FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Contet-Muiron et Delarsille père et fils, 30 septembre 1849
Godin demande à ses correspondants quel serait le prix du transport de fourneaux en fonte de fer à destination de Châlons, Épernay, Vouziers, Sainte-Menehould, Bar-le-Duc, Verdun, Metz, Strasbourg et Troyes, et dans quel délai se ferait la livraison.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 12 avril 1867
Sur l'affaire Jacquet : à propos de la venue à Vervins de Lecoq de Boisbaudran avec Jules Favre et de la visite qu'ils pourraient faire au Familistère. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : leur visite au Familistère serait l'occasion de parler des suites de la liquidation. Sur une affaire de déchéance de brevet à porter devant le tribunal de Metz et d'un futur procès en contrefaçon à intenter.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 23 avril 1867
Godin informe Lecoq de Boisbaudran que son fils Émile reprendra dans quelques jours la malle qui lui a été adressée par erreur. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Il l'avertit qu'il va lui envoyer les pièces du dossier qu'il vient de perdre à Charleville-Mézières et les lettres de son avoué et de son avocat qui l'enjoignent à interjeter appel. Il prie Lecoq de Boisbaudran de voir si Jules Favre voudrait se charger de l'affaire dans la mesure où il va déjà plaider contre Jacquet. Il lui indique qu'on lui avait conseillé Boulange du barreau de Metz, qu'il va entamer un nouveau procès en contrefaçon au tribunal de Charleville, dont l'appel pourrait être jugé à Metz, et qu'il faut estimer l'influence qu'une affaire pourrait avoir sur l'autre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 16 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran que Jacquet ne se presse pas pour lui remettre, conformément au jugement, les objets qu'il lui a livrés : les uns sont à l'Exposition universelle, il en a vendu d'autres et il s'en trouve à Soissons et Reims qu'il ne peut faire venir à Paris ; Jacquet réclame les 10 000 F de dommages et intérêts qui lui sont dus mais semble vouloir garder l'argent de la vente des appareils qu'il a réalisée. Godin demande conseil à Lecoq de Boisbaudran. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin indique qu'il ne connaît aucun avoué à Metz mais son avocat de Charleville a recommandé Charles René Noizet. Godin demande à Lecoq de Boisbaudran si Jules Favre ne s'oppose pas à ce choix.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 22 mai 1867
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran que Vuillamy fera verser le lendemain à la Caisse des dépôts par la banque Béchet, Dethomas et Cie la somme de 10 000 F. Il lui demande de lui communiquer la formule nécessaire au dépôt. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères : Godin demande à Lecoq de Boisbaudran de répondre à sa dernière lettre sur la question d'un appel devant la cour de Metz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 23 octobre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos de la disparition de pièces du dossier du procès. Godin pense que Jules Favre plaidera au procès à Metz. Il annonce à Cantagrel que son fils Émile est à Paris. Il l'informe que sa santé se rétablit et qu'il est heureux que celle de Cantagrel se soit améliorée sous l'influence de l'eau froide. À propos d'une invention de Cantagrel relative au chauffage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 15 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin se plaint que M. Coré, à qui il avait confié la question des brevets, ne s'en est pas suffisamment occupé. Il demande à Cantagrel de s'entendre avec celui-ci. Il lui demande de l'avertir à l'avance de sa prochaine visite à Guise. Sur l'affaire Jacquet : Godin demande à Cantagrel si Jacquet continue à exploiter ses appareils à gaz et s'il paie les annuités de son brevet ; il constate que Jacquet ne se presse pas pour lui restituer les appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 17 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Noizet que le président de la cour de Metz veut juger l'affaire, qui a pris du retard à cause de la maladie de Jules Favre et de la sienne, et qu'en raison de l'indisponibilité de Jules Favre retenu au Corps législatif jusque mars 1868, il doit demander à un avocat de plaider à la place de ce dernier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Coré, 17 décembre 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin annonce à Coré que Cantagrel lui a envoyé les dessins de calorifères qu'il veut lui faire exécuter, et qu'il choisit Arago à Paris pour avocat plutôt qu'un avocat à Metz. Il lui indique qu'il ne souhaite pas que Dureteste plaide dans le procès en appel. Il lui fait part du plaisir qu'il aura à recevoir sa visite au Familistère, annoncée par Cantagrel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 1er avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Cantagrel de faire cesser l'intervention de monsieur Coré dans l'affaire et de retirer de chez celui-ci tout ce qui appartient à Godin. Godin ajoute qu'il n'est pas disposé à lui payer un reliquat de 1 000 F car il juge qu'il a fallu le pousser dans ses retranchements pour qu'il accomplisse son travail. Il demande également à Cantagrel d'informer Emmanuel Arago que Coré n'est plus chargé de l'affaire et de s'entendre avec lui sur les objets à envoyer à Metz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 7 avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Cantagrel d'envoyer les calorifères déposés chez Coré à François Vaillant, fabricant de fourneaux à Metz. Il lui annonce qu'il va étudier les conclusions [sur les brevets de Corneau frères].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Emmanuel Arago, 11 avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin adresse à Arago les pièces de son affaire que lui a envoyées Coré et lui exprime son désir de s'en entretenir avec lui. Il lui annonce qu'il sera à Paris le lundi suivant et qu'il se trouvera au Grand hôtel du Louvre. Il lui fait part de ses observations sur les conclusions relatives aux brevets de Corneau frères.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin explique à Cantagrel qu'il a passé la semaine précédente à Paris où il a étudié l'affaire avec Emmanuel Arago, et qu'il a vu Coré avec lequel il n'a pas pu s'entendre sur le plan financier pour terminer l'affaire, ses prétentions étant exorbitantes. Le post-scriptum de la lettre est rédigé et signé par Émile Godin : Émile Godin précise que son père lui a écrit tardivement car son cousin Moret était tombé gravement malade à la suite d'une attaque d'apoplexie ; il transmet son souvenir à madame Cantagrel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 mai 1868
Godin évoque l'envoi à Cantagrel d'un certificat d'addition. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Litige avec Coré. Godin envisage que Coré lui fasse un procès. Il recommande à Cantagrel de ne lui offrir que 200 F et l'invite à récupérer les calorifères déposés chez Coré pour envoyer le calorifère Joly à Metz et transporter le reste chez Allez frères. Godin annonce à Cantagrel qu'il va écrire à Emmanuel Arago pour lui expliquer qu'il n'a pu s'entendre avec Coré et que ce dernier est déchargé de son affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 9 mai 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Litige avec Coré. Godin informe Cantagrel qu'il a refusé de payer la traite que Coré lui a adressée. Il lui rappelle que les calorifères doivent être envoyés chez François Vaillant à Metz. Il lui annonce l'envoi d'un paquet de documents à consulter et à remettre à Emmanuel Arago.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 12 mai 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. À propos du certificat d'addition de Corneau frères et du brevet de Haunet. Sur les dessins et brevet à communiquer à Arago. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : l'audience aura lieu le 23 mai prochain ; Cantagrel peut obtenir un exemplaire du mémoire auprès de Lecoq de Boisbaudran.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 3 juillet 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin explique à Cantagrel qu'il a peu de temps pour écrire à ses amis en raison des procès d'Amiens et de Metz. Il lui raconte qu'il a reçu par erreur du maire de Guise un pli prouvant qu'il agit avec Esther Lemaire pour influencer les juges. Sur des appareils de fumisterie que Cantagrel souhaite faire fabriquer par Godin. Sur la fourniture de borax et d'acide borique par Demasures : Godin demande que celui-ci envoie 50 ou 100 kg de chaque matière pour pouvoir en apprécier la qualité.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 24 juillet 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin est surpris d'apprendre par la lettre de Noizet du 23 juillet 1869 que l'expertise doit avoir lieu à Charleville et non à Metz. Godin est prêt à se rendre à Charleville mais voudrait montrer aux experts les objets qu'il a envoyés à Metz. Il informe Noizet qu'il fait envoyer de Paris à Metz un calorifère Joly et Bouët à double enveloppe, mais qu'il ne présentera pas le calorifère Haunet de 1857 car il n'a jamais été fabriqué. Il ajoute que les antériorités belges sont difficiles à montrer car les fabricants ont disparu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 12 août 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Sur la nomination d'experts. Noizet a informé Godin que Bodin a refusé d'être expert. Godin propose Victor Bois qui est familier de l'industrie du chauffage, mais il ne connaît personne à Metz et doit s'en remettre à la sagesse du tribunal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 13 octobre 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin rappelle à Noizet sa lettre du 2 septembre 1868 et il lui demande s'il doit faire faire une nouvelle copie des brevets égarés. Il l'avertit qu'il va devoir se rendre à Metz pour voir les experts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 8 mai 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin annonce à Noizet qu'il va faire imprimer un mémoire mais qu'il voudrait qu'Emmanuel Arago le lise avant impression. Il indique qu'il ne voudrait pas assister aux opérations d'expertise avant le 10 juin. Il l'avertit qu'il doit envoyer des appareils à Metz. Godin voudrait pouvoir voir les experts avant que les opérations commencent, après en avoir été empêché l'année précédente par le refus d'acceptation d'un expert puis par sa santé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 juillet 1869
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin remarque que les lettres envoyées d'Angleterre par Émile arrivent à Guise avec retard. Il se réjouit qu'Émile parvienne à acheter de la fonte. Il souhaite qu'il trouve à en acheter de bonne qualité dans le Cumberland car cette fonte est indispensable pour donner de la résistance à celle de Middlesbrough. Sur des mélanges de fonte de qualité inférieure ordonnés par Émile avant son départ : Godin lui indique que la fonte de Cleveland est elle-même mélangée, mais qu'il arrive parfois des lingots très serrés qui font des pièces dures ; il signale qu'il a fait arrêter la fonte de Pinart et d'autres fournisseurs mais que les éprouvettes sont encore dures, et qu'il y a plus de casse dans les pièces qu'auparavant. Il informe Émile que la Compagnie du Nord ne demande pas moins de 8,30 F pour transporter une tonne de fonte de Calais à Bohain, que monsieur Pauwels a un pouvoir pour 500 tonnes et que Gillian Schmit a envoyé 200 tonnes. Godin fait observer à Émile qu'il pensait qu'Émile avait demandé à Trystram et Crujeot de faire entrer de la fonte [en France]. Il l'avertit qu'il part le dimanche suivant à Metz et qu'Eugène André est à Guise. Il lui fait part de son espoir que l'émaillage va s'améliorer et lui annonce qu'ils ont trouvé le moyen de supprimer le plomb. Il transmet ses amitiés à monsieur et madame Pagliardini.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 23 juillet 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Noizet qu'il a expédié chez François Vaillant à Metz les appareils qu'il souhaite présenter aux experts, mais qu'il faut les transporter dans un lieu plus commode, où ils pourraient être réunis à ceux que Corneau frères montreront. Il fait remarquer qu'il ne présentera pas le calorifère de 1857, qui se trouve au centre de l'expertise. Godin souhaite que l'expertise soit contradictoire et que les frères Corneau y assistent. Il pense que les pièces du dossier sont plus convaincantes pour les experts que les appareils qui seront exposés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 juillet 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin demande à Cantagrel d'envoyer à Noizet à Metz un calorifère Joly et Bouët à circulation d'air chaud.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 août 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin adresse à son père une lettre des experts. Il cite la lettre par laquelle les experts annulent la séance d'expertise à Charleville et fixent la réunion le même jour 5 août 1869 à l'arsenal de Metz rue d'Asfeld. Émile informe son père qu'Ed. Thiébault lui demande rendez-vous à Charleville le 4 août à 8h30 du soir et qu'il lui a écrit de se rendre à l'hôtel du Lion d'argent ou de lui écrire à Metz pour prendre rendez-vous.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Edmond Thiébault, 2 août 1869
Émile Godin prévient Thiébault que son père se trouve à Charleville à l'hôtel du Lion d'argent ; il lui recommande de lui écrire à Metz au Grand hôtel de Metz pour qu'il lui fixe un rendez-vous à son retour à Charleville.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gobelet, 20 août 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin rappelle à Gobelet qu'il lui a promis d'expédier à Noizet à Metz un calorifère de 1857 ou 1858 avec foyer mobile. Il l'informe qu'il a perdu le carnet dans lequel il avait mis sa déclaration et le procès-verbal d'huissier par lequel Haunet avait tenté de l'empêcher de fabriquer ces calorifères. Il lui demande de lui fournir à nouveau la déclaration, d'essayer d'obtenir un duplicata du procès-verbal, et il lui rappelle sa promesse d'envoi de certificats prouvant l'origine et la date de fabrication du calorifère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Emmanuel Arago, 28 septembre 1869
Godin rappelle à Arago que Noizet lui a écrit pour qu'il intervienne auprès de monsieur Bourbeau [ministre de l'Instruction publique de 17 juillet 1869 au 2 janvier 1870] pour le maintien de son gendre à Metz, qui refuse ainsi un avancement pour la tranquillité de sa famille.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 19 décembre 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin informe Jules Favre qu'en raison de son occupation au Corps législatif, il va devoir demander à Emmanuel Arago d'être son avocat dans l'affaire devant la cour de Metz, ce qu'il regrette car Lecoq de Boisbaudran s'était déjà occupé de l'affaire. Il demande à Favre un mot de recommandation auprès d'Emmanuel Arago.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles René Noizet, 31 mars 1870
Godin explique son intention d'être défendu par Emmanuel Arago, mais juge que le concours de l'avocat Bemond pourrait être utile dans cette affaire de brevets ou dans une autre qu'il aura à faire plaider la cour de Metz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Denisart qu'il a autorisé Berns à se rendre à Guise comme employé aux écritures aux appointements de 175 F par mois. Il l'informe qu'il a chargé Coulon d'examiner les frais dans l'affaire Corneau, et il demande que Deplanque réunisse le détail des sommes payées à Charleville et à Metz.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet des renseignements sur les récompenses qu'il a obtenues en qualité d'industriel et de fondateur du Familistère depuis 1855.
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