FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 31 janvier 1873
Godin informe Larue qu'il se trouvera à Vervins le 11 février 1873.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 3 mars 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Cresson qu'une machine à vapeur faisant partie de la communauté de biens s'est brisée et qu'un expert nommé par le tribunal de Vervins a estimé à 14 000 F le préjudice. Il demande à Cresson quelles formalités il faudrait accomplir pour donner un caractère définitif à l'expertise à laquelle Esther Lemaire n'a pas assisté.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au sous-préfet de Vervins, 10 avril 1873
Godin communique au sous-préfet de Vervins la lettre que lui a écrite à Versailles Bribosia, directeur de l'Institut ophtalmologique de Namur, demandant qu'on mette à sa disposition une salle à Vervins pour donner des consultations gratuites aux indigents affectés de maladies d'yeux. Godin soutient l'œuvre philanthropique de Bribosia auprès du sous-préfet et il lui signale que le ministre a en 1872 autorisé Bribosia à exercer l'ophtalmologie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Bribosia, 20 avril 1873
Godin explique à Bribosia qu'il a sollicité une salle auprès du maire de Vervins mais que celui-ci n'a pas donné suite, jugeant que l'efficacité de la pratique de Bribosia n'était pas établie. Godin conseille à Bribosia de gagner la confiance par des faits et lui propose son concours.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 3 juillet 1873
Sur la tournée de Crevon, qui pense, à tort selon Godin, que plusieurs villes dont Toury-Joinville, Orléans ou Blois ont été retirées de son itinéraire. Godin demande à Denisart d'étendre la circonscription attribuée à Crevon dans la mesure où Darras n'a pas l'ambition de dépasser Reims, Épernay, Neufchâtel et Vervins. Il l'informe que Gripon ne reprendra pas les voyages car il n'a pu vendre l'établissement de son père et qu'en conséquence il a proposé à Tisseron d'agrandir sa circonscription dans la direction d'Évreux à Cherbourg, mais qu'il va falloir trouver un autre voyageur pour les autres départements de la tournée de Gripon outre les alentours de Paris que va prendre Amédée Moret. Il ajoute qu'on peut attribuer à Crevon tout l'Est au-delà des limites fixées pour Darras. Sur la remise [à accorder aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 7 août 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Cresson que l'expertise est presque terminée et qu'Esther Lemaire n'a pas donné suite à la deuxième demande de provision de la part des experts. Il fait remarquer qu'Esther Lemaire ne semble pas avoir besoin d'une nouvelle provision dans la mesure où elle laisse en friche une partie des biens acquis avec les sommes versées par Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 25 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise de la valeur des biens de la communauté : un expert a proposé à Grebel de déposer le double de tous les documents remis aux experts au greffe du tribunal de Vervins ; Godin est réticent car il devrait faire lui-même les copies ou se séparer des documents. Godin communique à Grebel la réponse qu'il a faite à une lettre de Christian.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 28 janvier 1874
Godin informe Delaruelle qu'il charge son fils Émile de lui faire connaître la baisse du tarif des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur les remises proposées par Darras à Ladriot de Vervins. Sur les émaux. Sur les poêles et cuisinières démodés : Godin préconise de les vendre avec une baisse de prix suffisante. Sur la modification par Poulet des cuisinières 64 à 67.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Athanase Cucheval-Clarigny, 20 avril 1874
Godin informe Cucheval-Clarigny que la question de l'implantation de la gare de Guise a été débattue au conseil général de l'Aisne qui a nommé une commission d'enquête composée de 5 conseillers : Pille, maire de Chézy-sur-Marne ; Leroux, propriétaire à Charmes près de La Fère ; Deviolaine, maire de Cuffies ; Legris, maire de Vailly ; Guay, maire de Villers-Cotterêts. Il lui signale que le Journal officiel a annoncé la nomination d'un nouveau maire de Guise à la place de Delorme. Il demande à Cucheral-Clarigny s'il ne doit pas faire examiner la question de l'implantation de la gare, que l'administration veut situer au Moulin-Neuf, par un des ingénieurs de sa compagnie. Il l'informe que le préfet fera probablement accompagner la commission d'enquête du conseil général par les ingénieurs du département, et que celle-ci rendra son rapport dans la session extraordinaire du conseil général du 10 mai 1874. Dans le post-scriptum, il l'avertit qu'il va recevoir la visite d'Edmond Turquet, conseiller général du canton de Sains et député de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 juin 1874
Face aux taquineries de l'administration, Godin recommande à son fils de ne pas se préoccuper de l'Ordre moral et d'obéir scrupuleusement à la loi (« il nous faut les fatiguer par notre politesse et par notre sagesse ») sans pour autant céder à toutes les exigences. Il demande à Émile d'éviter toute contravention et de ne pas participer aux manifestations publiques des ouvriers de l'usine ou des habitants du Familistère. Godin avertit Émile qu'un monsieur Marion, candidat à la fonction d'économe, viendra peut-être le vendredi prochain visiter le Familistère. Sur une baisse du prix des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur des dessus de buanderie à faire déposer par Grebel à Vervins. Sur la vente de boutons. Il souhaite qu'Émile dise à Taupier que les lavoirs du Familistère ne sont pas faits pour les étrangers. Sur la mauvaise tenue de la buvette de l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 1er août 1874
Godin annonce à Cresson qu'il ne peut plus échapper au procès qu'on lui fait sur les écoles du Familistère, que ni Bouton, directeur de l'Instruction primaire, ni le ministre ne lui proposent une solution définitive, et qu'il ne compte pas que le préfet arrête les poursuites. Le ministre de l'Instruction renvoie la question des poursuites au ministre de la Justice, qui la renvoie au préfet, qui la renvoie au procureur de la République. Godin explique à Cresson que Jules Simon a demandé un récit détaillé de l'affaire dont il faut faire ressortir le caractère politique, et qu'un journal de l'Aisne a déjà publié un article sur le sujet. Godin demande à Cresson son avis sur la place à donner à la presse dans cette affaire car il entend lui donner de la publicité pour défendre sa cause et la cause républicaine. Dans le post-scriptum, Godin informe Cresson qu'il part pour Guise et que le ministre de la Justice a écrit au tribunal de Vervins pour remettre l'affaire à quinzaine ; Godin émet l'hypothèse d'aller rendre visite au président du tribunal de Vervins, « un homme intelligent, et peut-être le moins mal disposé pour moi au tribunal de Vervins ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 11 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Larue a informé Godin que l'audience du procès des institutrices était prévue le 19 août 1874 et que seul Cresson pouvait demander une nouvelle remise au président avec des chances de succès. Godin envisage deux possibilités : donner lui-même des explications au tribunal pour essayer d'atténuer la condamnation, ou y aller assisté du talent de Cresson et tirer tout le parti possible de l'audience. Dans ce cas, écrit Godin, il faut que l'audience soit sténographiée et publiée dans les journaux. Godin estime que le procès est une belle occasion pour démontrer les mérites de la liberté de l'enseignement et les inconvénients des restrictions et des réglementations. Godin demande à Cresson s'il sera présent le 19 août et se fera accompagner d'un sténographe.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 12 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin confirme à Cresson sa lettre de Laon et son télégramme du matin. Il l'informe qu'il a vu le président du tribunal de Vervins qui ne s'est pas montré opposé à une remise de l'audience, et que ce dernier a demandé qu'une position soit prise rapidement car il veut citer à comparaître l'inspecteur d'académie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 17 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin informe Cresson qu'il ira lui-même à Vervins le 26 août 1874 pour défendre la cause de ses écoles, mais qu'une classe est déjà fermée par arrêté préfectoral ; il lui adresse un article de journal à ce sujet. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin informe Cresson que Boucher a fait une saisie descriptive à l'usine de Guise pour son brevet de boutons, alors qu'il ne lui a pas encore envoyé l'arrêt de la cour de Nancy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 10 septembre 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin rappelle à Ganault qu'il lui avait écrit au sujet du refus d'insertion d'une lettre envoyée au Courrier de l'Aisne et qu'il n'a pas eu de réponse de sa part. Il explique que le silence des journaux laisse à l'administration la faculté de fermer complètement les écoles du Familistère. Il l'informe que le maire de Guise a dit aux maîtresses des écoles qu'il les surveillait et qu'elles ne seraient pas ménagées en cas de contravention, et qu'ainsi les écoles ne pourront pas rouvrir après les quelques jours de vacances données aux élèves, malgré le communiqué publié dans les journaux par le préfet. Godin souhaite savoir s'il peut encore espérer un concours du Courrier de l'Aisne. Il ajoute qu'il avait prévu les hésitations de Levasseur, qui avait promis de reproduire les débats du procès de Vervins, et qu'il pourrait les comprendre si on lui donnait des explications.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 18 juin 1875
Sur des brevets de cuisinières. Godin se plaint que Larue ne s'occupe pas de ses affaires à Vervins : il n'a pas sollicité Cresson dans l'affaire de licitation, Esther Lemaire se fait toujours attendre et il ne répond pas à ses lettres. Sur l'affaire de la haie mitoyenne avec la propriété de Lefèvre père. Sur des taquineries de la mairie de Guise. Sur l'éducation des jeunes travailleurs de l'usine. Sur les caisses du Familistère : Godin ne veut pas qu'elles tournent au profit des invalides et des vieillards du dehors.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 2 août 1875
Godin demande à Heutte et Cie d'envoyer à Larue, avoué à Vervins, cinq exemplaires de la vue générale du Familistère tirées pour Solutions sociales sur fort papier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 2 août 1875
Godin prévient Édouard Larue qu'il lui fait adresser des vues de l'usine et du Familistère de Guise à la demande de Guillaume Ernest Cresson.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 12 décembre 1875
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Grebel s'il a les conclusions d'Esther Lemaire dans le procès du tribunal de Vervins car il ne se rappelle pas de la critique qu'elle a faite de ses écritures. Il lui demande s'il poursuit les expériences sur les formatrices.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 22 janvier 1876
Sur l'admission d'Audoy, candidat aux élections, à une réunion électorale à Guise le lendemain : Godin explique à Ganault qu'il ne pourra pas y accéder pour une raison légale et qu'Audoy devra provoquer lui-même des réunions pour se faire entendre. Godin a l'espoir que Ganault sera réélu député à Laon. Il lui confie que lui ne se représentera pas : « Pour ce qui me concerne, quoi que je n'en dise, mon parti est pris de ne pas poser ma candidature ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Quest, 29 janvier 1876
Godin informe Quest qu'il doit se rendre à Laon « pour le vote de demain », mais qu'il prévoit de passer à Vervins le lundi suivant pour répondre à la lettre que Quest lui a écrite.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 28 mars 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Ganault les réclamations d'Esther Lemaire et la prétendue conciliation tentée par Gauchet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gauchet, 30 mars 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une demande de versement de 79 000 F à Esther Lemaire : Godin explique à Gauchet que ce versement a été annulé de fait par le jugement du tribunal de Vervins du 12 août 1872 qui le condamnait à payer une provision de 200 000 F. Godin explique qu'il souhaite hâter la liquidation définitive mais que la demande de Gauchet lui donne peu d'espoir en une conciliation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 8 avril 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Ganault que sa lettre à Gauchet a déterminé Esther Lemaire à lui faire signifier le jugement de Vervins. Il souhaite voir Ganault à Guise pour parler de cette affaire et de l'affaire Boucher et Cie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 6 juin 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une demande d'argent par Esther Lemaire. Godin demande à Ganault de venir passer quelques jours à Guise. Sur l'affaire Boucher et Cie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 9 juin 1876
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie le dossier de l'affaire et lui demande le jour de sa venue à Guise pour en parler avec lui. Sur le procès intenté par Boucher à Vervins pour contrefaçon de boutons de porte et d'objets de fonte creuse, en parallèle au procès en appel à Amiens : Godin espère obtenir une indemnité équivalente à celle que le tribunal de Nancy avait accordée à Boucher et Cie ; il expose à Delpech une stratégie pour confondre Boucher et Cie. Sur l'affaire du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise relative à la responsabilité de dommages subis par des marchandises, en appel à Amiens : Godin propose une stratégie à Delpech.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 13 juin 1876
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin fait à Gaston Ganault un compte rendu de la réunion provoquée le samedi précédent par Gauchet, représentant Esther Lemaire avec maître [?], le nouveau notaire, Diet et Asseline, son avocat de Paris, en présence de maître Borgnon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 17 juillet 1876
Godin informe Larue qu'il a appris que Dupont, architecte de Vervins pourrait être présenté avec Delorme, ancien entrepreneur de bâtiments à Guise, comme experts dans le référé qu'il va produire. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin avertit Larue qu'il va se rendre à Amiens pour s'entendre avec Delpech et que Goblet plaidera dans la question du compte [des époux Godin-Lemaire]. Sur l'affaire Boucher et Cie : il confirme à Larue que Cresson plaidera dans cette affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. À l'invitation d'Édouard Larue, Godin prévient Cresson que l'affaire Boucher sera plaidée à Vervins dans trois semaines. Sur les indemnités à obtenir de Boucher et Cie : Godin cite une lettre d'Alphonse Delpech, son avoué à Amiens.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Ganault qu'ils avaient convenu de laisser Larue plaider à Vervins dans la première affaire avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, mais qu'il n'y a pas d'obligation de laisser Larue plaider le 8 août dans la nouvelle affaire. Sur la séparation des époux Godin et sur la liquidation de la communauté de biens : à propos des sommes revenant à Esther Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin et sur la liquidation de la communauté de biens. Godin annonce à Delpech qu'il a reçu les conclusions de Larue et qu'il va rectifier les erreurs commises dans les chiffres avant de les lui adresser. Il l'informe que l'affaire est appelée devant le tribunal de Vervins le 10 août et il souhaite que Goblet écrive au président du tribunal pour demander le report.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Ganault que le tribunal de Vervins homologue le compte d'Esther Lemaire et l'a condamné à lui payer 80 409,53 F avec intérêts à 6 % au 24 juin 1876. Godin demande conseil.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte que son pouvoir dans l'affaire de la faillite Odent soit remis à monsieur Boullier, ou au principal clerc de ce dernier. Sur une convocation par le syndic pour le 27 novembre 1876. Godin demande à Ganault le montant de ses honoraires pour les plaidoiries de Vervins.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin apprend d'Alphonse Grebel de retour à Guise que Boucher prétend que Cresson demande lui-même en faveur de maître Senart la remise des plaidoiries fixées au 14 décembre 1876. Godin estime que c'est à son adversaire de faire la demande de remise au tribunal de Vervins et que Cresson devrait demander au tribunal la fixation définitive d'une audience la plus rapprochée possible au vu des lenteurs que Boucher et Cie fait subir au procès.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin se plaint auprès de Larue de la lenteur avec laquelle ses affaires sont conduites à Vervins, en particulier son procès avec le chemin de fer de Guise. Il explique que la gare de Guise lui est fermée et il veut que Larue presse le règlement de l'affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin avertit Delpech que Godin partira demain pour lui porter les réponses à ses questions. Il l'informe qu'il ne se rendra pas à Amiens le mardi suivant car il est convoqué par le substitut du procureur de Vervins pour le procès en contrefaçon Boucher et Cie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le projet d'une transaction avec Esther Lemaire : Godin évalue les sommes dues à sa femme et il évoque ce qui pourrait revenir à son fils. Il demande à Delpech de lui répondre sur la possibilité qu'Esther Lemaire lui fasse des offres pour la reprise des usines qu'il pourrait abandonner si les conditions qui lui étaient faites pour poursuivre l'activité industrielle étaient trop difficiles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un projet de traité avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, que Mariolle-Pinguet est venu présenter à Godin. Godin demande à Mariolle-Pinguet si la Compagnie consent à accepter le jugement du tribunal de Vervins pour éviter de nouveaux frais. La copie de la lettre est suivie (folios 249r et 250r) de la copie du projet de traité intitulé « Bases des conditions d'un traité entre la Compagnie du chemin de fer de Guise et Mr Godin ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant qu'il a fait opposition à la demande de maître Diet sur les frais de notaire d'Esther Lemaire et que l'audience a été remise au 1er mars. Sur une transaction avec Esther Lemaire : Godin estime qu'un montant de 1 million, intérêts compris, est trop élevé ; il informe Tisserant qu'il a envoyé à Delpech un calcul précis des intérêts et des loyers. Il lui annonce que le tribunal de Vervins a rendu son jugement dans l'affaire de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin a eu gain de cause et la Compagnie est condamnée à lui verser 50 F d'amende par jour de retard pour effectuer le transport de ses marchandises. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin prévoit de terminer le jour même l'impression des conclusions. Godin demande à Tisserant quand il viendra à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Larue qu'il lui fait parvenir dix exemplaires de ses conclusions. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin informe Larue que la cour d'Amiens rendra son arrêt le 5 mars 1877 ; Godin demande à Larue s'il peut faire le nécessaire pour lui dans l'affaire Diet, Tisserant ne devant revenir à Guise que le 1er mars. Sur l'affaire avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin demande à Larue s'il faut signifier le jugement à la Compagnie. Sur l'affaire Graillot : Godin informe Larue qu'Eugène André se rendra le 27 février 1877 à Vervins.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin prévient Larue qu'il ne voit pas la nécessité de se rendre le lendemain à Vervins au sujet de l'opposition à la demande de maître Diet, Tisserant n'étant pas encore de retour à Guise. Godin estime que maître Diet a intégré dans ses frais de procédure les frais du travail de maître Barnier qui devraient être la charge exclusive d'Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin indique à Larue que Grebel ira le vendredi suivant à Vervins pour lui demander de remettre un document au président du tribunal. Sur l'affaire Graillot : Eugène André a appris que le tribunal de Vervins avait condamné Godin à payer trois mois d'appointements à Graillot ; il voudrait faire appel du jugement à Amiens et prie Larue de demander à Alphonse Delpech si la cour d'Amiens est susceptible de juger dans le même sens que le tribunal de Vervins.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Joseph Soye qu'à l'occasion de la réunion préparatoire du comité électoral de la circonscription de Guise, à laquelle a assisté le docteur Dupuy de Vervins, il a été chargé de rédiger un manifeste électoral en faveur de la candidature d'Edmond Turquet et de la sienne, que le manifeste a été approuvé le mardi précédent, et que les membres du comité ont souhaité que le manifeste soit signé par 8 à 10 personnes dans la circonscription de Guise et par autant dans celle de Vervins. Il lui demande de faire signer le manifeste par Dupuy, Ravaux, Mambour et par ceux qu'il jugerait bon de faire signer. Il précise que les 1 000 exemplaires du manifeste coûteront 30 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Dupuy que Devillers lui a communiqué une lettre qu'il lui avait écrite et l'informe qu'il lui adresse une épreuve du manifeste électoral [du comité électoral républicain de Guise] pour qu'il y appose sa signature. Il l'informe également qu'il a envoyé le matin même à Joseph Soye une épreuve du manifeste pour le faire signer notamment par lui, par Ravaux, et par Mambour de La Capelle. Godin indique qu'il a besoin d'être fixé sur les signataires de la circonscription de Vervins. Dans le post-scriptum, il précise que les 1 000 exemplaires du manifeste coûteront 30 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin félicite Ganault pour son élection au conseil général de l'Aisne, où il espère que les intérêts républicains pourront désormais se faire entendre. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin annonce qu'il se contentera de produire des pièces écrites par Tisserant devant le tribunal de Vervins et qu'il ne fera pas plaider par un avocat ; il demande à Ganault ce qu'il pense de cette stratégie. Sur la politique du gouvernement : « Va-t-il nous donner le spectacle d'une conflagration de tous les pouvoirs [...] ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un conflit avec les Rouchy. Godin explique à Tisserant que la situation se complique avec Émile et les Rouchy : les clefs des appartements n'ont pas été rendues ; le père et la mère sont partis, mais la fille est restée, occupant son logement, celui de son père et celui d'Émile au deuxième étage dans ses appartements ; une conciliation a lieu ; Baligant a dit qu'Émile avait changé les serrures et que celui-ci prendra fait et cause pour les Rouchy ; le juge de paix a dit à Massoulard de faire citer les Rouchy ; Richer a dit à Godin qu'un avoué de Vervins lui avait rapporté qu'Émile allait lui envoyer une signification stipulant qu'il est en possession du logement et qu'il y restera.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 100 F à Tisserant et lui renvoie 4 lettres arrivées en son absence. Sur le procès avec Émile Godin : sur l'établissement du compte d'Émile et la question du taux des intérêts et des amortissements ; Godin veut que la cour décide qu'il n'est pas tenu de fournir à son fils Émile le logement et qu'aussitôt le compte réglé, celui-ci devra libérer les appartements qu'il occupe au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Crémont qu’aucune affaire ne l’appelle à Vervins et qu’en conséquence il ne peut honorer son invitation.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès en séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le partage de frais du procès avec Esther Lemaire. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin explique à Lecomte que le duc de Padoue lui a intenté un procès pour un mur qu'il a construit avec autorisation préfectorale au bord d'un bras de l'Oise, qu'il a gagné le procès le procès devant le juge de paix de Guise, mais que le duc fait appel du jugement devant le tribunal de Vervins. Il demande à Lecomte s'il veut bien plaider pour lui dans l'affaire et si son avoué Falaize peut lui envoyer les pièces.
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