Réponse à une lettre du 29 juillet de Charles Soller : envoi de livres.

À propos des examens d'Antoniadès et de son entrée à l'École centrale des arts et manufactures.

Commande d'une table-guéridon à transformations multiples d'une valeur de 180 F.

Sur différents sujets : la maturation de la pensée de Gaston Piou de Saint-Gilles ; son adresse à Saint-Gilles ou à Croix-de-Vie ; ses examens et ceux de Paul Gaston Piou de Saint-Gilles ; sur la détermination de Godin à accomplir son œuvre ; sur l'existence matérielle de l'âme.

Sur le modelage dans les écoles du Familistère : remerciements au nom d'Émilie Dallet ; rendez-vous manqué de Marie Moret avec mademoiselle Alice.

Sur différents sujets : la maturation de la pensée de Gaston Piou de Saint-Gilles ; son adresse à Saint-Gilles-Croix-de-Vie ; ses examens et ceux de Paul Gaston Piou de Saint-Gilles ; sur la détermination de Godin à accomplir son œuvre : le devoir de choix.

Annonce l'envoi d'un chèque de 196,30 F à monsieur Dupont, 10 rue Hautefeuille à Paris.

Envoi d'un chèque de 196,30 F correspondant à la commande d'une table à transformations avec bougeoir et encrier.

Sur la venue prochaine d'Antoniadès à Lesquielles-Saint-Germain.

Réponse à une lettre d'Alker en date du 4 août 1891 : remerciements pour la photographie évoquant l'époque où Alker était employé au Familistère, vers 1865 ; projet de visite d'Alker au Familistère ; l'excellent souvenir qu'Alker a laissé au Familistère ; sur François Dequenne, ancien contremaître de menuiserie, devenu directeur de la fonderie puis gérant de la Société du Familistère.

Envoi des textes à composer pour le numéro d'août 1891 du journal Le Devoir.

Demande de lui envoyer une feuille de papier pelure glacé en vue d'une commande.

Envoie à Monclin des numéros du journal Le Devoir qui ne lui sont pas parvenus et félicite son correspondant pour l'avancement qu'il a obtenu.

Sur des obligations de la Compagnie du canal de Suez.

Sur la correspondance de la Compagnie du canal de Suez : elle doit être adressée à Veuve Godin André au Familistère à Guise.

Projet d'une visite de Fabre et de Pascaly à Lesquielles. Émilie Dallet occupée aux examens scolaires ; Marie-Jeanne Dallet « fait de tout : ménage, couture, dessin, peinture, musique, moulage et modelage » pour l'initiation des élèves des écoles maternelles. Sur l'absence de volonté d'organiser un prochain congrès des sociétés coopératives au Familistère : « Ma conviction personnelle est que tant qu'il en sera ainsi de l'état intellectuel et moral nous ferons, au point de vue de l'enseignement social, bien meilleure figure vus de loin que vus de près. » ; le seul véritable coopérateur du Familistère, François Bernardot, n'y est pas populaire. L'Association du Familistère n'est pas en mesure de faire davantage que d'envoyer Bernardot comme délégué au Congrès coopératif de Paris [septembre 1891].

Commande de produits de soin et d'hygiène pour un montant de 13,95 F.

Sur la perte d'un colis contenant des bottines fabriquées pour Marie Moret.

Commande de produits d'hygiène à expédier à la gare de Lesquielles-Saint-Germain : pommade camphrée au ruhm, acide nitrique.

Demande à Fabre de remettre une lettre à Jules Pascaly qui part chez celui-ci le lendemain.

Lettre adressée à Jules Pascaly avant son départ à Nîmes chez Auguste Fabre. Sur la préparation du prochain numéro du Devoir.

Sur la préparation du prochain numéro du Devoir.

Commande d'une plume d'or diamantée et de blocs de serviettes indispensables pour un montant de 15,10 F.

Sur la préparation du prochain numéro du Devoir. Pascaly chez Auguste Fabre au moment où Marie Moret rédige sa lettre.

Sur la préparation du prochain numéro du Devoir. Pascaly chez Auguste Fabre au moment où Marie Moret rédige sa lettre. Elle lui souhaite de prendre du repos pendant ses vacances.

Sur la préparation du prochain numéro du Devoir. Pascaly chez Fabre. Fabre ne se rendra pas à Paris [au congrès des sociétés coopératives] en septembre 1889. Flore Moret à Guise à partir de septembre 1889. Marie Moret attend un visiteur, ce qui l'empêche de travailler.

Don de livres.

Sur l'urgence de livraison d'une commande.

Don de livres.

Sur du courrier à retirer au bureau de poste pendant les jours fériés par monsieur Roger.

Lettre difficilement déchiffrable.

Diverses nouvelles. Jules Pascaly prend du repos dans le midi « avec femme et enfant ». Révision des « pages Godin » non achevée. Visiteurs au Familistère. Envoi de livres à Gellereau. Substituer du sable fin au son du berceau du Familistère : impraticable à cause du poids et dangereux dans le cas où l'enfant se saisirait de sable. Sur les idées de Gaston Piou de Saint-Gilles.

Opérations sur le compte de Marie Moret à la Société du Familistère. Elle demande à monsieur Bocheux de porte au débit de son compte 84 lampions et deux fois 84 masses de suif fournis par la Société du Familistère à Marie Moret.

Autorise Gaston Rouvier à reproduire la traduction français du roman de Marie Howland, La Fille de son père dans le journal L'Essor social ; échange du journal Le Devoir avec L'Essor social ; don de livres.

Sur la perte d'un colis contenant des bottines fabriquées pour Marie Moret. Commande de deux nouvelles paires de bottines.

Abonnement de Flournoy au journal Le Devoir.

Demande à Dequenne de lui confier les plans du pavillon central du Familistère pour qu'Antoniadès, en séjour à Lesquielles, puisse compléter ses relevés de la construction.

Divers sujets. Antoniadès reparti ce jour à Paris.

Adresse à Antoniadès le numéro d'août du journal Le Devoir.

Marie Moret demande à Pascaly si elle peut envoyer le chèque pour paiement de son travail au journal Le Devoir du mois d'août.

À propos de pensées inspirées à Marie Moret par Antoniadès pendant son séjour à Lesquielles-Saint-Germain. Sur Gaston Piou de Saint-Gilles et sa brouille avec Antoniadès. Sur la fin dramatique et immorale du feuilleton du journal Le Temps et la pensée de la mort.

Sur la perception des arrérages échus des obligations Suez 3 % de Marie Moret ; annonce l'envoi d'un chèque de 300 F à Jules Pascaly.

À propos de la visite récente d'Alexandre Antoniadès. Sur l'amitié de Gaston Piou de Saint-Gilles et d'Antoniadès ; citation de la lettre de Marie Moret à Gaston à ce sujet [lettre de Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, 31 août 1891]. Sur les études de Gaston et son entrée à l'École centrale des arts et manufactures ou à l'École des mines. Marie Moret demande à Antoniadès de détruire ou de lui retourner les pages de sa lettre concernant Gaston.

Sur l'amitié de Gaston Piou de Saint-Gilles et d'Alexandre Antoniadès. Nouvelles diverses.

Opérations sur les valeurs financières de Marie Moret ; elle demande l'envoi de 1 000 F en billets de banque.

Réponse à la lettre de Guillemin en date du 30 août 1891 transmettant ses hommages à plusieurs personnes du Familistère et communiquant des nouvelles de Victor Considerant.

Réponse à une lettre de Lecomte en date du 31 août 1891 : sur l'impossibilité pour une personne extérieure à la Société du Familistère de disposer d'un logement au Familistère, où habitent 2 000 personnes qui ne sont qu'une partie de la population des familles des travailleurs et travailleuses de l'usine, ou de placer ses enfants dans les écoles du Familistère, qui regorgent déjà d'élèves.

Réponse à la lettre de Neale en date du 1er septembre 1891 sur un projet de visite au Familistère en compagnie de monsieur Gray, du 17 au 19 septembre 1891 : deux chambres réservées à l'hôtel de la Couronne ; les écoles en vacances (pendant lesquelles ont lieu les « promenades surveillées ») ; la nourricerie, les services du Familistère et les ateliers de l'usine fonctionnent normalement ; rencontre possible de Gray et Bernardot au congrès coopératif de Paris.

Informations communiquées par Offroy et Cie ; annonce l'envoi d'un chèque de 93 F à Henry Herth.

Sur l'empêchement de la visite de Pascaly à Guise. Préparation du numéro de septembre 1891 du journal Le Devoir. Projet de visite du Familistère par Neale et Gray, son successeur au magasin de gros.