FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 10 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin pense que le principal argument de Boucher et Cie est celui de la description incomplète des émaux servant à l'application des émaux opaques. Godin justifie la nature de son brevet, examine l'argumentaire que pourrait développer Boucher et Cie et lui oppose le sien qui fait valoir que la question de l'émail relève de l'émailleur et qu'on peut utiliser son procédé avec n'importe quel émail qui soit suffisamment fusible.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 18 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant que les objets à soumettre aux experts sont en cours d'installation à Paris dans une salle des Magasins réunis. Il espère que Tisserant a fait à Boucher et Cie les sommations pour qu'il y expose les produits dont il prétend l'antériorité. Il demande à Tisserant s'il a envoyé ses notes aux experts et lui annonce qu'il joint 1 000 F à sa lettre. Sur des réponses à faire aux questions posées par la cour aux experts. Il lui demande s'il pourra le rencontrer avant la réunion des experts prévue le lundi suivant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 18 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accuse réception de l'épreuve de la note rédigée par Tisserant et lui communique ses observations sur l'émail de Durand-Morimbau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 27 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant qu'il lui envoie des notes rédigées en voyage et qu'il lui enverra le lendemain ses notes sur la visite à Fumay.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant qu'il lui envoie ses notes sur la visite des experts à Fumay après celle qu'ils ont faite à Guise. Il l'informe qu'il lui renvoie deux lettres qui lui sont destinées, dont l'une porte sur des pommes de terre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant que la contre-expertise est terminée et que Barral, chimiste et ancien répétiteur à l'École polytechnique, Henri Péligot, ingénieur civil, et de Luynes, professeur à l'École des arts et métiers, ont réussi toutes leurs opérations et ont acquis la certitude de son bon droit. Il ajoute qu'ils vont envoyer leur rapport à la cour. Les experts suggèrent qu'il devrait rendre visite au président de la cour, mais Godin indique qu'il est fatigué et qu'il doit être à Laon le 10 mai prochain pour une session extraordinaire du conseil général sur une grave question de chemin de fer. Le voyage à Nancy l'obligerait, pense-t-il, à rendre une visite de politesse à M. Godelle [alors procureur général à Nancy]. Godin demande à Tisserant si une lettre au président de la cour pourrait suffire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 14 août 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Tisserant qu'il ne croit pas que le jugement de la cour d'appel de Nancy puisse donner matière à cassation ; il l'informe que Boucher commence à lui faire un procès pour des boutons. Godin ajoute qu'au moment où il prend des vacances de député l'administration lui fait procès sur procès au sujet du Familistère et qu'il en est malade.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 16 août 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin demande à Tisserant pour quoi Boucher ne lui envoie pas l'arrêt de la cour [d'appel de Nancy] ; Godin se demande si le procès qu'il lui intente au sujet des boutons, qu'il juge téméraire, est une intimidation, ou bien s'il est grisé par le succès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin donne de ses nouvelles à Tisserant : « Je puis vous dire qu'ayant renoncé à perdre mon temps à Versailles, je reste ici et répare le désordre que l'ordre moral a cherché à y introduire. Mais nous sommes loin encore de jouir de la liberté nécessaire, car il n'y a de liberté réelle en ce moment que pour le cléricalisme. J'attends donc avec impatience le jour où l'influence de cette caste malheureuse aura perdu sa prépondérance sur la France. ». Il lui indique qu'il est entouré de procès qui le paralysent, mais que les tracasseries ont cessé à l'égard des écoles. Godin demande des nouvelles de Tisserant, en particulier de ses projets en Algérie. Sur une liasse de papiers déclarée disparue par Grebel et finalement retrouvée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Tisserant ait recouvré la santé. Tisserant lui propose de se charger de ses procès : Godin ne voit pas comme cela pourrait se passer en pratique car Tisserant réside à Nancy, ce qui nécessiterait d'entretenir avec lui une correspondance chronophage, mais il est prêt à en discuter avec Tisserant ; il lui demande quel rôle il pourrait jouer à côté de ses avoués locaux et quels honoraires il demanderait. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin explique à Tisserant que Grebel lui a appris que Senart, l'avocat de Boucher, se refuse à plaider le 14 décembre 1876 dans le procès en contrefaçon que celui-ci lui a intenté il y a deux ans ; Godin pense que son avocat Cresson ne pourra refuser le report ; il demande son avis à Tisserant sur la question. Il l'informe qu'il a transmis son souvenir à monsieur Tenant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que Tisserant s'occupe du contentieux de ses affaires, à commencer par le procès avec Boucher et Cie. Il l'invite à venir à Guise le plus tôt possible.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant qu'il a fait opposition à la demande de maître Diet sur les frais de notaire d'Esther Lemaire et que l'audience a été remise au 1er mars. Sur une transaction avec Esther Lemaire : Godin estime qu'un montant de 1 million, intérêts compris, est trop élevé ; il informe Tisserant qu'il a envoyé à Delpech un calcul précis des intérêts et des loyers. Il lui annonce que le tribunal de Vervins a rendu son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin a eu gain de cause et la Compagnie est condamnée à lui verser 50 F d'amende par jour de retard pour effectuer le transport de ses marchandises. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin prévoit de terminer le jour même l'impression des conclusions. Godin demande à Tisserant quand il viendra à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant qu'il part pour la session du conseil général de l'Aisne. Il lui demande de lui écrire en cas de besoin à l'hôtel de la Bannière à Laon. Il s'en remet à Tisserant pour ce qu'il décidera avec Cresson.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du télégramme de Tisserant. Godin prévient Tisserant qu'il ne veut pas engager Richon à diriger les opérations. Il explique à Tisserant qu'il a demandé 70 m² de surface pour exposer dans les classes 25 et 27 de l'Exposition universelle de 1878 et que Muller, ingénieur au 19 rue des Martyrs à Paris et président de la commission d'exposition de la classe 27, vient de lui apprendre qu'on ne lui accorde que 8 m². Godin demande à Tisserant de se rendre dans les bureaux de l'administration de l'Exposition universelle pour s'informer sur la place accordée à Boucher et Cie ; Godin soupçonne que Boucher et Cie a obtenu bien plus de surface que lui pour exposer les contrefaçons de ses produits. Godin annonce à Tisserant que, fort de ce renseignement, il pourra intervenir auprès de Krantz, son ancien collègue à l'Assemblée nationale. Godin demande à Tisserant de se renseigner également sur le sort réservé à sa demande d'exposer des tables d'école dans la classe n° 6 consacrée à l'enseignement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que la transcription qu'il demande coûterait 11 500 F selon son avoué de Vervins ; il veut s'assurer que la dépense est indispensable. Il l'informe également que son correspondant de Bray-sur-Somme lui indique qu'il ne connaît pas les opinions politiques de monsieur Collet mais que ce dernier est un juge de paix sincère et conciliant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que Delpech lui a écrit qu'il n'a pu obtenir auprès de ses amis de Péronne des renseignements sur le juge de paix de Bray-sur-Somme. Godin pense que Collet est un simple juge de paix sans opinion politique « et par conséquent un conservateur ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il est menacé de poursuite à cause du manifeste électoral bien qu'il n'ait pas été mis en circulation et que les exemplaires imprimés ont été détruits la veille du jour où le parquet en avait ordonné la saisie : « Un silence de mort va donc se faire sur les élections ». Il lui communique une lettre de Delpech qui lui est adressée. Sur des ballots de l'imprimerie Bardin « arrivés ici et déposés chez vous au moment où vous partiez ». « J'aurai des communications bien intéressantes à vous faire sur mon voyage de Bruxelles lorsque vous reviendrez. J'y ai été témoin de phénomènes spirites qui m'ont donné la preuve de faits que je désirais vérifier depuis longtemps » Il transmet à Tisserant les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant que Ganault pourra se charger de son affaire de compte avec Esther Lemaire, mais que ce dernier va devoir comme Goblet, s'occuper des élections législatives et de sa candidature au conseil général. Godin envoie à Ganault le tableau résumé des propositions qu'il a faites pour [le mobilier des] écoles, ainsi qu'un plan pour la bonne compréhension des mesures. Il lui indique qu'il ne s'est jamais préoccupé de concevoir un appareil de chauffage brûlant exclusivement de sapin commun et il lui demande pour quel usage il se sert d'un tel appareil. Dans le post-scriptum, Godin indique que Marie Moret et Émilie Dallet lui envoient leurs compliments.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Tisserant quand il va pouvoir venir à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il préfère qu'Amédée Moret dépose le brevet pour éviter des difficultés de retrait si Tisserant s'en était chargé.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un conflit avec les Rouchy. Godin explique à Tisserant que la situation se complique avec Émile et les Rouchy : les clefs des appartements n'ont pas été rendues ; le père et la mère sont partis, mais la fille est restée, occupant son logement, celui de son père et celui d'Émile au deuxième étage dans ses appartements ; une conciliation a lieu ; Baligant a dit qu'Émile avait changé les serrures et que celui-ci prendra fait et cause pour les Rouchy ; le juge de paix a dit à Massoulard de faire citer les Rouchy ; Richer a dit à Godin qu'un avoué de Vervins lui avait rapporté qu'Émile allait lui envoyer une signification stipulant qu'il est en possession du logement et qu'il y restera.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant son télégramme du matin le priant d'attendre à Lyon une lettre de lui. Il lui demande s'il peut recueillir dans les fonderies de Lyon et des autres villes qu'il visitera des attestations sur l'usage de lanternes dans la fonte d'objets creux comme les grenades ou les obus, dans le but de montrer que le procédé est connu de tous les fondeurs et n'est pas une nouveauté comme le prétend le brevet de Boucher et Cie. Il lui envoie un croquis [non copié].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il renonce à confier ses procès en contrefaçon à Eugène Pouillet en raison des conditions indélicates posées par Guillaume Ernest Cresson. Il regrette que le corps des avocats de Paris ne fasse pas respecter la discipline parmi eux et se dit prêt à se passer de leur concours. Il demande à Tisserant de reprendre son dossier si Pouillet ne fixe pas le montant de ses honoraires avant de plaider son affaire à Amiens. Il lui demande de lui télégraphier quand il arrivera à Valenciennes, où il le retrouvera à l'hôtel du Commerce.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 100 F à Tisserant et lui renvoie 4 lettres arrivées en son absence. Sur le procès avec Émile Godin : sur l'établissement du compte d'Émile et la question du taux des intérêts et des amortissements ; Godin veut que la cour décide qu'il n'est pas tenu de fournir à son fils Émile le logement et qu'aussitôt le compte réglé, celui-ci devra libérer les appartements qu'il occupe au Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Godin communique à Tisserant une lettre de Guettier et des documents sur le sujet qui, selon lui, manquent de précision. Il lui envoie les attestations qu'il a recueillies à Paris pour la fabrication de boules creuses.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Sur les statuts de l'association du Familistère : Godin précise à Tisserant que l'imprimeuse des statuts est madame veuve Éthiou-Pérou au 2 et 4 rue de Damiette à Paris ; il lui annonce qu'il va faire dresser la liste des anciens habitants du Familistère ; il propose d'offrir à Vavasseur la somme de 2 000 F et souhaite qu'il lui demande de faire ses dernières observations. Il transmet à Tisserant le meilleur souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Sur le compte d'Émile Godin. Godin demande à Tisserant d'expliquer à Goblet que la question qui se pose est celle de savoir s'il y a une preuve d'association entre le père et le fils qui justifierait qu'Émile demandait 2 500 000 F ou s'il ne s'agit que d'une intention de dotation du père à l'égard du fils. Dans le post-scriptum, Godin rapporte une conversation avec son fils Émile suivant laquelle celui-ci justifiait d'avoir porté des sommes importantes à son compte par l'intention de se porter le cas échéant acquéreur des usines qu'Esther-Lemaire aurait pu faire vendre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé dans Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin communique à Tisserant une lettre du ministère qui ne donne pas droit à ses réclamations. Godin accuse le préfet de faire traîner les études pour obtenir en août 1880 le consentement du conseil général au tracé en tunnel sous le fort de Guise favorable à la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Discussion sur la comptabilité de l'entreprise à propos des charges d'entretien et des amortissements.

Auteur : Épaulard, Emmanuel (1848-)
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Sur la comptabilité des Fonderies et manufactures du Familistère et l'existence d'un compte individuel de Jean-Baptiste André Godin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond tardivement à la lettre du 5 octobre 1880 car il a passé quelques jours à Bruxelles. Sur le paiement de frais et d'honoraires à André et à Godet. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le paiement de frais de procès-verbal. Sur le procès entre Godin et son fils Émile : Godin ne trouve pas trace dans les copies de lettres d'une lettre de remerciement à Saudbreuil pour son intervention officieuse ; il demande à Tisserant s'il a souvenir qu'une telle lettre ait été envoyée. Il l'informe que l'Association coopérative du capital et du travail s'installe et que ses conseils fonctionnent.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se réjouit que Tisserant a recouvré la santé. Il l'informe que l'association du Familistère fonctionne normalement. Il s'étonne que son fils Émile ne se soit pas manifesté pour réclamer ce qu'il lui doit. Il lui indique qu'il n'a pas de nouvelles de l'affaire en cassation [l'affaire Boucher et Cie]. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès de Godin avec son fils Émile : sur le moyen de contraindre Émile Godin à accepter la convention passée avec son père et à percevoir l'argent qui lui est dû. Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin demande à Tisserant de lui donner son avis sur la nouvelle rédaction du document.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le partage de frais du procès avec Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte l'offre que lui fait Tisserant et lui demande de faire le nécessaire auprès de Pouillet et Moret. Il l'informe qu'il va confier à Leblon, qui est chargé des brevets, la constitution du dossier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Tisserant des nouvelles de lui et de sa santé. Il lui expose le risque de contravention qu'il encourt pour défaut de dépôt légal du journal Le Devoir. Sur l'affaire Boucher et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le paiement des honoraires de Delpech, Obry et Goblet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin complète sa lettre à Tisserant du 17 juin 1881 en lui demandant l'état des frais composant la somme de 8 772,66 F réclamée par Delpech et de le renseigner sur monsieur Vasselle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Tisserant qu'Esther Lemaire est décédée au mois d'août 1881 quand il se trouvait à Lausanne : elle aurait imposé à Émile Godin de se marier dans les six mois sous peine de perdre des droits ; Émile Godin souhaite obtenir son consentement pour se marier, consentement qu’il veut bien lui accorder à la condition d’un règlement à l’amiable d’une affaire de 7 ou 8 hectares de terres de l’association du Familistère qu’il détient indûment comme fermier. Il l’informe également qu’il a réussi à obtenir quittance de l’argent qu’il devait à son fils. Il signale à Tisserant qu’il a réglé son abonnement au journal Le Devoir pour 1880.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin transmet à Tisserant la copie d'une lettre de Pouillet et lui demande de se mettre en relation avec ce dernier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Tisserant une note que lui a remise Eugène André.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu une lettre de Pouillet relative à l'affaire Boucher et Cie. Il lui demande de se mettre en relation avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant que Delpech lui a appris que la cour d'Amiens l'avait condamné à 80 000 F de dommages et intérêts envers Boucher et Cie. Godin considère que la cour est prévenue à l'égard du « républicain socialiste Godin » depuis 30 ans dans ses procès en contrefaçon. Godin est inquiet du silence de Tisserant. Il lui demande conseil sur la possibilité d'un pourvoi en cassation, sur un procès à Nancy et un autre contre Sougland.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Tisserant a proposé à Godin de se pourvoir en cassation [dans l'affaire Boucher et Cie jugée à Amiens]. Godin l'avertit de ne rien entreprendre sans chance de succès. Il est satisfait de savoir que Tisserant n'est pas malade. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que Pouillet l'engage fortement à se pourvoir en cassation. Il accuse réception du numéro du Progrès de l'Est qui contient un article de Tisserant sur l'organisation des écoles publiques. Il lui signale que l'usine du Familistère n'a pas reçu de lettre de son fils. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Tisserant qu'il a fait le nécessaire auprès de l'usine pour que lui soit faite l'expédition qu'il demandait. Il l'informe qu'il a écrit à Moret, avocat à la Cour de cassation. Il transmet à Tisserant les meilleurs souvenirs de Marie Moret et d'Émile Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que la fête de l'Enfance du Familistère aura lieu le 3 septembre 1882. Il invite Tisserant à y assister.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que lui et Marie Moret n'ont pas reçu les numéros du journal Le Progrès de l'Est contenant un article sur la Société du Familistère et la lettre de Tisserant à Morand, mais d'autres numéros. À propos de la Conférence internationale sur la paix et l'arbitrage de Bruxelles : Godin pense qu'il faudrait organiser des conférences internationales dans différents pays et éditer en trois langues à Paris, Londres et Berlin une revue de l'arbitrage et de la paix, organe de la fédération des associations internationales de l'arbitrage et de la paix. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu l'accusé de réception de l'ouvrage Mutualité sociale de la part de monsieur Chanove. Il l'informe qu'Émilie Dallet fait faire pour lui une copie des conférences de Drivon. Il lui annonce que le journal Le Devoir signalera ses articles parus dans Le Progrès de l'Est quand le travail sera complet. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.
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