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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Soye, 21 avril 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin regrette de n'avoir connu plus tôt Soye-Godelle et sollicite son soutien à la candidature de Jules Favre aux élections législatives dans l'Aisne ; il l'informe qu'il sera possible d'ajouter son nom sur la feuille de titre de la deuxième édition du manifeste électoral en faveur de cette candidature.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Anatole de Laforge, 26 avril 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin sollicite d'Anatole de La Forge la communication de la liste des abonnés du journal Le Siècle dans l'arrondissement de Vervins et les cantons de Rozoy et de Marle, dans le but de soutenir la candidature de Jules Favre au Corps législatif.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Desmasures, 1er mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin communique à Desmasures des exemplaires du manifeste électoral [en faveur de la candidature de Jules Favre], et lui en vante le succès. Sur la diffusion du manifeste : 5 000 exemplaires sont en circulation ; deux hommes sont employés à écrire les adresses d'expédition ; importance de dresser des listes de destinataires du manifeste. À propos d'une lettre de Chaseray au Journal de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Desmasures, 21 mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin informe Desmasures qu'une réunion électorale réunissant 49 personnes organisée hier à Marle par Georges Coulon a été dissoute illégalement par la police, que Georges Coulon va porter plainte et que Godin écrit aux journaux à ce sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne (Laon, 1808-1923), 21 mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin écrit au Journal de l'Aisne au nom du « Comité électoral démocratique de la 3ème circonscription de l'Aisne » pour protester contre une intervention illégale de la police qui a empêché la tenue d'une réunion publique électorale organisée à Marle par Georges Coulon en faveur de la candidature de Jules Favre, et pour reprocher au journal son silence sur ces faits.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1845
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent : monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier la théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 3 décembre 1847
Godin remet plusieurs effets d'un montant total de 1 968,66 F aux régisseurs des Hauts-fourneaux du Nord. Il les avise qu'il envoie un voiturier charger une voiture de fonte le lundi suivant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viéville-Boutroy, 25 octobre 1848
Godin envoie à Viéville-Boutroy un tarif des produits de la manufacture Godin-Lemaire. Il précise qu'il ne fabrique pas de poids à horloge et qu'il lui enverra les poêles au prix du tarif, le coût du transport - 5 F de Guise à Marle - restant à sa charge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Grimblot, 4 novembre [1843]
Réponse à une lettre de monsieur Grimblot en date du 27 octobre 1843 : facturation et expédition d'une cuisinière ; précise que le transport de Guise à Marle est à la charge de Grimblot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre [1845]
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent ; monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier le théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Thillois, 4 novembre [1845]
Réponse à une lettre de monsieur Thillois demandant une réduction du prix des cuisinières : Godin communique le prix auquel il peut les céder. À propos de poêles en dépôt chez monsieur Thillois que celui-ci a retiré de la préfecture : Godin en demande le paiement ou le renvoi par le messager de Marle à Guise chez monsieur Bailly, marchand de fer. Facturation d'une cuisinière à bois.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pavillet-Lebègue, 5 [janvier 1846]
Envoi d'une facture relative à deux poêles expédiés par le messager de Marle à Vervins, à payer immédiatement dans la mesure où il s'agit d'une première commande.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 décembre 1870
Godin envoie à Émile des effets sur le Cateau et Solesmes d'une valeur de 392,20 F et des effets sur Lille d'une valeur de 663,85 F. Il demande à Émile de lui fournir un récépissé des fusils qu'il a déjà reçus et de ceux qui vont lui être envoyés. Il l'informe que les Prussiens ont tiré des coups de canon sur Marle, mais qu'ils ont rebroussé chemin après que des francs-tireurs aient tiré sur leur avant-garde : « Il n'a donc fallu que 40 Français pour arrêter 800 Prussiens. » Godin explique à Émile qu'il constate par ailleurs que 4 000 Français se tiennent à distance des Prussiens et qu'il ne sait lesquels ont le plus peur des autres ; il constate que les Prussiens ne sont pas venus à Guise, pense qu'ils n'ont pas dépassé Marle et qu'ils ne s'aventureront pas jusqu'à Guise dans les jours prochains en raison des forces qui se trouvent dans la région.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin remercie Alexandre Chaseray pour sa lettre qu'il communique à Odilon Barrot. Il l'informe des progrès de la candidature d'Odilon Barrot dans les cantons de Wassigny et de Guise et lui demande s'il peut utiliser sa lettre auprès des électeurs et s'il s'est entendu avec Matton de Vervins. Il lui fait part des démarches de lui-même à Sains et de monsieur Lefèvre à La Capelle. Il lui demande de lui communiquer les noms des personnes qui peuvent aider le comité électoral et lui indique qu'il a écrit à Cardot du Fay à Tenailles et à Loth d'Hirson. Il incite Chaseray à écrire à Odilon Barrot, dont la candidature devrait être annoncée publiquement dans quelques jours.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin tient Odilon Barrot informé de la propagande électorale. Le canton de Wassigny attendait la candidature d'Alexandre Chaseray, qui s'est présenté à toutes les élections depuis 1848 et rassemblait une petite minorité de 2 000 voix environ. Il communique à Barrot la copie de la lettre que Chaseray lui a écrite et l'encourage à lui écrire. Il lui indique que le canton de Wassigny se mobilisera sur son nom, qu'il emploie 900 ouvriers à Guise et que Chenest, qui en emploie un certain nombre, se croit des devoirs envers lui malgré ses relations avec Besson. Il l'informe que le comité va le lendemain visiter Sains et La Capelle et lui demande des noms de personnes dans les cantons d'Aubenton, de Rozoy et de Marle. Il remet à Barrot une note extraite du Journal de l'Aisne relative à la candidature de Piette.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Matton, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. À sa demande, Godin tient Matton au courant de la propagande électorale. Il pense que le canton de Wassigny est complètement acquis à Odilon Barrot, que celui de Guise a été moins travaillé, qu'Alexandre Chaseray du Val-Saint-Pierre se met à la disposition d'Odilon Barrot, que le comité va visiter le lendemain le canton de Sains et celui de La Capelle. Godin demande à Matton d'agir principalement sur les cantons de Vervins, Hirson, Aubenton, Rozoy et Marle. Il concède que les moyens du comité sont réduits par rapport à ceux des candidats officiels et officieux.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 12 mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin renvoie à son correspondant la liste des communes [de la circonscription de Vervins] qui a été égarée. Il souhaiterait obtenir le nom de 25 électeurs sur cent parmi ceux qui exercent une profession ouvrière. Il s'étonne de n'avoir rien reçu de Marle et de Rozoy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Raymond La Croix de Chevrières comte de Saint-Vallier, 10 avril 1872
Godin répond à la lettre amicale de monsieur de Saint-Vallier en lui exprimant son désir de poursuivre leur collaboration dans la commission des chemins de fer et canaux lors de la prochaine session [du conseil général de l'Aisne]. Il se félicite du succès qu'ils ont obtenu, malgré la restriction apportée au sujet du tracé de la voie de chemin de fer de Marle à Montcornet. Il lui conseille d'envoyer ses lettres à monsieur Détraux au siège de la société au 2, rue Saint-Pétersbourg à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Sur le tarif des marchandises de la manufacture. Sur le transport de marchandises par chemin de fer : Godin rappelle qu'il faut s'efforcer de faire arriver et expédier par Marle et de s'entendre avec la Compagnie du chemin de fer du Nord à ce sujet, et éviter de se servir de la gare de Bohain à cause des taxes appliquées aux transports sur la route déclassée de Guise à Bohain. Sur la journée de travail à l'usine de Guise : Godin estime qu'il serait possible d'ajouter une heure à la journée si le volume des marchandises diminuait dans les magasins, mais il pense qu'il n'est pas possible de maintenir tous les emplois dans une période aussi difficile ; il lui demande d'aviser sur ce qu'il convient de faire avec Eugène André et François Dequenne. Godin retourne à son fils Émile une lettre qui lui a été renvoyée par Bazin ; il demande à ce que le télégraphe soit réservé aux cas d'urgence et recommande de prendre des habitudes d'économie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 7 août 1875
Godin annonce à Ganault que son dernier ouvrage ne va pas tarder à paraître. Il lui explique qu'il lui manque beaucoup d'adresses dans les cantons de Ganault et qu'il a écrit en vain plusieurs fois au Courrier de l'Aisne à ce sujet : « C'est pourtant aux républicains qu'il appartient de travailler à faire vivre la République. » Il demande à Ganault de lui fournir au moins une bonne adresse dans chaque commune dans les cantons de Laon, Marle et Sissonne dont il lui communique la liste : « Il me paraît du plus grand intérêt de faire pénétrer la lumière dans les plus obscurs villages. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 décembre 1875
Émile Godin a écrit à son père qu'il avait des griefs à l'encontre de Grebel et à Eugène André. Godin explique à son fils qu'il avait autorisé Grebel à faire le modèle en bois d'un produit nouveau, qu'il en avait informé Pernin mais personne d'autre. « Il me semble que je suis un petit peu directeur et que si l'on avait tant d'amour pour la vraie direction, on tiendrait un peu plus compte de mes avis qu'on le fait, et l'on n'adresserait pas aux autres des reproches que devraient m'être faits à moi-même s'il y avait lieu. » Godin reproche à Émile de se laisser emporter par la passion et de ne pas rechercher la concorde et la paix qui ramènent les choses à leurs vraies proportions. Godin explique également à son fils qu'il avait autorisé Eugène André à changer Edmond Louis et que si Pernin s'en est trouvé indisposé, c'est seulement parce qu'André a manqué de tact. Sur un litige de 20 F avec l'octroi : Godin reproche également à Émile de ne pas régler à l'amiable des affaires de minime importance. « Je veux bien que des demandes ne soient pas toujours fondées en tout point, mais nous avons de notre côté la fortune qui nous permet bien de faire des concessions à d'autres et il n'y a pas à toujours à être à cheval sur le dernier sou qui vous appartient. Ce qui est à soigner, ce sont les grands intérêts, mais il faut éviter de s'arrêter à des bagatelles dans lesquelles on perd son temps pour ne gagner qu'une fâcheuse réputation de mesquinerie. » Dans le post-scriptum, Godin évoque une lettre de Marle et lui demande si Picot a installé dans son futur cabinet de travail au Familistère la bibliothèque qu'il lui avait commandée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Maréchal que les cantons de Guise, de Sains, de Marle et de Sissonne sont en train de signer une pétition en faveur du chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Il lui demande si le canton de Wassigny va s'y associer.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Levasseur un article qu'il voudrait voir publier dans le numéro du dimanche du Courrier de l'Aisne. Le manuscrit de l'article intitulé « Chemin de fer du Cateau à St Erme » est copié à la suite de la lettre sur les folios 25r à 30r : l'article soutient la réalisation de la ligne de chemin de fer qui permettrait de relier les ports de mer du Nord à Marseille en passant par Lille, Valenciennes, Le Cateau, Guise, Marle, Reims, Châlons, Chaumont, Dijon et Lyon ; Godin passe en revue les avantages de la nouvelle ligne pour les cantons de l'Aisne qu'elle traverserait, et pour le département de l'Aisne qui pourrait faire l'économie de frais d'entretien des routes ordinaires ; il appelle le gouvernement à donner la possibilité aux capitaux inactifs de s'employer dans une entreprise d'utilité publique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les concessions de chemins de fer du département de l'Aisne pour lesquelles le gouvernement a refusé le décret d'utilité publique. Godin explique que le département du Nord a obtenu un projet de loi pour la concession définitive du chemin de fer de Lens à Armentières et de Valenciennes au Cateau à la Compagnie du chemin de fer du Nord, mais que le gouvernement a refusé l'exécution par une compagnie locale du prolongement de la ligne du Cateau à Saint-Erme en passant par Wassigny, Guise, Sains, Marle et Sissonne sous prétexte qu'il s'agit d'une ligne d'intérêt général de premier ordre. Il ajoute que la ligne est passée sous silence dans le projet de loi actuel, que le conseil d'arrondissement de Laon souhaite que les députés de l'Aisne fassent que la ligne soit comprise dans le projet de concession à la Compagnie du Nord, et que le gouvernement a promis au Département du Nord qu'il obligerait la Compagnie du Nord à réaliser toutes leurs lignes d'intérêt local. Godin demande à Leroux ce qu'il fait à ce sujet auprès du gouvernement et en particulier auprès de Waddington, ministre, président du conseil général de l'Aisne et père de la loi de 1871.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à David un exemplaire de la pétition sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Il lui demande de la faire signer par les conseillers municipaux et par les principaux industriels de la commune. Dans le post-scriptum, Godin indique qu'il joint à sa lettre un deuxième exemplaire de la pétition à faire signer par le conseil municipal et les industriels de Marle.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin discute la question du tracé par la gare de Marle ou par la gare de Mortiers. Il lui conseille de faire une visite à ce sujet à Menche de Loisne, l'ingénieur en chef chargé de nouvelles études.

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