FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Registre CNAM FG 15 (22) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Agard qu'il n'a pu se renseigner sur lui auprès de Colomies, absent. Il lui demande de lui communiquer l'adresse des personnes auprès desquelles il pourrait se renseigner. Il souhaite également connaître son numéro de sortie de l'école et quelles sont ses prétentions salariales. Il précise que la Société du Familistère ne s'occupe pas de constructions mécaniques mais fabrique des appareils et objets en fonte de fer. Il ajoute que la direction des travaux demande de l'initiative.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Godin renvoie à Blin les dessins qu'il lui avait envoyés. Il précise qu'il cherche une pendule, des candélabres et un lustre pour salon et la même chose pour salle à manger, donne les dimensions des deux pièces, et indique que le salon est meublé de bois noir, que sa cheminée est en marbre noir et que la salle à manger est meublée en chêne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Retour à Blin de photographies et de dessins. « Dit qu'on choisira à un voyage à Paris. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Périn qu'il va prendre des renseignements sur lui. Il lui demande s'il pense avoir les aptitudes à diriger un cours élémentaire ou un cours moyen selon les directives du dernier décret du gouvernement, bien qu'il ne soit pas élève des écoles normales. Il l'informe que les classes des écoles du Familistère sont mixtes et l'avise que les écoles du Familistère sont libres et que par conséquent l'engagement décennal ne peut s'y accomplir. Il lui demande s'il est libéré du service militaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Périn qu'en raison de la jeunesse de ce dernier, il ne sait s'il doit l'accepter pour occuper un emploi d'instituteur dans les écoles du Familistère qui comprennent 5 classes dirigées par 5 professeurs. Il lui demande toutefois de lui communiquer ses prétentions salariales compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à ses frais.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Godin annonce à la maison Achille Portal que son voyage à Paris est différé et lui retourne des photographies.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Godin annonce à Achille Portal qu'il fait le choix du « bronze bronzé sur marbre » et qu'en outre, il voudrait acquérir : une pendule avec candélabres et lustre pour salon ; une pendule avec candélabres et lustre pour salle à manger. Il donne les dimensions des deux pièces, et indique que le salon est meublé de bois noir, que sa cheminée est en marbre noir et que la salle à manger est meublée en chêne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que Pouillet l'engage fortement à se pourvoir en cassation. Il accuse réception du numéro du Progrès de l'Est qui contient un article de Tisserant sur l'organisation des écoles publiques. Il lui signale que l'usine du Familistère n'a pas reçu de lettre de son fils. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin transmet à Tisserant la copie d'une lettre de Pouillet et lui demande de se mettre en relation avec ce dernier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Tisserant qu'il a fait le nécessaire auprès de l'usine pour que lui soit faite l'expédition qu'il demandait. Il l'informe qu'il a écrit à Moret, avocat à la Cour de cassation. Il transmet à Tisserant les meilleurs souvenirs de Marie Moret et d'Émile Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Tisserant une note que lui a remise Eugène André.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu l'accusé de réception de l'ouvrage Mutualité sociale de la part de monsieur Chanove. Il l'informe qu'Émilie Dallet fait faire pour lui une copie des conférences de Drivon. Il lui annonce que le journal Le Devoir signalera ses articles parus dans Le Progrès de l'Est quand le travail sera complet. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant que Delpech lui a appris que la cour d'Amiens l'avait condamné à 80 000 F de dommages et intérêts envers Boucher et Cie. Godin considère que la cour est prévenue à l'égard du « républicain socialiste Godin » depuis 30 ans dans ses procès en contrefaçon. Godin est inquiet du silence de Tisserant. Il lui demande conseil sur la possibilité d'un pourvoi en cassation, sur un procès à Nancy et un autre contre Sougland.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que la fête de l'Enfance du Familistère aura lieu le 3 septembre 1882. Il invite Tisserant à y assister.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu une lettre de Pouillet relative à l'affaire Boucher et Cie. Il lui demande de se mettre en relation avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Tisserant a proposé à Godin de se pourvoir en cassation [dans l'affaire Boucher et Cie jugée à Amiens]. Godin l'avertit de ne rien entreprendre sans chance de succès. Il est satisfait de savoir que Tisserant n'est pas malade. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que lui et Marie Moret n'ont pas reçu les numéros du journal Le Progrès de l'Est contenant un article sur la Société du Familistère et la lettre de Tisserant à Morand, mais d'autres numéros. À propos de la Conférence internationale sur la paix et l'arbitrage de Bruxelles : Godin pense qu'il faudrait organiser des conférences internationales dans différents pays et éditer en trois langues à Paris, Londres et Berlin une revue de l'arbitrage et de la paix, organe de la fédération des associations internationales de l'arbitrage et de la paix. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Barodet une étude sur les associations anglaises qu'il estime devoir être publiée en volume plutôt que dans un journal parce qu'elle nécessite une étude approfondie et une comparaison entre les différentes parties et qu'elle accentuerait le caractère sérieux du journal si elle paraissait dans Le Devoir. Il regrette de ne pouvoir donner suite à la proposition du fils d'un ancien collègue [à l'Assemblée nationale].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin transmet à Falaize les conclusions de Lecomte dans une affaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin demande à Falaize d'envoyer à Maxime Lecomte, avocat d'Amiens, les pièces du procès contre le duc de Padoue.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prie Falaize de faire le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère. Il lui demande de clore l'affaire entre son fils Émile et la Société du Familistère concernant des biens que celui-ci doit restituer : Godin explique à Falaize qu'une grande pièce de terre est encore occupée par une briqueterie que son fils a fait édifier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Falaize s'il a fait le dépôt des modifications des statuts de la Société du Familistère de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Muzeau qu'il peut lui offrir la direction d'une classe des écoles du Familistère aux appointements qu'il souhaite. Il lui communique des informations sur les écoles : 5 classes mixtes de 35 à 40 élèves ayant chacune son professeur ; programme de toutes les classes concerté entre les maîtres. Il lui demande de venir immédiatement et propose de lui allouer la somme de 250 F pour ses frais de déplacement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le jugement de la cour d'Amiens « dans l'affaire des boutons ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin indique à Delpech qu'il recevra avec plaisir sa visite et celle de son successeur Renard. Il lui demande s'il connaît un avocat qui pourra le conseiller dans une affaire de procès en justice de paix avec le duc de Padoue, relative à un mur construit avec autorisation préfectorale au bord d'un bras de l'Oise qui porterait atteinte aux droits de ce dernier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Rabel du 28 août 1881 : il lui demande s'il a l'intention de fonder une société et quel sera l'objet de celle-ci. Il précise que le droit d'association est contraint à certaines formalités et se dit prêt à donner à Rabel les renseignements qu'il désire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut s'assurer de la détermination de Rétout à s'installer au Familistère. Il lui demande s'il a le sens des affaires, s'il est un homme d'initiative et d'organisation. Godin incite Rétout à passer des intentions aux faits. Il lui renouvelle sa demande d'entrevue, au Familistère ou à Paris

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Rétout a adressé à Godin le 9 octobre sa candidature à un emploi d'enseignant dans les écoles du Familistère. Godin l'avertit qu'il cherche non seulement un bon professeur mais aussi quelqu'un capable de diriger et d'organiser l'institution. Il souhaiterait que l'association puisse ouvrir une institution secondaire ou un pensionnat pouvant rivaliser avec l'enseignement clérical. Il demande à Rétout son sentiment sur la question et le prie de lui communiquer ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin fait observer à Rétout que sa lettre du 14 octobre 1881 n'est pas signée, alors qu'un directeur d'école ne doit pas oublier de faire ce qu'il faut. Godin annonce à Rétout qu'il trouvera sa place dans l'association du Familistère s'il ne met pas comme condition absolue à sa venue d'avoir la direction complète de l'instruction et de l'enfance. Il demande à Rétout s'il peut envisager d'occuper une autre fonction que celle de professeur ou de chef d'institution : collaborateur du journal Le Devoir ou son secrétaire pour mettre en ordre ses manuscrits. Il l'invite à venir au Familistère pour en discuter avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette que Rétout ne puisse trouver le temps pour venir à Guise et découvrir l'association du Familistère ; il lui donne cependant les informations utiles à son voyage en train. À propos des appointements attachés à la fonction de direction des écoles du Familistère. Sur un adjoint [à la fonction de secrétaire] pouvant remplir le rôle de copiste : « Ce qui pourra être le moins agréable pour vous sera de me déchiffrer ; ma rédaction est souvent laborieuse et surchargée. » Sur les émoluments d'une femme pouvant travailler avec Rétout pour l'association du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit qu'Herbaux va se rendre à Paris pour examiner les affaires à faire avec les bazars et les grands magasins en vue du Jour de l'an. Il lui demande de ne pas le considérer comme un concurrent, et suggère qu'il rende visite à la maison Allez et à la maison À la ménagère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de son « aimée disciple », qu'il remercie pour la compréhension de sa doctrine. Il fait l'historique de ses relations avec Marie Howland, traductrice de Solutions sociales, qui était en 1872 « imbue des idées de Fourier ». Sur la doctrine de la vie, la religion de la vie et le culte du travail. Sur le bonheur individuel et sur la vie spirituelle. Sur l'édition anglaise de Solutions sociales et de Mutualité sociale. Sur le rôle des femmes dans la propagation des idées de Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Amélia Hope Whipple pour sa lettre « réconfortante » du 13 novembre 1881. Il la complimente pour être une des rares à comprendre la doctrine de la vie et le sens de l'association du Familistère. Sur l'absence regrettable des « Notions préliminaires » dans la traduction américaine de Mutualité sociale par madame Bristol. Sur le projet d'Amélia Hope Whipple de rééditer Papa's Own Girl sous un titre différent et Mutualité sociale en anglais et la proposition de Godin de lui communiquer la traduction du livre par Edward Vansittart Neale, son premier biographe. Sur le couple Howland : Godin apprécie Marie et Edward Howland, mais aurait eu du mal à communiquer avec elle en anglais si elle était venue visiter le Familistère avec madame Bristol. Il lui demande si elle sait lire le français et si elle a lu Solutions sociales. Sur la communication spirituelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Ringuier pour l'envoi de deux photographies. Il recommande que le directeur de fonderie de Chalon-sur-Saône lui écrive directement s'il postule à un emploi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Ringuier que le Familistère a besoin de professeurs dans la force de l'âge formés aux méthodes nouvelles alors que la personne est un maître qui a l'âge de la retraite.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Moret que suivant l'avis de Pouillet, il se pourvoit en cassation dans l'affaire Boucher et Cie et que Tisserant, de Nancy, se mettra en relation avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remet à Arthur Moret un chèque de 2 000 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient Crétien qu'il faut se garder de tout enthousiasme dans son appréciation de l'association du Familistère et qu'on y travaille comme partout ailleurs. Il estime qu'il n'y pas de motif à quitter le Texas pour Guise, d'autant que la population est au complet et qu'il faudrait rendre des services spéciaux à l'association pour s'y faire admettre. Il assure toutefois Crétien qu'il peut visiter le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Fabre a envoyé son titre d'épargne pour que les intérêts statutaires y soient inscrits. Godin fait observer à Fabre que les statuts prévoient que les bénéfices soient répartis selon les services rendus, que Fabre doit sa position aux services que l'association du Familistère espérait qu'il rendrait dans le futur, que ces espérances ont été déçues et que sa situation n'est pas clairement statutaire. Il demande à Fabre d'estimer ce qui lui revient et souhaite se mettre d'accord avec lui avant de porter l'affaire devant le conseil de gérance.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Guyard du 22 mai 1882 et des 11 F de son réabonnement au journal Le Devoir. Il le prévient que le prochain numéro du journal Le Devoir contiendra une notice bibliographique sur son ouvrage Des droits, des devoirs et des constitutions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Matton d'aider son employé Leblon à faire des recherches sur les changements survenus à Guise du fait de l'administration sur les cours d'eau et les chemins.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ameublement de l'appartement n° 245 de l'aile droite du Familistère. Retour à Cellier et Beaujolin d'un album. « Dit qu'on choisira à un voyage à Paris. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Chalot et Cie de lui adresser une épreuve de la photographie de sa dernière pose, propre à faire une gravure. Il lui demande de compléter les photographies de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Chalot et Cie qu'il fera faire ailleurs une photographie que celui-ci ne peut réaliser. Il lui demande d'envoyer des épreuves de son portrait et de celui de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Drivon du 4 avril 1882. Drivon, une connaissance de Fauvety, a le projet de fonder un journal et de se créer des ressources par ce moyen. Godin l'en dissuade. Il lui explique qu'il ne peut lui tendre la main que dans la mesure où il deviendrait un collaborateur de l'association du Familistère. Il lui demande s'il a l'intention de remplir une fonction dans l'association, quelles sont ses prétentions salariales et d'autres références que celles qu'il lui a communiquées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, de retour de la session du conseil général de l'Aisne, prévient Drivon, candidat à un emploi, qu'il est nécessaire qu'il vienne à Guise pour s'entendre avec lui ; il propose de lui rembourser ses frais de voyage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Un article de Charles Fauvety sur un livre de Clémence Royer rappelle à Godin qu'il doit publier un article dans Le Devoir sur le même ouvrage. Godin demande à Fauvety l'adresse de Clémence Royer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Fauvety ce qu'il pense de Ch. Drivon, candidat à un emploi se recommandant de lui et venant de quitter la prêtrise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fauvety que de retour d'un long voyage, il trouve sa lettre qui le met dans l'embarras. Il regrette que Fauvety lui offre Eugène Garcin pour rédacteur alors qu'Edmond Fortis est définitivement employé en cette qualité au journal Le Devoir. Il lui confie qu'il aurait pu l'employer comme secrétaire s'il avait été plus jeune. Il lui signale que Marie Moret lira avec intérêt l'article qu'il lui a envoyé.
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