FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (20) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette qu'un employé de l'usine ait donné de mauvaises indications à Furcy car les dernières gravures qu'il a faites présentent des lignes hors d'aplomb et non parallèles les unes aux autres. Il l'informe qu'il accepte toutefois le travail et lui commande de nouveaux clichés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Albans Chaix du 20 mai 1879 : il lui envoie Solutions sociales, La richesse au service du peuple, Les socialistes et les droits du travail, et promet de lui envoyer les statuts de l'association coopérative dès qu'ils seront imprimés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin confirme à Tisserant son télégramme du matin le priant d'attendre à Lyon une lettre de lui. Il lui demande s'il peut recueillir dans les fonderies de Lyon et des autres villes qu'il visitera des attestations sur l'usage de lanternes dans la fonte d'objets creux comme les grenades ou les obus, dans le but de montrer que le procédé est connu de tous les fondeurs et n'est pas une nouveauté comme le prétend le brevet de Boucher et Cie. Il lui envoie un croquis [non copié].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Godin communique à Tisserant une lettre de Guettier et des documents sur le sujet qui, selon lui, manquent de précision. Il lui envoie les attestations qu'il a recueillies à Paris pour la fabrication de boules creuses.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie 100 F à Tisserant et lui renvoie 4 lettres arrivées en son absence. Sur le procès avec Émile Godin : sur l'établissement du compte d'Émile et la question du taux des intérêts et des amortissements ; Godin veut que la cour décide qu'il n'est pas tenu de fournir à son fils Émile le logement et qu'aussitôt le compte réglé, celui-ci devra libérer les appartements qu'il occupe au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur le moulage d'objets creux. Sur les statuts de l'association du Familistère : Godin précise à Tisserant que l'imprimeuse des statuts est madame veuve Éthiou-Pérou au 2 et 4 rue de Damiette à Paris ; il lui annonce qu'il va faire dresser la liste des anciens habitants du Familistère ; il propose d'offrir à Vavasseur la somme de 2 000 F et souhaite qu'il lui demande de faire ses dernières observations. Il transmet à Tisserant le meilleur souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il renonce à confier ses procès en contrefaçon à Eugène Pouillet en raison des conditions indélicates posées par Guillaume Ernest Cresson. Il regrette que le corps des avocats de Paris ne fasse pas respecter la discipline parmi eux et se dit prêt à se passer de leur concours. Il demande à Tisserant de reprendre son dossier si Pouillet ne fixe pas le montant de ses honoraires avant de plaider son affaire à Amiens. Il lui demande de lui télégraphier quand il arrivera à Valenciennes, où il le retrouvera à l'hôtel du Commerce.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès avec Émile Godin. Sur le compte d'Émile Godin. Godin demande à Tisserant d'expliquer à Goblet que la question qui se pose est celle de savoir s'il y a une preuve d'association entre le père et le fils qui justifierait qu'Émile demandait 2 500 000 F ou s'il ne s'agit que d'une intention de dotation du père à l'égard du fils. Dans le post-scriptum, Godin rapporte une conversation avec son fils Émile suivant laquelle celui-ci justifiait d'avoir porté des sommes importantes à son compte par l'intention de se porter le cas échéant acquéreur des usines qu'Esther-Lemaire aurait pu faire vendre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bocheux du 21 avril 1879 en lui annonçant qu'il est prêt à examiner son entrée dans les Fonderies et manufactures du Familistère s'il l'autorise à demander des renseignements sur son compte à monsieur Cléry. Il lui indique qu'il pourra lui accorder des appointements équivalents à ceux qu'il perçoit à Origny.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Falaize que son fils Émile a interjeté appel d'un jugement [du tribunal de Vervins].

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos d'un procès en appel.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Tisserant a informé Godin que l'affaire avec son fils ne viendra pas avant le début de mai devant le tribunal. Godin exprime son mécontentement. Il lui rappelle qu'il avait écrit à M. Obry à ce sujet le 6 février 1880. Il le prie d'éviter un nouveau report.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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De retour du conseil général de l'Aisne, Godin annonce à Delpech qu'il doit renoncer à se rendre à Amiens car sa plus proche parente à Guise est sur le point de mourir. Il ajoute qu'Alexandre Tisserant est absent mais qu'il doit aller à Amiens. Il compte sur Delpech et Aubry pour pallier à son absence.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Gilliot que le journal n'a pu publier son travail arrivé au moment où l'affaire de l'isthme de Panama, dont il était un des souscripteurs, était abandonnée. Il lui propose de conserver ce travail dont la partie sur le canal interocéanique pourrait être publié quand l'opinion publique sera à nouveau saisie de la question.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur les déclarations à recueillir auprès des fonderies sur l'usage d'une lanterne dans la fonte de pièces creuses. Il précise que les experts [dans l'affaire Boucher et Cie] estiment que c'est dans la substitution et la simplification du procédé Wilkes que consiste l'invention de Scellier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin demande à Amédée Moret de lui confirmer la vente par Boucher de boutons de porcelaine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Amédée Moret qu'il devait lui signaler les appareils de chauffage contrefaits que l'on peut trouver dans les maisons de Paris. Il lui remet une invitation à retirer un diplôme de médaille d'argent et le prie de demander dans les bureaux pourquoi il n'est pas question de la médaille d'or.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin autorise Amédée Moret à recevoir le diplôme pour rappel de médaille d'argent dans la classe 43 et la médaille d'or dans la classe 27 de l'Exposition universelle de 1878.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amédée Moret de se rendre chez l'avocat Cresson au 41 rue du Luxembourg [actuellement Guynemer] à Paris pour y récupérer des pièces de comptabilité et expédier celles-ci à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amédée Moret de se rendre chez Boissy au 14 rue Debelleyme pour y prendre au moins 30 volumes à expédier au Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Amédée Moret qu'il n'a pas le temps de s'occuper de la publication dont il lui parle dans sa lettre du 10 novembre 1879. Il lui demande de se rendre à l'Association des comptables présidée par M. Bouffard au 6 rue Turbigo à Paris car il a besoin rapidement d'un comptable, non-fumeur de préférence, de moins de 35 ans ; il précise que les candidats devraient indiquer leur prétention salariale et donner des références complètes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amédée Moret de se rendre chez l'avocat Cresson à Paris, qui lui remettra 4 000 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin regrette que sa santé ne lui permette pas d'aller le voir à Paris ; il lui signale qu'Alexandre Tisserant lui expliquera quelles sont les recherches qu'il doit faire. Il l'informe qu'une expertise a eu lieu sur les boutons de porte en fonte de fer et qu'elle lui a donné raison contre Boucher et Cie. À propos du brevet Scellier et de la fabrication des objets creux en fonte : Godin pense que le procédé contenu dans le brevet Scellier est utilisé couramment chez les fondeurs mais il n'a pu trouver un fondeur le mettant en œuvre à Paris. Il demande à Guettier de lui fournir les preuves de l'usage commun de ce procédé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Guettier même si son procès a été un échec complet. Il l'informe qu'il lui enverra aussi vite que possible la notice qu'il demande sur son établissement.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Barbary que les usines du Familistère fabriquent des appareils de chauffage portatifs domestiques, et que l'emploi en question consiste à étudier des modèles nouveaux et à construire les modèles, et requiert la connaissance des moyens de fonderie. Il ajoute que ses établissements sont constitués en une association réunissant plus de 1 000 personnes qui participent aux bénéfices de l'industrie, que les employés doivent contrôler et surveiller les conseils du Familistère, et qu'il a besoin d'hommes au caractère bienveillant. Godin demande à Barbary le minimum d'appointements qu'il accepterait, son âge, sa situation de famille et s'il fait usage de tabac.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Barbary du 24 février 1880 confirmant son intention d'entrer dans ses établissements. Il lui précise qu'il lui versera 400 F par mois d'appointements pendant la première année. Il l'autorise à passer sur son temps de travail quelques jours à Paris pour visiter les maisons qui fabriquent des appareils au gaz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Favelier du 25 avril 1880. Godin prévient Favelier que l'association du Familistère est si souvent sollicitée pour des prétendues inventions de fourneaux de cuisine, qu'il ne doit pas beaucoup espérer de sa proposition. Il l'informe que le journal Le Devoir va publier la partie principale de sa circulaire. Il lui conseille d'expédier par chemin de fer les livres qu'il veut donner à la bibliothèque du Familistère et il le remercie au nom de l'association du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Massoulard a fait valoir qu'il faut le juger pour l'avenir et non pour le passé. Godin accepte qu'il revienne au Familistère participer à l'association. Il lui indique que Picot pourra conserver ses meubles jusqu'à ce qu'il vienne emménager.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le souhait de Massoulard de revenir au Familistère. Godin remercie Massoulard pour les témoignages de sympathie qu'il lui a donnés dans ses lettres à Marie Moret, mais il lui rappelle les incidents qui ont eu lieu entre eux. Il lui rappelle qu'alors qu'il était en Amérique, il déclarait vouloir être attaché à l'œuvre du Familistère, qu'il l'avait associé à la rédaction du journal Le Devoir et qu'il lui en avait confié la gérance, mais qu'il avait renoncé à participer à la rédaction du journal après que Godin ait demandé une modification à un de ses articles, puis qu'il s'était retiré de la gérance. Il lui rappelle encore qu'il lui avait confié l'économat sous le contrôle et la direction de monsieur Épaulard, mais qu'il s'est soustrait à la hiérarchie des fonctions. Il le prévient que les employés supérieurs du Familistère et de son usine ont gardé le souvenir de ces aspects de son caractère. Godin n'est pas d'accord avec la façon dont Massoulard justifie son comportement dans sa lettre du 19 septembre 1879 : sur la persuasion, l'opposition cordiale et le respect d'autrui. Godin pense que Massoulard pourrait rendre des services à l'association du Familistère ; il accepterait le retour de Massoulard à la condition d'être conciliant et d'accepter les remontrances sur son comportement. Il l'avertit qu'il ne peut faire son retour qu'à titre de disciple car l'œuvre de l'association est tellement avancée qu'il s'agit de suivre la voie qu'il a tracée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Piponnier du 3 mars 1880 : Godin accepte de participer aux frais de voyage jusqu'à Guise de Piponnier mais à la condition qu'il puisse venir plus tôt qu'il ne le propose.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Piponnier qu'il l'a choisi pour remplir la fonction de sous-chef de la comptabilité de l'usine du Familistère de Guise aux appointements de 350 F par mois. Il lui demande quand il arrivera à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Piponnier que l'employé qu'il recherche doit être très compétent, apte à diriger les bureaux de la comptabilité et à établir les inventaires industriels. Il l'informe que ses établissements forment une association comprenant plus de 1 000 personnes participant aux bénéfices. Il lui demande de quelle partie comptable il s'est occupé dans les Fonderies et forges de L'Horme, sa situation familiale, s'il fait usage de tabac, et à quelle époque il serait disponible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Piponnier du 26 février 1880 qui ne lui donne pas la certitude qu'il a les aptitudes à la direction d'un personnel nombreux. Il explique que la fonction de sous-chef de la comptabilité comprend presque tout le travail de comptabilité industrielle auquel sont attachés 15 employés, dont il donne le détail, sans compter les employés des bureaux extérieurs des ateliers. Godin regrette que Piponnier soit si éloigné car il aurait voulu en parler avec lui. Godin assure Piponnier que la liberté individuelle est respectée au Familistère ; il lui demande quelles sont ses opinions politiques et religieuses.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Hourdequin une annonce à faire paraître dans les prochains numéros du journal Le Devoir. Il se plaint de ne pas avoir de réponse sur l'avancée du travail d'impression du roman La Fille de son père ; il lui rappelle qu'il veut en envoyer des exemplaires à son éditeur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Hourdequin d'envoyer à Auguste Ghio, au 1-7 galerie d'Orléans au Palais-Royal à Paris, 3 exemplaires de La Fille de son père et de lui en adresser une vingtaine d'exemplaires.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Hourdequin l'épreuve de la couverture du roman La fille de son père avec le bon à tirer. Il lui communique un échantillon de référence pour le papier de la couverture, ainsi que le texte d'une réclame pour le roman à tirer en 300 exemplaires, qu'il lui demande de composer. Il lui demande enfin de composer la « Note du traducteur » qu'il lui envoie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Hourdequin le modèle de titre pour la première feuille et la couverture du roman La Fille de son père, ainsi qu'une feuille d'annonce d'ouvrages à imprimer au revers de la couverture. Il lui demande d'indiquer sur le dos de la couverture : le nom de l'autrice Marie Howland, le titre Le Fille de son père, le prix de 3,50 F et la date de 1880. Il souhaite obtenir rapidement des épreuves.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Hourdequin qu'il attend les deux exemplaires de la 20e feuille du roman La Fille de son père et du volume complet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des nouvelles du volume La Fille de son père. Il indique à Hourdequin qu'il voudrait envoyer des exemplaires à l'auteur dès les premiers jours de janvier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Hourdequin que les 300 exemplaires de qu'il a livrés à Auguste Ghio sont si mal brochés que l'éditeur lui annonce que la vente en sera très difficile. Il lui demande d'éviter l'inconvénient pour le reste du tirage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Hourdequin le bon à tirer à 300 exemplaires de la réclame du roman La fille de son père pour la librairie Ghio. Godin juge que le papier de l'exemplaire de la couverture du roman envoyé par Hourdequin est d'une qualité insuffisante. Il envoie à Hourdequin l'épreuve corrigée de la « Note du traducteur ». Il lui demande de faire les corrections qu'il décrit et de lui renvoyer une épreuve pour bon à tirer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Hourdequin sa lettre du 10 janvier 1880 restée sans réponse. Il lui demande s'il a envoyé à l'éditeur Auguste Ghio les 300 exemplaires de La Fille de son père et lui signale qu'il n'a pas reçu les 20 exemplaires demandés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Hourdequin sa lettre précédente. Il lui demande d'envoyer rapidement 20 à 25 exemplaires de Le Fille de son père.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Hourdequin de modifier la manchette du journal Le Devoir suivant le texte qu'il lui envoie ; il lui demande également d'insérer une annonce sur la dernière page du journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin renvoie à Hourdequin la 20e feuille du roman Le Fille de son père avec le bon à tirer. Il lui demande de lui envoyer deux exemplaires de la 20e feuille et la collection complète des 20 feuilles du roman.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Hourdequin de faire les corrections de l'article Mutualité sociale et d'en tirer à la brosse 50 exemplaires, et de composer et de tirer également à 50 exemplaires une notice jointe sur Le Fille de son père. Il l'avertit que le prochain numéro du journal Le Devoir contiendra la table et le premier chapitre du roman Le dernier-né de Ginx ; il le prie de lui adresser régulièrement trois épreuves à la brosse de toutes les parties du roman. IL accuse réception de 27 exemplaires de La Fille de son père ; il lui demande combien d'exemplaires il lui reste à brocher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin reproche à Hourdequin le peu de soin apporté à la composition du journal Le Devoir. Il lui rappelle qu'il attend l'épreuve de la couverture du roman La Fille de son père.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les épreuves du roman Le Dernier-né de Ginx. Il accuse réception de la caisse contenant les exemplaires de La Fille de son père ; il lui demande combien il en reste d'exemplaires non brochés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du rapport envoyé par Fabre le 2 juin sur la société coopérative qu'il a fondée à Nîmes. Il lui demande l'autorisation de le publier dans le journal Le Devoir. Il l'informe que les statuts de l'association du Familistère sont faits et qu'il veut les faire paraître en un volume expliquant les principes et les motifs de sa fondation. Godin fait des observations sur la société coopérative de Fabre : sur la boucherie, plus difficile que l'épicerie, sur le contrôle des opérations commerciales, sur la compétence de l'acheteur des produits et de la qualité de ceux-ci. Godin confirme à Fabre que le feuilleton La fille de son père sera prochainement édité en volume. Il lui annonce que Massoulard va quitter le Familistère à la fin du mois de juin pour des raisons de famille. Il lui adresse le souvenir de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Fabre du 7 août 1879. Il lui annonce qu'il attend l'arrivée à Guise de Pascaly le 1er septembre suivant. Sur le journal Le Devoir : « Nous savons bien que les journaux américains contiennent beaucoup de choses que nous pourrions traduire, mais vous ne savez pas combien d'autres choses nous avons à faire, et les jours ne sont pas plus longs pour nous que pour les autres. » Il se plaint de manquer « d'hommes ayant l'amour de ce qui est à faire ».
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