FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Alphonse Delpech, 20 juillet 1867
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin communique à Delpech une lettre du notaire Borgnon rendant compte de sa démarche auprès d'Esther Lemaire. Il lui demande de consulter Jules Favre avant de lui dire ce qu'il doit faire. Sur des versements de pension alimentaire depuis le jugement du 22 juillet 1864. Il demande à Delpech d'en informer Lecoq de Boisbaudran. La copie de la lettre de Borgnon du 20 juillet 1867, manuscrite à la plume, se trouve sur le folio 494ter ; la lettre est adressée à « Mon cher maître » : Borgnon a proposé à Esther Lemaire, par l'intermédiaire du notaire Gauchet, de recevoir une pension alimentaire de 15 000 F par an, mais s'est aperçu que le versement devait cesser avec l'instance en séparation de corps du 23 mars 1865.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Émile Godin à Louis Oudin-Leclère, 1er mai 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin communique une pièce comptable à Oudin-Leclère selon les instructions du notaire Borgnon. La pièce, relative à l'évaluation du capital, de ses intérêts et de ses bénéfices au 1er février 1863 et au 31 janvier 1864, est copiée à la suite du courrier.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Louis Oudin-Leclère, 7 mai 1866
Godin accuse réception du billet d'Oudin-Leclère du 4 mai 1866 et il lui demande d'établir un rapport à communiquer aux juges, l'affaire étant en délibéré.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Adolphe Demeur, 29 avril 1861
Sur le procès Story. Godin fait à l'avocat Demeur qui lui a soumis ses conclusions des observations, en particulier sur la consommation d'eau des machines à vapeur à moyenne ou à haute pression. Il lui signale à ce sujet l'Aide-mémoire de Morin à l'usage des ingénieurs et des écoles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, 14 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin annonce à Dauphin qu'il a retourné à Delpech ses conclusions avec ses observations qui montrent que l'emploi d'émail au plomb est de la responsabilité de Jacquet. Il l'avertit qu'en première instance, les avocats de Jacquet ont prétendu le contraire en s'appuyant sur un passage du traité passé avec Jacquet, que cite Godin et dont il fait une interprétation différente. Il fait valoir que Jacquet, qui a longtemps séjourné dans l'usine de Guise, a en connaissance de cause choisit le procédé d'émaillage des appareils qu'il a fait fabriquer. Il lui signale enfin que Jacquet fait encore passer des annonces publicitaires dans les journaux pour les appareils qu'il a fabriqués pour lui, présentés comme propres, économes et salubres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 26 janvier 1856
Godin constate le délai d'acheminement du courrier entre Guise et Bruxelles. Sur la comptabilité de l'usine de Forest. Godin propose de vérifier si monsieur Poirier peut aider Brullé à mettre à place la comptabilité. Sur une transaction possible dans l'affaire Cador. Sur le paiement du loyer de l'usine de Forest.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé et à Adèle Augustine Brullé, 22 juin 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin explique au couple Brullé que devant l'accusation de son dévergondage avec Marie Moret à Laeken, il est dans la nécessité de faire appel à leur témoignage pour établir qu'il n'a jamais été qu'un parent dévoué à sa parente, ne faisant pour elle que le strict nécessaire

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Godin. Godin envoie à Tisserant la copie des résolutions prises par le conseil de gérance de la Société du Familistère le 31 mars 1886 relatives à un bail à vie de l'appartement 287, qu'il occupe avec Marie Moret et qui a vestibule commun avec l'appartement 286 (qui comprend la salle du conseil de gérance et la salle des archives de l'association). Il lui demande conseil sur la manière d'enregistrer le bail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 11 février 1885. Godin propose à Tisserant de venir séjourner au Familistère pour approfondir les questions relatives à la modification des statuts de la Société du Familistère. Godin lui indique qu'il pourrait indemniser le temps consacré par Tisserant à cette affaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 2 juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 1er juillet 1873 et de la copie de la lettre qu'il a écrite à Cresson. Godin s'en remet à Tisserant pour le choix d'un avoué à Paris. Sur l'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant que la Société du Familistère est décidée pour une émission d'obligations d'une somme totale de 1 400 000 F. Il lui demande conseil à ce sujet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin. Godin envoie à Tisserant la nouvelle version de son testament modifiant le testament du 11 août 1881 placé sous la garde du conseil de gérance de la Société du Familistère. Il lui demande s'il peut publier son testament dans le journal Le Devoir. Godin attire l'attention de Tisserant sur plusieurs articles du testament. Il l'informe que sa famille est en bonne santé mais que les affaires laissent comme partout beaucoup à désirer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 2 novembre 1885. Sur la nomination d'un délégué. Godin fait part à Tisserant des remarques du notaire Carré sur l'emprunt hypothécaire. Sur le tarif des notaires pour un emprunt hypothécaire : Godin croit pouvoir traiter de gré à gré comme le fait la famille d'Orléans.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin envoie à Tisserant un travail sur l'affaire Boucher et Cie qu'il envoie également à Pouillet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une modification à faire aux statuts de l'association du Familistère : comprendre dans le partage des bénéfices les 25 % affectés au fonds de réserve ; augmenter à 6 millions le capital de la Société ; réduire à 4 % (au lieu de 12 %) sa part dans les bénéfices de la Société ; augmentation du nombre de conseillers de gérance. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant qu'il fait désormais expédier le journal Le Devoir à sa nouvelle adresse au 26, rue de Toul. Il lui adresse un exemplaire des statuts de la Société du Familistère ; il lui promet de lui envoyer prochainement les modifications aux statuts envisagées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le prochain séjour de Tisserant au Familistère et sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise. Godin communique à Tisserant un exemplaire annoté des statuts. Sur le titre d'associé à accorder au personnel de Laeken ; sur les certificats d'apport de Godin ; sur les assurances mutuelles à propos desquelles il a écrit au ministre de l'Intérieur ; sur le testament de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le contrat de mariage de Godin et de Moret. Godin préférerait ne pas indiquer la valeur des biens de Marie Moret qui s'élèvent à 800 000 F dans la mesure où ils se marient sous le régime de la séparation des biens, pour lui épargner d'avoir à justifier l'origine de ses biens et pour éviter de susciter des convoitises. Il se range toutefois à l'opinion de Tisserant, favorable à une déclaration détaillée des biens de Marie Moret. Sur les honoraires du notaire. Il attend Tisserant le lundi suivant et lui confirme la lettre de Marie Moret du 3 juillet 1886.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Tisserant que Marie Moret avait répondu de Bruxelles à sa lettre du 9 août 1885 pour l'informer qu'il lui écrirait aussitôt son retour à Guise, réponse qu'il a dû différer en raison notamment des nombreux visiteurs qui se sont succédés au Familistère et à cause de la fête de l'Enfance. Godin prend des nouvelles de sa santé. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère par voie d'emprunt hypothécaire. Il lui demande quand il pourra venir pour examiner avec lui l'emprunt et il lui pose une série de questions sur le sujet. Sur les articles des statuts imprimés sur les certificats d'apport ou d'épargne. Il lui indique que la fête de l'Enfance s'est bien passée et que le journal Le Devoir en fait le récit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère, nécessaire pour protéger cette dernière de son fils, de la municipalité de Guise et des autres dangers après la mort de Godin. Godin décrit ces dangers et les difficultés pour trouver des remèdes par les statuts. Il expose à Tisserant plusieurs questions d'ordre juridique et il présente son projet de modification des statuts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère. Godin envoie à Tisserant le procès-verbal de la séance du conseil de gérance et celui de l'assemblée générale de la Société du Familistère. Il lui indique qu'il est pressé de procéder à la modification des statuts de la Société. Il lui signale des modifications nouvelles aux statuts. Il l'interroge sur plusieurs points de droit concernant la présentation des modifications au conseil de gérance et à l'assemblée générale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 17 avril 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin soumet à Tisserant sa réponse aux conclusions de Boucher et lui signale qu'il en adresse une copie à Cresson.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Tisserant des 13 et 14 juin 1884. Il lui annonce que Bernardot a répondu à sa lettre relative à Boucher et qu'il lui retourne une lettre de Pouillet. Sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'émission d'obligations par la Société du Familistère de Guise. Godin explique à Tisserant qu'il a conçu ce projet comme un moyen de propagande pour la Société du Familistère, mais que de grands financiers lui ont indiqué qu'une telle émission ne réussirait pas auprès des rentiers. Il l'informe qu'à l'exception de cette émission, toutes les modifications aux statuts ont été acceptées par le conseil de gérance. Sur les articles imprimés sur les certificats d'apport et d'épargne et la validité des statuts. Il lui signale que le numéro du journal Le Devoir de la semaine fait le récit du triomphe des musiciens du Familistère à Vanves et comprend une étude sur le projet de loi relatif aux sociétés de secours mutuels.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Godin. Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 15 mars 1886. Il lui demande des éclaircissements à propos de l'une de ses observations.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Tisserant son télégramme du matin. Sur l'emprunt hypothécaire : Godin demande à Tisserant s'il offre des garanties suffisantes contre la possibilité d'une dissolution de la Société du Familistère de la part de ses héritiers ; il lui confirme que le montant de l'emprunt est de 3 000 000 F, qui correspond au montant de son compte courant dans la Société.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 15 septembre 1885. Il lui indique qu'il sera heureux de le recevoir avec sa fille, même si ce séjour sera consacré au travail. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère de 3 millions de francs et le projet de contrat hypothécaire et sur la modification des statuts. Il espère que mademoiselle Tisserant, qui a son brevet supérieur d'institutrice trouvera d'intéressantes études à faire dans les écoles du Familistère. Il l'informe que l'assemblée générale de l'association du Familistère aura lieu le 4 octobre 1885. Il joint à sa lettre un mot de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 20 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accepte l'offre de Tisserant de faire le nécessaire auprès de son successeur pour qu'il se constitue en son lieu et place. Il lui indique qu'ils seront prêts à plaider le 7 mai et lui demande de signaler à Alphonse Grebel tout ce qui est à faire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 20 décembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences d'émaillage faites par les experts qui, pense Godin, ont été non concluantes malgré les échantillons qu'il leur a fournis et doivent être cause du retard du dépôt de leur rapport. Godin précise qu'un ami de l'Assemblée nationale n'a pu obtenir de renseignements sur l'expertise de la part de Guignet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Godin. Sur les bruits de guerre qui aggravent la crise économique. Il consulte Tisserant pour connaître quels changements il devrait faire à son testament à la suite de son mariage avec Marie Moret. Il lui envoie le contrat de mariage paru dans le journal Le Devoir et une copie de son testament, et il lui soumet une série de questions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les prétentions des héritiers de Godin à l'égard de la Société du Familistère. Godin communique à Tisserant l'état actuel de sa fortune qui s'élève à 6 400 000 F, dont la moitié pourrait revenir à ses héritiers. Godin demande à Tisserant si son fils ne pourrait pas en outre intenter un procès en dissolution de la société. Godin fait valoir qu'avec l'emprunt hypothécaire, la Société lui rembourserait ses apports et ses épargnes et ne laisserait plus de parts sociales entre les mains de ses héritiers ; la Société du Familistère serait ainsi préservée de leurs revendications. Il demande à Tisserant à quelle heure lui et sa fille arriveront à Guise le 25 octobre 1885.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une décision judiciaire : Godin se plaint d'être condamné à payer des dommages et intérêts à celui qui l'a volé parce qu'il est un socialiste novateur. Sur la modification des statuts de l'association du Familistère destinée à la préserver des ambitions de ses héritiers : Godin informe qu'il doit résoudre des difficultés légales avant de faire appel à Tisserant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant qu'Émilie Dallet, Marie Moret et lui ont été émus à la lecture de sa lettre du 22 juin 1886. Il lui envoie le projet de contrat de mariage entre lui et Marie Moret. Sur les valeurs financières détenues par Marie. Il lui demande si leurs actes de naissance suffisent pour le mariage et il espère sa présence à cette occasion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 19 septembre 1884. Il lui indique que le journal Le Devoir sera échangé avec Le Patriote de l'Est. Sur une modification des statuts de l'association du Familistère destinée à prévenir la dissolution de la Société du Familistère par son fils. Sur les honoraires dus à Pouillet pour ses plaidoiries au tribunal d'Amiens et à celui de Nancy.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Tisserant la lettre que lui a écrite Marie Moret une quinzaine de jours auparavant. Il lui fait part de son inquiétude en raison de son silence. Il lui demande comment il pourrait, en raison de la crise industrielle, faire remise de tout ou partie des intérêts que celle-ci lui doit, sans que ceci puisse lui être reproché par ses héritiers. Il lui transmet les sentiments affectueux de Marie Moret, d'Émilie Dallet et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Tisserant des 20, 21 et 22 mai 1885. Sur la modification des statuts de la Société du Familistère : sur la prolongation de l'échéance de la créance de Godin. Il lui signale qu'il a écrit à Léon Say au sujet des assurances mutuelles du Familistère pour lui proposer d'élargir le cadre de la loi projetée pour y intégrer les sociétés de secours mutuels de l'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin et Moret adresse leurs vœux de bonheur à Tisserant. Il lui demande s'il a bien reçu sa lettre du 12 décembre contenant des documents sur la révision des statuts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que l'assemblée générale de la Société du Familistère convoquée le 1er novembre 1885 a été reportée au 15 novembre. Il espère son arrivée et celle de sa fille à Guise quelques jours avant l'assemblée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Desouches des lettres et documents de monsieur Ghio, avec lequel il a un différend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Desouches du 6 mai 1886. Il lui retourne le rapport de l'expert dans l'affaire l'opposant à Auguste Ghio.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'exclusion du Familistère de l'anarchiste Duplaquet. Godin donne à Falaize des renseignements sur Duplaquet destinés au rapporteur du bureau de l'assistance judiciaire : Duplaquet perçoit des appointements de 140 F par mois, il possède dans l'association un titre d'épargne de 1 370 F pour lequel il a perçu au mois de novembre 63,20 F, et il a quatre enfants. Godin indique à Falaize qu'il se rend à Vervins le mardi suivant pour l'Exposition universelle de 1889.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'exclusion du Familistère de l'anarchiste Duplaquet. Godin explique à Falaize que Duplaquet, sociétaire de l'association, a été licencié au début du mois d'octobre à la suite de scandales anarchistes qui ont eu lieu en septembre, mais qu'il occupe un logement sans rien faire au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin informe Falaize que l'avocat Lecomte est partisan de plaider le plus tôt possible devant le tribunal de Vervins. Dans le post-scriptum, Godin demande des nouvelles de l'arrangement conclu avec Émile Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; André, Eugène (1836-)
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Sur l'affaire de la restitution par Émile Godin d'un terrain de la Société du Familistère sur lequel sont entreposées des briques et de la destruction partielle d'une sapinière. Godin a transmis à la Société du Familistère une lettre d'Émile Godin dans laquelle ce dernier exprime le souhait de conclure l'affaire à l'amiable et envoie un chèque de 1 755 F. La Société du Familistère accepte un arrangement à l'amiable à la condition qu'Émile Godin paie 800 F de dommages pour la terre à briques et les sapins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Falaize d'accorder toute son attention à l'affaire que veut lui soumettre Champenois, membre de l'association du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'exclusion du Familistère de l'anarchiste Duplaquet. Godin suppose que l'avocat Rietsch a donné des instructions à Falaize. Il demande à Falaize s'il a des instructions relatives à sa convocation par l'assistance judiciaire à Vervins le 28 novembre 1887.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; André, Eugène (1836-)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Eugène André accuse réception de la lettre de Falaize du 22 décembre 1883, qui l'informe que le tribunal de Vervins est revenu sur son jugement provisoire et a donné gain de cause à la Société du Familistère. Sur la possibilité pour ses adversaires de se pourvoir en cassation. Il souhaite transmettre une copie du jugement à l'avocat Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 11 juillet 1848
Sur la persécution des phalanstériens de l'Aisne : Godin explique à Bureau qu'au cours de l'interrogatoire qu'il a subi le 4 juillet 1848 pendant la perquisition de sa maison, le procureur de la République lui a demandé s'il avait vendu des livres à un prix différent de celui qui y était porté, qu'il a répondu qu'il n'avait placé que des ouvrages de la Librairie phalanstérienne et qu'il a écrit une lettre aux journaux de Saint-Quentin qu'ils ne pourront publier que le dimanche suivant [16 juillet 1848]. Sur l'expertise du procès en contrefaçon Degon : Godin rappelle à Bureau qu'il avait confié à Barral en février 1848 un rapport de contre-expertise et des documents à examiner et qu'il a compris en lisant La Démocratie pacifique les raisons pour lesquelles Barral ne lui a pas répondu ; il demande à Bureau de lui retourner les documents confiés à Barral pour lui éviter d'aller à Paris les chercher lui-même. Sur la faillite d'un monsieur Budy qui devait 413,12 F à Godin : sans nouvelles de l'huissier Lépine à qui il avait confié l'affaire, Godin propose à Bureau de charger quelqu'un de recouvrer sa créance au bénéfice de La Démocratie pacifique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 11 juillet 1848
Sur la persécution des phalanstériens de l'Aisne : Godin explique à Bureau qu'au cours de l'interrogatoire qu'il a subi le 4 juillet 1848 pendant la perquisition de sa maison, le procureur de la République lui a demandé s'il avait vendu des livres à un prix différent de celui qui y était porté, qu'il a répondu qu'il n'avait placé que des ouvrages de la Librairie phalanstérienne et qu'il a écrit une lettre aux journaux de Saint-Quentin qu'ils ne pourront publier que le dimanche suivant [16 juillet 1848]. Sur l'expertise d'un procès en contrefaçon : Godin rappelle à Bureau qu'il avait confié à Barral en février 1848 un rapport de contre-expertise et des documents à examiner et qu'il a compris en lisant La Démocratie pacifique les raisons pour lesquelles Barral ne lui a pas répondu ; il demande à Bureau de lui retourner les documents confiés à Barral pour lui éviter d'aller à Paris les chercher lui-même. Sur la faillite d'un monsieur Budy qui devait 413,12 F à Godin : sans nouvelles de l'huissier Lépine à qui il avait confié l'affaire, Godin propose à Bureau de charger quelqu'un de recouvrer sa créance au bénéfice de La Démocratie pacifique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 22 juin 1848
Godin explique à Allyre Bureau qu'à l'occasion de son dernier voyage à Paris en février 1848, il avait confié à Jean-Augustin Barral le rapport d'une contre-expertise à examiner avec monsieur Minich, caminologue, dans le cadre d'un procès en contrefaçon intenté deux ans plus tôt, qu'il a écrit à Barral le 3 juin 1848, que sa lettre est restée sans réponse, et qu'il doit récupérer les pièces confiées à Barral car il est maintenant pressé par les experts de payer les frais d'expertise. Godin demande à Bureau de demander à Barral de lui renvoyer rapidement ces pièces. Godin demande à Bureau de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange qu'il payera « à la prochaine réunion du congrès ».
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