FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Antoine Massoulard que Jean-Baptiste André Godin va répondre le jour même à sa lettre du 16 septembre 1879 et à sa dernière qui est arrivée quelques heures avant leur départ de Guise. Elle lui indique que Picot peut conserver son mobilier quelque temps encore. Elle est heureuse de savoir que Massoulard travaille avec plaisir à la traduction du discours de monsieur Stuart qu'elle lui a demandée. Dans le post-scriptum, elle l'informe qu'elle et Godin ne partiront pas de Paris avant dimanche.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Neale une notice biographique de Godin que ce dernier lui a laissé compléter. Elle l'informe que Godin va bientôt pouvoir lui envoyer un exemplaire des statuts de l'association du Familistère. Elle lui envoie un portrait de Godin.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de Neale du 22 janvier 1880. Elle ne s'oppose pas à ce que Neale écrive que les notes complémentaires relatives à Godin lui ont été fournies par une parente et amie intime de ce dernier. Elle l'informe qu' « ils » corrigent actuellement la 2e épreuve des statuts de l'association du Familistère et elle lui promet l'envoi d'un exemplaire aussitôt le volume achevé.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie la chambre La Solidarité pour les deux cartes qu'elle a décernées à elle et Godin dans sa séance du 7 avril 1880, et qu'Auguste Fabre leur a remises.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Godin accuse réception de la brochure Associated Homes de Neale et l'en remercie. Neale a indiqué à Godin qu'il aurait recours au journal Le Devoir pour effectuer la traduction des statuts de la Société du Familistère : Godin lui promet l'envoi prochain du livre, dont la mise en page est en cours. Il lui transmet le meilleur souvenir de Marie Moret.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Neale que ce qu'il a écrit dans The Cooperative News sur les pionniers de Rochdale inspire à Godin et à elle le désir de connaître exactement leur programme. Elle lui demande dans quel document elle pourrait trouver ces renseignements. Elle l'informe que l'ouvrage Mutualité sociale est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui signale que Godin est actuellement absent de Guise mais qu'elle est chargée de lui présenter ses amitiés.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini qu'elle lui écrit de la part de Godin, appelé à Paris pour une question de chemin de fer. Elle l'avertit que l'ouvrage contenant les statuts de l'association du Familistère est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui explique que le travail consacré à cette étude, en plus des questions de l'usine et de celles du Familistère ont empêché Godin de rédiger l'article sur l'ouvrage de monsieur Jozon. Elle lui demande s'il suit la publication du Dernier-né de Ginx dans le journal Le Devoir, qui est une bonne œuvre mais de peu d'étendue. Elle lui demande s'il connaît une œuvre qui pourrait être publiée en feuilleton à la suite de Ginx's Baby. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin, de sa sœur et d'elle-même.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini que le journal Le Devoir fait échange avec The Cooperative News de Manchester. Elle lui demande avec quel autre journal anglais de réformes sociales, Le Devoir pourrait échanger. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin et d'elle-même.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Neale pour l'envoi d'un ouvrage en deux volumes dont elle a commencé la lecture. Elle estime que l'histoire des pionniers de Rochdale est un exemple remarquable de l'oubli des principes en matière de réformes sociales dont parle Neale. Elle lui annonce qu'elle et Godin seraient heureux de voir le discours de Godin à la fête du Travail publié dans The Cooperative News. Elle lui demande s'il connaît en Angleterre des journaux comme The Cooperative News avec lesquels Le Devoir pourrait échanger.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Monneret du 29 janvier 1879. Il accuse réception d'un mandat de 12,50 F en paiement d'un abonnement au journal Le Devoir. Monnet a proposé à Godin de lui céder une collection de 3 000 fossiles : Godin demande quelles sont ses conditions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Vénard a proposé à Godin de s'installer en qualité de pharmacien dans l'Association coopérative du capital et du travail : Godin accepte d'examiner cette proposition ; il indique que les frais de pharmacie du Familistère s'élèvent à 6 000 F chaque année, somme que le comité de pharmacie cherche à réduire ; il précise que cette somme ne peut pas augmenter avec des personnes venant de l'extérieur : « Le public, au contraire, voit avec jalousie et rivalité l'organisation des services intérieurs du Familistère. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Théophile Germain cherche un emploi d'ouvrier dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin lui demande ce dont il est capable ; il indique que l'usine utilise de la tôle pour fabriquer des appareils de chauffage ; il lui demande ce qu'il gagne dans son établissement actuel ; il précise qu'un manœuvre touche 0,25 F l'heure et que sa journée de travail est de 10 à 11 heures ; il ne l'engage pas à venir avec son frère dans l'immédiat et le prévient qu'il est difficile de trouver de l'ouvrage pour tous les ouvriers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amédée Moret de se rendre chez l'avocat Cresson au 41 rue du Luxembourg [actuellement Guynemer] à Paris pour y récupérer des pièces de comptabilité et expédier celles-ci à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Thiaudière un mandat poste. Il attire son attention sur l'avis aux abonnés de Paris paru dans le journal Le Devoir, dont il demandait l'insertion. Il informe Thiaudière que les mots « 2e année » seront restitués dans le sommaire du journal. Il indique que madame Rouget, abonnée au journal, peut obtenir des informations sur le Familistère en achetant Solutions sociales ou La richesse au service du peuple. Il lui envoie une petite photographie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Monneret ses échantillons de fossiles et l’informe que le Familistère ne peut acquérir sa collection.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe l’inspecteur qu’il ne peut employer Alfred Génier qui n’a pas les compétences requises pour son industrie. Il ajoute que des capacités pour la comptabilité ou la correspondance industrielle pourraient lui être utiles, mais que Génier ne semble pas les avoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe madame Dérivis qu'il a appliqué l'onguent qu'elle lui a adressé sur une plaie résultant d'une brûlure et que celle-ci guérit. Il pense que l'onguent pourrait rendre de véritables services dans une population ouvrière. Madame Dérivis a proposé de communiquer à Godin la recette de son onguent : Godin lui demande si elle souhaite toujours le faire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Levasseur qu'il doit venir à Guise pour voir s'il ne peut embaucher Migrenne. Godin pourrait l'occuper mais à 100 F par mois seulement : il demande si Levasseur peut lui offrir davantage. Il lui indique que le temps est beau, favorable pour qu'il vienne le voir, et précise qu''une chambre sera à sa disposition chez lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à madame Parent un numéro du journal Le Devoir qui ne lui est pas parvenu. Il attire son attention sur l’avis paru dans l’avant-dernier numéro du journal demandant aux abonnés de Paris de régler leur abonnement au bureau de Paris au 32 rue Serpente. Il accuse réception du traité de musique qu'elle lui a envoyé : il indique que la musique de piano est exceptionnelle au Familistère et n'a pas sa place dans les écoles, mais qu'il recommandera l'ouvrage aux quelques personnes qui cultivent le piano au Familistère. Il lui adresse ses compliments ainsi qu'à sa fille.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Monsieur Vénard, pharmacien à Olivet, a informé Contadet de sa proposition de venir s'installer en qualité de pharmacien au Familistère, activité qu'il pourrait compléter par une autre fonction. Godin pense qu'il ne suffit pas que Vénard soit sympathique à l'œuvre du Familistère, mais qu'il doit aussi mériter la sympathie de sa population, qu'il soit actif et intelligent : Godin demande à Contadet des renseignements sur Vénard.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Gosselet des renseignements détaillés sur le sondage qu'il réalise à Guise pour creuser un puits artésien. Il décrit les différentes couches géologiques traversées jusque 296 m de profondeur d'un premier trou de sondage interrompu à cause d'un trépan bloqué au fond du trou. Il explique à Gosselet qu'il a entrepris la réalisation d'un deuxième sondage en vue d'alimenter en eau l'usine et le Familistère de Guise et qu'il doit parvenir à faire monter l'eau à 27 mètres d'altitude au-dessus du niveau de l'Oise ; ce sondage, précise-t-il, est arrêté à 255 m de profondeur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Perruchot et Chalumeau du 22 mars 1879 : il leur indique qu'il est prêt à vendre le terrain au prix qu'il l'a acheté, soit 1 000 F, en consentant à perdre les frais d'acquisition ; il estime à 25 F le montant des travaux à faire pour remettre le terrain dans son état d'origine.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Levasseur un chèque de 180 F pour régler le premier trimestre 1879 de sa collaboration au journal Le Devoir. Sur le cas de Migrenne : Godin ne peut en dire davantage que ce que les journaux ont écrit ; il précise qu'il l'a employé comme auxiliaire dans les bureaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la méthode phonomimique Grosselin : Godin envoie à Villain une feuille relative à la méthode Grosselin, appliquée partiellement au Familistère ; il explique que la méthode a servi à développer la lecture chez les enfants de l'asile du Familistère et il précise que cette méthode a été adoptée, non en raison de la présence d'enfants muets au Familistère, mais parce qu'elle est un moyen d'initiation rapide et agréable, comme l'indique Marie Pape-Carpantier dans son cours d'éducation et d'instruction primaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise : Godin établit le compte des sommes dues à Henri de Hulster pour le sondage de 255 mètres de profondeur. Il discute des opérations qui restent à accomplir pour recueillir l'eau de la source.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Théophile Germain du 21 mars 1879 : Godin lui recommande de ne pas quitter l'industrie dans laquelle il est compétent pour une nouvelle dans laquelle il se retrouverait en infériorité par rapport aux ouvriers expérimentés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des 8 volumes du journal L'Ami des sciences des années 1855 à 1862 que Paul Coste offre à la bibliothèque du Familistère comme le lui a annoncé son ami Ledoux le 27 février 1879. Il lui adresse ses remerciements.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Cresson du 17 mars 1879. Il lui fait observer que le chèque de 5 000 F qu'il lui a envoyé le 28 avril 1877 s'applique à toutes les plaidoiries de l'affaire Boucher dans laquelle un rapport d'expert est encore attendu. Il lui rappelle qu'il lui a envoyé le 11 février 1879 un autre chèque de 5 000 F qui, en accord avec Alexandre Tisserant, s'applique à l'affaire entre son fils et lui et au procès avec sa femme qui doit bientôt arriver à Amiens. Selon Godin, Cresson devait plaider dans six audiences alors qu'il a plaidé deux fois contre Boucher et une contre son fils : « En ce qui me concerne, je ne prétends au paiement de la marchandise que lorsque je l'ai livrée ». En conclusion, Godin juge que Cresson devrait lui restituer 4 000 F pour l'appel dans le procès contre son fils, pour l'appel du procès contre sa femme et pour le procès dans l'affaire Boucher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe l'inspecteur que la directrice de l'asile du Familistère, madame Dirson, prend pour monitrices dans l'application de la méthode phonomimique sa jeune adjointe Marie Défontaine et quatre jeunes filles de 10 à 12 ans prises dans la première classe des écoles. Il explique que les enfants sont initiés à la lecture par la méthode phonomimique combinée avec celle de Marie Pape-Carpantier et qu'ils abandonnent la méthode Grosselin dès qu'ils savent lire couramment. Il précise qu'il n'y a jamais eu d'enfant muet au Familistère mais que la méthode phonomimique a été jugée la plus efficace et la plus agréable pour les élèves. Il ajoute que les mêmes questions lui ont été posées dans un formulaire qu'il a retourné au député Villain.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amédée Moret de se rendre chez l'avocat Cresson à Paris, qui lui remettra 4 000 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Maistre qu'il reçoit avec plaisir ses articles qui sont dans l'esprit du journal Le Devoir. Il l'informe qu'il n'a pas souhaité publier les articles intitulés « Détachés du journal d'une jeune anglaise » dans l'attente d'avoir connaissance de l'ensemble du travail, mais lui annonce que la publication en commencera prochainement. Godin exprime à Maistre son regret qu'il n'ait pas indiqué dans son article « Un petit document » la source de ses renseignements ; il lui demande de l'éclairer sur le sujet avant la publication. Il lui signale qu'il devra s'entendre avec lui sur sa rémunération si sa collaboration au Devoir se poursuit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Auguste Fabre du 31 mars 1879. Godin relève leur long silence réciproque. Il confie à Fabre son espoir d'avoir près de lui de chauds partisans de la coopération ou même de l'association comme l'est Auguste Fabre. Fabre a écrit à Massoulard qu'il tente de créer à Nîmes une société coopérative : Godin le félicite. Il comprend les difficultés de Fabre à contracter des abonnements au journal Le Devoir dont la première année l'a déçu. Il lui explique que les statuts de l'association du Familistère sont terminés et promet de lui en envoyer un exemplaire quand ils seront imprimés. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin n'est pas opposé à l'installation d'un pharmacien au Familistère, mais il ne connaît pas Vénard et ne peut savoir s'il peut remplir d'autres fonctions comme il l'a proposé. Godin indique à Vénard qu'il existe trois pharmaciens dans la ville de Guise du fait que la région compte 22 000 habitants, et que le Familistère se fournit alternativement chez chacun d'eux. Il ajoute qu'il existe trois médecins à Guise qui viennent tous au Familistère et prescrivent des médicaments.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Thiaudière qu'il publierait volontiers ses articles sur le Salon dans le journal Le Devoir s'il faisait ressortir que l'art doit désormais être au service du progrès social, alors que l'art du passé célébrait la guerre et le meurtre. Godin indique à Thiaudière qu'il serait heureux que ses ouvrages fassent partie de la bibliothèque qu'il projette de fonder. Sur l'ouverture du bureau de Paris du Devoir : Godin mentionne le cas d'un personne qui n'a pu payer son abonnement alors qu'il était entendu qu'il était possible de le faire toute la journée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Rignault que Perruchot et Chalumeau, banquiers à Corbigny, proposent de lui acheter la parcelle dite « chaume Potin » au prix de 400 F. Godin juge l'offre dérisoire. Il demande à Rignault s'il ne faudrait pas vendre la parcelle par voie d'adjudication

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise : établissement du compte de Henri de Hulster pour le percement d'un trou de sondage à 228 m de profondeur. Godin désire arrêter le travail car Maurois est dans un état d'ébriété qui rend la chose impossible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le chemin de fer de la vallée de l'Oise. Soye a informé Godin que la ligne de la vallée de l'Oise a été classée dans le projet de loi. Godin annonce à Soye qu'il peut convoquer une réunion de la commission formée à Guise sur le sujet, mais que la question à traiter est davantage la ligne de Valenciennes à Laon, dont le projet déposé par Wilson ne dit rien des lieux desservis, que la ligne de la vallée de l'Oise : Valenciennes et Le Cateau sont nommés, mais pas Guise. Il demande à Soye d'en parler à Wilson.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leroy que les Fonderies et manufactures du Familistère se sont équipées d'un appareil de chauffage Siemens pour le chauffage de moufles de grandes dimensions, mais qu'il ne dispose pas d'un chauffeur connaissant l'appareil. Il lui demande de l'autoriser à envoyer un de ses chauffeurs se former à Chauny dont l'usine est équipée d'un appareil de ce type.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise : Godin est dans l'attente du compte de Henri de Hulster ; il l'informe que le travail est à l'arrêt faute de matériel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Thiaudière une lettre et un mandat contenus dans sa lettre de la veille. Il l'assure qu'il n'attache pas d'importance à la question de la non réception par le concierge d'un abonnement au journal Le Devoir. Il attend l'article de Thiaudière [sur le Salon de 1879] suivant les principes qu'il a acceptés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie River pour sa lettre du 5 avril 1879. Il l'informe qu'il envoie à Saint-Gobain monsieur Louis, contremaître, pour étudier le fonctionnement des fours Siemens.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Dupré qu'il a chargé Rignault de mettre en vente le dimanche suivant un terrain sur le chemin de Corbigny qu'il lui avait vendu, au cas où il voudrait se porter acquéreur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gosselet du 24 mars 1879 en le prévenant qu'il expédie par chemin de fer une caisse d'échantillons de son sondage de Guise. Il précise que ce n'est pas à 224 m mais à 175 m de profondeur que se trouve la nappe d'eau jaillissante, comme en atteste selon lui l'échantillon d'argile coté 178 m.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Émile Leroy d'avoir communiqué sa lettre [du 4 avril 1879] à Mathias Biver, à la suite de quoi il peut envoyer quelqu'un à Saint-Gobain pour se former au fonctionnement des appareils Siemens. Il lui demande des renseignements sur les amortissements pratiqués dans la comptabilité de la Manufacture des glaces de Saint-Gobain, car, lui explique-t-il, il doit régler une importante affaire dans laquelle le jugement rendu l'oblige à appliquer les amortissements pratiqués dans les grands établissements.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Courcelles a écrit le 19 février 1879 à Godin pour lui proposer de représenter les Fonderies et manufactures du Familistère en qualité de voyageur de commerce : Godin lui indique qu'il pourrait lui confier l'ouest de la France, mais qu'il doit auparavant le rencontrer et qu'il sera nécessaire qu'il fasse un stage dans l'usine de Guise avant son entrée en fonction. Il lui propose de venir à partir de samedi prochain, après la session du conseil général de l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Lasserie ce qu'Amédée Moret lui a dit sur l'indisponibilité de Taconet, malade. Godin consent à étudier sa proposition de le prendre comme voyageur de commerce, mais il veut auparavant savoir si Lasserie a des engagements auprès d'autres maisons ; il fait valoir que la quantité de produits de quincaillerie fabriqués a tellement augmenté depuis le départ de Lasserie que la représentation des Fonderies et manufactures du Familistère peut être une occupation à temps plein pour un voyageur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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De retour du conseil général de l'Aisne, Godin annonce à Delpech qu'il doit renoncer à se rendre à Amiens car sa plus proche parente à Guise est sur le point de mourir. Il ajoute qu'Alexandre Tisserant est absent mais qu'il doit aller à Amiens. Il compte sur Delpech et Aubry pour pallier à son absence.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ernest Rignault un pouvoir pour régulariser la vente aux enchères d'une parcelle de terrain se trouvant le long de la route de Corbigny à Cervon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie madame Dérivis pour sa lettre du 27 mars lui donnant la recette de fabrication de l'onguent et de l'eau pour les yeux. Il lui annonce qu'il recevrait avec plaisir d'autre remèdes. Profondément touché par le sentiment d'amour de l'humanité dont fait preuve madame Dérivis, il lui transmet l'expression de sa sympathie fraternelle.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bocheux du 21 avril 1879 en lui annonçant qu'il est prêt à examiner son entrée dans les Fonderies et manufactures du Familistère s'il l'autorise à demander des renseignements sur son compte à monsieur Cléry. Il lui indique qu'il pourra lui accorder des appointements équivalents à ceux qu'il perçoit à Origny.
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