FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Hourdequin de faire les corrections de l'article Mutualité sociale et d'en tirer à la brosse 50 exemplaires, et de composer et de tirer également à 50 exemplaires une notice jointe sur Le Fille de son père. Il l'avertit que le prochain numéro du journal Le Devoir contiendra la table et le premier chapitre du roman Le dernier-né de Ginx ; il le prie de lui adresser régulièrement trois épreuves à la brosse de toutes les parties du roman. IL accuse réception de 27 exemplaires de La Fille de son père ; il lui demande combien d'exemplaires il lui reste à brocher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit mademoiselle Guillaumin qu'il ne pourra accepter de lui céder les exemplaires de Mutualité sociale à 50 % de leur prix qu'à la condition qu'ils en prennent un nombre déterminé. Il lui annonce qu'il va aussi en faire une édition de luxe avec gravure de la vue générale semblable à celle de Solutions sociales, de 300 pages environ, in-8° carré, au prix public de 5 F. Il lui demande le nombre d'exemplaires de Solutions sociales in-8° et in-18° qui subsistent chez elle.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Auguste Ghio qu'il fait imprimer Mutualité sociale. Il lui demande s'il veut en assurer la vente conjointement avec son éditeur mademoiselle Guillaumin, rue Richelieu. Il lui explique qu'il veut faire deux éditions dont une de luxe avec la vue générale du Familistère et de son usine, que le volume comprendra 300 pages in-8°, que le prix de l'édition de luxe sera de 5 F. Il précise qu'il cédera les exemplaires à 40 % du prix. Il lui demande des nouvelles du roman .

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin se plaint de l'acharnement administratif contre la ville de Guise et contre lui en particulier à propos de l'implantation de la gare de Guise, question que le préfet entend porter devant le conseil départemental mais aussi auprès de la commission d'enquête du département du Nord. Il demande à Ganault de venir à Guise pour en parler avec lui.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les épreuves du roman Le Dernier-né de Ginx. Il accuse réception de la caisse contenant les exemplaires de La Fille de son père ; il lui demande combien il en reste d'exemplaires non brochés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin accuse réception de la lettre de Ganault de la veille qui l'informe que Menche de Loisne a parlé devant la commission d'enquête de relier l'usine du Familistère à la gare par tramways ou par chemin de fer. Il rappelle que Menche de Loisne avait parlé devant le Conseil général de l'Aisne d'une liaison avec l'usine par chemin de fer. Il fait observer que les tramways seraient moins économiques que ses transports par camions et qu'il est opposé à ce système : « Deux ponts à jeter sur l'Oise, un tunnel sous la route et sous les magasins, des machines élévatoires dans ces magasins, tout cela coûterait très probablement trois cent mille francs. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault que Turquet devait lui donner des nouvelles de ses démarches auprès du ministre sur la question du chemin de fer, mais qu'il n'est pas venu dans la région de Guise. Il propose à Ganault d'aller avec lui à Paris et il lui demande s'il a un plan de campagne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Glaser de Willebrord qu'il ne peut pas donner un emploi à son protégé Eccarius surtout s'il ne sait pas suffisamment le français. Il lui explique que le journal Le Devoir n'est pas un journal de propagande d'idées générales, mais qu'il a été fondé pour une œuvre toute spéciale, qu'il entre dans une phase nouvelle depuis la publication des statuts de l'association du Familistère et qu'il doit maintenant servir à établir les bases de la morale pratique dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit pas que les hommes aient acquis, même comme nous, la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe, pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il lui faut des concours, mais il ne voit pas comment Eccarius pourrait y prendre part. Il précise qu'il a déjà un correspondant à Londres.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Lesur que sa lettre est arrivée trop tard et qu'il ne pourra s'occuper de la question qu'à la session d'août [du Conseil général de l'Aisne].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin choisit une carte de Grande-Bretagne dans le catalogue de la maison Edward Stanford. Il lui envoie un chèque de 3 livres sterling et lui demande l'envoi de la carte.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Fauvety qu'il publierait volontiers son compte-rendu du livre de Nus, Choses de l'autre monde. Il l'informe que le nombre d'abonnés au journal est tombé à 250 en avril, mais qu'il peut tout dire à ce sujet, sans ménager le public « qui sait toujours non seulement nous deviner, mais aller même au-delà de ce qu'admet la raison des penseurs ». Il annonce à Fauvety que la publication des statuts de l'association du Familistère doit être le point de départ d'une phase nouvelle pour Le Devoir, qui doit servir à établir les bases pratiques de la morale dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit même pas que les hommes aient acquis comme nous la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien dans l'humanité. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il cherche à recruter de nouveaux collaborateurs et pense transformer son journal en revue. Il lui demande son avis à cet égard.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Fauvety qu'il est disposé à transformer le journal Le Devoir en revue et en revue sociale et religieuse sous le titre qu'il lui indique. Il affirme que l'époque attend des solutions sociales et religieuses. Il lui demande de le mettre en rapport avec les quatre ou cinq « amis de la foi et des œuvres » dont il lui a parlé pour être collaborateurs de la revue. Godin pense qu'il s'agit d'élever l'action sociale au sentiment religieux et de traduire la pensée religieuse en action sociale. Sur un projet d'association proposé par Fauvety entre Godin et les rédacteurs du journal. Sur la direction de la revue. Il demande à Fauvety si Nus peut collaborer à la revue. Il souhaite que le journal annonce rapidement l'apparition de la revue avec le nom des rédacteurs.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie la chambre La Solidarité pour les deux cartes qu'elle a décernées à elle et Godin dans sa séance du 7 avril 1880, et qu'Auguste Fabre leur a remises.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Auguste Fabre a annoncé à Marie Moret sa venue à Guise. Fabre a posé à Godin une question [relative à un emploi à offrir à Philip, un ami de Fabre, et à d'autres personnes de sa connaissance]. Godin explique à Fabre que l'association du Familistère requiert des apôtres dévoués à l'œuvre, mais que des collaborateurs entraînés par les illusions pourraient être préjudiciables et que peu d'hommes partisans des idées nouvelles se rendent compte des obstacles à surmonter. Il ne veut pas que l'on pense que le Familistère est un séjour de bonheur et souhaite que les hommes dévoués à l'œuvre du Familistère soient aussi des travailleurs utiles. Il donne le détail des ateliers de l'usine où un ouvrier intelligent peut trouver sa place et ajoute que des aptitudes spéciales sont nécessaires pour les fonctions de direction. Sur Philip et sa femme : ils vivent heureux à Nîmes et l'horlogerie n'a pas de rapport avec l'industrie du Familistère ; ils doivent mûrir leur résolution de venir au Familistère. Godin demande à Fabre que ses amis désireux de contribuer à l'œuvre du Familistère lui fassent part des connaissances pratiques qu'ils possèdent.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Veuve Éthiou-Pérou les 25 placards de son ouvrage Mutualité sociale pour faire la mise en page, dont il demande des épreuves.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à veuve Éthiou-Pérou sa lettre de la veille et l'envoi des 25 placards de Mutualité sociale. Il lui envoie des corrections supplémentaires des articles 44 et 138 des statuts de l'association du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Turquet qu'il devait venir à Sains et lui parler de l'opportunité d'un voyage de lui-même et de Ganault à Paris pour voir le ministre des Travaux publics. Il lui demande de lui donner son avis sur l'opportunité du voyage. Il l'informe que Ganault est prêt à partir jeudi et qu'il lui a demandé une étude sur le raccordement possible entre la ligne de Saint-Quentin et la ligne de l'État passant par Les Coutures.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Champury qu'il a l'intention de suspendre la publication du journal Le Devoir ou de le transformer en revue et qu'en conséquence, il veut faire cesser l'engagement qui les lie à compter du 15 juillet 1880.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Ganault sa lettre du matin. Il lui envoie l'épreuve corrigée [de son discours au conseil général de l'Aisne], que lui a envoyée Albert Abot, chef de la 1re division. Il lui demande d'en surveiller la correction et de faire le nécessaire auprès d'Abot et de Levasseur.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault qu'il a reçu l'épreuve de son discours au conseil général de l'Aisne qui contient des documents essentiels pour soutenir sa proposition et dont il veut faire une brochure intitulée Observations présentées au conseil général sur le projet de chemin de fer de Wassigny à Guise. Il demande à Ganault de presser Levasseur pour faire le tirage. Il pense qu'il serait utile de remettre la brochure au ministre. Il indique à Ganault que l'étude sur un raccordement de la ligne de Saint-Quentin à Guise avec la ligne de l'État par Les Coutures ne sera pas achevée le jeudi suivant mais qu'il pourra fournir toutes les explications à ce sujet. Il l'informe qu'il a écrit la veille à Turquet, qu'il attend sa réponse et qu'il pense que le voyage devrait être différé pour avoir les exemplaires de son discours du conseil général. Dans le post-scriptum, il indique que l'étude sur le raccordement est achevée.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Godin accuse réception de la brochure Associated Homes de Neale et l'en remercie. Neale a indiqué à Godin qu'il aurait recours au journal Le Devoir pour effectuer la traduction des statuts de la Société du Familistère : Godin lui promet l'envoi prochain du livre, dont la mise en page est en cours. Il lui transmet le meilleur souvenir de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Virginie Griess-Traut qu'il ne peut réaliser le travail qu'elle demande. Il lui indique qu'il a publié dans Solutions sociales des documents sur la nourricerie ou crèche du Familistère. Il regrette de ne pouvoir lancer dans Le Devoir un appel pour un ménage sociétaire, comme le souhaite Jean Griess-Traut : « J'ai éprouvé trop de déboires dans l'École sociétaire au sujet des appels au public pour me faire moi-même l'organe de nouveaux appels, surtout dans une question où les anciens phalanstériens sont tellement divisés. » Dans le post-scriptum, il accuse réception de l'abonnement d'un an de Virginie Griess-Traut au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Levasseur qu'il va supprimer le bulletin politique du journal Le Devoir en raison des modifications qu'il va apporter au journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'édition d'une brochure [avec le discours de Godin au conseil général de l'Aisne sur les chemins de fer de Wassigny à Guise] imprimée par l'imprimerie du Courrier de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Fauvety qu'il commence la transformation du journal Le Devoir avec la suppression du bulletin politique dès le prochain numéro, et qu'il est prêt à accepter la collaboration des amis de Fauvety. Il ne souhaite pas développer la totalité du programme dans les colonnes du journal mais veut qu'il soit admis, comme l'a exprimé Fauvety, « que l'action sociale sera élevée au sentiment religieux et que la pensée religieuse sera traduite en action sociale ». Il fait référence aux observations qu'il a faites dans le numéro du Devoir du 9 novembre 1879 à propos des articles que Léon Denis a envoyés au journal : « J'ai trouvé alors que Léon Denis faisait trop peu de cas de la vie terrestre pour tout placer dans la vie céleste. » Il souhaite que la question religieuse soit abordée dans les limites indiquées dans l'article « Le progrès d'abord sur la Terre » paru dans les numéros du Devoir des 9 et 16 novembre 1879.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Sénéchal que l'ingénieur qui a fait les études dans sa contrée est dans l'impossibilité de faire les travaux demandés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Veuve Éthiou-Pérou la mise en page de son livre Mutualité sociale.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Ganault le manuscrit de sa brochure [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise]. Il lui demande d'en suivre l'impression. Il lui indique que ce document leur permettra de répondre à toutes les objections qui leur ont été faites. Il lui signale que l'imprimeur peut réutiliser la composition faite pour le volume du conseil général.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Fabre du 23 avril 1880 et de celle de Roux. Sur l'arrivée de Fabre au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Levasseur a envoyé à Godin un télégramme lui réclamant les épreuves corrigées [de sa brochure sur le chemin de fer de Wassigny à Guise], alors qu'il n'a pas reçu ces épreuves. Il suppose que Ganault a dû se charger lui-même des corrections. Il lui envoie une addition au manuscrit qu'il lui a envoyé la veille.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Alphonse Delpech a informé Alexandre Tisserant qu'Émile Godin a fait connaître ses conclusions dans le procès qui l'oppose à son père. Godin demande à Obry de s'occuper du procès, dont l'audience a été fixée au 24 mai 1880.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'ajout d'une délibération du conseil général de l'Aisne à la brochure de Godin [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin décrit à Levasseur le contenu du manuscrit de sa brochure [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise]. Il lui indique qu'il doit réutiliser la composition de son discours au conseil général sur le sujet. Il lui demande de tirer rapidement la brochure à 100 exemplaires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Ganault une lettre demandant audience au ministre des Travaux public pour qu'il l'envoie avec deux exemplaires de sa brochure [sur le chemin de fer de Wassigny à Guise]. Il lui propose de descendre avec lui à l'hôtel de la place du Palais-Royal à Paris lorsque le ministre aura fixé le jour de l'audience.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au ministre des Travaux publics une audience pour l'entretenir du chemin de fer de Wassigny à Guise sur la ligne de Valenciennes à Laon. Il l'avertit qu'il viendra avec Gaston Ganault, conseiller général de l'Aisne et ancien député comme lui. Il lui indique qu'il joint à son courrier une brochure montrant que les études d'avant-projet de l'ingénieur en chef des ponts et chaussées compromettent les intérêts de l'État, des communes, de l'industrie et du trafic général. Il lui annonce qu'il lui remettra des plans et des profils rectificatifs de cet avant-projet.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini qu'elle lui écrit de la part de Godin, appelé à Paris pour une question de chemin de fer. Elle l'avertit que l'ouvrage contenant les statuts de l'association du Familistère est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui explique que le travail consacré à cette étude, en plus des questions de l'usine et de celles du Familistère ont empêché Godin de rédiger l'article sur l'ouvrage de monsieur Jozon. Elle lui demande s'il suit la publication du Dernier-né de Ginx dans le journal Le Devoir, qui est une bonne œuvre mais de peu d'étendue. Elle lui demande s'il connaît une œuvre qui pourrait être publiée en feuilleton à la suite de Ginx's Baby. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin, de sa sœur et d'elle-même.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Neale que ce qu'il a écrit dans The Cooperative News sur les pionniers de Rochdale inspire à Godin et à elle le désir de connaître exactement leur programme. Elle lui demande dans quel document elle pourrait trouver ces renseignements. Elle l'informe que l'ouvrage Mutualité sociale est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui signale que Godin est actuellement absent de Guise mais qu'elle est chargée de lui présenter ses amitiés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Cadoret est venu au Familistère en l'absence de Godin. Godin exprime à Cadoret le plaisir que Marie Moret a eu de le recevoir. Il regrette le départ de Cadoret mais se réjouit de son avancement et lui souhaite du bonheur dans sa nouvelle résidence.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Neale pour l'envoi d'un ouvrage en deux volumes dont elle a commencé la lecture. Elle estime que l'histoire des pionniers de Rochdale est un exemple remarquable de l'oubli des principes en matière de réformes sociales dont parle Neale. Elle lui annonce qu'elle et Godin seraient heureux de voir le discours de Godin à la fête du Travail publié dans The Cooperative News. Elle lui demande s'il connaît en Angleterre des journaux comme The Cooperative News avec lesquels Le Devoir pourrait échanger.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini que le journal Le Devoir fait échange avec The Cooperative News de Manchester. Elle lui demande avec quel autre journal anglais de réformes sociales, Le Devoir pourrait échanger. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin et d'elle-même.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Deville et l'informe qu'elle paraîtra dans le prochain numéro du journal Le Devoir. Il lui indique qu'il recevrait volontiers de lui des communications sur l'enseignement professionnel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Ryan sur le conseil de Louis Simonin, en visite au Familistère, à qui il demandait s'il connaissait des journaux en Amérique ou en Angleterre avec lesquels Le Devoir pourrait faire échange. Godin demande à Ryan s'il peut lui communiquer l'adresse de ces journaux. Il l'informe que plusieurs journaux d'Amérique et d'Angleterre ont déjà traité du Familistère : le Harper's Magazine d'avril 1872, The Birmingham Journal The Social Science Review, The Builder/em>, The Cooperative News de Manchester. Il l'invite à venir voir le Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire de Guise que l'abattoir situé aux Coutures est, depuis quelque temps, cause d'une infection de l'atmosphère dans tout le quartier. Il lui demande de faire observer les règlements relatifs aux abattoirs en matière de salubrité publique. Il lui signale que plus de 1 000 ouvriers de son usine respirent une atmosphère nauséabonde et qu'on ressent les effets de cette infection jusque dans la rue de Cambrai.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Guyot-Dormoy la nature de l'association du Familistère, qui embrasse à la fois le domaine de l'industrie et celui de la vie domestique, et lui indique que les statuts de l'association ne comprennent pas de règles spéciales pour le service alimentaire. Il lui laisse espérer qu'il publiera un travail dans le journal Le Devoir pour répondre à sa demande et à d'autres analogues.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Levasseur qu'il est son débiteur pour les 4 derniers mois de sa collaboration au journal Le Devoir. Il lui demande s'il est prêt à reprendre une part dans la rédaction du journal et lui propose un certain nombre de thèmes à traiter.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Eugène Nus qu'à l'occasion de leur entrevue récente, il lui a laissé espérer qu'il prendrait une part dans la rédaction du journal Le Devoir. Il lui fait part de la proposition de Fauvety d'attacher au journal des collaborateurs rémunérés uniquement par le partage des bénéfices éventuels, mais lui confie que ce mode d'organisation ne lui semble pas offrir toutes garanties possibles pour s'attacher des collaborateurs assidus. Il lui annonce qu'il est prêt, malgré les frais qu'il doit supporter pour la publication du journal, à lui offrir une rémunération pour ses articles. Il assure Nus qu'il n'a jamais été autant en communion d'idées avec quelqu'un. Il lui demande quand il viendra étudier le Familistère sur place et lui offre l'hospitalité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Favelier du 25 avril 1880. Godin prévient Favelier que l'association du Familistère est si souvent sollicitée pour des prétendues inventions de fourneaux de cuisine, qu'il ne doit pas beaucoup espérer de sa proposition. Il l'informe que le journal Le Devoir va publier la partie principale de sa circulaire. Il lui conseille d'expédier par chemin de fer les livres qu'il veut donner à la bibliothèque du Familistère et il le remercie au nom de l'association du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pellarin a envoyé à Édouard Champury un article. Godin demande à Pellarin s'il veut collaborer au journal Le Devoir et s'il souhaite visiter le Familistère. Il lui adresse les numéros du journal depuis le 1er avril et lui annonce qu'il bénéficiera désormais du service gratuit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Mourlet a écrit le 5 avril 1880 à Godin pour lui demander si Mutualité sociale contiendra les renseignements nécessaires pour constituer une société coopérative de consommation. Il lui explique que l'Association du Familistère embrasse le domaine de l'industrie et celui de la vie domestique et qu'ainsi son cadre est trop large pour que ses statuts puissent s'appliquer à une société spéciale. Il le renvoie au Devoir, auquel Mourlet est abonné, qui pourra prochainement donner satisfaction à sa demande.
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