FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Roger et Laporte, 11 août 1893
Télégraphe de Pascaly annonçant l'envoi de matières pour le prochain numéro du journal Le Devoir de septembre 1893. Marie Moret envoie aussi des pages de Documents biographiques de Godin. Rappelle qu'elle attend la réponse de l'imprimeur quant à sa lettre du 23 juin 1893 [au sujet des enveloppes du journal].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Pascaly, 13 août 1891
Sur la préparation du prochain numéro du Devoir. Pascaly chez Auguste Fabre au moment où Marie Moret rédige sa lettre. Elle lui souhaite de prendre du repos pendant ses vacances.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Crevon, 18 novembre 1872
Godin demande à Crevon si une tournée traversant la Bourgogne, la vallée du Rhône jusque Marseille, le Midi et le Centre et même la Suisse est compatible avec les intérêts des maisons qu'il représente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 22 novembre 1872
Godin demande à Denisart de préparer la rédaction d'une instruction générale destinée aux voyageurs de commerce pour faciliter la connaissance des produits par les nouveaux voyageurs. Godin observe que de telles instructions ont déjà été rédigées dans le passé mais qu'elles n'ont pas été retrouvées et que le travail doit être recommencé. Sur les foyers de Sauvaire. Sur l'affaire Maréchal. Sur les contremaîtres à inscrire sur la liste des prudhommes. Dans le post-scriptum, Godin demande à Denisart la liste de leurs correspondants de Nancy et des notes sur la ligne de Lyon à Marseille, deux villes dans lesquelles Godin pense qu'il serait bon d'avoir des représentants.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 18 septembre 1897
Réponse à la lettre d'Antoniadès du 3 et 15 août 1897 dans laquelle Antoniadès donne des nouvelles de lui « au milieu des terribles événements dont [son] pays a été le théâtre. » Rappelle à Antoniadès ses envois de Nîmes de février 1897 et lui demande si le journal Le Devoir lui est parvenu, un numéro lui étant revenu. Elle ne peut indiquer à Antoniadès s'il existe à Nîmes un lycée admettant des étrangers, comme le fait celui de Marseille. Réflexions d'Antoniadès sur le journal Le Temps, que Marie Moret lit chaque jour. Question d'Antoniadès sur la bonté et réflexions de Marie Moret à ce propos : « Celui qui la possède est rattaché par elle au principe même de la vie ». Le souvenir d'Antoniadès souvent évoqué au Familistère ou pendant les promenades à Lesquielles-Saint-Germain. Sur la fête de l'Enfance des 5 et 6 septembre 1897, dont Marie-Jeanne Dallet a été la directrice : la matinée théâtrale montrait une masse de costumes allégoriques. Sur les écoles du Familistère, dont s'occupe toujours Émilie Dallet. Sur l'Association du Familistère : Louis-Victor Colin, homme de grande capacité industrielle, a remplacé François Dequenne à la tête de la société. Jules Pascaly s'occupe toujours du Devoir ; il a vu récemment Gaston Piou de Saint-Gilles revenant d'Allemagne et cherchant une place à Paris ; Marie Moret n'a pas de nouvelles de lui ni de sa famille.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guitard-Gouell, 20 avril 1873
Godin informe Guitard-Gouell qu'il pourrait lui accorder sa représentation dans le Midi de la France à condition de la circonscrire dans la région de Toulouse, bien qu'il voyage de Marseille à Lyon. Dans le cas où Guitard-Gouell acceptait la proposition, Godin l'invite à venir étudier les produits à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 23 novembre 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin rappelle à son fils Émile que depuis deux ans il cherche à fonder un second établissement dans la Nièvre, où il pense pouvoir trouver les minerais et matériaux nécessaires et où il espère trouver du charbon. Il constate que les usines produisant du fer et de la fonte dans la région ont disparu avant le traité de commerce, peut-être en raison de la pauvreté des minerais, mais aussi que la Nièvre est desservie par le chemin de fer de Paris à Lyon et à Marseille. Il explique qu'il conserve l'idée de trouver du charbon dans la Nièvre et se demande s'il ne serait alors pas possible d'établir un haut-fourneau avec ce minerai pour fabriquer de la fonte de moulage. Il questionne son fils sur la fusion des matériaux dans les hauts-fourneaux. Il demande à Émile si monsieur François a envoyé quelques exemplaires de La politique du travail à monsieur Petit, 4 quai de France à Grenoble dans l'Isère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1875
Godin informe son fils Émile qu'une institutrice viendra prochainement au Familistère pour tenir la classe des filles. Il lui demande de lui réserver les chambres occupées auparavant par Chatelais et de s'entendre avec le comité d'administration du Familistère pour y faire la propreté nécessaire et pourvoir à son ameublement. Sur un succès de la gauche et la division des partis de droite à l'Assemblée. Le premier point du post-scriptum porte sur le calcul par Émile du prix de revient des marchandises produites dans un nouvel établissement : un établissement aux portes de Paris serait celui qui produirait aux conditions les moins économiques, compte non tenu de l'économie de transport ; « Mais avec l'établissement de Guise dans le nord de la France, il est de plus en plus apparent pour moi que pour s'assurer le marché du Midi, il conviendrait de porter un établissement nouveau au moins sur les confins du départ de la Nièvre, ce qui peut permettre de desservir la ligne de Marseille et la Suisse avec économie. » Le deuxième point du post-scriptum porte sur la visite par Pernin d'un haut-fourneau de construction nouvelle. Le troisième point du post-scriptum est relatif à l'envoi par François de La richesse au service du peuple à monsieur Cacheux avec la mention « Envoi de M. Godin, député de l'Aisne ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

Mots-clés :

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Levasseur un article qu'il voudrait voir publier dans le numéro du dimanche du Courrier de l'Aisne. Le manuscrit de l'article intitulé « Chemin de fer du Cateau à St Erme » est copié à la suite de la lettre sur les folios 25r à 30r : l'article soutient la réalisation de la ligne de chemin de fer qui permettrait de relier les ports de mer du Nord à Marseille en passant par Lille, Valenciennes, Le Cateau, Guise, Marle, Reims, Châlons, Chaumont, Dijon et Lyon ; Godin passe en revue les avantages de la nouvelle ligne pour les cantons de l'Aisne qu'elle traverserait, et pour le département de l'Aisne qui pourrait faire l'économie de frais d'entretien des routes ordinaires ; il appelle le gouvernement à donner la possibilité aux capitaux inactifs de s'employer dans une entreprise d'utilité publique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet des renseignements sur les récompenses qu'il a obtenues en qualité d'industriel et de fondateur du Familistère depuis 1855.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Échange de lettres, cartes-postales et télégrammes avec Pascaly. Beaucoup de matière pour Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Adresse un exemplaire du Devoir. Précise qu'il n'y a pas de service télégraphique à Guise. Envoie une liste des articles pour Le Devoir et organisation des prochains numéros. Ne souhaite pas faire figurer la déclaration de la commission de grève des terrassiers à cause des propos haineux et violents. Sur les vacances de Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Émilie et Marie-Jeanne Dallet sont au Familistère. Parle de la météo et prend des nouvelles des proches. Demande à Pascaly s'il préfère recevoir les 200 francs sur son lieu de vacances ou à son retour à Paris. Au sujet des articles pour les prochains numéros du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Remercie Doyen d'avoir retourné des lettres jusqu'à Paris. Lui demande d'inscrire au rang des services gratuits madame César Pascaly résidant à Marseille et de lui envoyer les numéros du Devoir depuis juillet. Envoie un paquet d'article pour les prochains numéros du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Antoine Médéric et Juliette Cros pour leur lettre du 20 juin 1901. Elle explique que le retard de sa réponse est dû aux envois qu'elle a faits aux bibliothèques étrangères, à la reprise de son « vrai travail » et aux corrections des épreuves du Devoir. Elle les remercie pour la description de la scène de la réception [par le public de la conférence donnée par Cros] de la photographie de Marie-Jeanne Dallet. Leur mot sur Saint-Gaudens l'a poussé à ouvrir le livret d'ouvrier de son père. Elle nomme les étapes du parcours de son père : Paris, Meaux, Libourne, Bordeaux (où il est rejoint par Godin), Toulouse chez Daussonne jeune pendant deux mois à partir du 23 avril 1836, Montrejeau (toujours avec Godin) chez le serrurier Pierre Pic pendant trois mois à partir du 24 juillet 1836, Montpellier, Nîmes, Marseille (où Moret et Godin se séparent), Lyon, etc. Elle demande qu'Antoine Médéric Cros conserve les articles de journaux qui évoqueraient sa conférence [sur le Familistère] pour les communiquer à Auguste Fabre et à elle-même. Elle lui annonce que Marie-Jeanne Dallet lui écrira à propos des vues photographiques pour les conférences ; elle lui indique que Mutualité sociale se trouve chez Guillaumin et Cie et qu'elle peut lui fournir des exemplaires du Familistère illustré. Elle informe Juliette Cros que leur voyage [de retour à Guise] a été pénible à cause de la chaleur. Elle lui indique qu'Auguste Fabre devait s'occuper des travaux de maçonnerie ; le 16 juin dernier, il a écrit qu'il ne disposait pas encore du maçon. Elle lui fait part de sa satisfaction d'avoir retrouvé son grand cabinet de travail en comparaison de celui de Nîmes, tellement chauffé par la toiture qu'on ne peut plus s'y tenir à partir de 11 h 00. Elle transmet à Juliette et Antoine Médéric Cros les pensées d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet et le souvenir de Flore Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret souhaiterait savoir si la bibliothèque de Clermont-Ferrand, à qui le service du Devoir est régulièrement et gratuitement adressé, est en mesure de collectionner et de relier le journal, ainsi que la date du premier numéro de la collection en leur possession.
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