FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Bauchart du 30 septembre 1876 lui faisant part de la décision de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise sur le tarif de transport de marchandises. Godin informe Bauchart que ce tarif est moins avantageux que le tarif du transport actuel et ne lui permet pas de se défaire de son matériel de transport. Il adresse à Bauchart un tableau comparatif des prix anciens et nouveaux montrant que sa compagnie demande 1,20 F de plus par tonne dans la direction de l'Est, 0,58 F de plus dans la direction du Nord et 0,26 F de moins dans la direction de Paris et de l'Ouest. Godin considère que ce tarif ne lui donne pas la possibilité de faire transporter ses marchandises par sa compagnie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Maurin du 24 septembre dernier en lui faisant remarquer que les réponses à ses questions se trouvent dans le livre Solutions sociales qu'il dit avoir lu. Sur les assurances contre la maladie au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur la vente d'un tombereau par Richon avant l'hiver. Sur les travaux de sondage et un accident qui les retarde. Godin lui demande de prendre conseil auprès d'hommes expérimentés comme Becker. Le post-scriptum porte sur la manipulation du trépan de sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Hourdequin qu'il a pu obtenir des éclaircissements dans une affaire qu'il lui avait soumise : Guillard-Godart, cultivateur à Iron, est un républicain considéré dans la commune ; les signataires de la lettre qu'il lui retourne ne sont pas connues par ses informateurs.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire de Guise qu'il a soumis aux commissions des caisses de retraite de son usine la pièce qu'il lui avait soumise, et que les commissions ont décidé qu'elles n'avaient pas à intervenir dans la mesure où Gernelle était un enfant de Guise dont le cas relevait de l'administration publique et que les secours qui lui étaient prodigués devaient se poursuivre sous la même forme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Delpech s'il détient toutes les pièces de son procès en demande de provision par Esther Lemaire. Il souhaite obtenir des conseils de lui et de maître Goblet sur le jugement ordonnant l'exécution provisoire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Deguise est venu chez Godin pour acheter des tables d'écoles. Godin veut bien lui vendre à moitié prix les tables de 2,50 m de longueur pour enfants de 7 à 9 ans, pour ceux de 9 à 12 ans et pour les enfants d'un âge supérieur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à Delpech le jugement du 31 août 1876. Godin s'interroge sur le sens de ce jugement qui empêche toute transaction entre lui et Esther Lemaire alors que Quest, le président du tribunal, était auparavant intervenu pour favoriser une transaction entre eux. Godin pense qu'il s'agissait d'un piège et que Quest, tout en se récusant dans l'affaire, « était derrière le rideau pour la rédaction du jugement ». Il rappelle à Delpech qu'Esther Lemaire avait alors refusé les 850 000 F qu'il lui offrait. Godin demande à Delpech s'il doit payer immédiatement la somme ordonnée par le tribunal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la vente de tables d'écoles. Godin ne veut pas céder six tables à moins de 136 F mais s'engage à les rendre franco de port à la gare de Saint-Quentin si l'argent est envoyé à Guise avant livraison.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le placement de capitaux. Godin souhaite savoir si les warrants sont un placement sûr et à long terme. Il informe ses correspondants qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent. Dans la mesure où Godin ne dispose pas de capitaux à Londres, il demande à ses correspondants s'il ont une solution pour que l'opération soit faite au comptant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Muller a écrit au mois de mai dernier à Godin pour lui demander des renseignements sur le traité de commerce entre la France et l'Angleterre. Godin est en peine de lui donner l'état de l'opinion de l'industrie française sur le traité car les avis varient suivant la différence des intérêts, même si les résistances à la liberté des échanges s'effacent : le Midi est favorable à l'abaissement des droits pour ses vins et ses soieries ; la métallurgie n'y est pas favorable car elle prend ses matières premières à l'étranger et l'Angleterre a sur la France l'avantage d'un prix de revient moins élevé sur les produits manufacturés ; le commerce fait cause commune avec le consommateur en faveur du bon marché. Sur les acquits à caution. Godin questionne Muller sur le placement de capitaux dans les warrants en Angleterre : il informe Muller qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent ; il lui demande s'il connaît le moyen d'acheter de façon sûre les warrants au comptant car il ne possède pas de capitaux disponibles à Londres.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Larue de dire à monsieur Lecat qu'il peut venir dès qu'il le peut à Guise. Sur un arbitrage ordonné par le tribunal.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richon de lui donner des nouvelles du sondage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande conseil à Delpech sur une demande d'Esther Lemaire d'autorisation pour le partage de la succession de son frère. Dans le post-scriptum, Godin s'étonne que la demande soit faite plusieurs années après le décès du frère d'Esther Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leroy qu'il n'a pas besoin d'architecte en ce moment mais qu'il pourrait lui confier la réalisation des plans d'un édifice et il lui demande quels sont les appointements qu'il demanderait.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des renseignements sur Leroy fils, architecte, qui serait employé depuis 4 ans dans l'établissement de Seydoux. Il demande en outre à Seydoux des nouvelles des chemins de fer dans le Nord, si la ligne de Valenciennes au Cateau est comprise dans les concessions du conseil général, et si le département de l'Aisne a quelque chose à faire à ce sujet avant la réunion des chambres.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie à Delpech un chèque de 338 F pour régler une affaire de référé. Godin souhaite que Goblet plaide dans tous ses procès avec peut-être l'intervention de Cresson dans certaines affaires.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin se plaint de ne pas avoir de nouvelles de Richon depuis la lettre de celui-ci du 18 octobre 1876 annonçant qu'il était sorti de ses embarras.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Comte de lui envoyer les clichés qu'il conserve en vue d'une publication. Il lui demande s'il est en mesure de réaliser des dessins de squelettes d'animaux pour en faire des clichés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait référence aux lettres de Richon des 18 et 25 octobre pour évoquer les travaux de sondage. Sur un procès avec Imphy relatif à la cassure d'une tige de trépan.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne de ses nouvelles à Tisserant : « Je puis vous dire qu'ayant renoncé à perdre mon temps à Versailles, je reste ici et répare le désordre que l'ordre moral a cherché à y introduire. Mais nous sommes loin encore de jouir de la liberté nécessaire, car il n'y a de liberté réelle en ce moment que pour le cléricalisme. J'attends donc avec impatience le jour où l'influence de cette caste malheureuse aura perdu sa prépondérance sur la France. ». Il lui indique qu'il est entouré de procès qui le paralysent, mais que les tracasseries ont cessé à l'égard des écoles. Godin demande des nouvelles de Tisserant, en particulier de ses projets en Algérie. Sur une liasse de papiers déclarée disparue par Grebel et finalement retrouvée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le compte d'Édouard Larue : Godin établit le compte des sommes perçues par Larue depuis octobre 1872 ; il trouve une différence avec le compte établi par celui-ci.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Comte deux petits dessins de bâtonnets dont il lui demande de faire des clichés pour servir à reproduire au tampon sur des manuscrits et aussi pour reproduire dans le texte d'un ouvrage. Il accuse réception de la lettre de Comte du 28 octobre 1876 et des clichés envoyés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin attend des explications de Richon sur les raisons de l'arrêt des travaux de sondage depuis deux mois. Godin estime qu'après les accidents successifs signalés par Richon, il n'est pas possible de poursuivre le sondage dans le trou actuel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leroy qu'il est embauché à compter du 1er janvier 1877 selon les conditions présentées dans sa lettre du 5 novembre 1876.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le procès en appel de Godin contre Esther Lemaire relatif à la licitation des biens de la communauté. Sur le développement industriel postérieur à 1863 : Godin invite Delpech et Goblet à venir voir l'établissement de Guise pour éviter une mauvaise interprétation de la situation. Godin estime que le travail des experts, qui a duré deux ans, est à refaire, mais convient qu'une nouvelle expertise donnerait encore lieu à un arbitrage. Godin ne veut pas renoncer aux créations industrielles qui sont sa propriété personnelle : outillage, modèles, brevets, marchandises, matières premières...

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur les travaux de sondage : une pièce de fer et d'acier fait obstacle au fond du trou du sondage de Sardy ; les informations communiquées par Richon laissent Godin dans l'incertitude quant à l'avancement des travaux ; Godin veut savoir si Richon peut trouver une solution au problème avant d'abandonner le sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le règlement du notaire Diet par Godin et Esther Lemaire : Godin ne veut pas régler des frais dont il n'est pas responsable. Godin demande à Larue de presser Lecat de déposer son rapport.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un emploi à accorder à l'un des fils de Thillois : Godin ne croit pas qu'il ait des capacités pouvant lui être utiles. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le règlement du compte du notaire Diet ; Godin ne veut pas régler des frais dont Esther Lemaire est responsable ; il demande son avis à Ganault. Godin remet un pouvoir vierge pour l'affaire Odent.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de son correspondant du 18 novembre 1875 en lui confirmant qu'il pourra le trouver chez lui le vendredi suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Furcy de lui exécuter quatre poinçons pour reproduire des dessins de rectangles avec de l'encre à tampon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Furcy sa lettre précédente et lui envoie des plaques de cuivre pour réaliser les gravures demandées.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Bauchart à la suite d'une conversation qu'ils ont eue. Sur le chargement des wagons de la compagnie : Godin préfère s'en tenir à l'usage consacré qui veut que les industriels qui font leurs chargements eux-mêmes ne paient que 0,20 F de frais de gare au lieu de 0,75 F. Godin propose à Bauchart de se charger lui-même du chargement des wagons fournis par la compagnie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Furcy qu'il lui a envoyé des plaques de cuivre pour réaliser des gravures qu'il ne pouvait finalement pas réaliser. Il lui renvoie les petits dessins pour qu'il fasse faire les gravures chez un confrère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin pense que Senart, dont la femme vient de mourir, ne viendra pas plaider à Vervins le 14 décembre 1876. Il demande ce qui pourrait se passer si son avocat plaide seul ce jour-là.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que son pouvoir dans l'affaire de la faillite Odent soit remis à monsieur Boullier, ou au principal clerc de ce dernier. Sur une convocation par le syndic pour le 27 novembre 1876. Godin demande à Ganault le montant de ses honoraires pour les plaidoiries de Vervins.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Tisserant ait recouvré la santé. Tisserant lui propose de se charger de ses procès : Godin ne voit pas comme cela pourrait se passer en pratique car Tisserant réside à Nancy, ce qui nécessiterait d'entretenir avec lui une correspondance chronophage, mais il est prêt à en discuter avec Tisserant ; il lui demande quel rôle il pourrait jouer à côté de ses avoués locaux et quels honoraires il demanderait. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin explique à Tisserant que Grebel lui a appris que Senart, l'avocat de Boucher, se refuse à plaider le 14 décembre 1876 dans le procès en contrefaçon que celui-ci lui a intenté il y a deux ans ; Godin pense que son avocat Cresson ne pourra refuser le report ; il demande son avis à Tisserant sur la question. Il l'informe qu'il a transmis son souvenir à monsieur Tenant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les concessions de chemins de fer du département de l'Aisne pour lesquelles le gouvernement a refusé le décret d'utilité publique. Godin explique que le département du Nord a obtenu un projet de loi pour la concession définitive du chemin de fer de Lens à Armentières et de Valenciennes au Cateau à la Compagnie du chemin de fer du Nord, mais que le gouvernement a refusé l'exécution par une compagnie locale du prolongement de la ligne du Cateau à Saint-Erme en passant par Wassigny, Guise, Sains, Marle et Sissonne sous prétexte qu'il s'agit d'une ligne d'intérêt général de premier ordre. Il ajoute que la ligne est passée sous silence dans le projet de loi actuel, que le conseil d'arrondissement de Laon souhaite que les députés de l'Aisne fassent que la ligne soit comprise dans le projet de concession à la Compagnie du Nord, et que le gouvernement a promis au Département du Nord qu'il obligerait la Compagnie du Nord à réaliser toutes leurs lignes d'intérêt local. Godin demande à Leroux ce qu'il fait à ce sujet auprès du gouvernement et en particulier auprès de Waddington, ministre, président du conseil général de l'Aisne et père de la loi de 1871.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie un mandat postal de 13 F pour un abonnement d'un an au Bulletin du mouvement social et l'achat des numéros parus en 1876, à adresser à Max Veyrac, Post Office Plattsmouth, Nebraska aux États-Unis.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Wateau 408,70 F qu'il a perçu pour lui à Paris.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à, Larue la copie d'une lettre de Dubois, avoué à Vervins. Il indique qu'il n'a pas de motif pour refuser l'autorisation demandée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Dubois qu'il prie Larue de se concerter avec lui pour donner suite à la demande qu'il a formulée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ganault des effets d'une valeur totale de 466,35 F en paiement de ses honoraires. Il l'informe qu'il aura bientôt la visite de Goblet et de Delpech, et il lui demande de se joindre à eux. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin informe Ganault qu'il vient de recevoir de monsieur Dubois, avoué d'Esther Lemaire à Vervins, une demande d'autorisation pour introduire un référé contre monsieur Diet pour obtenir de lui toutes les pièces de procédure qu'il conserve.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin apprend d'Alphonse Grebel de retour à Guise que Boucher prétend que Cresson demande lui-même en faveur de maître Senart la remise des plaidoiries fixées au 14 décembre 1876. Godin estime que c'est à son adversaire de faire la demande de remise au tribunal de Vervins et que Cresson devrait demander au tribunal la fixation définitive d'une audience la plus rapprochée possible au vu des lenteurs que Boucher et Cie fait subir au procès.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense qu'il faudrait demander à la Cour de cassation d'interpréter son arrêt dans l'affaire Boucher pour savoir si c'est la cour d'Amiens ou celle de Nancy qui doit apprécier la question des dommages et intérêts et si le brevet pris en 1864 pour une cheminée et ses organes accessoires peut être entaché de nullité par cet arrêt.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Furcy un mandat de 6 F en paiement des travaux effectués.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Tisserant s'occupe du contentieux de ses affaires, à commencer par le procès avec Boucher et Cie. Il l'invite à venir à Guise le plus tôt possible.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Veyrac du 9 novembre 1876 contenant des documents sur Icarie de Cabet. Sur une école économique nommée solidarisme : selon Godin, elle existe dans le principe d'association étendue à toutes les fonctions humaines ; il fait l'éloge de l'association par rapport au communisme tel que Veyrac l'a vu pratiqué à Nauvoo ou Icaria. Sur la direction par l'élection qui, selon Godin, doit être doublée du concours : le système du concours s'établira grâce des institutions d'éducation développées. Sur l'absence de religion signalée par Veyrac à Nauvoo et à Icaria : Godin pense qu'une notion vraie et supérieure de la destinée humaine doit unir les êtres humains à côté des intérêts matériels quotidiens, une religion de la solidarité. Godin envoie à Veyrac sa brochure Les socialistes et les droits du travail qui est un extrait de Solutions sociales et porte sur l'association. Il lui indique qu'il n'a pas reçu de réponse de la communauté d'Oneida et il commente celle qui a été faite à Max Veyrac : Oneida est une famille qui ne cherche pas à conquérir le monde ou à être discutée ; « C'est moins la lumière sur les idées sociales que l'on cherche que le désir de soutenir une œuvre dans laquelle l'amour propre et des intérêts de secte sont engagés. » Godin signale à Veyrac qu'il a les principales publications d'Oneida. Il assure Veyrac que la liberté en France n'est pas aussi grande qu'il le croit. Il lui annonce qu'il lui a fait adresser les numéros de 1876 du Bulletin du mouvement social.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Denisart a demandé à Godin des documents sur le Familistère dans l'espoir que monsieur Menier en fasse l'application à Noisiel. Il lui adresse des imprimés des magasins de vente et des livres de l'économat dont il dresse la liste. Dans le post-scriptum, il lui transmet les amitiés de Marie Moret et évoque la naissance de mademoiselle Pétilleau.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin doit proposer des experts au tribunal de Vervins dans un procès en contrefaçon. Il prie Ganault de demander à Menche de Loisne, l'ingénieur en chef du département qu'il a vu récemment, s'il accepte d'être nommé. Il précise que l'audience aura lieu le 13 janvier 1877. Il informe Ganault que Goblet et Delpech pensent venir à Guise le 22 décembre 1876.
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