproche à André que rien n'a été fait pour la fabrication d'un deuxième appareil de sondage. Sur l'envoi de Demeulenaere à Laeken. Sur l'emploi de Lefèvre. Sur les capitaux placés en banque : il rappelle qu'il a recommandé à Émile de faire de gros achats de fonte car le matériau est bon marché et l'intérêt des capitaux est très bas. Il informe André qu'il a adressé à Laeken le chèque de 4 025,20 F. Il demande à André de faire savoir à la compagnie de chemin de fer que la poulie et la tringle [du matériel de sondage] ne sont pas parvenues à destination.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 juillet 1875
Godin autorise son fils Émile à régler la maison Piat. Sur la pompe à incendie de Laeken : Godin demande qu'on se renseigne sur un achat en Belgique. Il souhaite qu'on prenne d'autres employés que Noirot et Dupont qui ne lui inspirent pas confiance. Sur un livre rouge sur lequel se trouve la répartition des employés. Sur un oubli dans la comptabilité, souhaité par Godin. Godin accuse réception des journaux et imprimés envoyés par Kate Stanton. Il autorise son fils à signaler à Poëtte qu'il doit y avoir plus d'exactitude dans la rentrée des classes. Sur l'envoi de livres par la Librairie Armand Le Chevalier : Godin demande quels livres sont incomplets.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 30 novembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à son fils Émile qu'il lui communique une lettre adressée à Alphonse Grebel au sujet de difficultés signalées par Édouard Larue. Il souhaite que son fils rassemble en toute discrétion des éléments lui permettant d'apprécier sa situation d'un point de vue nouveau. Il lui explique que le jugement de la cour d'Amiens a reconnu que Godin travaillait pour son propre compte depuis le 1er janvier 1864, que les bénéfices depuis ce jour lui appartenaient et qu'il devait payer à Esther Lemaire la moitié des loyers des choses de la communauté et 6 % des valeurs industrielles qui ne produisent pas de loyer. Il demande à Émile de lui communiquer les bénéfices de l'usine de Guise, du Familistère et de l'usine de Laeken de 1864 à 1875 pour qu'il puisse calculer ce qui lui revient et ce qui revient à Esther Lemaire. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : sur le calcul du prix de revient des marchandises produites dans un deuxième établissement en France selon la présence ou non de charbon dans le sous-sol ; dans le cas de la présence de charbon, il est persuadé qu'il aurait un avantage pour une grande partie du marché, en France, en Suisse et en Italie ; dans le cas où il ne trouverait pas de charbon, Godin explique à son fils qu'il devrait se contenter de faire de la seconde fusion et qu'il devrait s'installer plus près de Paris dans la région de Montereau ou de Montargis, où il ferait arriver avantageusement, grâce à la concurrence des canaux et des chemins de fer, la fonte et le charbon d'Angleterre et de Belgique. Le post-scriptum porte sur les intentions d'Esther Lemaire à l'égard du jugement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 5 décembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin accuse réception de la lettre d'Émile du 3 décembre ; il le félicite pour le travail qu'elle contient et lui demande s'il voudra se charger de la question le moment venu. Sur un projet de demande de réduction de prix à la Compagnie de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin conseille à son fils d'en parler au directeur de la compagnie plutôt qu'écrire une lettre. Il l'informe qu'il a renvoyé à Laeken une lettre de crédit. Sur la propriété d'une cave.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 7 décembre 1875
Godin informe son fils Émile qu'il vient d'embaucher un comptable nommé Graillot aux appointements de 334 F par mois. Il demande à son fils et à Eugène André de le mettre au courant de la comptabilité de l'usine, dans la perspective d'en faire un sous-chef de comptabilité sous les ordres d'André s'il fait ses preuves. Sur une expropriation de terrains à Laeken pour la mise en valeur du quartier. Sur un retard de paiement de Dehan. Sur le retour de Wagnier : Godin transmet à Émile une lettre de Wagnier au retour duquel il ne s'oppose pas, avec ses anciens appointements à l'usine ou au Familistère, sans l'obligation de le loger au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Louis Graux qu'il ne peut se fournir auprès de lui en charbon car le prix de 30 F la tonne est bien plus élevé que celui du charbon de Douchy, de Bruay ou de Ferfay. Il lui demande toutefois de lui communiquer le prix du charbon livré à la gare de Schaerbeek pour son usine de Laeken. Il lui renvoie deux bulletins dont il ne peut faire usage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin n'a pas répondu à la lettre de Gouchet du 18 mai 1877 car il souhaite l'inviter quelques jours à Guise et profiter de son séjour pour parler du sujet qu'il évoque. Il lui demande d'indiquer à Eugène André, qui va se rendre à Laeken, quand il pourrait venir à Guise pour suivre convenablement la fabrication à l'usine, ce qui pourrait lui être très utile pour la fonction qu'il a à remplir à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Gauchet et Bourgeois que Piponnier, chef de la comptabilité de l'usine du Familistère de Guise, va se rendre à Laeken pour inspecter la comptabilité de l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Gauchet des informations sur la population qu'il pourrait avoir à loger à Laeken. À propos d'une visite mensuelle de Bourgeois à Guise. Sur les modèles d'une cuisinière et de poêles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Manier des 21 et 24 septembre 1883. Il lui explique qu'il lui est difficile de l'aider, car il est écrasé par les affaires du Familistère, qu'il revient de Belgique où il est allé décider l'emplacement d'un Familistère à Laeken, mais qu'il ne refusera pas son concours par la suite.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'adresse à des personnes ayant présenté à monsieur Mazoyer leur candidature à un emploi. Godin décrit aux candidats ce que comprend la Société du Familistère : deux usines à Guise et à Laeken employant 1 500 à 1 600 personnes, et un palais d'habitation où vivent 1 800 personnes. Il leur explique qu'il veut adjoindre au conseil de gérance de la Société « une capacité apte tout à la fois aux affaires industrielles et commerciales, à la production, à la vente et à la direction générale ». Il énonce les critères de choix de la personne devant remplir cette fonction et leur demande de répondre à sa lettre en lui donnant le moyen d'apprécier leurs qualités.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Gauchet une pétition à la Chambre belge. Il lui rappelle qu'il avait refusé qu'une partie de la propriété de Laeken soit vendue à la Société de fabrication de produits chimiques et il lui explique qu'il consentirait aujourd'hui à échanger des terrains avec cette société si elle se portait acquéreuse de terrains qui l'intéressent aux abords de l'usine de Laeken et si elle renonçait à construire une fabrique de produits chimiques sur les terrains qu'il lui céderait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Gauchet une lettre de l'administration des hospices ; il désire que la Société du Familistère soit adjudicatrice de la propriété de l'hospice. Il juge bonne la décision de Gauchet relative au puits artésien. Il autorise la visite de l'usine de Laeken par les jeunes filles de l'école normale de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le recrutement d'un directeur des constructions du Familistère de Laeken. Sur l'école de Laeken : Godin voudrait discuter des conditions d'installation d'une école avec Bokstaël de la commune de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Lamy qu'il offre deux emplois de direction dans les usines de Guise et de Laeken. Il indique que les chefs de fonctions peuvent percevoir à Guise 12 000 à 15 000 F par an et que la fonction à Laeken est rémunérée 5 000 à 6 000 F par an.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Lagneau que la Société du Familistère le recrute aux appointements de 400 F par mois pour étudier la fabrication de l'usine de Guise avant de lui confier la direction de l'usine de Laeken-lez-Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gheude du 16 juin 1884 : il lui demande de reporter la date de signature au 1er juillet ou au 4 juillet, date qui permettra à Eugène André, directeur commercial de la Société du Familistère, de signer par procuration. Il lui demande de lui communiquer le modèle de la procuration qui satisfera l'administration des hospices.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Bourgeois que Lagneau, qui se rend à Laeken pour prendre la direction de l'usine, lui remettra la lettre. Il espère qu'il s'entendra bien avec Lagneau et l'avertit qu'il compte envoyer un comptable à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est surpris de ne pas avoir de nouvelles de Lagneau. Il lui demande de lui envoyer son rapport sur l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Bourgeois de sa bonne volonté exprimée dans sa lettre du 30 juillet. Il lui annonce qu'il augmente ses appointements de 50 F par mois à partir du 1er juillet 1884. Sur les rapports entre Lagneau, nouveau directeur de l'usine de Laeken et de Bourgeois, chef de la comptabilité. Il lui demande de ne pas faire de comparaisons entre leurs salaires ; il l'informe que Lagneau perçoit 400 F d'appointements par mois et qu'il s'agit d'un emploi de direction supérieure.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une cheminée offerte à Neale expédiée de Laeken. Godin envoie à Neale les numéros du Devoir qu'il demande. Sur le compte rendu de visite au Familistère de Greening publié dans le Cooperative News. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Neale qu'il lui a adressé le 19 novembre un foyer économique et qu'il a demandé à l'usine de Laeken de lui expédier la pièce cassée de la cheminée déjà reçue, que Neale destine à Greening. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un litige avec la Ville de Bruxelles relatif à la propriété de Laeken. Godin ne souhaite pas engager une procédure perdue d'avance et doute que Lejeune, avocat à la Cour de cassation puisse plaider en Cour d'appel contre un arrêt rendu par la Cour de cassation autorisant la Ville de Bruxelles à percevoir un péage sur le canal.

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