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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (5) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Havard, 3 octobre 1861
Godin répond à Havard, candidat à l'emploi de direction de la fonderie de la manufacture ; il décrit les fonctions et les obligations de l'emploi. Il lui demande de lui faire part de ses réflexions avant tout déplacement à Guise et à quels appointements il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Havard, 11 octobre 1861
Godin demande à Havard ses références professionnelles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Havard, 28 octobre 1861
Godin informe Havard qu'il a fait le choix d'un autre candidat pour l'emploi auquel il postulait et lui retourne un certificat.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hégo-Parent, 11 janvier 1861
Godin répond à la lettre de Hégo-Parent du 30 décembre 1860. Il lui demande de venir à Guise pour un entretien préalable à une embauche dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire et lui propose de lui rembourser les frais de son voyage. Il lui conseille de prendre le chemin de fer jusqu'à Saint-Quentin puis la diligence jusqu'à Guise. Godin lui demande également de communiquer à Louis Carlier, qui a appris par Hégo-Parent ses besoins en contremaîtres de fonderie, la proposition de venir à Guise contre remboursement de ses frais.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hégo-Parent, 19 décembre 1860
Godin demande des renseignements à un candidat à un emploi de comptable dans son usine de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hégo-Parent, 26 décembre 1860
Godin demande à Hégo-Parent à quels émoluments il prétend pour entrer dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il précise que les employés peuvent se loger en ville ou dans les appartements mis à disposition par l'usine, dont le prix de location s'élève de 4 à 5 F par pièce et par mois. Il l'informe qu'il ne prendra pas de renseignements sur lui sans son autorisation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Helié, 11 octobre 1861
Godin demande à Maria les références des emplois qu'il a occupés précédemment.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Herbecq, 30 mai 1862
Godin répond à une candidature faisant suite à l'offre d'emploi publiée dans les journaux par Laffitte, Bullier et Cie. Il précise que l'usine de Belgique est celle de Laeken et qu'en France, l'emploi est relatif au travail des machines. Il demande à Herbecq des renseignements sur les aptitudes de son fils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Houlon, 26 mai 1856
Godin demande à Houlon des renseignements sur un monsieur Fournier résidant place du Parvis [à Reims] chez monsieur Cretelle, candidat à l'emploi de directeur commercial des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 13 juillet 1861
Godin accuse réception de la lettre de Pernet-Vallier qui lui explique le silence de Cantagrel à propos des candidats à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Pernet-Vallier lui communique les renseignements espérés sur les candidats. Il avertit Pernet-Vallier qu'il va écrire aux candidats pour leur annoncer que ce dernier va leur fixer un rendez-vous pour un entretien. Il lui communique la liste des noms et adresses des candidats avec lesquels il doit s'entretenir, outre Wagner, Bourgoin et Carbonnier : Bonnevent au 189 rue du Faubourg-Saint-Martin, Vincent au 31 rue Vieille-du-Temple, Lafabrigue au 9 rue de Rennes et Barret au 21 rue Myrha.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 22 juillet 1861
Godin remercie Pernet-Vallier pour son efficace concours dans le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe qu'il a classé ainsi les candidats d'après les notes qu'il lui a adressées : Vigerie, Wagner, Bonnevent, Branfaut, Roussilin, Nancy. Godin signale que Roussilin et Nancy sont trop jeunes pour l'emploi et peuvent être écartés sauf avis contraire de Pernet-Vallier. Il confirme à Pernet-Vallier que ses notes sur les quatre autres candidats sont en accord avec ses propres impressions. Godin demande à Pernet-Vallier d'examiner si des emplois secondaires ne conviendraient pas à certains candidats à l'emploi de comptable : chef d'expédition aux appointements de 2 000 F ou voyageur de commerce. Godin demande l'avis de Pernet-Vallier sur Vincent, dont le ton militaire pourrait nuire à la clientèle s'il était voyageur de commerce, ou sur Boileau, dont il n'est pas sûr qu'il se livrerait à l'activité des ateliers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Pernet-Vallier, 28 juillet 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce à Pernet-Vallier qu'il doit écarter la candidature de Bonnevent, qui lui a fait part de son mécontentement à propos du retard mis à choisir un candidat. Il lui demande des renseignements sur Boileau et Vincent, susceptibles d'occuper un emploi de voyageur de commerce. Dans le post-scriptum, il indique à Pernet-Vallier que Nancy et Vigerie lui ont également écrit à propos du retard du choix d'un candidat, mais en termes très convenables, qu'il a laissé comprendre à Nancy qu'il était trop âgé, et il a fait savoir à Vigerie que sa candidature était toujours en cours d'examen.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Petit, 17 mars 1863
Godin communique à Petit, avocat à Amiens, des informations sur le Familistère, qui est en cours d'agrandissement. Il explique : que l'ensemble des habitations ne formera qu'un seul édifice jusqu'à loger 2 000 personnes ; que 100 familles, soit 400 personnes y logent actuellement ; que les loyers varient en fonction de la taille des appartements, qui ont 1 à 5 pièces ; que le loyer est de 5 F par mois et par pièce de 16 m² ; que les locataires sont des employés et ouvriers de l'usine ; que la cité ouvrière se rattache à l'usine du fait de ses locataires, mais qu'il s'agit d'une entreprise séparée. Godin ne veut en dire davantage sur ce qu'il faut réaliser dans l'architecture moderne pour élever l'habitation de l'homme au niveau des progrès de l'industrie, de la science et de la richesse publique, car il espère un jour écrire sur la question.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hurstel, 25 mai 1861
Godin informe Hurstel qu'il est prêt à embaucher la personne recommandée par ce dernier au prix demandé de 0,50 F l'heure.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Vannaisse, 1er novembre 1861
Godin invite Vannaisse à venir à Guise se rendre compte en quoi consiste la fonction d'économe du Familistère, mais il demande avant de se déplacer de lui indiquer à quels appointements il prétend pour cet emploi et qu'elles activités il a exercé auparavant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Vannaisse, 3 novembre 1861
La lettre rédigée par Vannaisse le 3 novembre confirme ce que Cantagrel lui avait dit au sujet de la belle position occupée par ce dernier. Aussi, Godin reconnaît-il que l'emploi d'économe n'est pas à la hauteur de son mérite. Il lui explique que celle d'administrateur comptable de son établissement pourrait correspondre à ses aptitudes, mais il ne veut pas provoquer de changement à cet égard et indique que la gestion du Familistère doit être économe et qu'il va publier une nouvelle annonce pour trouver l'homme adéquat à la fonction.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Vannaisse, 29 octobre 1861
Godin annonce à Vannaisse qu'il répond tardivement à sa lettre du 27 septembre 1861, car son offre s'écartait des besoins spéciaux de son annonce, mais que son entretien avec Cantagrel lui a confirmé qu'il devait prêter de l'attention à sa proposition. Il lui explique qu'à côté de son établissement industriel, il a entrepris de réaliser les moyens pratiques d'amélioration de la condition ouvrière, qu'il a élevé un édifice considérable où vivent 500 personnes et qu'un économe a en charge sa gestion sous le contrôle de l'administrateur comptable de son établissement. Il indique que l'économe actuel de la cité baptisée Familistère n'est pas à la hauteur de sa tâche : « il ne suffit pas en effet de savoir intervenir utilement dans les approvisionnements des caves, du magasin d'épicerie, du magasin d'étoffes, des combustibles, des comestibles, il faut encore maintenir ou mettre en bonne voie les services de ces magasins, d'un restaurant pour plus de cent personnes, d'un estaminet, d'un casino ou cercle des employés de l'usine, les services de propreté générale de toutes ces choses d'un usage commun, des chambres garnies et des dortoirs à l'usage des ouvriers, ce qui comporte encore la lingerie et la buanderie. Enfin avec des notions générales sur toutes choses, il faut une nature sympathique et dévouée, incapable de se rebuter devant l'ignorance et la méchanceté même des hommes. » Godin demande à Vannaisse s'il se juge capable de remplir ces fonctions. Dans le post-scriptum, Godin précise que sa lettre est confidentielle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacquet, 4 juin 1862
Godin demande à Jacquet, candidat il y a un an à l'emploi de jardinier, si cet emploi l'intéresse encore.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jacquet, 21 juin 1862
Godin répond à une lettre de Jacquet du 18 juin 1862 qui lui fait part de ses réflexions sur l'amélioration de la culture du jardin. Godin lui fait observer que le problème est surtout l'absence d'économie dans la main d'œuvre. Il informe Jacquet qu'il sera engagé à partir du 1er juillet et qu'il touchera 100 F par mois.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jamais, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre du 16 novembre 1862 de Jamais, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande des références et les appointements auxquels il prétend et il lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il n'a pas pour habitude de contracter des engagements avec ses employés et qu'il peut se renseigner sur sa maison auprès d'Allez frères et voir dans leurs magasins un échantillon de sa production en fonte de fer émaillée pour laquelle beaucoup de modèles sont à créer dans l'avenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jaudin, 6 mars 1863
Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin informe Jaudin qu'il n'a pas encore fait le choix d'un candidat. Il lui explique à Jaudin que sa dernière lettre confirme qu'il devrait séparer la fonction de surveillance des services de celle de comptabilité s'il lui confiait le poste, et qu'il offrirait 1 500 F d'appointements à l'économe au lieu des 2 000 F. qu'il donnait à l'employé faisant tout le travail, en espérant faire des économies grâce à une meilleure gestion. Godin demande à Jaudin où se trouvait la distillerie dont il était propriétaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Jaudin, 28 février 1863
Godin explique à Jaudin, candidat à l'emploi d'économe du Familistère, que la fonction conviendrait mieux à un jeune homme qu'à un homme d'âge mûr. Godin demande à Jaudin, qui a deux enfants dans les affaires, quel est son âge et à quels émoluments il prétend.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Gardet, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre du 16 novembre 1862 de J. Gardet, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande des références et les appointements auxquels il prétend. Il lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine, mais qu'il lui faut un artiste pour satisfaire des besoins nouveaux, et que le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine, comme il peut le voir sur les produits exposés chez Allez frères.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Renaux, 6 février 1862
Godin informe Renaux que le poste d'économe du Familistère a été pourvu et qu'il n'a pas d'autre emploi à lui proposer pour le moment. Godin demande toutefois à Renaux s'il a des dispositions pour être voyageur de commerce.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Renaux, 14 janvier 1862
Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin explique à Renaux que son manque d'expérience pratique en comptabilité et en affaire ne lui est pas favorable pour occuper le poste d'économe. Il lui demande toutefois s'il peut lui faire la démonstration de ses capacités.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Julienne, 26 mai [1856]
Godin informe Julienne qu'il ne pense pas le recruter, car il n'a pas l'expérience d'un emploi comparable à celui qu'il offre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Klein, 1er mai 1862
Godin explique à Klein qu'il ne connaissait pas son adresse et il copie à la suite le texte de sa lettre du 23 janvier 1862, qui revient sur les circonstances de son départ précipité de Guise et le détournement d'une somme d'argent [le texte est en réalité différent de celui de la lettre du 23 janvier 1862]. Il menace de dénoncer le méfait à la police et à l'autorité militaire dont Klein relève, sauf si celui-ci rembourse rapidement la somme de 116,50 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Klein, 4 décembre 1861
Godin remercie Klein pour la réponse à la question de sa dernière lettre [sur ses « intérêts religieux »] qui lui donne satisfaction. Il souhaite obtenir les réponses à ses demandes de renseignement sur Klein avant de confirmer l'embauche de celui-ci. Il lui demande s'il ne lui est pas possible de prendre son poste dès la fin du mois. Il lui recommande de venir examiner le Familistère avec d'accepter définitivement l'emploi et lui propose de contribuer aux frais de son voyage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Klein, 8 décembre 1861
Godin envoie 100 F à Klein pour son voyage à Guise où il doit se rendre au plus tard le 17 décembre, avant qu'il ne s'absente.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Klein, 23 janvier 1862
Godin exprimer sa surprise d'apprendre comment Klein est parti précipitamment de Guise. Godin raconte que la veille, Klein est venu lui demander un certificat et lui a appris son départ dans la nuit, mais qu'il n'avait pas réglé son compte débiteur de 30 F et qu'il avait puisé 100 F dans la caisse dont il était responsable. Godin veut croire que Klein n'a pas restitué l'argent à son départ parce qu'il avait les idées troublées. Il lui demande de rembourser immédiatement la somme à réception de la lettre expédiée à son adresse que la gendarmerie lui a communiquée. Dans le cas contraire, Godin annonce qu'il le poursuivra devant les tribunaux et en rendra compte à l'autorité militaire dont dépend Klein.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Klein, 25 novembre 1861
Godin répond à Klein, candidat à l'emploi d'économe du Familistère en lui faisant observer que sa lettre du 23 novembre précédent ne comprend pas le montant des appointements auquel il prétend. Godin lui explique qu'il se refuse à fixer les appointements de ses employés et qu'il revient aux candidats d'exprimer leurs besoins. Il indique qu'il a payé jusqu'ici son économe 2 000 F par an, mais qu'un employé à 1 500 F aurait pu remplir l'office. Godin indique à Klein que sa femme pourrait trouver à s'employer au Familistère. Godin veut connaître les prétentions de Klein avant de faire usage des références qu'il lui a fournies.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Klein, 29 novembre 1861
Godin accuse réception d'une réponse de Klein qui l'engage à lui demander quels sont ses « intérêts religieux » : « Veuillez me dire comment vous comprenez vos devoirs sous ce rapport vis-à-vis du public dans un pays où les catholiques et les protestants composent la population dans des proportions différentes. » Godin regrette qu'il ne peut avoir un entretien avec Klein.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur l'inspecteur, 26 septembre 1862
Godin explique à l'inspecteur qu'il a érigé des habitations pour loger une partie des ouvriers de son usine, qu'une femme a la garde des enfants des femmes qui travaillent et qu'une salle a été affectée à leur éducation. Souhaitant pourvoir à l'éducation des enfants plus âgés et il a ajouté une salle à la première. Il désire placer cet asile et cette école sous la protection de la loi, aussi demande-t-il à l'inspecteur quelles formalités il doit remplir pour être autorisé à ouvrir une école et un asile libres, et s'il pouvait être conseillé pour le choix d'une institutrice. Il ajoute qu'à l'occasion d'un voyage récent à Laon, il n'a pu rencontrer l'inspecteur pour parler de ces choses avec lui.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lachatre, 2 juin 1862
Godin répond à une candidature faisant suite à l'offre d'emploi publiée dans les journaux par Laffitte, Bullier et Cie. Il donne des précisions sur les établissements industriels de Guise et de Laeken et sur les emplois à pourvoir. Il lui fait observer que son âge ne lui permet pas de prétendre immédiatement à un emploi de direction, mais qu'il a été intéressé par le contenu de sa lettre et il lui demande à quelles occupations il s'est livré jusqu'ici pour savoir quels services Lachatre pourrait lui rendre et quels appointements il voudrait obtenir. Godin précise qu'il ne fera pas usage de références sans l'autorisation de Lachatre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lafabrigue, 8 juillet 1861
Godin explique à Lafabrigue qu'il est forcé de retardé soin voyage à Paris pour arrêter le choix d'un candidat à l'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il précise à Lafabrigue les conditions de l'emploi : il est basé à Guise ; le candidat fixe lui-même le montant des émoluments auxquels il prétend ; le cautionnement n'est pas nécessaire. Il lui demande comment il conçoit son installation à Guise et ce que pourrait être son action sur l'organisation des services de la cité ouvrière qu'il a érigée sur un plan très complexe.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 3 novembre 1861
Godin explique à Lambert que sa promesse d'embauche ne vaudra que si l'emploi auquel il le destine se libère. Il s'étonne que Lambert lui a fourni des références qui pouvaient lui être préjudiciables et qu'il ne lui en a rien dit. Il lui confirme qu'il lui écrira si la place qu'il pourrait occuper devient vacante et l'assure que le choix qu'il devait faire entre plusieurs candidats a été la cause qu'il a cessé ses pourparlers avec le plus grand nombre d'entre eux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 4 octobre 1861
Godin questionne Lambert sur ses aptitudes à la direction de la fonderie de son usine de Guise, et il lui demande à quels appointements il prétend pour cet emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 8 février 1862
Godin accepte la proposition que Lambert a faite à Vigerie lors de leur entretien, de venir faire un essai de 15 jours à l'usine de Guise pour lequel il serait rémunéré 112,50 F. Godin exprime toutefois ses doutes sur ses aptitudes, car Vigerie lui a rapporté que Lambert ne connaît pas le dessin alors qu'il doit non seulement exécuter le travail, mais aussi le diriger en ce qui concerne la construction ou la pose du matériel d'outillage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 11 octobre 1861
Godin précise à Lambert que l'usine de Guise ne fournit un logement aux employés que contre un loyer et que chacun est libre de se loger en ville. Il l'invite donc à intégrer le montant de son loyer dans les appointements qu'il désire obtenir. Godin lui demande ses références professionnelles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 12 février 1862
Godin accuse réception de la lettre de Lambert du 9 février 1862. Il lui indique que rien ne s'oppose à ce qu'il effectue à Guise sa période d'essai et qu'il attend son arrivée sous 8 jours. Il précise qu'une allocation lui sera versée s'il ne s'installe pas définitivement à l'usine de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 19 octobre 1861
Godin informe Lambert que son usine ne fournit le logement à ses employés que moyennant un loyer. Il lui demande à quels appointements il prétend, la rémunération étant un élément de choix du candidat, et quand il pourrait s'installer à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lambert, 28 octobre 1861
Godin annonce à Lambert que son choix s'est porté sur un autre candidat, bien qu'il n'ait recueilli que de bons renseignements sur lui, et qu'il pourrait à nouveau lui écrire pour lui proposer un emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lecareux, 22 février 1863
Godin accuse réception de la lettre de Lecareux du 18 février 1863 et de trois certificats. Il lui fait observer que les émoluments auxquels il prétendait dans sa première lettre sont plus élevés que les 2 000 F qu'il accordait jusqu'ici. Il précise que l'économe de la cité doit louer son logement comme tous les employés de l'usine. Il lui rappelle qu'il souhaite décharger l'économe des écritures et en conséquence réduire ses appointements à 1 500 ou 1 800 F. Il ajoute qu'il ne veut plus d'essais trop payés pour les services rendus. Il lui demande des renseignements sur sa situation familiale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lecareux, après le 22 février 1863
Godin informe Lecareux que les conditions ne sont pas réunies pour accepter ses services, mais que la qualité de leur correspondance l'engage à lui demander une entrevue avant de faire son choix du candidat à l'emploi d'économe du Familistère, de manière à ce qu'il voie la cité et le logement qui pourrait lui être offert. Il lui explique qu'il veut séparer la fonction de surveillance des services de celle de comptable des opérations, mais qu'il peut s'entendre avec lui s'il est en mesure d'accomplir ce double travail. Dans le post-scriptum, Godin propose de prendre en charge la moitié des frais du premier déplacement de Lecareux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Leclerc fils, 2 janvier 1861
Godin demande à Leclerc fils des informations sur des candidats [non nommés] à un emploi de comptable dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, en assurant son correspondant de sa discrétion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Legrand, 22 décembre 1860
Godin répond à une lettre de Legrand du 14 décembre 1860. Il lui demande des renseignements sur sa situation personnelle et ses capacités en comptabilité appliquée à une production industrielle. Godin souhaite connaître à quels émoluments prétend Legrand et il lui précise que le logement reste à la charge des employés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lengrand, 14 juin 1862
Godin répond à Lengrand, candidat à l'emploi d'économe du Familistère, que sa candidature n'avait pas retenu son attention, car il ne semblait pas qu'il était formé aux questions d'économie domestique. Il lui explique que la gestion de l'économat du Familistère suppose une connaissance des besoins de la population ouvrière. Il annonce à Lengrand qu'il pourrait toutefois consentir à un essai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lequin, 15 avril 1856
Godin répond à une lettre de Lequin du 31 mars 1856 lui annonçant son intention de venir à Guise du 20 au 25 avril. Godin lui communique les horaires des trains de Paris à Saint-Quentin et il lui indique à Guise l'hôtel de Pierre, hôtel de voyageurs, et l'hôtel de la Couronne, hôtel des riches du pays. Il lui signale qu'il doit se rendre à Paris à la fin du mois d'avril et demande à Lequin de l'avertir s'il devait différer sa venue.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lequin, 28 mars 1856
À propos d'une candidature à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin répond à Lequin qui pose des conditions à son recrutement : le mode de paiement du traitement n'est pas un obstacle ; Godin n'est pas opposé à un traité entre eux, mais avec la possibilité pour l'un et l'autre de mettre fin à leur convention ; Godin juge qu'il est nécessaire qu'une période de mise à l'essai précède la conclusion de leur traité ; il lui indique que l'emploi n'est pas entièrement subordonné à sa direction qui peut temporairement faire défaut. Il demande à Lequin de lui confirmer son intérêt pour le poste.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Macabux, 2 octobre 1861
Godin explique à son correspondant qu'il a surtout besoin en ce moment d'un directeur de fonderie et il décrit les fonctions de l'emploi et ses obligations. Il lui demande si cela correspond à ses aptitudes et à quels appointements il prétend.
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