FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Maistre un chèque de 124,75 F sur la London and Westminster Bank en paiement de quinze articles publiés dans Le Devoir dont il dresse la liste [folio 192v]. Il lui demande s'il veut se charger de la traduction en français du roman Ginx's Baby, paru à Londres en 1871 chez Strahan et Cie publishers au 56 Ludgate Hill, pour qu'il soit publié en feuilleton dans Le Devoir ; il indique que l'ouvrage en était en 1871 à sa 13e édition et qu'il en possède un seul exemplaire qui lui a été offert ; il demande à Maistre quel serait le coût de la traduction tout en précisant qu'il doit limiter les frais du journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Maistre qu'il propose de le rémunérer en tant que collaborateur du journal Le Devoir. Il lui explique que le journal représente un sacrifice financier plus important que prévu faute d'avoir des lecteurs nombreux et qu'il songe à le transformer en journal mensuel pour réduire les pertes. Il lui envoie 3 livres sterling pour ses articles publiés jusqu'au n° 37 du 25 mai courant. Il lui annonce qu'il reste quelques-uns de ses articles à publier dans le journal, dont l'article sur l'impôt, qui, juge-t-il, a un mérite incontestable mais est peut-être trop sévère dans la forme ; il lui demande que ses articles futurs soient courts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Maistre qu'il reçoit avec plaisir ses articles qui sont dans l'esprit du journal Le Devoir. Il l'informe qu'il n'a pas souhaité publier les articles intitulés « Détachés du journal d'une jeune anglaise » dans l'attente d'avoir connaissance de l'ensemble du travail, mais lui annonce que la publication en commencera prochainement. Godin exprime à Maistre son regret qu'il n'ait pas indiqué dans son article « Un petit document » la source de ses renseignements ; il lui demande de l'éclairer sur le sujet avant la publication. Il lui signale qu'il devra s'entendre avec lui sur sa rémunération si sa collaboration au Devoir se poursuit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Deville et l'informe qu'elle paraîtra dans le prochain numéro du journal Le Devoir. Il lui indique qu'il recevrait volontiers de lui des communications sur l'enseignement professionnel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Morrill du 6 février 1880 et de la somme d'argent l'accompagnant. Il l'informe que la somme a été consacrée à un abonnement au journal Le Devoir et à un abonnement à la Revue du mouvement social ; il précise qu'il a envoyé 12 F à Limousin, rédacteur de la Revue du mouvement social au 112 avenue d'Orléans à Paris. Il ajoute qu'il va satisfaire le désir de Morrill de voir Le Devoir parler davantage du Familistère en publiant prochainement dans le journal les chapitres préliminaires des statuts de l'association du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Dejey et Cie qu'il a trouvé le comptable qu'il cherchait et il leur demande de suspendre toute annonce à ce sujet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond aux lettres de Dejey et Cie des 19 et 27 février 1880. Il les informe qu'ils peuvent supprimer l'offre d'emploi pour un ingénieur, qui lui a permis de choisir trois employés. Godin leur confie qu'il est moins heureux avec l'annonce relative à un comptable qu'il n'a pu encore trouver : il précise qu'il lui faut un sous-chef de comptabilité pouvant diriger les bureaux avec de sérieuses références.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Dupuy une liste de noms sur laquelle il a ajouté des noms en remplacement de ceux des membres morts ou tombés en faillite.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Dupuy du 19 décembre 1879 en lui annonçant qu'il ne peut lui apporter son concours car il supporte les frais d'un journal et a des intérêts engagés dans des journaux du département.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin autorise Edmond Groult à mettre son nom sur la liste des adhérents à l'idée des musées cantonaux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Edmond Potonié un chèque de 37,50 F sur la Caisse commerciale en paiement des articles suivants parus dans le journal Le Devoir : « Enseignement de l'histoire » dans le numéro 27 ; « De la gloire » dans le numéro 35 ; « Banquet des travailleurs amis de la paix » dans le numéro 42.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Thiaudière une épreuve de la couverture du roman La Fille de son père tirée sur un papier ne convenant pas. Il lui demande de faire passer un échantillon de papier de qualité à Auguste Ghio. Il lui envoie également un projet de réclame. Godin juge que l'envoi de 100 exemplaires du roman aux journaux est peut-être excessif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Thiaudière un exemplaire du volume La Fille de son père afin qu'il trouve un éditeur. Godin lui indique qu'il se réserve le droit de donner l'ouvrage en prime aux abonnés du journal Le Devoir. Il l'assure qu'il ne refusera pas un article sur la pièce de monsieur Vacquerie, évoqué dans sa lettre du 1er septembre, s'il n'est pas trop long. Il estime que la publication des sommaires du Devoir n'est pas utile et qu'il en fera l'économie ; il évoque une expropriation du bureau du journal. Il lui remet un chèque de 312,76 F sur la Caisse commerciale en paiement de son travail au bureau du Devoir et de ses articles sur le salon de 1879 (215,20 F à raison de 0,10 F la ligne). Il l'informe que Champury a reçu et qu'il en rendra compte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Thiaudière une lettre et un mandat contenus dans sa lettre de la veille. Il l'assure qu'il n'attache pas d'importance à la question de la non réception par le concierge d'un abonnement au journal Le Devoir. Il attend l'article de Thiaudière [sur le Salon de 1879] suivant les principes qu'il a acceptés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Thiaudière qu'il répond en retard à ses questions à cause de la célébration de la fête du Travail, dont il trouvera la relation dans le numéro du 18 mai du journal Le Devoir. Il pense qu'il faudrait distribuer ce numéro du journal aux personnes qui s'intéressent aux idées nouvelles et aux questions qui se rattachent au travail, et il demande à Thiaudière une liste d'adresses de personnes à Paris ou dans les départements. Il le remercie pour l'envoi des trois volumes de la Revue des idées nouvelles, qu'il juge excellent pour leur bibliothèque. Sur des questions relatives à un monsieur Charn[...]. Sur la publication des articles de Thiaudière sur le Salon de 1879 : il lui demande de les envoyer par la poste le mercredi avant cinq heures du soir ; il l'avertit que le premier article ne pourra pas paraître dans le prochain numéro en raison des matières importantes relatives à la fête du Travail. Il accuse réception d'ouvrages envoyés par Thiaudière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Thiaudière un mandat poste. Il attire son attention sur l'avis aux abonnés de Paris paru dans le journal Le Devoir, dont il demandait l'insertion. Il informe Thiaudière que les mots « 2e année » seront restitués dans le sommaire du journal. Il indique que madame Rouget, abonnée au journal, peut obtenir des informations sur le Familistère en achetant Solutions sociales ou La richesse au service du peuple. Il lui envoie une petite photographie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Thiaudière qu'il n'a pu s'occuper du roman car il est accablé d'affaires, mais qu'il a écrit à Auguste Ghio au sujet du dépôt. Thiaudière a évoqué 600 exemplaires à livrer à Ghio et 100 exemplaires à distribuer à la presse : Godin veut savoir si ces volumes seront distribués aux frais de Ghio. Godin annonce à Thiaudière qu'il lui enverra l'épreuve de la couverture du livre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient Thiaudière qu'il est contraint de restreindre les frais du journal Le Devoir et il lui demande de réduire la longueur des derniers articles de sa présentation du Salon de 1879. Il lui annonce que la publication en feuilleton du roman La Fille de son père est terminée et qu'il faut maintenant trouver un éditeur du roman en volume qui comprendra environ 630 p. ; il lui demande de soumettre le volume à Dentu, à qui il en avait déjà parlé. Godin indique à Thiaudière qu'il a reçu et lu avec intérêt la comédie de ce dernier M. Martin légitimiste, mais qu'il n'a pas reçu le roman de madame Arnaud, La Cousine Adèle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Thiaudière qu'il veut cesser de faire les frais du bureau de Paris du journal Le Devoir à la fin de ce mois. Il lui demande de lui retourner les livres, journaux et autres objets concernant le journal. Il l'informe qu'il profitera pour les abonnements de Paris de la Librairie des sciences psychologiques au 5 rue Neuve-des-Petits-Champs. Il l'informe que l'impression du roman La Fille de son père s'achève et qu'il espère en envoyer des exemplaires à M. Ghio. Il se félicite des bonnes relations qu'ils ont entretenues l'un avec l'autre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Thiaudière qu'il est inutile de lui renvoyer les plaques du journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Thiaudière qu'il publierait volontiers ses articles sur le Salon dans le journal Le Devoir s'il faisait ressortir que l'art doit désormais être au service du progrès social, alors que l'art du passé célébrait la guerre et le meurtre. Godin indique à Thiaudière qu'il serait heureux que ses ouvrages fassent partie de la bibliothèque qu'il projette de fonder. Sur l'ouverture du bureau de Paris du Devoir : Godin mentionne le cas d'un personne qui n'a pu payer son abonnement alors qu'il était entendu qu'il était possible de le faire toute la journée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Edmond Turquet que son employé Alphonse Grebel se rend à Paris pour consulter les archives de l'artillerie qui concernent la fonte des projectiles de guerre. Il demande à Turquet s'il peut faciliter ses recherches.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Turquet qu'il devait venir à Sains et lui parler de l'opportunité d'un voyage de lui-même et de Ganault à Paris pour voir le ministre des Travaux publics. Il lui demande de lui donner son avis sur l'opportunité du voyage. Il l'informe que Ganault est prêt à partir jeudi et qu'il lui a demandé une étude sur le raccordement possible entre la ligne de Saint-Quentin et la ligne de l'État passant par Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet la copie d'une lettre qu'il adresse au ministre des Finances au sujet de vignettes. Il demande à Turquet d'appuyer sa demande.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Edmond Turquet d'appuyer une demande relative au « vieux père Dubois » qu'il lui communique, et de remettre ensuite celle-ci au ministre de la Marine.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin offre à Turquet l'hospitalité au Familistère à l'occasion de son court séjour à Guise pour recueillir auprès des maires du canton des renseignements sur une question non précisée [le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Edmond Turquet que le congé accordé au jeune marin Dubois va expirer. Il lui demande s'il peut l'appuyer pour obtenir un sursis pour ne pas être obligé de regagner Toulon avant que sa demande ait été instruite. Godin précise que c'est Dubois lui-même qui lui remettra la lettre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Champury qu'il a l'intention de suspendre la publication du journal Le Devoir ou de le transformer en revue et qu'en conséquence, il veut faire cesser l'engagement qui les lie à compter du 15 juillet 1880.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Édouard de Pompéry d'être un des rares champions du Familistère et d'attirer sur celui-ci l'attention publique. Il lui signale que le journal Le Devoir va publier un article sur sa brochure Blanquistes et opportunistes. Il regrette que l'imprimeur ait différé l'insertion de la réclame pour Les jésuites et le jésuitisme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Glaser de Willebrord qu'il ne peut pas donner un emploi à son protégé Eccarius surtout s'il ne sait pas suffisamment le français. Il lui explique que le journal Le Devoir n'est pas un journal de propagande d'idées générales, mais qu'il a été fondé pour une œuvre toute spéciale, qu'il entre dans une phase nouvelle depuis la publication des statuts de l'association du Familistère et qu'il doit maintenant servir à établir les bases de la morale pratique dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit pas que les hommes aient acquis, même comme nous, la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe, pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il lui faut des concours, mais il ne voit pas comment Eccarius pourrait y prendre part. Il précise qu'il a déjà un correspondant à Londres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des notes envoyées par Neale en septembre 1879 sur les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui annonce l'envoi prochain d'un exemplaire imprimé des statuts. Il le remercie pour le don à la bibliothèque du Familistère de 39 volumes des classiques français réceptionnés la veille. Godin demande à Neale de lui envoyer les albums des grands fabricants d'appareils de chauffage au Royaume-Uni, afin d'y relever les termes techniques utiles pour une traduction en anglais des albums et tarifs de la manufacture du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Neale qu'il n'a pas eu le temps de lui communiquer les éléments demandés pour une notice, qu'il voulait lui envoyer avec les statuts de l'association du Familistère. Il lui explique que ces statuts devraient paraître en volume mais qu'ils ne seront imprimés qu'après que les difficultés légales qu'ils soulèvent seront réglées. Il lui demande de lui confirmer que le compte-rendu des opérations du Familistère a été publié dans l'American Socialist.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Neale du 19 août 1879. Il l'informe que la fête de l'Enfance du Familistère aura lieu le dimanche 7 septembre suivant et que sa visite lui fera plaisir, mais il se demande si un jour de fête est opportun pour faire voir le Familistère à son ami, plutôt qu'un jour de travail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des albums envoyés par Neale et l'en remercie. Il lui annonce l'envoi prochain des statuts de l'association du Familistère. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Neale de l'avant-veille. Il l'informe qu'il a répondu à Londres à sa lettre du 19 août. Il lui confirme que la fête de l'Enfance aura lieu le 7 septembre et qu'il sera heureux de sa visite et de celle de ses amis. Il lui confirme aussi qu'il y a des hôtels à Guise. Il lui indique qu'il aurait été heureux de lui offrir des chambres au Familistère mais que cela est difficile au moment des fêtes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Neale du 24 mai 1879. Il lui confie que ses embarras judiciaires l'engagent à la prudence pour donner de la publicité à la répartition des bénéfices qu'il met en œuvre dans son usine, mais qu'il espère toutefois publier prochainement les statuts de l'association du Familistère. Sur la commandite dans l'association du Familistère : Godin précise qu'il ne s'agit pas d'un appel de fonds, car il met 6 millions de francs dans l'association, mais qu'il s'agit d'une manière de laisser la faculté aux travailleurs et travailleuses de faire des apports au capital. Il ajoute qu'il n'y a pas de nécessité pour l'association de recevoir des fonds de l'extérieur, mais que si Neale voulait s'attacher à l'œuvre du Familistère, ils pourront en discuter ensemble.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leroy que les Fonderies et manufactures du Familistère se sont équipées d'un appareil de chauffage Siemens pour le chauffage de moufles de grandes dimensions, mais qu'il ne dispose pas d'un chauffeur connaissant l'appareil. Il lui demande de l'autoriser à envoyer un de ses chauffeurs se former à Chauny dont l'usine est équipée d'un appareil de ce type.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Émile Leroy d'avoir communiqué sa lettre [du 4 avril 1879] à Mathias Biver, à la suite de quoi il peut envoyer quelqu'un à Saint-Gobain pour se former au fonctionnement des appareils Siemens. Il lui demande des renseignements sur les amortissements pratiqués dans la comptabilité de la Manufacture des glaces de Saint-Gobain, car, lui explique-t-il, il doit régler une importante affaire dans laquelle le jugement rendu l'oblige à appliquer les amortissements pratiqués dans les grands établissements.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Leroy pour sa lettre du 27 avril 1879 relative aux amortissements pratiqués par la Manufacture des glaces de Saint-Gobain. Il voudrait de plus savoir si la compagnie de Leroy verse un intérêt à ses actionnaires avant le partage des bénéfices, et dans ce cas quel est le taux annuel de cet intérêt.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Émile Leroy pour les renseignements qu'il lui a communiqués

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Rouyer les pièces qu'il lui avait communiquées. Il l'informe qu'il a probablement faix choix d'un candidat. Dans le post-scriptum, Godin indique qu'il n'a pas reçu les numéros du Journal d'agriculture pratique, et qu'il les lui retournera s'il les reçoit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres d'Emmanuel Épaulard et lui retourne un mandat. Il lui fait part de son mécontentement du fait que les maisons Girot et Lajourdie n'ont pas encore reçu les circulaires demandées et lui demande de leur en envoyer. Il lui transmet ses compliments et ceux de Marie Moret ainsi qu'à Pascaly.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Épaulard de faire imprimer 1 000 exemplaires de la circulaire Lajourdie. Godin demande à Épaulard d'aider Jules Pascaly dans son travail sur la comptabilité sociale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Guyot-Dormoy la nature de l'association du Familistère, qui embrasse à la fois le domaine de l'industrie et celui de la vie domestique, et lui indique que les statuts de l'association ne comprennent pas de règles spéciales pour le service alimentaire. Il lui laisse espérer qu'il publiera un travail dans le journal Le Devoir pour répondre à sa demande et à d'autres analogues.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Obry que Tisserant lui a demandé à plusieurs reprises de fixer l'audience de l'affaire entre son fils et lui. Il confirme qu'il veut en finir rapidement avec elle. Il souhaite qu'il s'entende avec Delpech pour extraire du mémoire qui lui a été remis la substance utile pour l'impression. Il lui propose de le régler pour le procès.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Alphonse Delpech a informé Alexandre Tisserant qu'Émile Godin a fait connaître ses conclusions dans le procès qui l'oppose à son père. Godin demande à Obry de s'occuper du procès, dont l'audience a été fixée au 24 mai 1880.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Rignault que Perruchot et Chalumeau, banquiers à Corbigny, proposent de lui acheter la parcelle dite « chaume Potin » au prix de 400 F. Godin juge l'offre dérisoire. Il demande à Rignault s'il ne faudrait pas vendre la parcelle par voie d'adjudication

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la somme de 495 F, résultat de la vente d'un terrain faite à monsieur Perruchot.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ernest Rignault un pouvoir pour régulariser la vente aux enchères d'une parcelle de terrain se trouvant le long de la route de Corbigny à Cervon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin autorise Eugène André à acquérir 1 000 tonnes de fonte n° 1 et 1 000 tonnes de fonte n° 3. Il l'invite à ne pas subir les exigences de Muller au sujet de ses navires pour le transport de la fonte. Il regrette qu'André ne soit pas allé en Angleterre 3 mois plus tôt pour s'approvisionner à meilleur prix, et il lui demande d'y rester le temps qu'il faudra pour étudier la question. Il lui signale que le port de Calais est tellement encombré qu'il télégraphie à Dunkerque pour savoir si on peut y décharger la fonte de ses navires. Il lui demande enfin de profiter de son séjour pour examiner la question des exportations vers Londres et l'Angleterre.
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