FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (19) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à Marie Howland que son bel ouvrage Papa's Own Girl soit traduit en français par Marie Moret, qui connaît désormais suffisamment l'anglais, et publié en feuilleton dans le journal Le Devoir. Il l'avertit qu'il sera obligé de faire des modifications dans les chapitres décrivant le Familistère pour faire concorder parfaitement le texte avec la réalité. Il lui explique qu'il veut faire avec son livre ce qu'elle a fait en traduisant Solutions sociales, et il lui signale que la traduction de son roman a déjà commencé. Il lui envoie deux brochures, La richesse au service du peuple, qui comprend des extraits de Solutions sociales et La politique du travail et la politique des privilèges.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin tempère les éloges enthousiastes de Marie Howland à l'égard de sa personne. Sur les difficultés du perfectionnement de l'humanité. Sur le livre de Marie Howland et l'appréciation du Familistère par les fouriéristes : « Ne pouvant lire votre livre, peut-être ai-je été conduit par certains passages traduits isolément à subir l'effet de certaines impressions nées de la façon dont le Familistère est apprécié par les disciples de Fourier qui ont persisté à croire le maître infaillible et à considérer sa théorie comme étant la science sociale. Quoiqu'ils revendiquent le Familistère comme une suite des travaux du maître et de son école, ce que je ne veux en aucune façon contester, il n'est pas moins vrai qu'au demeurant, on me considère un peu comme un hérétique pour ne pas avoir admis la théorie des passions et n'avoir pas réalisé le travail attrayant par groupes et séries. » Godin explique que le dévouement et le sacrifice, et non l'attrait et le bonheur individuel, sont les principes de son action. Il fait la critique de la théorie fouriériste. Sur la vie d'outre-tombe : Godin affirme qu'il a dépassé Fourier dans la connaissance des rapports entre l'existence matérielle et la vie d'outre-tombe. Sur les résistances au Familistère et à l'Association : il annonce à Marie Howland que Marie Moret va lui envoyer la copie d'une transcription de sa dernière conférence, et qu'elle pourra ainsi comprendre qu'il peut être sujet à la mélancolie et au découragement. Sur la maladie d'Edward Howland : Godin recommande à Marie Howland d'imposer les mains sur son époux pour hâter sa guérison.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À la demande de Sandoz et Fischbacher, Godin leur adresse la première feuille d'épreuves de La fille de son père et un échantillon du papier sur lequel le tirage doit être fait. Il précise que le papier n'est pas fort pour pouvoir faire de l'ouvrage un seul volume. Il propose à Sandoz et Fischbacher de placer leur nom sur la couverture à côté de celui de Dentu.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Allez frères qu'il sera à Paris jeudi soir 14 février 1878, et leur annonce qu'il les verrait bien pour discuter avec eux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Barré du 1er décembre 1878. Il lui demande de lui fournir des références et lui pose une série de questions sur sa situation professionnelle et personnelle, et aussi s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Barré qu'il ne peut prendre sur lui des renseignements auprès des Fonderies de Sougland ou de Faure en raison de sa situation à leur égard ; il lui demande l'autorisation de le faire auprès de Le Bachellé et Cie. Il l'avertit qu'il ne peut recruter en ce moment un nouveau voyageur de commerce.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Barré qu'il n'a pas actuellement besoin d'un voyageur de commerce.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Benoit-Leroy de verser 230 F à monsieur Rignault, notaire à Corbigny, en paiement des baraques de sondage de Sardy.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Bonnefont la lettre de Pierre Gaétan Leymarie contenue dans sa lettre. Il le prévient que le moment n'est pas favorable aux recrutements. Il lui demande s'il fait usage de tabac, quels appointements il reçoit à Anzin et auprès de qui il pourrait se renseigner sur lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à monsieur Bonnerond de se présenter chez Rignault, notaire à Corbigny, pour y percevoir 42 F en paiement du transport de 1 400 kg de fer à Clamecy.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Cardot qu'il renonce à lui offrir l'emploi de boucher-charcutier du Familistère car il a des engagements avec l'actuel charcutier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à monsieur Cardot qu'il repousse à la première quinzaine de janvier la décision de lui accorder un emploi [de boucher-charcutier au Familistère].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Carles qu'il accepte de l'embaucher dans les bureaux de l'usine du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avoue à Carles qu'il ne se souvient pas de l'entrevue qu'ils auraient eue à Versailles. Il demande à Carles des renseignements sur lui et sa situation pour savoir quel emploi il pourrait lui offrir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Carles du 15 août 1878. Il se demande si l'âge de 53 ans n'est pas avancé pour entrer dans une industrie nouvelle. Il lui demande toutefois s'il peut éventuellement s'occuper de la correspondance commerciale et lui demande de lui communiquer d'autres références que la maison Cail ainsi que le minimum d'appointements qu'il désire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Classe-Malézieux, qui cherche du travail, vienne faire un essai de quelques jours à Guise et éventuellement en profiter pour trouver un logement.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin s'étonne du silence de Courtois. Il lui demande s'il peut lui fournir les marronniers demandés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Courtois un chèque de 138,40 F en paiement de sa facture du 4 mars 1878 [pour la fourniture des marronniers].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Courtois qu'il n'a pas pu aller voir ses marronniers car sa lettre est arrivée à Paris après son départ. Il lui demande de lui expédier 22 marronniers de 2,5 mètres de hauteur et 7 beaux marronniers plus gros, à expédier de la gare du Nord à la gare de Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Daguet du 28 novembre 1878. Il lui explique que l'administration du Familistère gère les questions de mutualité et d'association et que pour le reste, les familles s'occupent d'elles-mêmes, et aussi que le Familistère n'admet que les familles des ouvriers et employés attachés à l'établissement. Il l'informe que la ville de Guise compte 6 000 habitant·es, qu'elle compte plusieurs établissements industriels mais qu'elle offre moins de possibilités pour un employé que la ville du Mans. Il précise qu'il ne cherche pas de nouveaux employés en ce moment.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Delabarre que le ciment de gutta-percha qu'il a reçu ne durcit pas après avoir été introduit dans la dent. Il demande l'envoi de ciment plus dur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Delaby qu'il a envoyé au ministre des Travaux publics les pétitions des vingt communes et qu'il a remis à Edmond Turquet la liste des communes et une copie de sa lettre au ministre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a reçu des invitations pour une réunion à Laon à des jours différents [à propos du chemin de fer par la vallée de l'Oise]. Il informe Delaby qu'il renonce à faire le voyage mais qu'il se rendra volontiers à une réunion qui pourrait être organisée à Proisy.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attend une réponse de Dentu à la suite de l'envoi de la première feuille du roman La Fille de son père.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Dulac pour son témoignage de sympathie. Il lui confie que peu de personnes autour de lui le comprennent. Il lui demande de propager le journal Le Devoir et de lui envoyer l'adresse de personnes susceptibles de s'y abonner.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Proux a invité Godin à présider une conférence organisée par monsieur Jeanmaire. Godin répond à Proux que ses occupations ne lui permettent pas d'accepter. Il informe Proux qu'il n'a pas reçu les deux articles de ce dernier sur l'impôt remboursable que pourrait publier le journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de monsieur et madame Défontaine sur la conduite de leur fils dans les écoles du Familistère, bien que madame Défontaine soit employée dans l'enseignement. Il leur demande de faire preuve de fermeté à l'égard de leur fils, qui ne sait jamais ses leçons, et se montre indocile et insubordonné. Il leur rappelle qu'à la dernière réunion scolaire, il a été déclaré que la première condition pour obtenir une place à l'usine est de donner satisfaction aux maîtres et maîtresses.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les tables et bancs des écoles du Familistère. Godin informe Ganault que les tables et bancs coûtent 50 % plus cher que les modèles de l'ancien mobilier. Il lui annonce qu'il est prêt à envoyer un spécimen de chaque type à Laon. Godin explique à Ganault que le matériel des salles d'asile pour l'enseignement du calcul et la partie récréative qui suit chaque leçon n'est pas utilisable sans la méthode, qui n'est pas imprimée, mais il peut lui envoyer par chemin de fer un échantillon des quatre sortes de boîtes « pensant qu'elles pourront vous servir au moins pour amuser votre petite phalange ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin félicite Ganault pour son élection au conseil général de l'Aisne, où il espère que les intérêts républicains pourront désormais se faire entendre. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin annonce qu'il se contentera de produire des pièces écrites par Tisserant devant le tribunal de Vervins et qu'il ne fera pas plaider par un avocat ; il demande à Ganault ce qu'il pense de cette stratégie. Sur la politique du gouvernement : « Va-t-il nous donner le spectacle d'une conflagration de tous les pouvoirs [...] ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne à Ganault des nouvelles des élections municipales de Guise : 16 conseillers sur 23 sont issus de la liste républicaine. Il pense que dans ces conditions, l'administration supérieure ne pourra pas choisir pour maire un conseiller de la minorité. Il estime qu'il y a assez de capacités dans la majorité en dehors de lui-même pour administrer la commune. Il informe Ganault qu'il va s'occuper d'obtenir l'assentiment de trois personnes pour occuper les fonctions de maire et d'adjoints.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rend compte à Ganault de son action pour éviter que l'administration municipale retombe dans les mains des bonapartistes ou des ennemis de la République. Il résulte des entretiens qu'il a menés qu'une première combinaison possible est la suivante : Delorme, propriétaire, maire ; Pouillard, propriétaire, premier adjoint ; Coutte, meunier, deuxième adjoint. Sur Delorme : ancien entrepreneur de bâtiments, otage des Prussiens en 1870, membre du conseil municipal, premier adjoint de Godin maire, exerçant les fonctions de maire pendant le mandat de Godin à l'Assemblée nationale et après la révocation de Godin en tant que maire ; sur Pouillard : premier adjoint de Delorme, propriétaire ancien commerçant ; sur Coutte : meunier propriétaire du moulin de Guise ; les trois figuraient sur la liste républicaine. Une deuxième combinaison comprend : Baré, maire ; Dezaux, manufacturier, premier adjoint ; Coutte, deuxième adjoint. Sur Baré : président du conseil des prudhommes et imprimeur à Guise, rallié à la République. Godin conclut que le gouvernement n'aura pas de peine à former une combinaison qui ne soit pas bonapartiste et qui ne fasse pas appel à lui. Il ajoute que Devillers, comme lui, ne veut pas participer à l'administration municipale. Sur la fondation du journal Le Devoir : Godin annonce à Ganault qu'il va fonder un journal intitulé Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à G. Delécluse de venir à Guise faire un essai d'un mois dans son usine avant de lui offrir un emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gillard du 13 août en lui annonçant qu'il ne trouvera pas un emploi de comptable à l'usine du Familistère de Guise car le travail ne repose pas sur la confiance mais sur la rigueur du contrôle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Haraux qu'il l'accepte en qualité d'employé de l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire et que sa lettre lui sera remise à Origny par François Dequenne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande une paire de bottines pour la saison chaude.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Canelle a évoqué auprès de Godin une entreprise de charbonnage : Godin lui répond qu'il n'entreprendra rien avant de connaître les résultats des sondages en cours, et qu'il a transmis à Henri de Hulster la carte qu'il lui avait communiquée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à l'inspecteur de l'instruction primaire des renseignements sur Charles Joseph Briquet, né le 16 avril 1816, professeur et chef d'institution pendant 20 ans, dont 12 ans à Origny-Sainte-Benoite de 1850 à 1862, chef depuis 1876 de l'école du Familistère qui comprend 177 enfants de 2 à 13 ans. Il l'avertit qu'il lui retourne une serviette oubliée chez lui.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Lasseroc a demandé à Godin l'autorisation de publier dans un journal de Châtellerault le roman La Fille de son père que fait paraître le journal Le Devoir. Godin lui explique que le roman doit être édité en volume après sa parution dans Le Devoir, et que l'éditeur du volume ne pourra pas autoriser une autre publication sans dédommagement. Il le remercie pour ses témoignages de sympathie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Lécolle pour son offre qu'il ne peut mettre à profit en raison des matières que le journal Le Devoir a à traiter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient son « cher Lefèvre » qu'il va avoir besoin d'argent et il lui demande de rembourser le plus tôt possible ce qu'il lui doit.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Lessard qu'il hésite à l'embaucher en qualité d'employé de bureau, mais lui demande s'il a des aptitudes à la représentation commerciale en tant que voyageur. Il regrette que Lessard soit éloigné car il aurait voulu avoir un entretien avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lessard qu'il renonce à l'employer dans l'usine du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lessard qu'il est trop tard pour songer à placer des objets de bureau chez les libraires, mais qu'il ne s'oppose pas à ce qu'il étudie ce qu'il y aurait de possible entre eux pour voyager dans les villes où les libraires peuvent être visités.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Loustalot que le fourneau qui lui est destiné sera expédié le lendemain par chemin de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le choix d'un appareil de cuisson. Loustalot a demandé à Godin l'envoi de l'album de la manufacture : Godin propose de choisir pour lui un fourneau en fonction de ses indications. Il lui annonce que dans le cas d'un achat, il adressera à Loustalot le journal Le Devoir à titre de remise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Marcoux une copie des règlements de la caisse de secours et de la caisse de retraite de l'usine du Familistère de Guise. Il précise que l'allocation fixée pour la caisse de retraite a toujours dépassé les besoins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un appareil à faire chauffer l'eau inventé par Mingrat. Godin a fait des expériences avec tous les appareils à faire chauffer l'eau qu'il a pu réunir : il informe Mingrat que son appareil a été le moins performant et le plus consommateur de gaz, et qu'il est le plus coûteux à fabriquer. Il lui annonce qu'il lui renvoie les objets qu'il lui avait confiés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Mouton a fait à Godin la proposition de distribuer gratuitement 4 000 exemplaires de La Semaine républicaine en échange de la liste des adresses des abonnés à ce journal. Godin évalue la dépense à 20 000 F et juge que c'est un trop grand sacrifice pour le journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Parent-Wallon fasse un essai dans les bureaux de l'usine de Guise pour s'occuper de la correspondance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Berteaux a sollicité Godin pour obtenir un emploi d'instituteur ou remplir une autre fonction au Familistère. Godin l'avertit qu'il n'est pas facile de changer de carrière et que tous les hommes intelligents n'ont pas la capacité d'être des éducateurs. Il l'informe qu'il n'y a pas d'emploi vacant dans les écoles du Familistère et que toutes les autres fonctions demandent des connaissances particulières. Il lui indique qu'il lui faudrait des renseignements sur lui pour savoir s'il pourrait être utile à son œuvre. Il lui demande s'il fait usage de tabac.
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