Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Impossibilité d'aller avec le correspondant chez Mirbeau

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Fuite en Sologne - Michel Yell marié

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de venir à l'Île-d'Yeu - Santé chancelante

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Venue éventuelle de Werth à l'Île-d'Yeu - Courriers de Georges Marielle

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
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« Suzanne Canard, [que Werth] épouse en 1922, n'est pas précisément une fille du peuple. Elle est issue d'une famille assez fortunée de la région de Tournus avec, dans la branche des de Rollepot, quelques militaires de haut rang. De dix ans sa cadette, l'ex‑mademoiselle Canard, sculptrice talentueuse, que Werth a rencontrée chez Victor Margueritte, a effectué ses humanités dans une école religieuse assez stricte où on lui contait que Voltaire dévorait ses excréments. Ce qui eut pour effet, à défaut de la dégoûter des Lumières, selon Claude Werth, de la rendre anticléricale. Léon Werth ne parlera d'elle que dans Déposition, sur un ton qui montre l'amour et l'admiration qu'il lui portait. »
[Heuré (Gilles), L'Insoumis Léon Werth (1878‑1955), Viviane Hamy, 2006, p. 143]
N. B. : Suzanne Canard est née le 25 juin 1888 à Tournus. Le mariage a lieu le 19 août 1922. (Renseignements dus à l'amabilité du fils, le docteur Claude Werth, qui naîtra en 1925 et exercera la médecine en tant que généraliste à Issoudun).


Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
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Sur la restitution de deux manuscrits de L'Atelier à Fasquelle - Suzanne - Questions de santé

Collection : 1932
Auteur : Audoux, Marguerite
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Annonce de sa villégiature

Collection : 1934
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de coordonnées d'un médecin et d'un mot de recommandation

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Nouvelle adresse et accès

Collection : 1935
Auteur : Audoux, Marguerite
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Sur un remède

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Poèmes de Léon-Paul Fargue publiés dans La Phalange - Propos sur la création

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Marie Duran - Les Nocturnes

Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Alitée - Invitation à venir la voir

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Nouvelles du séjour à Fronton avec Michel Yell et Léon-Paul Fargue

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Préface de la prépublication de Marie-Claire

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Prépublication de Marie-Claire dans La Grande Revue

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Prépublication de Marie-Claire

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Traité avec Rouché pour la prépublication de Marie-Claire dans La Grande Revue

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Marie-Claire - Prépublication

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Proposition d'une nouvelle

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Mise en scène de Marie-Claire par Pierre Albert-Birot

Collection : 1921
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Huguette Garnier, romancière et journaliste au Journal, est une amie de Marguerite Audoux. La rencontre s'est peut-être produite après la sortie de L'Atelier de Marie-Claire. Ses romans, avec envois, se trouvent dans la bibliothèque de la couturière des lettres au Musée Marguerite-Audoux de Sainte-Montaine : Le Coeur et la robe, Ferenczi, 1922 ("A la bonne Marguerite Audoux que j'aime, sa blonde Huguette Garnier") ; Quand nous étions deux..., Ferenczi et fils, 1923 ("A Marguerite Audoux avec l'affection de sa blonde Huguette Garnier") ; La Braconnière, Flammarion, 1927 ("A Marguerite Audoux, sa sœur Huguette Garnier") ; La Maison des Amants, La Nouvelle Revue critique, 1927 ("A ma douce et chère Maguerite Audoux, avec toute la tendresse de sa blonde Huguette Garnier"). Voir aussi la lettre 299 d'Alice Mirbeau à Marguerite Audoux du 11 avril 1923 ("Je vous aurais écrit les jours prochains pour vous demander si Mme Hugugette Garnier n'estpas de vos amies.")


Collection : 1925
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Non-adhésion à la Société des Gens de Lettres - De la ville au moulin

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Avec René Bonnet (le préfacier du Marguerite Audoux de Louis Lanoizelée) et Ferdinand Teulé, Henry Poulaille (1896-1980) est l'un des fondateurs et animateurs du « Musée du soir », bibliothèque installée dans un local du XIVe arrondissement de Paris, où des intellectuels et des ouvriers viennent lire et discuter. Il sera aussi directeur des services de presse chez Bernard Grasset. Sa correspondance avec Jehan Rictus (1924‑1931) a été éditée par l'association des amis d'Henry Poulaille et les éditions Plein Chant (16120 Bassac).
Eu égard à sa conception de la littérature populiste (écrite par, sur et pour le peuple), dont il est l'un des spécialistes, Poulaille s'est intéressé à Marguerite Audoux. Il lui rend visite en 1936, lui ayant déjà consacré un chapitre (p. 255‑258) dans la seconde partie de son Nouvel Âge littéraire (Valois, 1930), partie concernant « La littérature prolétarienne française. Œuvres et hommes ». Citons, parmi les autres écrivains qu'il évoque : Charles‑Louis Philippe, Jules Renard, Neel Doff, émile Guillaumin, Louis Pergaud, Henri Bachelin, et Lucien Jean (sur qui il comptait, avec Louis Lanoizelée, écrire une plaquette, projet que la Seconde guerre fit avorter).

Collection : 1927
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

La lettre 324 TER nous révèle qu'Henri Meyer écrit sous le pseudonyme de Jehan Le Povremoyne. Cette amitié épistolaire est peut‑être consécutive à la parution de De la ville au moulin. Henri Meyer et la romancière se verront par la suite, comme le laisse entendre l'avant‑dernier paragraphe de la lettre 344.

Collection : 1927
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Lettre amicale

Collection : 1931
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 322

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
L'affaire Bachelin

Collection : 1925
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Bourdonnements d'oreilles

Collection : 1933
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Santé - Projet de livre

Collection : 1936
Auteur : Audoux, Marguerite
Lettre de Marguerite Audoux à Francis Jourdain
Sur le manuscrit de La Mère et l'Enfant de Charles-Louis Philippe

Collection : 1926
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Deuxième manuscrit à porter à Fasquelle

Collection : 1932
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Né à Arnac (Cantal), Étienne Marcenac (1874-1956) monte à Paris au début du XXe siècle. En 1908, il fonde et dirige La Musette, « revue artistique et littéraire, organe de la Société des originaires du Massif Central ». (En 1910, paraît sous son nom un recueil de poésies intitulé Quenouilles et musettes). Dans La Semaine auvergnate du 30 juin 1910, E.-B. Dalverny mentionne qu’Antonin Dusserre, ami de Marguerite Audoux, a été primé pour un de ses écrits en prose dans La Musette. Sans doute Dusserre est-il le lien entre Marcenac et la romancière, qui a sans doute fait la connaissance du poète lors d’un de ses séjours chez Dusserre, à Carbonat, distant d’Arnac d’une quarantaine de kilomètres, ou encore à Paris, où l’écrivain-paysan vient lui rendre visite afin qu’elle l’aide à trouver un éditeur pour Jean et Louise.

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Dans son aimable missive du 9 septembre 1994, où il nous joint copie des six lettres d'Émile Guillaumin, David Roe nous renseigne ainsi :

« Les archives Émile Guillaumin conservent cinq lettres de la romancière, ou plus exactement, trois lettres de deux ou trois pages[1], deux cartes postales[2] et une carte de visite non datée. Les lettres de Guillaumin semblent perdues.
Si les lettres, datées entre 1920 et 1922, semblent fixer les rapports entre les deux écrivains du peuple fermement dans l'après‑guerre, deux des cartes témoignent d'un contact épistolaire bien antérieur.
On sait d'après le livre de Guillaumin sur Philippe[3] que celui‑ci avant sa mort lui avait parlé de Marguerite et ses premiers écrits. En juin 1910, Guillaumin évoquait assez longuement pour Charles Bruneau[4] sa lecture de Marie‑Claire, qui venait de paraître en feuilleton dans La Grande Revue, à laquelle lui aussi collabora. Il trouvait la troisième partie «un peu moins naturelle» que les autres, et louait surtout, dans la forme, «cette façon d'évoquer les choses sans les dire tout à fait.» Il disait avoir connu «depuis longtemps certains épisodes de l'œuvre par le pauvre Charles‑Louis Philippe», mais s'étonnait un peu de ses «grandes qualités de conteuse», ayant vu chez Mme Philippe une lettre d'elle «quelconque et bourrée de fautes d'orthographe[5]». »
[1] Lettres 278, 286 et 291
[2] Lettres 174 et 333
[3] Guillaumin, Émile, Charles‑Louis Philippe, mon ami, Grasset, 1942
[4] Voir Cent dix‑neuf Lettres d'émile Guillaumin (dont 73 inédites) (1894‑1951), éditées par Roger Mathé, Klincksieck, 1969, p. 86‑89 (lettre 27, du 22 juin 1910, de Guillaumin à Charles Bruneau).
[5] Ibid., p. 88.


Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Écrivain de la glèbe, comme Antonin Dusserre, Émile Guillaumin (1873-1951) évoque la vie rurale de façon réaliste, notamment avec La Vie d'un simple. Il dépasse cependant le régionalisme pour accéder à un véritable humanisme – ce en quoi il rejoint Marguerite Audoux. Les premiers contacts entre les deux écrivains sont épistolaires. Si l'on s'en tient à l'article de Guillaumin du 11 décembre 1937 écrit pour Les Nouvelles Littéraires (« Première et dernière visite à Marguerite Audoux »), il entendit d'abord parler d'elle en 1908 par Charles‑Louis Philippe ; puis il lui rendit visite en 1928, et enfin en mai 1936. Il admire la romancière, qu'il considère, bien au‑dessus de lui, comme un pur artiste. Nous reproduisons ici l'article laudatif qu'il écrit sur Le Chaland de la Reine :

« A propos du Chaland de la Reine

Au mois de septembre 1909, Charles‑Louis Philippe, en vacances à Cérilly, m'annonçait un prochain livre révélateur :
«C'est l'œuvre d'une femme du peuple, de bonne heure orpheline et dont la vie fut pénible. Ancienne ouvrière d'usine, elle est maintenant couturière. Je la connais depuis longtemps : née à Sancoins, elle est presque notre compatriote[1]. Ce fut une surprise pourtant que de l'entendre, un jour de l'autre hiver, me lire des pages de ses souvenirs d'enfance. Elle sait tout juste l'orthographe et se tire mal de la ponctuation, mais elle est, d'instinct, une merveilleuse artiste. Nous en reparlerons…»
Nous ne devions pas en reparler, hélas ! Nous ne devions pas nous revoir. Trois mois après, Philippe, à trente quatre ans, disparaissait dans la nuit éternelle…
Dans le N° à lui consacré par la Nouvelle Revue française le 15 février 1910, Marguerite Audoux, avec infiniment de tact, évoquait des épisodes de leurs rapports anciens. Elle était pour lui la bonne camarade, la vieille amie, la sûre confidente. Telle carte, qu'il lui adressait de sa petite ville en 1907, est charmante de bonhomie affectueuse, de chaude sympathie[2]… Il la tenait au courant de ses travaux. Il ne lui cachait rien de ses aventures sentimentales, ni de ses déboires. Lorsqu'il allait à la campagne, les dimanches d'été, avec quelques familiers, il tenait à ce qu'elle fût de la partie : ‑ cette recluse, toute la semaine courbée sur l'humble tâche, dans la mansarde étroite, avait besoin de faire provision d'air salubre et de contempler des horizons vastes !
Certes, le contact fréquent de l'écrivain au grand cœur et de ses amis dut avoir une grosse influence sur la vocation tardive de l'ouvrière.
Ces pages de gratitude et de douceur attendrie sont les premières que je connus d'elle. Quelques mois après, La Grande Revue publiait Marie‑Claire. Et Les Cahiers nivernais offraient à leurs quatre cents abonnés le régal du Chaland de la Reine. Paul Cornu, directeur, leur disait dans une présentation sobre et sûre qu'ils allaient goûter le charme de cette langue si aisée, si claire, de cette imagination si fraîche – et qu'ils penseraient à la couturière pour se persuader une fois de plus que les richesses du cœur et de l'esprit ne sont le privilège d'aucune caste sociale.
Neuf récits se trouvaient réunis en ce mince recueil. Choses vues, impressions et souvenirs. La vie n'est pas compliquée ; les grands drames demeurent exceptionnels où interviennent le poignard et le revolver. Mais chacun poursuit son rêve auquel s'opposent les rêves des autres – ou leurs appétits.
L'observation chez Marguerite Audoux s'exprime en touches légères, d'un relief saisissant, sur un fond toujours un peu mystérieux et flou.
Un enfant vivait à Paris, près du canal St‑Martin, et l'intérêt de ses jours se concentrait sur le chargement, le déchargement et le défilé des bateaux. Orphelin, le voici transporté dans les Ardennes, chez une tante revêche où il serait très malheureux s'il n'y avait encore, à quelque distance, un canal. Il s'échappe toujours par là, regarde les chalands passer – et, croyant avoir découvert un jour celui de la reine, il meurt de son excès d'imagination…
Le soir de l'enterrement de leur oncle, deux jeunes filles, les deux sœurs, seules dans l'appartement, nerveuses et troublées s'affolent d'un jeu d'ombres, d'un bruit de chute inexpliqué. Mais d'instinct, elles se mentent l'une à l'autre pour se rassurer…
C'est très délicat, très juste de ton, très beau…
Les scènes d'hôpital ne sont pas de qualité moindre – qu'il s'agisse de la vieille mère qui ne veut pas se laisser opérer ou de Catiche l'enfant sauvage, qui résiste aux « autorités » mais subit doucement l'influence de la petite Yvonne, sa voisine de lit, mourant d'une maladie de cœur.
De plus haute classe peut‑être est « L'Incendie », avec ses notations descriptives d'une objectivité puissante, le « comportement » des locataires du sixième devant le danger imminent, la réaction quand il n'est plus rien à craindre. C'est un tableau d'humanité à nu où l'émotion parfois poignante se tempère d'un sourire amusé, d'un sourire de condescendance à l'égard des ridicules et des faiblesses de chacun…
L'embarquement des poulains dans l'île offre la même valeur descriptive, les mêmes qualités émotives : c'est un chef‑d'œuvre de « rendu » baigné de poésie, de tendresse.
Tandis que « Mère et fille » présente un tableau de psychologie familiale d'une intensité peu commune.
*
* *
À cause du Chaland de la Reine, nous étions quelques‑uns, à l'automne de 1910, qui tenions Marguerite Audoux pour une artiste d'une rare originalité, d'un charme profond, d'un goût très sûr. Et le coup de foudre de Marie‑Claire – que fit plus retentissant l'heureuse présentation de Mirbeau – ne pouvait nous surprendre.
Douze ans après, nous sommes quelques‑uns encore à nous étonner qu'aucun éditeur n'ait publié à nouveau Le Chaland.
Mais les contes, paraît‑il, ne se vendent pas. Et qu'importe alors que demeurent ignorées des pages vibrantes d'humanité, des tableautins délicieux, de purs joyaux ?

Émile GUILLAUMIN »

(Les Primaires, 3e série, n° 8, août 1922, p. 322‑324).


[1] Rappelons qu'Émile Guillaumin est d'Ygrande, dans l'Allier, à treize kilomètres au sud‑est de Cérilly. Au nord de ces deux petites villes, Sancoins, dans le Cher, est à vingt‑huit kilomètres de Cérilly, et à trente‑quatre d'Ygrande. Les trois romanciers sont donc bien des « compatriotes ».
[2] Lettre 3


Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 286

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Élisabeth Lelièvre (née Dollorenzi), épouse de Jacques Lelièvre, est désignée, dans l'abondante correspondance au mari, par son diminutif Lette.

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Numéro du secteur d'Antoine Lelièvre

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de rendez-vous

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Annulation de rendez-vous

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande d'envoi d'un Marie-Claire à Francis Chevassu

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Service de presse

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande d'envoi de quelques Marie-Claire

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Projet de visite à Lelièvre - Mauvaise grippe - Chez Francis Jourdain

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Deux lettres jointes (non identifiées) et échange de livres

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande d'envoi d'une dizaine de Marie-Claire

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur la vente de Marie-Claire, le temps qu'il fait et Saint-Jean-sur-Mer

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
43e mille de Marie-Claire en vente - Le banquet Paul Fort - Charles-Louis Philippe - Vie à Saint-Jean - Refus de la vie mondaine et des interviews

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Corrections à faire sur des Marie-Claire - Remerciements pour les nouvelles de Paris - Propos météorologiques

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Exemplaire de Marie-Claire corrigé - Valserine - Visite prévue
Formats de sortie

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