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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (14) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 13 décembre 1873
Godin remercie Cresson pour son conseil dans l'affaire du Journal de l'Aisne signalée par Alphonse Grebel. Il lui demande conseil sur des faits présentés dans une lettre de Tisserant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 17 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise des biens de la communauté : Esther Lemaire cherche les moyens de créer de nouveaux embarras alors que l'expertise touche à sa fin. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin envoie à Cresson des documents relatifs à l'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 24 mars 1874
Godin informe Cresson que monsieur Barral quitte l'usine après avoir fait exécuter plus de cent pièces d'émail qui lui ont donné satisfaction et l'ont laissé convaincu du droit de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 25 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise de la valeur des biens de la communauté : un expert a proposé à Grebel de déposer le double de tous les documents remis aux experts au greffe du tribunal de Vervins ; Godin est réticent car il devrait faire lui-même les copies ou se séparer des documents. Godin communique à Grebel la réponse qu'il a faite à une lettre de Christian.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 31 juillet 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise des biens de la communauté : les travaux des experts touchent à leur fin ; Esther Lemaire n'a pas donné signe de vie pendant les visites des experts à l'usine ; il a versé deux fois 1 500 F à ces derniers et Esther Lemaire devrait s'acquitter de la même somme. Il remet 3 000 F à Cresson. Godin s'étonne que Guignet n'ait rien reçu concernant l'expertise et juge que Mercier, l'avoué choisi par Tisserant qui est voisin de Cresson au 33 rue du Sentier, manque de vigilance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 31 mars 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Cresson qu'il va recevoir la visite de Barral pour s'entendre avec lui du jour de sa visite à Guise. Godin voudrait avoir l'avis de Cresson sur ce que Grebel lui a écrit au sujet des recherches faites dans la correspondance pour établir la nouveauté du produit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Christian, 20 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur la communication à Esther Lemaire des documents d'expertise de la valeur des biens de la communauté : Godin déplore que la demande soit faite tardivement ; il autorise la remise à Esther Lemaire des copies des documents qui se trouvent dans les mains de Christian mais il exige que le dossier lui-même ne doit pas être remis à ses adversaires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 9 avril 1874
Godin estime que Levasseur a trouvé trop longs ses articles publiés dans L'Opinion nationale car il n'a pas reproduit dans le Courrier de l'Aisne l'article du 2 avril. Il l'incite à publier le prochain article et le prie d'envoyer un numéro de cette publication à chacun des conseillers généraux de l'Aisne car l'article concerne la prochaine session du conseil général.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 10 décembre 1873
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin communique à Levasseur une copie de la lettre qu'il a adressée au Journal de l'Aisne sur le conseil de ses amis. Godin doute que le Journal de l'Aisne publie sa lettre ; il laisse Levasseur juge de l'opportunité de sa publication [dans le Courrier de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 15 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin informe Levasseur qu'il pensait lui demander de publier dans le Courrier de l'Aisne une lettre sur sa situation de maire de la ville de Guise, mais que des amis l'ont incité à la faire paraître dans un grand journal parisien, Le Siècle ou Le XIXe siècle, et il l'invite à consulter leur numéro du lendemain. Il explique à Levasseur qu'en passant à Saint-Quentin ce matin, il a soumis la copie de cette lettre à leurs amis du Glaneur et du Guetteur de Saint-Quentin, qui comptent la publier dans leur prochain numéro ; il informe Levasseur qu'il a demandé qu'on lui envoie les épreuves de la publication pour qu'il en fasse ce qu'il juge bon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 17 mars 1874
Godin adresse à Levasseur un numéro de L'Opinion nationale dans lequel il a commencé à faire paraître une série d'articles sur les chemins de fer. Il lui demande, si le journal reproduisait ces articles, de les envoyer aux membres du conseil général.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 11 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin informe Delorme que le gouvernement n'a pas laissé hier la possibilité de poser à la tribune de l'Assemblée nationale la question concernant les maires dont la situation est irrégulière, et qu'il a écrit au préfet de l'Aisne que les instructions de monsieur le sous-préfet étaient contraires à la loi, et qu'il resterait maire de Guise jusqu'à ce que le gouvernement ait procédé à son remplacement. Il demande à Delorme de veiller à l'apurement des comptes de leur gestion et de mandater tout ce qu'il sera possible pour éviter aux personnes ayant travaillé pour eux des démêlés avec la nouvelle administration. Il lui demande également de prendre avec lui une copie des budgets et autres documents financiers de la ville, si besoin avec l'aide d'Alfred Denisart.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 28 janvier 1874
Godin communique à Delorme une lettre d'un ministre relative à une affaire de rigole annonçant une indemnité de 1 750 F. Il demande à Delorme de réunir le conseil municipal pour délibérer sur l'encaissement de la somme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à J. B. Girard et Cie, 9 mars 1874
Godin informe Girard et Cie que son représentant à Paris lui a transmis une lettre d'eux du 23 février 1874 relative à un brevet non désigné. Godin suppose qu'il s'agit d'un brevet pour la transformation du matériel des fonderies. Il indique qu'il pourrait être intéressé pour une utilisation du brevet à l'étranger, mais qu'il faudrait attendre que le brevet soit mis complètement en œuvre s'il s'agissait de son utilisation en France.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 2 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Barral qu'il lui envoie le jour même 20 plaques de fonte et d'autres le lendemain. Godin lui rappelle une série de précautions techniques à prendre pour accomplir à nouveau les expériences faites à Guise. Sur les premiers experts : Cresson semble hésiter à venir à Guise s'ils sont convoqués ; Godin demande à Barral de s'entendre avec ce dernier sur ce qu'il convient de faire. Sur des expériences avec les émaux de Soyer-Lévy menées par Émile Godin pour compléter celles de Barral.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 3 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin communique à Barral une note sur les émaux et l'informe qu'il envoie le soir même le complément des plaques en fonte demandées. Il lui demande si Victor de Luynes va réaliser des expériences en son absence et exprime sa crainte qu'elles soient dès lors inutiles. Il l'informe que Cresson sera du voyage et lui offre l'hospitalité ainsi qu'à ses collègues. Il l'avertit qu'il attend un avis de sa part pour inviter Guignet et Girard.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 6 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Barral qu'il pense qu'il est important qu'il assiste aux débats devant la cour de Nancy. Il souhaite discuter avec lui de cela et des frais d'impression des pièces du procès et notamment de son contre-rapport. Il lui remet 500 F et il l'informe qu'il a écrit à Cresson pour lui annoncer qu'il l'attend à Guise avec lui le jeudi suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 20 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Barral que tout est prêt pour le recevoir le vendredi suivant. Sur des expériences à faire avec de l'émail noir : il lui explique que c'est en 1863 et 1864 qu'il a appliqué l'émail opacifié par les oxydes de fer, de manganèse, de cuivre et de cobalt, et qu'à cette époque-là l'émail noir n'avait jamais été appliqué sur la fonte et qu'il était surtout connu dans la bijouterie pour imiter le jais. Il lui indique qu'en réduisant en poudre cette imitation de jais et en la saupoudrant sur la fonte froide, comme indiqué dans le Dictionnaire des arts et manufactures, on n'obtient rien de bon, mais qu'on peut s'en servir à émailler la fonte rougie en y ajoutant un peu de litharge ou de borax. Il l'invite à acheter du noir de jais pour faire des expériences qui conforteraient son brevet. Godin signale à Barral que Boucher presse la cour de Nancy et il lui demande d'être prêt pour le 7 mai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 25 mars 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Barral qu'il a reçu l'échantillon d'émail de Tihy, supérieur à celui de Guilbert et Martin qu'il a déjà pu apprécier ; il lui remet la facture de Tihy pour qu'il puisse obtenir le même émail. Godin juge que les experts auraient dû indiquer aux fabricants la manière dont l'émail devait être employé sur la fonte rouge pour s'éviter le travail de leurs essais. Godin annonce à Barral qu'il joint à sa lettre une note de Grebel sur un envoi de papiers d'affaires et qu'il lui enverra demain la copie du rapport d'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 31 mars 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Barral a demandé à Godin s'il pouvait venir expérimenter les 6 et 7 avril : Godin lui répond qu'en raison du lundi de Pâques chômé, les 7 et 8 avril seraient préférables, mais qu'il ne doit pas davantage différer sa visite car il doit se rendre le 13 avril à la session du conseil général de l'Aisne. Il lui signale que Cresson attend sa visite et qu'il a exprimé le désir de venir avec lui à Guise. Godin pense que Cresson pourrait s'entretenir avec Barral sur les moyens d'établir la nouveauté du produit. Godin indique qu'au lieu de recourir à des certificats de commerçants, il fait rechercher les lettres qui lui ont été écrites depuis 1862 au sujet des émaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Kate Stanton, 9 mars 1874
Godin répond à une lettre de Kate Stanton du 15 février 1874. Il lui explique qu'il n'est pas sûr de pouvoir se trouver à Guise cet été pour la recevoir, en raison des travaux législatifs et des embarras que la réaction cléricale lui crée pour les écoles du Familistère et leur enseignement. Il lui confie qu'il n'a pu encore réaliser l'association du travail et du capital au Familistère : « Vous ne verriez donc à Guise dans le Familistère et dans la manufacture qu'une administration dirigeant sous le principe d'autorité commun à toutes les entreprises actuelles, ce que j'aurais voulu voir diriger par le concours des volontés de toutes les personnes qui y participent » Godin signale cependant qu'il existe à Guise des hôtels près du Familistère, qu'il pourra donner les instructions pour la renseigner et qu'il s'efforcera de la rencontrer à cette occasion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Graux, 22 avril 1874
Godin demande à son collègue Louis Graux de lui adresser le rapport intitulé « Enquête sur les stations de Lesquielles-Saint-Germain et Guise » qui a été distribué lors de la dernière session du conseil général de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Rémy Paradis, 10 janvier 1874
Godin demande à Louis Rémy Paradis, vice-président de la commission cantonale de Guise, de se concerter avec monsieur Lombois pour adresser avant le 20 janvier 1874 au préfet de l'Aisne le travail de la commission cantonale sur les dépenses à faire pour mettre en état de viabilité les chemins vicinaux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Rémy Paradis, 21 avril 1874
Sur le tracé du chemin d'intérêt communal n° 40 par la commune de Lavaqueresse : Godin informe Paradis que le préfet veut que la commune de Lavaqueresse doit voter un crédit de 3 540 F, et que la commission des chemins vicinaux de l'Aisne a repoussé sa décision à la session du mois d'août.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Howland, 20 avril 1874
Godin accuse réception des deux lettres écrites par Marie Howland depuis le 5 août 1873 ainsi que les deux écrites par Edward Howland auxquelles il n'a pu répondre en raison de ses travaux à la Chambre et des affaires de son usine. Marie Howland a demandé le 5 août 1873 des vues pour stéréoscope, mais Godin n'a pas le temps de s'en occuper. Edward Howland parlait dans sa lettre du 21 août 1873 d'un jeune homme à faire venir au Familistère pour le dresser au travail : Godin explique que ce n'est pas possible, car les familles du Familistère n'ont pas de quoi loger un pensionnaire et parce qu'un enfant ne peut y être accepté sans famille. Sur Kate Stanton, dont parle la lettre d'Edward Howland de mars 1874 : Godin a répondu à la lettre qu'elle a envoyée ; monsieur Drury de Philadelphie a aussi écrit à son sujet et lui a appris qu'elle ne parlait pas français. Sur la lettre de Marie Howland du 21 mars 1874 : Godin regrette d'avoir peiné Marie Howland par le retard de sa réponse ; il regrette de ne pas connaître complètement l'anglais pour apprécier en connaisseur le livre « qui contiendra sous la forme attrayante du roman une partie de Solutions sociales : il est heureux de savoir qu'Edward Howland se trouve à la tête d'un journal défendant le progrès et l'amélioration sociale ; il recevra avec plaisir les numéros de The Present Age qu'elle lui propose.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Charpentier, 5 février 1874
Charpentier a exprimé à Godin ses regrets de ne pouvoir accepter d'occuper l'emploi d'économe du Familistère. Godin l'invite à venir le voir à Versailles pour lui proposer un autre emploi.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Charpentier, 15 février 1874
Godin informe Charpentier qu'il examinera la candidature de monsieur Favre à l'emploi d'économe du Familistère à son retour à Versailles. Godin annonce à Charpentier qu'il lui offre l'emploi de correspondant attaché au contentieux aux appointements de 300 F par mois ; il lui indique qu'il pourra entrer en fonction dès qu'il le jugera utile et qu'il se trouvera à Guise jusqu'au dimanche suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Crevon, 19 janvier 1874
Godin communique à Crevon le montant des remises de fin d'année. Sur la distribution des produits.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dardenne, 25 janvier 1874
Godin informe Dardenne que son éloignement de Versailles le défavorise vis-à-vis des autres candidats à l'emploi d'économe qui habitent Paris et ses environs. Il lui demande cependant des renseignements sur lui et le montant des appointements qu'il espère. Dans le cas où ces renseignements lui conviendraient, Godin demande à Dardenne s'il accepterait de traiter un sujet de concours : établir un projet de comptabilité et de contrôle de services commerciaux de l'établissement dont il a été question dans sa lettre précédente.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dardenne, 27 janvier 1874
Godin retourne à Dardenne les pièces contenues dans sa lettre du 26 janvier 1874 et l'informe que les données générales de comptabilité présentées ne permettent pas de retenir sa candidature.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 17 janvier 1874
Sur les remises : à la suite des observations de Darras, Godin révise le régime des remises accordées aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur la vente des poêles flamands.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 1874-01-22
Sur les conditions de rémunération de Darras : Godin lui explique qu'il doit veiller à ce que les voyageurs gardent intérêt à démarcher la petite clientèle ; il lui rappelle qu'il lui avait accordé l'année précédente d'être exonéré de la participation de 10 % aux pertes. Le post-scriptum est relatif aux remises de prix à la clientèle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 3 décembre 1873
Sur une étude de l'organisation du travail des magasins réalisée par Delaruelle. Sur une autre étude de Delaruelle relative aux affaires en Allemagne : Godin encourage Delaruelle à lui soumettre des études. Sur les appareils à gaz : Godin se méfie d'un nouveau piège tendu par Jacquet ; il informe Delaruelle qu'il a demandé à Denisart de faire étudier par Grebel les brevets existants et le convie à en parler avec ce dernier. Godin demande à Delaruelle quelles langues il est en capacité de traduire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 6 décembre 1873
Sur les rapports des voyageurs de commerce des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin juge que le rapport de Novelli contient des indications utiles. Il annonce qu'il devrait se rendre à l'usine pour régler des questions relatives à l'année suivante et qu'il a écrit à Denisart pour qu'il lui communique les observations faites à propos des voyageurs. Il n'empêche pas Delaruelle d'aller en voyage dans l'Est mais il l'avertit que les affaires sont plus difficiles à réaliser qu'il ne le pense et juge que l'intérêt du voyage serait davantage l'étude des causes qui peuvent nuire aux affaires que la réalisation d'affaires. Il suggère à Delaruelle qu'il sera plus utile à l'usine dans un rôle de direction.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 7 décembre 1873
Godin attire l'attention de Delaruelle sur les observations de Novelli sur le manque actuel de fini des produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il prend l'exemple d'un calorifère qui lui a été livré à Versailles qui présente des défauts. Il lui indique qu'il a déjà signalé à messieurs Roger et Quent que les cuisinières étaient mal finies. Il demande à Delaruelle d'exercer son œil pour identifier les négligences afin d'y remédier. Sur le voyage en Alsace : Godin est d'avis que Delaruelle devrait se borner à voir deux ou trois localités importantes. Dans le post-scriptum, il prie Delaruelle de demander à Denisart le résultat de son étude sur les remises de prix de fin d'année.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 8 mars 1874
Godin est satisfait que Delaruelle soit rentré à l'usine de Guise et il pense que l'expérience de la difficulté des affaires lui sera utile et qu'il saura à l'avenir mûrir ses décisions. Il lui conseille de s'occuper en premier lieu des choses les plus pressantes, notamment celles en cours d'exécution. Godin juge qu'il n'y a pas d'inconvénient à fournir à Falcot et Cie de Lyon les 200 « feuilles-albums » qu'ils demandent sans qu'y figure le nom de Godin, et qu'il faut les assurer des meilleures conditions pour les objets émaillés dont le prix doit suivre le cours des matières premières. Il demande à Delaruelle de s'entendre sur cette question avec Taupier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 9 décembre 1873
Sur le voyage en Alsace de Delaruelle : Godin avertit Delaruelle que sa présence à l'usine est nécessaire du 1er au 15 janvier 1873 quand les voyageurs viendront prendre leurs instructions et pour étudier la composition des tarifs et les conditions de vente de l'année à venir. Il le prévient qu'avant de voyager, il doit se procurer un costume de voyageur pour l'hiver : Godin annonce à Delaruelle qu'il demande à son fils Émile de lui verser un supplément d'appointements de 1 000 F. Sur l'emploi de Desfontaines et l'organisation du service des expéditions. Sur l'Allemagne et les Juifs. Sur les remises [accordées aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire] : Godin explique que les remises avaient pour effet d'augmenter les prix bruts du tarif, qu'en conséquence les petits clients payaient plus cher la marchandise, et qu'en décidant d'établir les prix au plus bas pour avoir accès au petit commerce, il est devenu plus difficile de consentir des remises ; Godin demande à Delaruelle de lui faire part de ses réflexions à ce sujet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 10 janvier 1874
Sur la réclamation de la clientèle désireuse que soit pratiqué" un trou dans le fond des cuisinières pour en nettoyer la suie : Godin suggère de construire une pelle à suie (dont le dessin est copié en fin de lettre), qui pourrait être livrée avec les cuisinières, et prie Delaruelle de s'entendre avec Barbet sur la question. Godin demande à Delaruelle de lui faire parvenir les observations qu'il a pu se faire au sujet des remises d'été et de fin d'année ; il lui signale que Darras les accueille favorablement et il lui signale qu'il se demande si ces remises entraîneront l'augmentation du tarif. Dans le post-scriptum, Godin annonce que Raimbaut est venu le voir et l'a informé que Gustave Leroy de Buenos Aires et sa femme ont été empoisonnés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 11 novembre 1873
Sur la prise de fonction de Delaruelle au service des expéditions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 12 décembre 1873
Sur les vernis des appareils : Godin explique à Delaruelle la différence entre le vernis ancien, brillant mais qui ne protège pas longtemps les appareils de la rouille dans les magasins des revendeurs, et le vernis actuel moins brillant mais davantage protecteur ; il suggère à Delaruelle de se rapprocher de Barbet pour mettre au point un vernis brillant et protecteur. Godin demande à Delaruelle, qui a travaillé pour des intendances militaires, si ces administrations emploient des comptables capables pouvant faire de bons employés dans l'industrie ; Godin lui confie qu'il n'a jusqu'ici pas prêté attention aux candidatures de militaires des intendances.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 12 janvier 1874
Godin suggère à Delaruelle de mettre en caisse un tiers des objets commandés par Gustave Leroy de Buenos Aires ; il estime que cette mesure préparatoire pourrait être appliquée dans les magasins de l'usine pour les objets demandés par l'exportation. Il demande à Delaruelle d'écrire à Raimbaut que faute de garanties concernant l'expédition à Gustave Leroy, il se considérera délié de ses engagements envers lui et ne s'empêchera pas de répondre directement aux commandes lui parvenant de Buenos Aires. Godin invite Delaruelle à mettre immédiatement en route les voyageurs même si le tarif n'est pas encore arrêté. Dans le post-scriptum, Godin demande à Delaruelle de faire l'inventaire des produits démodés qui se trouvent encore dans les magasins de l'usine et d'aviser aux moyens de les écouler.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 décembre 1873
Sur les conditions de ventes aux concessionnaires. Sur la distribution des produits en Angleterre et en Belgique. À propos de circulaires préparées par Duplaquet et non soumises à Delaruelle. Sur des renseignements à prendre sur la distribution des produits en Allemagne. Godin autorise Delaruelle à demander à Carme de venir à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 janvier 1874
Sur l'inventaire des magasins de la manufacture. Sur les impôts payés par Godin en 1873. Sur la distribution des produits de la manufacture : Godin demande à Delaruelle s'il passera à Nancy à la suite de Crevon et l'invite à y revoir la clientèle. Sur les cuisinières n° 64 à 67 et les poêles à chaudière : Godin demande à Delaruelle de s'entendre avec monsieur Poulet pour changer les chaudières de ces appareils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 17 janvier 1874
Godin envoie à Delaruelle la copie de la lettre qu'il a écrite à monsieur Darras, qu'il communique aussi à Amédée Moret, et il lui demande de se concerter avec Denisart sur ce qu'il y a à faire à l'égard des voyageurs au sujet de la remise. Sur les poêles flamands.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 18 mars 1874
Godin autorise Delaruelle à faire imprimer les tarifs. Sur l'affaire Gustave Leroy [de Buenos Aires] : Godin indique à Delaruelle que Jouin et Cie n'a pas répondu à sa lettre, qu'il a toujours considéré l'affaire comme douteuse, et qu'il a été étonné d'apprendre que les produits avaient déjà été emballés sans que Jouin et Cie aient adressé la provision pour les frais d'emballage ; Godin demande à Delaruelle d'examiner s'il est possible de faire une sommation à Jouin et Cie de prendre livraison des marchandises et de les payer. Godin autorise cependant Delaruelle à faire des affaires avec Buenos Aires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 21 janvier 1874
Godin communique à Delaruelle le montant définitif des remises de fin d'année : il lui demande de diffuser l'information auprès de tous les voyageurs ; il l'engage à signer ses lettres en qualité d'agent commercial et à les faire contresigner par son fils Émile. Il l'informe qu'il a écrit à Horst de Milan pour lui demander quelles sont les conditions des affaires en Italie, mais qu'il sait que des maisons françaises proposent à celui-ci 4 % sur les placements qu'il fait lui-même et 1 % sur les demandes faites directement à l'usine avec 10 % de participation aux pertes. Sur la fabrication des buanderies. Il l'invite à faire des affaires avec les commissaires pour l'exportation en précisant qu'il faut se considérer délivré des engagements avec Gustave Leroy. Il lui demande enfin de supporter avec patience et bienveillance les tracasseries qui lui sont faites à l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 25 décembre 1873
Sur une commande de Gustave Leroy de Buenos Aires : Godin informe Delaruelle qu'il a reçu la visite de Jouin et Cie et de Raimbaut, et il lui demande de consulter la correspondance avec Leroy et de lui envoyer les passages qui concernent les modalités de paiement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 28 janvier 1874
Godin informe Delaruelle qu'il charge son fils Émile de lui faire connaître la baisse du tarif des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur les remises proposées par Darras à Ladriot de Vervins. Sur les émaux. Sur les poêles et cuisinières démodés : Godin préconise de les vendre avec une baisse de prix suffisante. Sur la modification par Poulet des cuisinières 64 à 67.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Desalla, 20 juillet 1873
Godin explique à Desalla qu'il a jugé que Gervat n'avait pas les connaissances nécessaires pour la fonction à laquelle il prétendait et que la distance de Lyon à Guise ne permettait pas de lui proposer un essai. Il précise que l'emploi est maintenant occupé et il lui renvoie une photographie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ed. Carme, 20 juillet 1873
Godin demande à Carme d'aller voir les commerçants des environs de Bordeaux en relation avec les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.
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