Godin commande six chemises de toile, six cols et six paires de manchettes, et des nœuds de cravate.

Godin accuse réception des lettres de Greening des 29 et 31 janvier 1887 et celle du 8 février 1887 qui sollicite l'envoi de 204 £ pour sa souscription au capital de la London productive society. Godin adresse à Greening la somme. Sur l'édition anglaise du livre Le gouvernement, dont la traduction est achevée. Godin et Moret remercient Greening pour son invitation à la fête d'ouverture de son atelier, à laquelle il ne leur est pas possible d'assister. Il transmet à Greening et à sa femme ses compliments et ceux de Marie Moret.

Godin retourne à Virginie Griess-Traut l'article de mademoiselle Bertholon, dont il ne peut pas contrôler l'exactitude.

Godin se plaint auprès du directeur du bureau de poste de Guise de l'impolitesse et de l'inconvenance de subalternes du bureau à l'égard des jeunes gens faisant le service de la poste pour la Société du Familistère.

Godin répond à la lettre de Tref du 11 février 1887. Godin consent à ce que Tref représente la Société du Familistère pour les articles de bonneterie, et il lui accorde une rémunération de 3 % sur ses placements.

Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin envoie à Galloy le formulaire de la pétition ; il lui recommande d'ajouter les qualités des signataires.

Sur le testament de Godin. Sur les bruits de guerre qui aggravent la crise économique. Il consulte Tisserant pour connaître quels changements il devrait faire à son testament à la suite de son mariage avec Marie Moret. Il lui envoie le contrat de mariage paru dans le journal Le Devoir et une copie de son testament, et il lui soumet une série de questions.

Godin n'a pas reçu de réponse à sa lettre du 24 janvier 1887 mais il espère que Hourlier, Anceaux, Desquilbet et Cie sont toujours favorable au projet d'une entente entre patrons et ouvriers de l'industrie. Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin envoie à Hourlier, Anceaux, Desquilbet et Cie le formulaire de la pétition. Il leur recommande de mentionner les qualités des signataires et donne l'exemple de la pétition du Familistère de Guise signée par les ouvriers, contremaîtres, ingénieurs et gérant des fonderies de Guise.

Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin envoie à Roy le formulaire de la pétition. Il lui recommande de mentionner les qualités des signataires.

Godin envoie à la Chemiserie spéciale un mandat postal de 122,20 F pour solde de leur facture du 23 février 1887.

Godin envoie à Lovell un chèque de 2 000 F ainsi qu'il lui avait promis [pour financer l'édition américaine de Solutions sociales]. Il lui suggère d'envoyer des livres à Londres.

Godin répond à la lettre de madame Deprez du 24 février 1887 : il ne donne pas suite à sa proposition.

Godin accuse réception de la lettre de Wysłouch du 21 février 1887 et la collection de 1886 de la revue Przegląd Społeczny, échangée avec le journal Le Devoir. Il lui envoie les numéros du Devoir parus en 1887 et la série de dix études sociales.

Godin adresse à Lécuyer et Cie un chèque de 1 250 F, montant d'un quart des actions qu'il a souscrites auprès de la Compagnie du chemin de fer de Mézières à Tergnier.

Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin félicite Galloy pour sa campagne de promotion de la pétition. Il l'encourage à l'étendre à Charleville, Fumay et Revin. Il lui envoie trente exemplaires de la pétition. Il lui signale qu'il en a envoyé à Hirson et à Saint-Michel-en-Thiérache mais pas à Charleville ni ailleurs dans les Ardennes. Sur la qualité des signataires. Sur la signature des ouvriers étrangers : Godin n'y voit pas d'inconvénient « attendu que la question du travail est internationale ».

Godin informe Jules Menu qu'il envoie au maire d'Esquéhéries la réponse à sa lettre du 27 février. Il lui indique que le prix proposé est inférieur au coût d'achat du terrain de sa propriété.

Godin informe Hauet qu'il a reçu une lettre de l'agent voyer du Nouvion-en-Thiérache du 27 février 1887, relative à la cession d'une parcelle de terrain. Godin propose à Hauet de lui vendre la parcelle à son prix d'achat, à la condition que la commune d'Esquéhéries lui cède une partie de chemin abandonnée.

Godin est satisfait d'apprendre que le Moniteur des syndicats n'avait pas cessé de paraître, comme Davaux le craignait dans sa lettre du 15 février, et que ce dernier a pu y publier un second article sur le scrutin national. Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial : il envoie à Davaud un exemplaire de la pétition en cours de signature dans l'Aisne et dans les Ardennes.

Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin accuse réception de la lettre de Hourlier, Anceaux, Desquilbet et Cie. Il lui envoie cinq exemplaires de la pétition.

Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin envoie à Gaillot cinq exemplaires de la pétition.

Godin communique à madame Delecroix-Welcomme des renseignements sur monsieur de Lancize père : il a habité à Guise en qualité d'employé des contributions, il est mort il y a sept ans et sa veuve est décédée ; le fils, qui a fait ses études à Saint-Quentin, a été apprécié à Guise.

Godin répond à la lettre de Hargreaves du 5 mars 1887 : il lui envoie la série de dix études sociales, Mutualité sociale, Mutualité nationale et Solutions sociales. Il lui précise qu'il n'y a jamais eu de criminels au Familistère et qu'il n'existe donc pas de statistique sur le sujet.

Godin accuse réception des lettres de Balline de février. Sur la distribution de marchandises de la Société du Familistère à Kharkov et en Russie. Il lui envoie 25 épreuves photographiques de son portrait tirées autrefois pour un journal illustré. Il lui signale que les numéros du journal Le Devoir auquel il est abonné lui sont revenus avec la mention « Refusé ».

Godin accuse réception des deux lettres de Gagneur du 7 mars 1887. Sur l'envoi de documents parlementaires à Guise par chemin de fer ou par colis postaux. Sur la publication de en volume. Il lui signale dans le numéro de la semaine du journal Le Devoir la mention du monument à Voltaire et à Christin et celle du dépôt des pétitions relatives à l'arbitrage.

Godin répond à la lettre de Berger-Levrault du 11 mars 1887 : Godin les informe qu'il envoie le journal Le Devoir à Maze à titre d'échange avec sa Revue des institutions de prévoyance.

Godin et Moret compatissent à la douleur qui frappe Fauvety et espère que les communications intimes avec sa chère disparue adouciront les douleurs de la séparations matérielle.

Godin retourne au secrétaire de la Société d'études pratiques de la participation aux bénéfices l'épreuve corrigée de la notice sur le Familistère jointe à sa lettre du 15 mars 1887.

Godin annonce à Gaillot qu'il lui a envoyé les numéros du journal Le Devoir des 13 et 20 mars 1887. Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial : il lui adresse dix exemplaires de la pétition en faveur d'un minimum salarial.

Sur la pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin répond à la lettre de Galloy du 23 mars 1887. Godin discute de la publicité à donner à la pétition. Il lui signale qu'il a envoyé des formulaires de la pétition à son ami Gaillot.

Godin retourne à Flamant un dossier concernant les écoles et lui envoie le duplicata de la lettre envoyée à Ermant.

Sur la construction d'une école à Guise. Godin transmet à Ermant les observations de la sous-commission du conseil municipal de Guise sur le système de chauffage et de ventilation, en prenant pour référence les écoles du Familistère, et sur l'éclairage des salles.

Godin demande à Ermant de lui donner les habitudes du pays concernant les honoraires des architectes dans les constructions faites pour les particuliers afin de faire une comparaison avec la Belgique. Dans le post-scriptum, il l'invite à venir voir le nouveau calorifère qu'il a fait pour les classes du Familistère.

Godin explique à Malon que Rouanet « est un homme intelligent, mais il est venu à Guise avec des préventions contre l'œuvre du Familistère, contre ma personne et contre les idées générales que je défends ». Il lui demande la permission de rectifier des erreurs commises par un article de la Revue socialiste sur son projet d'organisation du suffrage universel, et lui envoie la réponse à cet article.

Godin accuse réception de la lettre d'Acland relative à l'édition anglaise de son livre Le gouvernement. Il l'informe que John Lovell et Cie de New York lui ont écrit qu'ils allaient envoyer des exemplaires de l'édition anglaise de Solutions sociales à leur correspondant de Londres, Trübner et Cie au 57 Ludgate Hill. Il lui suggère d'aller démarcher Trübner et Cie si Swan Sonnenschein, Le Bas et Lowry ne veulent rien faire. Godin et Moret transmettent à Acland leur meilleur souvenir.

Godin annonce à Bernardot que Leymarie lui a envoyé une lettre l'engageant à aller discuter avec Pouillet. Il lui envoie la copie d'une lettre à Pouillet et lui demande d'aller voir ce dernier. Il lui demande de veiller à la conservation de la lettre de Faure.

Godin demande à Pouillet ce qu'il convient de faire après que Faure ait demandé à un libraire le tome 10 de 1886 du journal Le Devoir et qu'il se soit procuré des volumes antérieurs du journal. Godin avait supposé que Faure voulait connaître les charges de la Société du Familistère de Guise à l'égard de son personnel pour la concurrencer plus facilement. Il lui semble que le procès entre eux doit être la cause de l'achat du dernier volume du Devoir. Godin demande conseil à Pouillet.

Godin répond à la lettre de Silman du 17 mars 1887 en lui adressant les ouvrages demandés.

Godin signale à Bernardot qu'à sa lettre de la veille n'était pas jointe la lettre de Faure à Leymarie.

Godin accuse réception de la lettre de Giudice du 29 mars 1887 et de la boîte de « plastitine », dont les artistes de l'usine font faire l'expérience. Il lui signale que le bureau du journal Le Devoir a pris en compte son réabonnement. Il lui envoie son portrait.

Godin envoie à Derogy deux pince-nez à remettre en état.

Godin commande à Lasne 12 rosettes de chevalier de la Légion d'honneur et 12 rosettes d'officier d'académie.

Godin annonce à Coulon que lui et Marie Moret seront heureux de le recevoir ainsi que sa femme au Familistère et lui offrent l'hospitalité chez eux. Il l'avertit que les classes d'école primaire sont fermées le jeudi après-midi. Il lui adresse l'étude sociale Le Familistère.

Marie Moret accuse réception de pince-nez et de la facture de Derogy ; elle lui envoie un mandat postal de 4,90 F.

Godin adresse à Rasetti les numéros du journal Le Devoir des 10 octobre 1886, contenant le bilan de l'association du Familistère, et du 6 décembre 1885, contenant les modifications des statuts de l'association, Mutualité sociale et l'étude sociale Le Familistère. Il attire son attention sur la modification de l'article 128 des statuts de la Société du Familistère qui alloue 4 % des bénéfices à l'administrateur-gérant au lieu de 12 % précédemment. Il l'informe que le bilan de 1885-1886 de la Société du Familistère, le plus mauvais depuis 1880 en raison de la crise industrielle, fait apparaître 114 908 F de bénéfices, que le capital a touché 8 280 F de dividendes et que le travail et la capacité ont eu le reste. Sur un article du Courrier de Londres.

Godin accuse réception de la lettre de Morisseau du 31 mars et du presse-papier fabriqué par un procédé qui est pour ce dernier une source d'applications industrielles.

Godin répond à la lettre de Chuwab du 16 avril 1887 : il l'informe que le système de cubilot dont il l'entretient a été déjà expérimenté par la Société du Familistère et qu'elle ne lui a pas trouvé d'avantages par rapport aux cubilots ordinaires.

Godin accuse réception du volume du qui contient sa notice biographique, auquel il a souscrit le 8 février 1886 ; il envoie à Lamathière un mandat postal de 11,75 F.

Godin répond à la lettre de Péqueux du 7 avril 1887 : il l'avertit que les questions qu'il lui pose sont du ressort d'un homme de loi et qu'il n'a pas de temps à consacrer à leur examen.

Godin demande à Vogelweith de lui donner les prix du pain à Saint-Quentin.

Godin approuve son extrait de compte, créditeur de 10 014,12 F.