- L’édition de la correspondance de Gaspard Monge en quelques dates
- Chronologie biographique de Gaspard Monge (1746-1818)
-
Édition de correspondance et enjeux biographiques
- Les motifs de l'action publique des savants
- Interroger ensemble l’engagement révolutionnaire et la pratique scientifique du géomètre
- L’idée de progrès : coordination de la pratique scientifique et de l’action publique
- L'idée de progrès : un instrument de réforme de la pratique scientifique
- L’idée de progrès : ses postures scientifiques et ses deux procédures
- Les différentes réceptions de l’application cartésienne, les différences entre les œuvres des mathématiciens
- L’idée de progrès est outil de réforme des rapports entre domaines mathématiques, entre mathématiques et techniques
- Le corpus Taton 1795-1799 : l'engagement public et révolutionnaire
- Des principes d'édition aux principes d'éditorialisation
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- Panorama chronologique des ouvrages historiques consacrés au géomètre
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Des principes d'édition aux principes d'éditorialisation
L’inscription et l’adaptation d’une démarche archivistique, éditoriale et scientifique dans un environnement numérique
Cette démarche a été présentée au DHNORD 2016.
Depuis, elle a été systématisée et appliquée à un nouveau projet d'édition de correspondance en faisant usage de nouveaux outils et d'établir de nouvelles méthodes. L'enjeu scientifique et éditorial est de taille : un corpus de plus de 4000 lettres écrites de 1836 à 1857.
En mai 2021 a été proposée une présentation actualisée et précisée dans le cadre du groupe "Correspondances" EMAN.
Elle est accessible sur canal U : " L’épistolaire à l’ère du numérique : entre perspectives historiques et innovations technologiques "
L’établissement de principes communs : l’objet d’une recherche post-doctorale et d’une entreprise collective
Le premier élément de l’édition traditionnelle à convertir est la procédure d’établissement des principes d’édition (de transcription et d’annotation). Si ils introduisaient traditionnellement les éditions de correspondance, ils sont omniprésents mais peu manifestent dans les entreprises d’éditions numériques.
Utiles aux concepteurs comme à l’utilisateur, les principes attestent justesse et engagement. Ils constituent des conventions établies pour mettre en correspondance la pièce physique avec la forme numérique de l’archive.
Ils transcrivent la longue élaboration qui a nécessité l’analyse matérielle et intellectuelle du matériau pour, d’une part, l’inscrire dans un réseau de sources et de questionnements, pour de l’autre déterminer un traitement technique à lui appliquer.
L’approche méthodologique que je présente est l’objet d’une recherche post-doctorale menée au sein du réseau Usages Des Patrimoines Numérisés (USPC) et menée en collaboration avec Richard Walter au sein du groupe de travail Correspondance du consortium CAHIER.
Le groupe de travail sur la correspondance est l’espace de mise en commun d'expériences pour établir non seulement une méthodologie mais aussi une liste argumentée et structurée des descripteurs nécessaires pour une édition numérique de la correspondance.
Le groupe de travail est constitué d'entreprises diverses tant au point de vue de l'appareil technique, du corpus, des objets, des méthodes, des domaines de connaissances engagés, des objectifs scientifiques de l'édition, des principes de transcription, des modalités de visualisation, des méthodes d’investigation, etc.
Il s'agit de recenser et d'organiser dans une perspective méthodologique et critique les principes d’édition établis au cours de ces différentes entreprises, les besoins et les difficultés des démarches éditoriales et les outils techniques mis en place. Le groupe de travail sur la correspondance proposerait alors un guide rassemblant des recommandations pour l’édition de correspondances dans un environnement numérique.
Pour tenter l’établissement de principes communs il faut tout d’abord combattre l’argument de la diversité éditoriale déterminée par la diversité et la spécificité des corpus.
Il n'est pas question de nier cette diversité des pratiques qui correspond à la diversité des sources, des questionnements et des enjeux de leur diffusion et de leur exploitation. Il s'agit d'interroger les points communs et les spécificités pour tendre vers des principes généraux, cela sans négliger la fécondité de cette diversité et en cherchant à reproduire, adapter et systématiser des traitements éditoriaux et techniques ingénieux.
Pourquoi des principes communs pour des entreprises diverses ?
Pour faciliter et stimuler la mise en réseau, des corpus, des questionnements mais aussi des concepteurs, des contributeurs et des utilisateurs.
Pour répondre aux principes déterminés par l'environnement numérique en posant les questions de pérennité et d'interopérabilité tant des corpus numérisés que du traitement scientifique. Cette diversité doit être réduite, en intégrant les spécificités afin de pouvoir établir un traitement systématique, afin de répondre aux nouveaux principes éditoriaux issus de l’environnement numérique et de viser à conserver tant la représentation numérique de l’archive que les résultats de la recherche et le perfectionnement des méthodes de l’enquête scientifique.
Adopter une perspective comparative et historique
1. en envisageant les principes de l’édition érudite et critique pré-numérique,[1] et le principe, déjà vieilli et réformé, de la conception d’un outil ad hoc, créé « sur mesure » pour correspondre au matériau édité, aux préoccupations patrimoniales et scientifiques.
2. en considérant comment avec l’édition numérique de correspondance les questions du développement et de la diversification des usages et des pratiques, de la mise en réseau des corpus de correspondance, du croisement des informations, de la pérennité du matériau numérisé et de l’exploration scientifique informatisée ont amené les équipes à revenir sur le premier principe de la conception d’un outil ad hoc.
Ces questions ont fait émerger de nouveaux principes, ceux de visualisation et documentation, ceux de granularité et d’interopérabilité qui détermine à son tour ceux de moissonabilité et d’exportabilité.
Ces principes sont liés aux conditions de développement et de pérennité qui correspondent au temps long de la recherche scientifique.
Ces nouveaux principes sont coordonnés à de nouveaux objets : les données en posant la question non seulement de leur conservation, de leur structuration et de leur exploitation, mais aussi de leur puissance et de leurs enjeux dans des pratiques éditoriales traditionnelles telles que l’indexation.
Ainsi, on cherche à déterminer et formuler des recommandations en interrogeant les modifications des pratiques éditoriales par l’environnement numérique, en envisageant l’exploitation des questionnements et du savoir-faire déjà acquis en matière d’édition critique de sources.
Il s'agit d'établir des recommandations pour la conduite d'un état de l'art et pour le perfectionnement des outils de mise à disposition et d’exploitation utiles autant à l’historien qu'au littéraire, qu'au philosophe, qu'au sociologue en visant l'ouverture des corpus à l'investigation par d'autres domaines.
La procédure éditoriale conduit à mettre en place des outils de conservation, de recherche et de formation en considérant ainsi comment la problématique éditoriale se complexifie en permettant une multiplicité de description, une redéfinition des questionnements et en revêtant une perspective interdisciplinaire, technique, collaborative et dynamique.
Adéquation entre édition de correspondance et environnement numérique
L'environnement numérique parce qu'il est ouvert et indéfini semble adéquat aux entreprises d'édition de corpus de correspondances. Un des premiers avantages reconnus de l’édition numérique est la possibilité de compléter et de modifier le corpus de correspondance. En effet un corpus de correspondance ne doit jamais être considéré comme définitif et complet. Une des recommandations fondamentales du Petit guide de l’éditeur de correspondances(XIX-XXe siècles) donne un indice des solutions que pouvait apporter le numérique à l'édition de correspondance :
“On ne s’engagera dans une édition de correspondance, surtout générale, qu’après avoir établi un répertoire (…), répertoire qui devra toujours être considéré comme incomplet et susceptible d’amélioration.”
Si l’environnement numérique est adéquat à l’édition des correspondances en permettant un enrichissement du corpus, la constitution de collection en rassemblant des pièces d’archives dispersées dans différents fonds, une actualisation des outils de mise à disposition, il repose des questions de conception et d’élaboration de l’apparat critique.
Ainsi si l’environnement numérique semble apporter une solution il complexifie la question des choix éditoriaux puisqu’il faut envisager dans une édition numérique plusieurs éditions correspondants tant à différents objectifs scientifqiues et en se prêtant à différentes méthodes qu’en envisageant la mise à disposition d’un contenu pour des usages pédagogiques et culturels mais aussi en visant des objectifs patrimoniaux.
Une des premières questions à laquelle répondre : pourquoi s'engager dans une édition numérique de correspondance ? Pour permettre la conservation, la diffusion, l’exploitation et la mise en réseau d’un corpus, en développant les axes de son exploitation scientifique à d'autre domaines, en permettant la constitution de corpus modulables et flexibles en fonction des questionnements scientifiques, de besoins pédagogiques / de préoccupations culturelles et en offrant d’informatiser l’enquête scientifique et un nouvel espace d’élaboration et de diffusion des résultats de la recherche scientifique.
En effet, le processus de numérisation et d'édition dans un environnement numérique initié pour répondre à des besoins scientifiques, constitue de nouveaux corpus, manifeste et de nouveaux objets patrimoniaux et scientifique et les met à la disposition de nouveaux publics aussi indéfini que divers en stimulant de nouveaux usages et pratiques.
Cette adaptation de l’édition érudite en édition numérique conduit à considérer les rapports entre édition et recherche tout en se confrontant à la question de la médiation et des usages des matériaux et des résultats de la recherche scientifique.
Le protocole d’adaptation doit s’appliquer tant aux pratiques éditoriales qu’archivistiques en considérant la coordination des usages patrimoniaux, scientifiques, pédagogiques et culturels des corpus numérisés.
L’environnement numérique semble permettre de déterminer un traitement adapté à la nature spécifique des corpus de correspondance :
1. La correspondance est un genre protéiforme. Le discours élaboré est adressé à un public déterminé qui peut varier du plus restreint au plus étendu. Ainsi pourront être distinguées et croisées les correspondances publiques et privées, institutionnelles et personnelles, administratives, scientifiques.
2. La correspondance est un genre réticulaire. Une lettre n’est jamais seule, elle se situe dans un réseau de lettres au sein d’un corpus mais aussi d’un réseau de correspondances et de correspondants qui doit être pris en compte pour l’édition de cette lettre.
L’éditeur est là pour manifester les liens entre les lettres, entre différents types de corpus de correspondance
3. Le discours épistolaire est elliptique.
C'est un des discours les plus exigent à annoter puisque le discours épistolaire s'élabore en prenant en considération ce que le destinataire est censé avoir comme référants communs avec l'auteur de la lettre. Certains éléments nécessaires à la compréhension du contenu n'ont pas besoin d'être spécifiés par l'auteur. Il faut considérer qu'une lettre n'est toujours qu'une face d'un discours qui n'est réellement réalisé qu'à la lecture effective de son correspondant.
Pour remédier à ces ellipses, l’éditeur dispose de plusieurs stratégies
1. En considérant à quoi répond l’auteur et ce qui lui est répondu en rassemblant les correspondances active et passive
2. En mettant en relation des lettres qui appartiennent au même corpus et qui permettent de donner un éclairage différent, d'envisager des éléments complémentaires
3. en mettant en relation avec des documents extérieurs au corpus de correspondance avec des sources primaires et/ou secondaires.
Le discours épistolaire est riche en allusion, en rappel, en anecdote, en abréviation, il tissé de micro-évènements. Il peut être très richement documenté contenir descriptions et explications pour que son destinataire puisse saisir ce qui est exprimé ou décrit.
D'autre part, le discours n'est pas seulement déterminé par les correspondants mais bien souvent aussi par les conditions d'écritures et de lecture de la lettre, mais aussi par les éléments d'un positionnement spatio temporel(ou non). Reste à l’éditeur à expliciter, identifier et contextualiser afin de permettre une compréhension du discours.
Cela permet de souligner les exigences interdisciplinaires des correspondances, la nécessité de leur mise en réseau non seulement entre corpus mais aussi avec d’autres types d’archives et les solutions que peut apporter l’environnement numérique dans cette mise en réseau.
Corpus flexible et mis en réseau
L'environnement numérique rend nécessaire la conception d'un développement du corpus non seulement dans une perspective linéaire, chronologique et accumulative (vers la correspondance générale) avec un soucis d'exhaustivité mais aussi dans un effort de mise en réseau signifiante des documents en déterminants des sous-corpus.
Il faut alors envisager plusieurs critères de classification des lettres qui correspondent à différentes modalités de structuration des corpus permises par des normes de descriptions et des préoccupations scientifiques.
A ce point il faut se servir de l'exploitation scientifique du corpus qui aura été faite précédemment, ou alors de la coordonner à des perspectives de recherche qui coordonnent édition de correspondance et enquête biographique, étude de l'œuvre et de l'action d'un auteur. Cette perspective servira aussi à l’établissement de questionnements transversaux qui mobilisent correspondance publique et privée, quotidienne ou dans le cadre de leurs activités professionnelles, créatrices et de leurs relations institutionnelles afin d’ouvrir le corpus à d’autres domaines, méthodes et objets d’investigation scientifique.
Les modifications de la pratique éditoriale dans le passage de l’édition à l’éditorialisation
Objectifs, enjeux et usages de l’édition
Le numérique n’est pas seulement un outil comme aime à le rappeler Bruno Bachimont et à le préciser en terme de milieu, avec ses acteurs, ses pratiques. établir des principes de méthodologie éditoriale dans l’environnement numérique doit aussi viser autant un perfectionnement des méthodes et des pratiques scientifiques que l’exploitation de la vertu pédagogique et euristique de la structuration des informations et la détermination précise des pratiques.
L’édition numérique devient un espace d’investigation scientifique, de réflexion méthodologique mais aussi elle peut constituer un espace d’apprentissage pour des étudiants et de transmission pour les chercheurs.
Ce faisant, l'appareillage technique permet non de renier ni de concurrencer l'édition érudite traditionnelle. Au contraire l'édition numérique met à l'honneur et en lumière les exigences d’une entreprise d’édition de correspondance. En précisant et systématisant la documentation au travers du renseignement de champs définis et déterminés, les modalités techniques de l’édition numérique de correspondance obligent à distinguer les étapes du processus éditorial, les taches éditoriales à réaliser et les pratiques mises en œuvre en posant la question des rapports entre
1. édition et conservation
A l’ère pré-numérique, le travail de catalogage, de cotation (ie d’organisation et de rsucturations d’un fonds d’archives) et d’identification étaient effectué par l’archiviste pour se mettre au service du scientifique. Avec l’édition dans en environement numérique le scientifqiue développe une nouvelle approche du document et se met au service des objectifs patrimoniaux de conservation et de mise à disposition
2. édition et médiation
Tout en apportant des solutions pour l'organisation et la constitution du corpus de lettres, L’environnement numérique repose des problèmes de réorganisation du matériau de l’apparat critique, de visualisation, de ligne de temps, de mise en relation en accentuant la nécessité d’investir la question des publics et des usages
3. édition et recherche
L'édition numérique conduit aussi à éprouver au sein de pratiques la question de l’interdisciplinarité i.e. celle des rapports entre domaines de connaissances, objets, méthodes et compétences en intensifiant et systématisant la nature collaborative et collective de la pratique scientifique, en élaborant des outils de traitement commun de corpus de différentes natures pour des exploitations de domaines distincts.
Fécondité théorique et méthodologique de l’environnement numérique et de ses contraintes techniques
Un éditeur scientifique (qui peut être une équipe) c’est celui qui effectue des choix et élabore des modalités de mise à disposition d’un type spécifique d’archive
1. d’établissement du texte étudié à partir du manuscrit ou tapuscrit
2. d’élaboration d’un apparat critique
Ajout de contenus qui entourent le texte source
Introduction, notes, liens hypertextuels, mots-clés, index, glossaires, chronologies etc..
Mais éditer dans un environnement numérique amène à effectuer un passage de l'édition à l'éditorialisation, et au cours de ce passage, la figure de l’éditeur se dédouble en éditeur technique et éditeur scientifique, l’usage se diversifie et la figure de l’usager se fait moins précise et plus présente.
Ainsi une des premières modifications est la nature collective et collaborative de la pratique éditoriale. Aussi, il est aussi important d'avoir à l'esprit que nos besoins déterminés par le développement de nos préoccupations scientifiques et l'acquisition de nouveaux résultats ne constituent pas seulement des difficultés techniques mais aussi des objets féconds dans le développement de recherches et de questionnements en informatique et programmation.
Éditorialisation : édition au sein d'un dispositif numérique
En entreprenant une démarche éditoriale il faut alors penser à la coordination d'un environnement technique à des pratiques scientifiques en envisageant un développement structuré du contenu pour répondre à des objectifs tant scientifiques que culturels. La définition de l’éditorialisation retenue par Vitali-Rosati donne une définition restreinte mais nette de nouvelles questions à prendre en compte dans un environnement numérique :
« On peut définir l’éditorialisation comme un ensemble d’appareils techniques (le réseau, les serveurs, les plateformes, les CMS, les algorithmes des moteurs de recherche), de structures (l’hypertexte, le multimédia, les métadonnées), de pratiques (l’annotation, les commentaires, les recommandations via les réseaux sociaux) qui permet de produire et d’organiser un contenu sur le web. »
Il ne manque pas de souligner qu’éditer avec les technologies numériques à un impact tant sur le contenu que sur la manière d'y avoir accès, de l'exploiter et de l'utiliser. (M. Vilati Rosati (2016), "Qu'est-ce que l'éditorialisation ? " http://sens-public.org/article1184.html consulté le 30 mai 2016)
Une fois les distinctions effectuées entre les différents éléments d’éditorialisation reste encore à interroger les rapports entre appareils techniques, structures et pratiques.
Il ne faut pas négliger le fait qu'en menant une entreprise d'édition dans un environnement numérique, on investit presque malgré soi des questionnements méthodologiques voire épistémologiques qui travaillent les humanités numériques : Les rapports entre forme et contenu, entre théorie, pratique et technique.
Ainsi l'élaboration d'un contenu dans un environnement numérique conduit à explorer des notions et les liens qu’elles entretiennent telles que édition et éditorialisation, contextualisation, documentation, de / re matérialisation, mais aussi mise à disposition, point de vue et publication
Afin de mettre en correspondance les modalités éditoriales définies avec les ressources et contraintes des outils techniques de mise à disposition et d'exploitation d'un contenu, il faut distinctement définir les différentes étapes du traitement technique et scientifique des lettres et les enjeux de l’édition en déterminant précisément les méthodes et les pratiques scientifiques mises en œuvre.
L'édition numérique de correspondance conduit aussi à éprouver au sein de pratiques la question de l’interdisciplinarité i.e. celle des rapports entre domaines de connaissances, méthodes et compétences en intensifiant et systématisant la nature collaborative et collective de la pratique scientifique.
Présentation par Marie Dupond au DHNORD 2016.
Notes
1. Notamment à partir du B. DUCHATELET- L. LEGUILLOU (1986), Petit guide de l’éditeur de correspondances (XIX-XXe siècles), Centre brestois du Greco 53 du C.N.R.S., Brest,
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Comment citer cette page
Marie Dupond, "Des principes d'édition aux principes d'éditorialisation"Site "La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)"
Consulté le 21/11/2024 sur la plateforme EMAN
https://eman-archives.org/monge/des-principes-ddition-aux-principes-dditorialisation