Demande d'informations sur la valeur « réelle » de la rente italienne 3 %.

Réponse à une lettre de madame Piou de Saint-Gilles en date du 7 octobre 1889. Envoi de La République du travail par Godin. Sur la difficulté de Madame Piou de Saint-Gilles à financer les études de ses enfants. Appréciation de Gaston et Paul Piou de Saint-Gilles et du rôle de mère de madame Piou de Saint-Gilles. État des ressources de Marie Moret après la faillite de la compagnie du canal de Panama et emploi de la fortune de Godin. Projet de remariage de madame Piou de Saint-Gilles avec Auguste Vodoz. Sur Hélène et Agnès Piou de Saint-Gilles et sur Marie-Jeanne Dallet.

Réponse à la lettre de Gaston Ganault en date du 11 octobre 1889. Départ de Joseph et Isanie Ducruet au service de Godin et de Moret depuis 14 ans. Vente des chevaux Papillon et Boulanger. À propos d'un vase acheté à Marie Moret à l'Exposition universelle de Paris et offert à Ganault. Souvenirs du séjour de la famille Moret-Dallet chez Gaston Ganault à Paris en septembre 1889. Déménagement de Ganault de Paris après son échec aux élections législatives. Abonnement de Ganault au journal Le Devoir.

Sur la composition du numéro d'octobre du journal Le Devoir.

À propos d'une toque ronde en plumes.

Marie Moret informe le maire de Guise qu'elle a vendu ses chevaux Papillon et Boulanger qui étaient inscrits sur le rôle du service de remonte de la cavalerie.

Sur les épreuves des articles du numéro d'octobre du journal Le Devoir.

Paiement d'une facture du 19 octobre 1889.

Envoi et demande d'échantillons de tissus pour la confection d'une toilette.

Sur le compte bancaire de Marie Moret, crédité de 10 110,22 F. Sur des valeurs boursières et sur les évaluations contradictoires des titres de la rente italienne 3 %.

Commande de tissus d'après les échantillons reçus pour un montant de 27,85 F.

Sur le changement des caractères d'impression du journal Le Devoir à partir de janvier 1890 : utiliser des caractères plus grands comparables à ceux utilisés pour l'avant-propos du livre de François Bernardot ou au caractère n° 30 corps 9 de la fonderie Turlot ; demande un spécimen avec différents interlignages.

À propos d'une toque d'hiver à confectionner d'après l'un des deux modèles découpés par Marie Moret dans le catalogue du Bon Marché.

Paiement d'une facture de 47,50 F.

Réception d'une veste trop large. Commande d'une jupe et d'un jersey.

Paiement de 2,10 F pour solde d'une commande de tissus.

Annonce l'émission de deux chèques : 47,50 F pour Fortin et Cie et 300 F pour Jules Pascaly.

Marie Moret demande confidentiellement à Raoux des renseignements sur Elisabeth Piou de Saint-Gilles et sur les ressources financières dont elle dispose, dans l'idée d'apporter une aide à Gaston et Paul Piou de Saint-Gilles pour la poursuite de leurs études d'ingénieur et de médecine.

Marie Moret refuse de donner suite à la confection d'une toilette au vu des échantillons de tissus qu'elle a reçus. Sur l'échange du journal Le Devoir avec le journal La Femme et l'enfant.

Réponse à une lettre de Virginie Griess-Traut en date du 25 octobre 1889 : Marie Moret ne peut satisfaire la demande de Virginie Griess-Traut dans la mesure où elle n'est plus gérante de la Société du Familistère.

Commande d'un chapeau à voilette pour un montant de 25 F payé par un chèque bancaire joint à la lettre.

Envoi de livres.

Commande de 50 rouleaux pour expédier des gravures ; tirage du numéro d'octobre du journal Le Devoir à 350 exemplaires.

Demande d'informations relatives aux plumes d'or diamantées et aux encriers.

À propos d'obligations Dordogne. Sur la rente italienne 3 % : informations contradictoires relatives à la valeur de l'unité ; vendre 66 des 3066 unités possédées par Marie Moret pour connaître le prix de vente réel.

Marie Moret adresse sa lettre à ses « chers frère et sœur », son frère Amédée et sa belle-sœur Flore Moret. Sur l'acquisition d'un poêle pour le logement de Gaston Piou de Saint-Gilles au 72, rue de Seine. Projet de visite de François Dequenne à la clientèle de Paris en compagnie d'Amédée Moret. Nouvelles du Familistère : manœuvres de Pernin, gérant désigné, et André repoussées par le conseil de gérance ; André et Colin en concurrence à la direction des modèles ; incidents en assemblée générale des associés. Départ samedi prochain de Joseph, Isanie et Maria Ducruet, remplacés au Familistère par monsieur et madame Roger, eux-mêmes remplacés à Lesquielles par le garde-champêtre et sa femme ; vente des chevaux. Sur la rente italienne 3 %. Démission de Donneaud devenu veuf, qui part rejoindre ses enfants dans le midi de la France. Copie des lettres.

Réception des trois plumes d'essai ; l'une conservée par Marie Moret ; à propos d'encriers.

À propos d'une visite que Gaston Piou de Saint-Gilles doit faire à Jules Prudhommeaux au lycée Henri IV à Paris. À propos de la fonction de gérant désigné : bons rapports de Marie Moret avec François Dequenne pendant sa gérance, car Dequenne n'avait pas intérêt à prendre la gérance ; aujourd'hui, la fonction de gérant désigné est source d'intrigues ; ne pas allonger la durée de son mandat (un an) ; pression faite sur les dissidents au sein de l'Association ; départ de la famille Ducruet (Maria, sœur de Joseph et Isanie, « bonne » d'Émilie Dallet) ; vente de ses chevaux : « moins je laisse ici de choses à soigner, plus libre je suis pour les voyages ».

Sur la composition du numéro de novembre 1889 du journal Le Devoir.

Sur la rente italienne 3 % : Marie Moret se range à l'avis d'Offroy et Cie d'attendre avant de vendre.

Paiement de factures par mandat postal et commande d'articles (taille-crayon et papier dit indispensable) pour un montant de 7,95 F. Demande d'information sur les encriers.

Réponse à la lettre de Raoux en date du 1er novembre 1889. Remerciements pour les informations communiquées au sujet d'Elisabeth Piou de Saint-Gilles. Sur la santé de Raoux. La famille Moret-Dallet reste au Familistère pendant l'hiver pour que Marie-Jeanne Dallet finisse ses études. Sur la publicité donnée dans Le Devoir aux brochures de Raoux. Sur la distribution à titre gracieux des livres de réforme sociale. Sur l'excellence du régime végétarien, aux antipodes des habitudes en France et dans l'Aisne en particulier.

Réponse à une lettre d'Elisabeth Piou de Saint-Gilles en date du 24 octobre 1889. Sur Gaston Piou de Saint-Gilles et ses études. Sur la connaissance des langues d'Elisabeth Piou de Saint-Gilles. Rêve de Marie Moret : Elisabeth Piou de Saint-Gilles et ses filles dans le grand monde. Marie Moret mère adoptive de Gaston Piou de Saint-Gilles selon Elisabeth Piou de Saint-Gilles.

Sur les titres de le rente italienne 3 % de Marie Moret.

Envoi d'un numéro du journal Le Devoir en échange d'un numéro du journal La Dynamodermie. Demande la brochure de l'Institut dynamodermique.

Proposition d'échange du journal Le Devoir avec Le Bulletin financier international.

Annonce l'envoi d'un chèque de 95 F à madame Williams-Briol.

Sur la confection d'un costume : jupe, corsage et gilet.

Accuse réception de la lettre d'Offroy et Cie en date du 6 novembre 1889.

Réception et paiement d'un chapeau d'une valeur de 95 F ; sur le prix élevé du chapeau.

Commande de paires de lacets pour bottines.

Sur l'absence des Ducruet ; nouvelles de plusieurs personnes de leur connaissance.

Commande d'un costume précisément décrit ; sur la venue des sœurs Piat au Familistère.

Envoi d'articles pour la composition du numéro de novembre 1889 du journal Le Devoir.

Commande de camisoles en laine pour un montant de 14,60 F.

Demande le prix de la balayeuse mécanique The Grescent Carpet Sweeper présentée à l'Exposition universelle de Paris de 1889.

Réception de la lettre d'Offroy et Cie en date du 11 novembre 1889 contenant des informations confidentielles [sur Elisabeth Piou de Saint-Gilles ?]. Sur les titres de rente italienne 3 % de Marie Moret.

Sur l'achat d'une cheminée pour Gaston Piou de Saint-Gilles. Sur la vente des titres de rente italienne 3 % de Marie Moret. Travail sur les « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin ». Nouvelles d'Émilie Dallet, « presque toujours souffrante » et de Marie-Jeanne Dallet.

Envoi d'articles pour la composition du numéro de novembre 1889 du journal Le Devoir.