FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 253 résultats dans 19531 notices du site.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin espère pouvoir envoyer à Tito Pagliardini son ouvrage la semaine prochaine malgré des difficultés de brochage. Il espère qu'il pourra en faire la publicité dans la presse anglaise car la France n'est pas aussi réceptive à ses idées. Il lui signale qu'il écrit à un ami de Bruxelles pour faire de même en Belgique. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Le Chevalier l'envoi des premiers exemplaires de son livre la semaine suivante. Godin rappelle au librairie les conditions dont ils ont convenu pour la commercialisation de son ouvrage (prix, commission) et lui demande confirmation.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin suggère à Sauvestre de publier un article sur Solutions sociales dans L'Opinion nationale et propose de l'aider à le rédiger. Il lui envoie un billet pour retirer un exemplaire du livre chez Armand Le Chevalier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Pagliardini qu'il a reçu à Versailles le numéro du journal The Builder [contenant un article sur Solutions sociales], et qu'il se trouve à Guise jusqu'au 4 décembre à l'occasion des vacances de l'Assemblée nationale. Il juge que l'article du Builder est plus important que ceux qui ont paru dans L'Indépendance belge, dans L'Avenir national et dans La Cloche. Il soupçonne Pagliardini d'être l'auteur de l'article du Builder. Il transmet à Pagliardini et à sa femme ses amitiés et celles de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de l'envoi que Raoux lui a fait l'année précédente. Pour répondre à ses questions, il lui adresse un exemplaire de Solutions sociales. À propos de la brochure de Raoux sur la réforme orthographique : Godin lui fait remarquer que « la réforme orthographique ne peut être logique sans la réforme dans la prononciation ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Bergeron a demandé à Godin l'autorisation de faire traduire Solutions sociales par madame Bergeron. Il lui explique que l'impression de son livre avec ses gravures est une affaire importante et qu'une autre demande lui est parvenue du New Jersey, soutenue par le Harper's magazine, pour une traduction par Marie Howland. Il suppose que la traduction de madame Bergeron serait destinée à l'Angleterre. Godin propose à Bergeron de demander à son ami Pagliardini s'il ne serait pas question d'une traduction de son livre en Angleterre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Grosrenaud à la suite d'un entretien qu'il a eu avec monsieur Dorian. Il lui explique qu'il a fondé le Familistère, institution dont il est question dans son livre Solutions sociales. Il lui demande s'il consentirait à être nommé expert pour l'estimation de ses établissements.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Pagliardini qu'on lui demande de traduire en anglais Solutions sociales à Hammonton dans le New Jersey et à Lausanne de la part de madame Bergeron. Il lui explique qu'en Suisse, il ne s'agit que d'une traduction partielle mais qu'aux États-Unis, le Harper's Magazine veut publier une partie de l'ouvrage avec les illustrations et son portrait photographique en tête. Godin ajoute qu'on lui a écrit une lettre de félicitations du Sénégal : « Bientôt, vous le voyez, toutes les parties du monde seront en possession de mon livre, mais il faudra plus de temps pour que mon livre soit en possession de l'humanité. » Il lui demande son avis sur le projet de traduction de madame Bergeron.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Edward Howland du 21 novembre 1871. Le mauvais temps a empêché de lui envoyer un portrait photographique récent. Sur l'organisation du travail : il lui explique qu'il pense que l'attrait est le principal ressort de l'émulation dans le travail, mais qu'il ne croit plus au système des séries de Charles Fourier, comme on peut le voir dans Solutions sociales par ses études sur la nature humaine et ses facultés. Il l'autorise à faire traduire son livre en anglais et à publier la traduction aux États-Unis et le remercie pour cette intention.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Raoux du 9 décembre 1871. Sur la vue générale du Familistère dont Raoux a demandé le prix à Lemercier. Godin donne à Raoux une autorisation que ce dernier avait sollicité auprès de Guillaumin et Cie ; il précise qu'Oyon, qui demeure au 3, rue Christine, ne devrait pas vouloir rééditer sa brochure. À propos d'un article bienveillant de la Revue chrétienne sur Solutions sociales. Sur le Familistère et les journaux ouvriers. Sur le Familistère et la classe ouvrière. À propos des habitants du Familistère. Godin demande à Raoux s'il peut lui fournir une description détaillée de l'enseignement de Fröbel. À propos d'articles que Raoux pourrait publier sur le Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Toinon et Cie qu'ils ont dû recevoir une valeur de 300 F. Il leur demande l'état des exemplaires in-8° de Solutions sociales livrés et en stock, pour savoir s'il doit mettre immédiatement en vente l'édition in-12°.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Renseigne sur l'organisation de la crèche du Familistère en donnant les ouvrages et articles qui en traite.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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En échange de la réception du Guide continental, Marie Moret envoie le dernier numéro du Devoir, un volume de Solutions sociales et le numéro des Études sociales n° 5.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Réponse à la lettre de Marie-Louise Gagneur du 1er septembre 1898 : Marie Moret lui envoie l'Étude sociale n° 5. Référence de Marie-Louise Gagneur à une brochure avec plan, peut-être Le Familistère de 1885 ou Solutions sociales dont Marie Moret envoie également un exemplaire. Rajoute à son envoi le livre de Bernardot dans lequel sa correspondante trouvera une vue à vol d'oiseau et un plan du Familistère ainsi que « la plus complète biographie de J. B. A. Godin parue à ce jour et la partie essentielle du testament de ce grand novateur. »

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Réponse à la carte postale de Marie-Louise Gagneur trouvée à son retour de Bruxelles : Marie Moret envoie à sa correspondante 5 exemplaires de la brochure Associations ouvrières, un exemplaire de Solutions sociales et un exemplaire du Familistère de Guise de Bernardot. Précise que ce dernier livre est la propriété de la Société du Familistère, qu'il faut donc se rapprocher de monsieur Colin pour obtenir d'autres exemplaires ou des renseignements généraux quelconques ou des informations sur les visites. La remercie pour son mot sur Albert de Rochas d'Aiglun.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Remercie Édouard Champury d'avoir inspiré mademoiselle Champury à lui écrire. Remarque sur la similarité de l'écriture entre mademoiselle Champury et celle de son frère. Annonce l'envoi de plusieurs ouvrages dont elle détaille l'intérêt de chacun. Si les auditeurs des conférences de mademoiselle Champury souhaitent d'autres exemplaires du livre de Bernardot, des renseignements complémentaires ou visiter le Familistère, Marie Moret les renvoie vers la Société du Familistère. Le Devoir compte parmi ses abonnés un membre de la Société d'études psychiques [Louis Gardy] ; Marie Moret a eu l'occasion dans Le Devoir de présenter « comme des modèles du genre, les Rapports annuels de la dite société ». Remercie sa correspondante pour l'envoi de la brochure Les perplexités d'un médium consciencieux. Souhaitait depuis longtemps entrer en relation avec mademoiselle Champury, membre de l'Union des femmes et de la Société d'études psychiques.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Remercie monsieur Plaisant et le colonel Laussedat des paroles que lui a communiquées Jules Pascaly. Informe Plaisant qu'elle lui envoie une collection complète du journal Le Devoir, journal hebdomadaire fondé par Jean-Baptiste André Godin en 1878 et transformé en publication mensuelle en 1889. Marie Moret décrit en détail la publication dans le journal des manuscrits de Godin et des documents biographiques du fondateur du Familistère. Elle exprime sa reconnaissance à Plaisant et Laussedat pour leur volonté de « donner l'asile sûr du Conservatoire  à tout ce qui se rattache à l'œuvre de J. Bte André Godin. » Marie Moret joint à son envoi plusieurs ouvrages de Godin ainsi que le livre de François Bernardot sur le Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre d'Espinas du 23 décembre 1898 et du mandat de 10 F pour son abonnement au journal Le Devoir pour 1899. Elle l'informe qu'elle écrit au Familistère pour qu'on lui adresse les numéros de 1898 du journal et qu'en accord avec elle, Auguste Fabre lui a envoyé des brochures sur le Familistère. Marie Moret ne peut indiquer à Espinas où se procurer les ouvrages de Considerant – les deux éditions de Au Texas de 1854 et 1855, et Du Texas de 1857 ; elle lui confirme que c'est dans ce dernier que Considerant évoque une immigration sur un mode précipité et confus ; elle ne peut lui prêter l'ouvrage car elle a besoin de sa documentation pour son travail. Sur les essais phalanstériens en Algérie et à Cîteaux : Marie Moret signale à Espinas les numéros du Devoir qui en traitent. Sur l'Exposition universelle de 1867 : Marie Moret publiera les documents fournis par Godin à l'administration.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret introduit sa lettre en indiquant à monsieur Dufour qu'elle est en relation avec lui par l'intermédiaire de sa cousine Adèle Herbron et de monsieur Lemaire et qu'elle est à la recherche de bibliothèques dans lesquelles pourraient se constituer des collections du journal Le Devoir, « car les enseignements qui y sont contenus [...] ne trouveront guère leurs lecteurs que dans l'avenir. » Sa cousine ayant loué la tenue remarquable de la bibliothèque de Corbeil, Marie Moret a la joie de lui d'offrir un ensemble de brochure dont la liste est jointe à la lettre (et copiée à la suite de la lettre), les numéros de 1898 du journal et le service régulier du Devoir à partir de janvier 1899.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret complète la réponse que Louis-Victor Colin a faite à Posner en réponse à sa lettre du 30 mars 1899. En plus des ouvrages envoyés par Colin, le livre de Bernardot sur le Familistère et Mutualité sociale, Marie adresse à Posner Solutions sociales et trois brochures qui traitent de l'œuvre de Godin, et commente brièvement les ouvrages. Elle ajoute à son envoi sept photographies, dont un portrait de Godin à l'âge de 53 ans, un portrait d'elle-même et cinq vues du Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond à la lettre de son correspondant du 23 juin 1899 en l'informant qu'elle lui envoie trois colis d'ouvrages dont la liste est annexée à sa lettre. Elle lui indique qu'elle lui adresserait volontiers une collection du journal Le Devoir, qui publie les importants « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin », si l'American Statistical Association lui offrait un asile sûr ; elle l'informe qu'elle lui enverra désormais les numéros du journal en échange du Quaterly Bulletin de l'Association. Elle indique enfin à son correspondant qu'elle connaît depuis longtemps Carroll Wright, président de l'American Statistical Association.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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À propos de la constitution de collections du Devoir dans les bibliothèques : Marie Moret se demande si les chambres de commerce ne sont pas un lieu plus sûr que les bibliothèques communales, qui peuvent manquer de moyens pour relier les numéros. Elle informe Armand Grebel qu'elle lui envoie des ouvrages et une collection de numéros du journal, à déposer à la bibliothèque communale de La Rochelle ou à la Chambre de commerce de la ville. Au sujet d'une photographie de « votre boucherie » [la coopérative La Boucherie des familles].

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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À propos de l'étude de Marie Moret sur « Matière, mode de mouvement ». Marie Moret répond à une lettre d'Antoine Médéric Cros par une étude qu'elle commence par une longue citation d'un article du Journal de Genève sur un livre d'Ernest Naville, Les philosophies négatives, étude critique des systèmes philosophiques de Platon et Aristote à Kant et Auguste Comte. Marie Moret développe une réflexion sur le principe de la vie en citant de multiples auteurs, philosophes ou scientifiques : Swedenborg, Godin, William Crookes, Hirn, Balfour Stuart et Tait, Helmholtz, Berthelot. Plusieurs jours après l'entame de sa lettre, Marie Moret écrit : « J'ai continué mes études et suis convaincue du grand intérêt au rapprochement de faits et de réflexions fournies par divers savants. Il en résulte une lumière qui me pénètre de joie. Ce que je redoute, c'est mon impuissance à les rapprocher clairement, mais j'y mettrai le temps voulu. » (folio 16v) Dans la deuxième partie de sa lettre, elle cite longuement l'exposé de la théorie atomique de Marcellin Berthelot dans la 8e édition de La synthèse chimique (1897), qu'elle juge compatible avec la pensée de Swedenborg. La troisième partie de la lettre (folios 26r-35r) est formée principalement par des citations de textes de William Crookes sur la nature de la matière. La dernière partie de la lettre (folio 36r-38r) est datée du 15 janvier 1900. Marie Moret évoque une lettre d'Antoine Médéric Cros à Auguste Fabre qui fait part de l'amélioration de la santé de Juliette Cros, et l'envoi prochain à Antoine Médéric Cros par Fabre de vues photographiques du Familistère pour projection qui ne sont pas revenues de Lyon. Elle lui annonce qu'après avoir dressé l'esquisse de l'étude, elle va élaborer le chapitre intitulé « Matière, mode de mouvement ». Sur la science actuelle et la doctrine de Godin : « Que j'indique les étais fournis aujourd'hui par la science à l'appui des conclusions philosophiques et pratiques publiées par Godin en 1871 (Solutions sociales) et mon objet présent est atteint. Car c'est dès 1856, quand les faits l'obligèrent à abandonner l'idée de se rendre au Texas qu'il reprend à fond l'étude d'une œuvre personnelle en faveur de ses ouvriers et qu'il la base sur la conception d'une doctrine expliquant, pour lui, l'ordre universel. Il avait la vue précise de cette loi révélée par les travaux de Berthelot : Notre puissance est indéfinie quand nous agissons suivant les lois d'ordre du fond des choses (ci-dessus pages 18, 19 Synthèse des corps gras). La doctrine publiée par Godin et qu'on peut résumer en ces mots : « Religion de la vie universelle, culte du travail » est en accord parfait avec les conclusions des Berthelot, Crookes, etc. »

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie donne de ses nouvelles à la famille Cros : sa dernière lettre à Juliette Cros remonte au 25 avril 1900 ; la famille Moret-Dallet a quitté Nîmes un mois plus tard, laissant Auguste Fabre avec Jules Prudhommeaux ; elle est avec Émilie Dallet au Familistère depuis 10 jours, Marie-Jeanne Dallet étant restée à Paris avec des parents [de Corbeil] pour voir l'Exposition universelle ; les affaires de l'Association du Familistère vont bien. Marie Moret poursuit sa lettre en décrivant ses études sur la matière. Elle indique à Cros qu'elle a lu dans la Revue scientifique l'article de G. Le Bon sur la lumière noire et l'article sur la pluie et l'électricité atmosphérique. Elle s'est abonnée à la Revue générale des sciences pures et appliquées, dont elle a acquis l'année 1899. Elle écrit : « La formule de Claude Bernard, « Les propriétés vitales ne sont autre chose que des complexes des propriétés physico-chimiques » me paraît se vérifier d'une manière éclatante. » Elle mentionne des expériences chimiques et physiques d'Armand Gautier, de Bredig et von Berneck, et de Loeb [décrites dans les numéros de 1900 de la Revue générale des sciences pures et appliquées], qui lui semblent confirmer cette idée. Elle a pris connaissance du programme du prochain congrès international de physique présenté par Charles-Édouard Guillaume et Lucien Poincaré dans la Revue générale des sciences pures et appliquées, et se dit impatiente de lire les exposés : « Convaincue que la science me fournira des conclusions appuyant les vues de Claude Bernard, Berthelot, W. Crookes, etc., etc. sur les relations entre le vie et le mode de mouvement dit matière, c'est-à-dire voyant que j'aurai une belle réponse de la science aux aspirations de Godin, je vais – en attendant le congrès d'août – préparer les pages de mes « Documents biographiques » qui doivent amener les données scientifiques en cause, en commençant par montrer le mouvement de la pensée de Godin, de 1856 à 1859, lorsqu'après l'échec de la tentative du Texas, il reprend l'idée de fonder lui-même une cité ouvrière modèle, se livre à ce sujet à des études doctrinales et architecturales et s'arrête enfin aux vues philosophiques et sociales exposées dans son volume "Solutions sociales", vues que je désire tant appuyer de conclusions scientifiques du jour. » Marie Moret ajoute que dans ces études scientifiques, elle « voit arriver la démonstration du mot de Swedenborg : "L'amour est la substance même." »

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Auguste Fabre qu'Émilie Dallet a rejoint sa fille Marie-Jeanne à Corbeil. Elle lui indique les points principaux de la lettre qu'elle a écrite la veille à Antoine Médéric Cros. Elle a acquis l'année 1899 de la Revue générale des sciences pures et appliquées et les numéros depuis le début de 1900, revue dont le bibliophile Herr, recommandé par Jules Prudhommeaux, lui a confirmé qu'elle était de premier rang, et dans laquelle elle a puisé beaucoup d'informations sur les rayons X et les ions. Elle s'intéresse au prochain congrès international de physique présenté dans la revue par Guillaume et Poincaré, et, en attendant, elle rédige les pages [des « Documents biographiques »] qui décrivent le mouvement de la pensée de Godin de 1856 à 1859, après l'échec de l'essai au Texas, « pages qui doivent amener et le rappel des conclusions philosophiques-pratiques exposées par Godin dans Solutions sociales, et l'indication de l'accord qui existe aujourd'hui entre ces conclusions de Godin et les faits acquis pour la science d'aujourd'hui ». Elle espère que les données présentées au congrès de physique seront en accord avec les vues de Claude Bernard, Marcellin Berthelot ou William Crookes. Elle mentionne des expériences chimiques et physiques décrites dans les numéros de 1900 de la Revue générale des sciences pures et appliquées (Bredig et von Berneck, Klebs, Loeb) qui lui semblent concorder avec la conception de Claude Bernard du rôle biologique des ferments solubles : « Vous voyez, Grand, que la continuité va se démontrer peu à peu entre les propriétés physico-chimiques et les propriétés vitales, celles-ci n'étant, affirmait Claude Bernard, que des complexes de celles-là. » Elle demande à Fabre si sa « marche intellectuelle » avec Jules Prudhommeaux va bien « harmoniquement », elle transmet ses affectueuses pensées à Sophie Quet et fait mention d'un brouillard « comme en hiver » à Guise.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Justin Godart pour sa lettre du 22 septembre 1900 et l'envoi des numéros de la Revue des questions sociales. Elle envoie à Justin Godart six exemplaires de la brochure Le Familistère illustré, que Justin Godart propose de placer. Elle remercie Justin Godart de sa proposition de choisir une bibliothèque lyonnaise où déposer le journal Le Devoir. Elle lui indique qu'elle sert depuis février 1896 le journal à la bibliothèque du Lycée au 27, rue Gentil, où elle a envoyé des ouvrages de Godin et des brochures. Elle lui fait part de la réflexion d'un notable de Nîmes, qui désignait les bibliothèques des chambres de commerce comme de bons asiles pour la revue, et l'interroge à ce propos sur la bibliothèque de la chambre de commerce de Lyon. Elle attend de nouvelles informations de Justin Godart au sujet des bibliothèques de Lyon avant de prendre une décision.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 22 septembre 1900. Elle lui envoie pour la bibliothèque de l'École : l'année 1898 du journal Le Devoir, où se trouve le début de la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis » publié dans les « Documents biographiques » et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre, ce dernier étant l'un des chefs du mouvement coopératif français et de l'École de Nîmes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 22 septembre 1900. Elle lui envoie pour la bibliothèque de l'Académie : l'année 1898 du journal Le Devoir, où se trouve le début de la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis » publié dans les « Documents biographiques » et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre, ce dernier étant l'un des chefs du mouvement coopératif français et de l'École de Nîmes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 20 septembre 1900. Elle lui envoie pour l'Académie : l'année 1898 du journal Le Devoir, où se trouve le début de la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis » publié dans les « Documents biographiques » et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre, ce dernier étant l'un des chefs du mouvement coopératif français et de l'École de Nîmes. Elle joint un timbre postal français, à échanger contre un timbre postal allemand pour l'affranchissement de l'accusé de réception du colis, et elle lui signale qu'elle lui a envoyé il y a quelques jours le numéro de septembre 1900 du Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour son message du 21 septembre 1900. Elle lui envoie pour l'Académie : l'année 1898 du journal Le Devoir, où se trouve le début de la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis » publié dans les « Documents biographiques » et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre, ce dernier étant l'un des chefs du mouvement coopératif français et de l'École de Nîmes. Elle lui signale qu'elle lui a envoyé il y a quelques jours le numéro de septembre 1900 du Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret écrit au bibliothécaire sur la recommandation de Justin Godart, qui lui a indiqué qu'il recevrait volontiers des ouvrages de Godin et une collection du journal Le Devoir pour la bibliothèque de la Chambre de commerce de Lyon. Marie Moret établit un historique de la création du Familistère et de son industrie de 1840 à 1900, où le Familistère a été distingué par un Grand prix dans la classe 102 de l'Exposition universelle. Elle explique à son correspondant que depuis mars 1891 Le Devoir publie des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin » qui décrivent comment s'est formée la pensée de la fondation du Familistère ; parmi les sources d'inspiration de Godin, elle donne l'exemple du mouvement fouriériste aux États-Unis de 1840 à 1851, dont une « Vue générale » est exposée dans le journal à partir du numéro de mai 1898, et de l'expérience des phalanstériens français au Texas en 1854, dont l'historique est en cours de publication. Elle indique que ces études ne sont pas destinées aux « impatients en matière sociale » ; elles ont leur utilité pour l'avenir, c'est pourquoi Marie Moret s'efforce de mettre à disposition des penseurs en France et à l'étranger les écrits de Godin et le journal Le Devoir, notamment dans des institutions publiques dotées d'espace et de ressources. Elle signale à son correspondant que dans la brochure Le Familistère illustré, qu'elle lui envoie avec d'autres ouvrages, se trouve la liste des établissements publics conservant une collection du Devoir, revue hebdomadaire fondée en 1878 et transformée en revue mensuelle en janvier 1889. En raison de l'importance de la ville de Lyon, Marie Moret exprime son plaisir de confier à la Chambre de commerce une des rares collections complètes du journal depuis sa création. Elle informe son correspondant que Le Devoir lui sera désormais régulièrement servi.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 15 octobre 1900 et l'informe qu'elle lui envoie les numéros des années 1897 et 1898 du journal Le Devoir et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre. Au sujet du Devoir, elle évoque la publication des « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin » à partir de 1897, la description de l'expérience du suffrage dans les faits du travail en janvier 1897 et celle de la tentative fouriériste au Texas à partir de mai 1898. Elle annonce à son correspondant que Le Devoir lui sera servi désormais tous les mois.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 15 octobre 1900 et l'informe qu'elle lui envoie les numéros des années 1895 à 1898 du journal Le Devoir et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre. Au sujet du Devoir, elle évoque la publication des « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin » à partir de 1897, la description de l'expérience du suffrage dans les faits du travail de 1896 à janvier 1897 et celle de la tentative fouriériste au Texas à partir de mai 1898, et la publication de conférences de Godin en 1895 . Elle annonce à son correspondant que Le Devoir lui sera servi désormais tous les mois.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 19 octobre 1900 et l'informe qu'elle lui envoie les numéros des années 1897 à 1898 du journal Le Devoir et plusieurs ouvrages de Jean-Baptiste André Godin et d'Auguste Fabre. Au sujet du Devoir, elle évoque la publication des « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin » à partir de 1897, la description de l'expérience du suffrage dans les faits du travail achevée en janvier 1897 et celle de la tentative fouriériste au Texas à partir de mai 1898.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à son correspondant qu'elle envoie une série d'ouvrages en colis postal à monsieur Bitard au 137, rue Notre-Dame à Bordeaux. Elle lui demande de joindre ces ouvrages à ceux que possède déjà la bibliothèque du Cours Portal sur l'œuvre de Godin. Elle lui rappelle que le journal Le Devoir lui est adressé régulièrement chaque mois.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à son correspondant qu'elle lui envoie une série d'ouvrages en colis postal. Elle lui rappelle que le journal Le Devoir lui est adressé régulièrement chaque mois.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Edward Anseele que sa carte du 16 avril 1901 adressée à la Société du Familistère lui a été communiquée. Elle suppose que la Société a répondu à sa demande d'envoi d'une Notice et de communication du prix des ouvrages mentionnés sur la couverture du Devoir qui lui appartiennent. Elle lui adresse gracieusement les autres brochures qu'il a demandées et lui signale que L'histoire de Ralahine est épuisée. Elle informe Anseele que parmi les ouvrages qui lui appartiennent, il faut distinguer ceux dont il reste suffisamment d'exemplaires, en vente chez Guillaumin et Cie, et ceux dont elle pourrait lui céder quelques exemplaires avec 25 % de remise sur le prix indiqué et les frais d'envoi à sa charge.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie monsieur Pagel pour sa lettre du 21 avril 1901 qui l'a touchée. Elle lui fait part de son intérêt à suivre les rares collections complètes du Devoir, et elle lui adresse plusieurs brochures [dont la liste est manuscrite à la fin de la lettre], notamment Le Familistère illustré dans laquelle il pourra consulter la liste des bibliothèques de France et de l'étranger où se trouvent des collections du journal. Elle le remercie pour le soin qu'il a de constituer une collection complète du journal, qui sera d'autant plus recherchée que l'intérêt pour l'œuvre de Godin grandira.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Joséphine Tramaux pour sa lettre du 20 avril 1901 qui l'a touchée. Elle lui retourne la page sur laquelle Virginie Griess-Traut avait écrit quelques mots au sujet de l'abonnement de Joséphine Tramaux au Devoir. Elle envoie plusieurs ouvrages à sa correspondante, dont deux exemplaires de la brochure Le Familistère illustré, l'un pour elle et l'autre pour la doctoresse Aisman-Volper à Saint-Blin dont Joséphine Tramaux parle dans sa lettre du 20 avril 1901. Elle lui explique que sa nièce Marie-Jeanne Dallet est la photographe des vues qui illustrent la brochure, et qu'elle et sa mère Émilie Dallet ont été également touchées par sa lettre et se réjouissent de lui donner à voir l'intérieur du palais qu'elle n'a pu voir lors de sa visite du Familistère. Elle lui signale que Le Familistère illustré comprend une liste des bibliothèques publiques de France et de l'étranger où elle dépose depuis trois ans des collections du journal Le Devoir. Avant de servir les bibliothèques, Marie Moret ne faisait que des services gratuits individuels et c'est sur une indication de Virginie Griess-Traut que le journal a été envoyé à Joséphine Tramaux. Elle explique à celle-ci que c'est dans le souci de savoir l'état de sa collection du journal que Marie Moret lui a écrit, et elle propose de continuer à lui adresser gracieusement les numéros du Devoir dont Joséphine Tramaux fait la propagande des idées.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie des brochures au président de La Ruche mancelle.

Mots-clés :

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre du 17 mai 1901 de l'Alliance coopérative internationale et lui adresse par colis des numéros du Devoir et des ouvrages dont la liste est jointe à la lettre, et par la poste les Solutions sociales de Godin. Elle explique qu'elle souhaite compléter par son envoi la collection du Devoir de l'Alliance coopérative internationale ; elle signale que quelques numéros ont des couvertures défraîchies, défaut qui disparaîtra avec la reliure de la collection ; elle précise qu'elle ne dispose plus des numéros du journal pouvant compléter les années 1893 à 1897, et elle indique qu'à la page 264 de l'année 1898 commence la « Vue générale du mouvement fouriériste aux États-Unis », dont Godin a tiré d'utiles leçons.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe son correspondant que Geo. W. Wheatley à Paris a expédié à la Bodleian Library le 23 juillet 1901 une caisse contenant les 23 volumes de la collection du Devoir de 1878 à 1899, 4 ouvrages de Jean-Baptiste Godin et diverses brochures.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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En réponse à sa lettre du 27 juillet 1901, Marie Moret envoie à Auguste Delpech plusieurs ouvrages de Godin et la brochure Le Familistère illustré.

Mots-clés :

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour ses deux lettres du 21 juin 1901. Elle annonce qu'elle envoie au British Museum deux colis postaux contenant les années 1896 à 1899 du Devoir pour pouvoir suivre l'histoire de la tentative de représentation libre du travail par Godin et l'histoire du mouvement fouriériste aux États-Unis, et plusieurs ouvrages.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 20 juin 1901 et pour les cartes postales qui accusent réception du numéro mensuel du Devoir. Elle annonce qu'elle envoie à la bibliothèque du Trinity College deux colis postaux contenant les années 1896 à 1899 du Devoir pour pouvoir suivre l'histoire de la tentative de représentation libre du travail par Godin et l'histoire du mouvement fouriériste aux États-Unis, et plusieurs ouvrages.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception des deux lettres datées du 22 août 1899 de son correspondant et l'informe de l'envoi de plusieurs ouvrages en paquets recommandés dont elle détaille le contenu dans la lettre et sur une liste jointe. Elle précise que la collection du Devoir envoyée (années 1893 à 1898) comporte le travail sur les Groupes et Unions, l'étude sur la « Glorification du travail. Émancipation des travailleurs » et celle sur les mouvements phalanstériens en France et aux États-Unis.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à la bibliothèque de l'Université de Yale plusieurs ouvrages et les numéros du journal Le Devoir parus depuis janvier 1898 et informe son correspondant que le journal lui sera désormais régulièrement adressé si, comme elle l'espère, il pourra y être collectionné et relié. Elle signale à l'attention de son correspondant que son institution est mentionnée à la page 393 du numéro de juillet 1898 du Devoir, au sujet des manuscrits de A. J. Macdonald en réserve, et que dans le numéro de mai 1898 débute l'étude sur le mouvement fouriériste aux États-Unis dans la rubrique « Documents biographiques ». Elle rappelle à son correspondant que le Familistère a fait l'objet de plusieurs articles dans la presse américaine, notamment les deux articles parus dans le Harper's magazine en avril 1872 et en novembre 1885, ainsi que l'article du New York Herald du 10 juillet 1880. La bibliothèque de Yale possédant déjà les manuscrits de Macdonald, elle pourrait offrir « le champ d'étude le plus riche en enseignements sociaux pratiques » aux chercheurs grâce aux renseignements apportés par les documents concernant le Familistère. Ne trouvant que peu de lecteurs en France, Marie Moret explique placer Le Devoir et les écrits de Godin dans des bibliothèques publiques en vue de l'avenir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret accuse réception de la lettre de la bibliothèque de l'Université d'Amsterdam datée du 23 août 1899 l'informant de la bonne réception des numéros du Devoir. Elle leur fait parvenir d'autres ouvrages sur l'œuvre de Godin dont elle dresse la liste et elle détaille les articles et travaux contenus dans les divers numéros du Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 27 juillet 1899 et lui envoie d'autres ouvrages sur l'œuvre de Godin dont elle dresse la liste à la suite de la lettre. Si cela lui est possible, elle s'engage à envoyer à la bibliothèque la collection complète du Devoir depuis sa fondation en 1878 dont il ne reste qu'un nombre restreint et irrégulier des premiers numéros. Elle détaille dans le reste de la lettre les travaux et études publiés dans les numéros du Devoir depuis 1894 : les conférences de Godin sur la préparation de l'Association coopérative du capital et du travail ; le travail sur les groupes, unions de groupes et conseils d'Unions ; « Glorification du travail. Émancipation des travailleurs ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Connaissant les bons soins accordés au Devoir par son correspondant à la bibliothèque de Nîmes, Marie Moret envoie les collections des années 1893, 1894 et 1895 du journal dont elle détaille les articles et études publiés. Elle signale que le numéro d'octobre 1893 est son dernier exemplaire et que la dernière page est manquante. Si cela lui est possible, elle s'engage à envoyer à la bibliothèque la collection complète du Devoir depuis sa fondation en 1878, dont il ne reste qu'un nombre restreint et irrégulier d'exemplaires. Elle se propose également d'envoyer Solutions sociales, Le gouvernement et La République du travail si la bibliothèque ne les possède pas déjà.
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