FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Registre CNAM FG 15 (18) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur : Inconnu
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Sur des dommages et intérêts.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à son correspondant un mandat postal de 27 F pour un réabonnement de 6 mois au journal L'Homme libre.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Furcy un mandat de 6 F en paiement des travaux effectués.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Furcy qu'il lui a envoyé des plaques de cuivre pour réaliser des gravures qu'il ne pouvait finalement pas réaliser. Il lui renvoie les petits dessins pour qu'il fasse faire les gravures chez un confrère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Bourdon qu'il ne peut honorer sa traite car il n'a pas reçu satisfaction par la remise de ce qui lui appartient à l'imprimerie et qu'il n'a même pas reçu de réponse à ses réclamations. Il lui demande ce qu'il pourrait faire pour clore l'affaire sans recourir à la justice.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à L. Bourdon, liquidateur de la succession Heutte et Cie, que dans l'imprimerie se trouve une grande quantité de volumes de Solutions sociales et de La politique du travail et un grand nombre de gravures, et qu'il a écrit à ce propos à monsieur Bardin, qui ne lui a pas répondu. Godin demande à Bourdon si l'imprimerie a arrêté ses opérations et quelle suite peut être donnée à l'achèvement de ses volumes et à leur restitution.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Bourdon qu'il n'honorera pas sa traite de 382,95 F car il attend toujours que Bardin lui restitue ce qui lui appartient dans l'imprimerie de Heutte et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les concessions de chemins de fer du département de l'Aisne pour lesquelles le gouvernement a refusé le décret d'utilité publique. Godin explique que le département du Nord a obtenu un projet de loi pour la concession définitive du chemin de fer de Lens à Armentières et de Valenciennes au Cateau à la Compagnie du chemin de fer du Nord, mais que le gouvernement a refusé l'exécution par une compagnie locale du prolongement de la ligne du Cateau à Saint-Erme en passant par Wassigny, Guise, Sains, Marle et Sissonne sous prétexte qu'il s'agit d'une ligne d'intérêt général de premier ordre. Il ajoute que la ligne est passée sous silence dans le projet de loi actuel, que le conseil d'arrondissement de Laon souhaite que les députés de l'Aisne fassent que la ligne soit comprise dans le projet de concession à la Compagnie du Nord, et que le gouvernement a promis au Département du Nord qu'il obligerait la Compagnie du Nord à réaliser toutes leurs lignes d'intérêt local. Godin demande à Leroux ce qu'il fait à ce sujet auprès du gouvernement et en particulier auprès de Waddington, ministre, président du conseil général de l'Aisne et père de la loi de 1871.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Ognier des renseignements sur un sondage réalisé près du Catelet (Aisne).

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Tisserant s'occupe du contentieux de ses affaires, à commencer par le procès avec Boucher et Cie. Il l'invite à venir à Guise le plus tôt possible.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne de ses nouvelles à Tisserant : « Je puis vous dire qu'ayant renoncé à perdre mon temps à Versailles, je reste ici et répare le désordre que l'ordre moral a cherché à y introduire. Mais nous sommes loin encore de jouir de la liberté nécessaire, car il n'y a de liberté réelle en ce moment que pour le cléricalisme. J'attends donc avec impatience le jour où l'influence de cette caste malheureuse aura perdu sa prépondérance sur la France. ». Il lui indique qu'il est entouré de procès qui le paralysent, mais que les tracasseries ont cessé à l'égard des écoles. Godin demande des nouvelles de Tisserant, en particulier de ses projets en Algérie. Sur une liasse de papiers déclarée disparue par Grebel et finalement retrouvée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant que Ganault pourra se charger de son affaire de compte avec Esther Lemaire, mais que ce dernier va devoir comme Goblet, s'occuper des élections législatives et de sa candidature au conseil général. Godin envoie à Ganault le tableau résumé des propositions qu'il a faites pour [le mobilier des] écoles, ainsi qu'un plan pour la bonne compréhension des mesures. Il lui indique qu'il ne s'est jamais préoccupé de concevoir un appareil de chauffage brûlant exclusivement de sapin commun et il lui demande pour quel usage il se sert d'un tel appareil. Dans le post-scriptum, Godin indique que Marie Moret et Émilie Dallet lui envoient leurs compliments.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant qu'il part pour la session du conseil général de l'Aisne. Il lui demande de lui écrire en cas de besoin à l'hôtel de la Bannière à Laon. Il s'en remet à Tisserant pour ce qu'il décidera avec Cresson.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que la transcription qu'il demande coûterait 11 500 F selon son avoué de Vervins ; il veut s'assurer que la dépense est indispensable. Il l'informe également que son correspondant de Bray-sur-Somme lui indique qu'il ne connaît pas les opinions politiques de monsieur Collet mais que ce dernier est un juge de paix sincère et conciliant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que Delpech lui a écrit qu'il n'a pu obtenir auprès de ses amis de Péronne des renseignements sur le juge de paix de Bray-sur-Somme. Godin pense que Collet est un simple juge de paix sans opinion politique « et par conséquent un conservateur ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du télégramme de Tisserant. Godin prévient Tisserant qu'il ne veut pas engager Richon à diriger les opérations. Il explique à Tisserant qu'il a demandé 70 m² de surface pour exposer dans les classes 25 et 27 de l'Exposition universelle de 1878 et que Muller, ingénieur au 19 rue des Martyrs à Paris et président de la commission d'exposition de la classe 27, vient de lui apprendre qu'on ne lui accorde que 8 m². Godin demande à Tisserant de se rendre dans les bureaux de l'administration de l'Exposition universelle pour s'informer sur la place accordée à Boucher et Cie ; Godin soupçonne que Boucher et Cie a obtenu bien plus de surface que lui pour exposer les contrefaçons de ses produits. Godin annonce à Tisserant que, fort de ce renseignement, il pourra intervenir auprès de Krantz, son ancien collègue à l'Assemblée nationale. Godin demande à Tisserant de se renseigner également sur le sort réservé à sa demande d'exposer des tables d'école dans la classe n° 6 consacrée à l'enseignement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant qu'il a fait opposition à la demande de maître Diet sur les frais de notaire d'Esther Lemaire et que l'audience a été remise au 1er mars. Sur une transaction avec Esther Lemaire : Godin estime qu'un montant de 1 million, intérêts compris, est trop élevé ; il informe Tisserant qu'il a envoyé à Delpech un calcul précis des intérêts et des loyers. Il lui annonce que le tribunal de Vervins a rendu son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin a eu gain de cause et la Compagnie est condamnée à lui verser 50 F d'amende par jour de retard pour effectuer le transport de ses marchandises. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin prévoit de terminer le jour même l'impression des conclusions. Godin demande à Tisserant quand il viendra à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Tisserant quand il va pouvoir venir à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il est menacé de poursuite à cause du manifeste électoral bien qu'il n'ait pas été mis en circulation et que les exemplaires imprimés ont été détruits la veille du jour où le parquet en avait ordonné la saisie : « Un silence de mort va donc se faire sur les élections ». Il lui communique une lettre de Delpech qui lui est adressée. Sur des ballots de l'imprimerie Bardin « arrivés ici et déposés chez vous au moment où vous partiez ». « J'aurai des communications bien intéressantes à vous faire sur mon voyage de Bruxelles lorsque vous reviendrez. J'y ai été témoin de phénomènes spirites qui m'ont donné la preuve de faits que je désirais vérifier depuis longtemps » Il transmet à Tisserant les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Tisserant ait recouvré la santé. Tisserant lui propose de se charger de ses procès : Godin ne voit pas comme cela pourrait se passer en pratique car Tisserant réside à Nancy, ce qui nécessiterait d'entretenir avec lui une correspondance chronophage, mais il est prêt à en discuter avec Tisserant ; il lui demande quel rôle il pourrait jouer à côté de ses avoués locaux et quels honoraires il demanderait. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin explique à Tisserant que Grebel lui a appris que Senart, l'avocat de Boucher, se refuse à plaider le 14 décembre 1876 dans le procès en contrefaçon que celui-ci lui a intenté il y a deux ans ; Godin pense que son avocat Cresson ne pourra refuser le report ; il demande son avis à Tisserant sur la question. Il l'informe qu'il a transmis son souvenir à monsieur Tenant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Denisart a demandé à Godin des documents sur le Familistère dans l'espoir que monsieur Menier en fasse l'application à Noisiel. Il lui adresse des imprimés des magasins de vente et des livres de l'économat dont il dresse la liste. Dans le post-scriptum, il lui transmet les amitiés de Marie Moret et évoque la naissance de mademoiselle Pétilleau.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Denisart une copie des règlements des caisses de l'usine et des services du Familistère. Il précise qu'il n'y a pas de règle pour la chorale et que la société dramatique n'existe plus. « J'espère qu'avec tout cela, vous serez en mesure de fonder immédiatement une institution pour laquelle bien des études seront évitées ». Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Denisart a demandé à Godin à revenir dans son établissement. Godin estime que le retour de Denisart est difficile car il occuperait une position de moindre importance, l'économe du Familistère n'étant désormais que l'agent exécutif d'une commission administrative, aux appointements de 1 800 F par an. Godin rappelle à Denisart ses inimitiés personnelles au Familistère qui feraient opposition à son retour : l'appui d'Eugène André, directeur de l'usine, et de Dequenne, président de la commission administrative, serait nécessaire pour éviter de faire renaître l'esprit d'intrigue et de cabale. Dans le post-scriptum, Godin transmet à Denisart le souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Tisserant la copie de la lettre qu'il vient de recevoir d'Amiens et de la réponse qu'il y fait.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Falaize qu'il est inutile de demander la transcription de l'arrêt de la cour d'Amiens du 12 mars 1877.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Delpech qu'il a demandé à Jules Bozérian son avis sur la portée du renvoi de l'affaire Boucher et Cie devant la cour d'Amiens, étant donnée la différence d'interprétation entre lui et Cresson. Godin cite une lettre de Cresson lui demandant de consulter son avocat à la Cour de cassation, et il cite la réponse de Bozérian lui demandant le jugement du tribunal de Rocroy, l'arrêt de la cour de Nancy et l'arrêt de la Cour de cassation pour pouvoir émettre un avis. Godin juge que les arrêts de la cour d'Amiens et de la Cour de cassation sont obscurs et il demande à Delpech s'il revient à la cour d'Amiens ou à celle de Nancy de les interpréter.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense qu'il faudrait demander à la Cour de cassation d'interpréter son arrêt dans l'affaire Boucher pour savoir si c'est la cour d'Amiens ou celle de Nancy qui doit apprécier la question des dommages et intérêts et si le brevet pris en 1864 pour une cheminée et ses organes accessoires peut être entaché de nullité par cet arrêt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech que Godin partira demain pour lui porter les réponses à ses questions. Il l'informe qu'il ne se rendra pas à Amiens le mardi suivant car il est convoqué par le substitut du procureur de Vervins pour le procès en contrefaçon Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin et sur la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à Delpech qu'il a reçu les conclusions de Larue et qu'il va rectifier les erreurs commises dans les chiffres avant de les lui adresser. Il l'informe que l'affaire est appelée devant le tribunal de Vervins le 10 août et il souhaite que Goblet écrive au président du tribunal pour demander le report.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin veut savoir si Delpech et Goblet ont étudié le travail qu'il leur a envoyé. Sur le projet de conclusions de Delpech : Godin estime qu'il peut servir à Goblet mais que les chiffres ont besoin d'être plus justifiés et que le séjour de Delpech à Guise a été trop court pour lui permettre d'avoir toutes les informations nécessaires. Il lui annonce que lui-même et Tisserant pourront se rendre auprès de lui pour arrêter les conclusions après que lui et Goblet aient étudié le travail de Godin et Tisserant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient Delpech qu'il ne peut prendre une résolution immédiate sur des propositions aussi graves que celles présentées dans sa lettre arrivée à 6 heures du soir. Il précise qu'il ne dépassera pas les chiffres du président.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le jugement du tribunal de Vervins relatif au compte d'Esther Lemaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le projet de conclusions pour le procès en appel : Godin est en accord avec le projet de Delpech mais souhaite qu'y figurent certaines données établies par Tisserant dans son étude. Il suggère à Delpech de commencer son mémoire par un tableau comparant l'état de la fortune commune au moment du mariage et au moment de la dissolution de la communauté pour mettre en valeur les avantages qu'Esther Lemaire retire de la situation. Il lui explique que la note de Tisserant reflète exactement la position qu'il compte adopter à l'audience, et que celui-ci a réuni les différents documents demandés, sauf le plan de l'usine de Guise qui sera prêt dans quelques jours. Il souhaite que Tisserant puisse leur donner des explications sur leur travail commun. Godin insiste sur l'importance de l'audience du procès pour sauvegarder ses intérêts.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech qu'il a communiqué ses intentions à Goblet. À propos du montant d'une transaction avec Esther Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Delpech que des chambres seront prêtes pour lui [et Goblet] à leur arrivée. Sur la répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et sa femme Esther Lemaire : Godin souligne le risque d'être ruiné dans le cas d'une licitation dans les conditions de répartition proposées par les experts, et la possibilité qu'Esther Lemaire, peut-être associée à certains industriels, fasse monter le prix de vente. Godin explique que le moyen d'échapper à la ruine est de faire valoir son droit de propriété sur ce qu'il a fait depuis 1863, sauf les dépenses dans les constructions : modèles, outils, brevets, marchandises, matières premières. Il explique également qu'il n'a pas attaqué l'expertise pour ne pas ralentir le règlement de l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Delpech s'il détient toutes les pièces de son procès en demande de provision par Esther Lemaire. Il souhaite obtenir des conseils de lui et de maître Goblet sur le jugement ordonnant l'exécution provisoire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le procès en appel de Godin contre Esther Lemaire relatif à la licitation des biens de la communauté. Sur le développement industriel postérieur à 1863 : Godin invite Delpech et Goblet à venir voir l'établissement de Guise pour éviter une mauvaise interprétation de la situation. Godin estime que le travail des experts, qui a duré deux ans, est à refaire, mais convient qu'une nouvelle expertise donnerait encore lieu à un arbitrage. Godin ne veut pas renoncer aux créations industrielles qui sont sa propriété personnelle : outillage, modèles, brevets, marchandises, matières premières...

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à Delpech le jugement du 31 août 1876. Godin s'interroge sur le sens de ce jugement qui empêche toute transaction entre lui et Esther Lemaire alors que Quest, le président du tribunal, était auparavant intervenu pour favoriser une transaction entre eux. Godin pense qu'il s'agissait d'un piège et que Quest, tout en se récusant dans l'affaire, « était derrière le rideau pour la rédaction du jugement ». Il rappelle à Delpech qu'Esther Lemaire avait alors refusé les 850 000 F qu'il lui offrait. Godin demande à Delpech s'il doit payer immédiatement la somme ordonnée par le tribunal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin autorise Delpech à faire une offre de transaction à Esther Lemaire de 595 000 F plus les intérêts. Il le prévient qu'Esther Lemaire n'acceptera pas. Godin envisage que l'arrêt de la cour lui soit défavorable et il fait l'hypothèse de ne pas enchérir dans la licitation : « Ne serait-ce pas folie d'engloutir entre ses mains le plus pur de ma fortune ? Mieux vaut le conserver à mon fils. » Il indique qu'il préfèrerait laisser l'établissement à Esther Lemaire plutôt que lui laisser sa fortune : « Je sens toute l'étendue d'un tel sacrifice, mais malheur pour malheur, j'écarterai au moins de mon existence des charges et des ennuis qui, depuis longtemps, pèsent sur moi, et peut-être retrouverai-je ainsi plus d'indépendance et de liberté. » Il suggère à Delpech de demander à Esther Lemaire de lui faire des offres plutôt que d'en faire à cette dernière. Il lui signale qu'il ne peut pas prendre l'avis de Tisserant qui est retourné à Nancy. Il lui demande de lui faire part de ses réflexions et de celles de Goblet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande conseil à Delpech sur une demande d'Esther Lemaire d'autorisation pour le partage de la succession de son père. Dans le post-scriptum, Godin s'étonne que la demande soit faite plusieurs années après le décès du père d'Esther Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Delpech qu'il a déposé un référé pour pouvoir effectuer au nom de la communauté des travaux dans l'usine de Guise : la réfection d'une halle détruite par la chute d'une cheminée renversée par l'ouragan du 12 mars 1876 pour un montant de 5 000 F et la reconstruction du gazomètre, construit en 1863 pour éclairer 350 ouvriers et devant aujourd'hui en éclairer 1 100, pour un montant de 30 000 à 40 000 F. Godin ajoute qu'il a différé jusqu'à ce jour le dépôt d'un référé car on lui avait fait croire qu'Esther Lemaire consentirait à une transaction amiable pour la liquidation de la communauté.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une proposition de transaction avec Esther Lemaire à hauteur de 525 000 F plus les intérêts.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Delpech son avis sur une note diffamatoire d'Esther Lemaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Delpech qu'il lui a expédié par chemin de fer quatre tables d'école pour servir de modèles et lui a envoyé la facture correspondante de 118 F. Il précise les modifications qu'il ferait s'il construisait à nouveau les tables. Il recommande à Delpech de s'assurer du nombre d'élèves par taille pour faire fabriquer le nombre désiré de tables. Il ajoute qu'il ne lui a pas envoyé le modèle de la table pour les élèves de de 1,45 à 1,55 m. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin adresse un chèque de 42 000 F à Delpech pour l'enregistrement ; il lui demande le montant de ses honoraires et lui signale qu'il fait la même demande à Goblet, car il pense que l'affaire est bientôt terminée. La copie de la lettre est suivie (folio 296r) de la copie de la facture de quatre tables d'écoles livrées à « M. Delpech, adjoint au maire de la ville d'Amiens ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin communique à Delpech la copie d'une lettre d'Édouard Larue. Godin s'interroge sur la possibilité de donner à son industrie les développements nécessaires, et notamment de développer l'éclairage au gaz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie à Delpech un chèque de 338 F pour régler une affaire de référé. Godin souhaite que Goblet plaide dans tous ses procès avec peut-être l'intervention de Cresson dans certaines affaires.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le projet d'une transaction avec Esther Lemaire : Godin évalue les sommes dues à sa femme et il évoque ce qui pourrait revenir à son fils. Il demande à Delpech de lui répondre sur la possibilité qu'Esther Lemaire lui fasse des offres pour la reprise des usines qu'il pourrait abandonner si les conditions qui lui étaient faites pour poursuivre l'activité industrielle étaient trop difficiles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin pense que Senart, dont la femme vient de mourir, ne viendra pas plaider à Vervins le 14 décembre 1876. Il demande ce qui pourrait se passer si son avocat plaide seul ce jour-là.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin envoie à Delpech une étude faite à Guise avec Tisserant, à intégrer à sa propre réflexion et à celle de Goblet pour le projet de conclusions dans l'affaire de répartition de la valeur des biens de la communauté entre Godin et Esther Lemaire. Sur l'inventaire de 1863, réclamé par Delpech mais que Godin n'estime pas pouvoir être utile aux juges. Il lui signale qu'il écrit à Larue. Il lui annonce que lui-même et Tisserant sont prêts à se rendre à Amiens pour achever le mémoire à imprimer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin et sur la liquidation de la communauté de biens : sur les jugements du 14 juillet 1865 et du 14 juin 1868 sur les intérêts [dus à Esther Lemaire].

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