Marie Moret envoie un chèque de 5,75 F à Éloi Derogy.

Marie Moret envoie à Émile Acker des timbres postaux d'une valeur de 0,65 F en paiement du solde de sa facture du 29 août 1901.

Marie Moret envoie un chèque de 20,85 F à Émile Acker et commande 20 ramettes de 100 feuilles de papier pelure collé et glacé : « Le papier doit porter l'écriture sans que celle-ci s'étale et subir parfaitement le passage au copie de lettres. »

Marie Moret remercie Émile Acker pour sa lettre du 24 août 1901 et l'envoi d'échantillons de papier. Elle lui communique sa préférence.

Marie Moret demande l'envoi du prospectus relatif au coton minéral pour l'isolation des habitations, et de lui en communiquer le prix et le mode d'emploi.

Marie Moret accuse réception des lettres des 9 et 19 août 1901, du prospectus et des échantillons de coton minéral. Elle informe son correspondant que c'est dans le Midi et non à Guise qu'elle emploiera peut-être le coton, et qu'elle soumettra le procédé au propriétaire des appartements qui sera bientôt de passage à Guise.

Marie Moret informe Émile Venet-Baudeville qu'elle partira à Nîmes au cours du mois et lui demande de lui communiquer le mémoire des travaux faits depuis le mois de juin dernier dans le jardin de sa maison de Lesquielles par monsieur Tettier. Elle précise qu'il peut la trouver chez elle au Familistère le matin entre 8 heures et midi.

Marie Moret demande à Émile Venet-Baudeville de venir lui remettre le mémoire acquitté par monsieur Tettier des travaux réalisés pour un montant de 88 F.

Marie Moret envoie à Émile Venet un mandat de 6 F pour le rembourser du paiement à monsieur Bouleau de 3 ifs [à planter dans les haies du jardin de Lesquielles]. Elle lui demande qu'il lui adresse le mémoire des travaux accomplis par monsieur Tettier dans le jardin et par lui-même sur la toiture de la maison.

Marie Moret remercie Émile Venet pour sa lettre du 13 avril 1901. Elle lui retourne le mémoire d'Émile Tettier avec un mandat postal de 88 F et lui demande de lui retourner le mémoire acquitté par Émile Tettier. Elle le prie de surveiller le tuyau du trop-plein de la citerne et de demander à Émile Tettier de couper les plantes à l'entrée de la grille, de désherber toutes les allées, de couper les clématites qui enserrent les bouleaux du côté de monsieur Henry Oudot et d'arracher les orties. Dans le post-scriptum, elle indique à Émile Venet-Baudeville qu'elle a reçu sa lettre du 15 avril 1901 et évoque l'entretien d'une haie.

Marie Moret répond à la lettre d'Eugène Verrier du 23 juin 1901, à laquelle elle ne peut donner une suite favorable. Elle lui explique qu'elle n'est pas à la tête du Familistère, dont la raison sociale est aujourd'hui Colin et Cie, et qu'elle se consacre à son travail qu'elle ne veut, à l'âge de 60 ans, laisser inachevé. Dans le post-scriptum, elle indique qu'elle ne connaît personne parmi les associés du Familistère à qui faire part utilement de ses propositions.

Marie Moret remercie Eugénie Louis de lui avoir envoyé quatre superbes poires, probablement cueillies par Césaire Louis à Lesquielles ; elle lui signale que les fruits, arrivés le 7 février, ont gelé pendant le transport et lui indique qu'il est préférable de les manger à Guise à leur santé. Elle écrit qu'elle est absorbée par son « vrai travail », notamment par la lecture des volumes [du Congrès international de physique] qu'elle attendait impatiemment à Guise. Elle évoque le travail de classement des collections du journal Le Devoir que doit réaliser Eugénie Louis. Elle l'informe qu'elle écrit à Henri Buridant au sujet du landau à réparer. Elle espère que sa santé est bonne malgré le froid, demande des nouvelles de mesdames Roger et Allart, et leur transmet son meilleur souvenir et celui d'Auguste Fabre.

Marie Moret remercie Eugénie Louis pour sa lettre du 12 février 1901. Elle l'informe qu'elle a délaissé son « vrai travail » pour écrire aux bibliothèques de France et de l'étranger et leur envoyer les ouvrages qu'elle avait apportés à Nîmes. Elle donne des nouvelles météorologiques : il ne fait pas chaud même si le soleil brûle et le mistral souffle. Sur le classement des collections du Devoir par Eugénie Louis, en attente du beau temps. Sur des travaux domestiques à faire dans l'appartement de Marie Moret au Familistère : les rideaux du lit de Marie Moret à confier à monsieur Hanquet, le sommier du lit, les cordons de tirage à remplacer dans le salon et le cabinet de travail, un rideau du salon. Marie Moret imagine madame Louis et les ouvriers montant à l'usine du Familistère dans la lumière du matin. Elle lui demande de donner des nouvelles d'elle à madame Roger, et signale qu'Auguste Fabre et que Juliette et Antoine Médéric Cros, qui étaient à Nîmes pendant les vacances de Pâques, lui présentent ainsi qu'à madame Roger leur meilleur souvenir. Elle l'informe qu'elle a écrit la veille à Henri Buridant et qu'elle ne reprendra son « vrai travail » qu'à son retour au Familistère.

Marie Moret annonce à Eugénie Louis son retour au Familistère à la fin du mois de mai et lui demande de s'assurer qu'elle y disposera d'encre ordinaire, d'encre à copier et de colle.

Marie Moret annonce à Eugénie Louis que la famille Moret-Dallet quittera Nîmes le jeudi 30 mai 1901 pour arriver à Guise le vendredi 31 mai à 4 h 15 de l'après-midi. Elle lui indique qu'elle écrira à monsieur Marchand et qu'elle écrit à Henri Buridant pour qu'il lui remette les fonds dont elle aura besoin. Elle l'informe qu'elle a demandé à Flore Moret de dîner chez elle le soir de son arrivée. Elle évoque les caisses et colis expédiés à l'adresse de Buridant , et transmet ses pensées à madame Roger.

Marie Moret annonce à Eugénie Louis qu'elle écrit à Henri Buridant à propos du chocolat, dont il a été question dans une lettre d'Eugénie du 24 avril 1901 ; elle demande à Eugénie Louis de prier Buridant de s'approvisionner en chocolat de la Compagnie coloniale. Elle lui demande de lui faire savoir ce qu'elle lui doit, à elle ou à son aide si elle y a eu recours, pour les travaux qu'elle a faits. Elle lui communique les remerciements d'Émilie Dallet pour les informations la concernant. Elle transmet son souvenir à madame Roger.

Marie Moret remercie Eugénie Louis pour ses vœux de nouvelle année et lui adresse ceux de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre. Elle la remercie pour l'envoi de guimpe et lui demande si le prix a été inscrit sur son carnet ou son compte à l'économat du Familistère. Elle lui annonce qu'Émilie Dallet joint un mot à sa lettre et qu'elle a obtenu les volumes du Congrès international de physique. Elle lui donne des nouvelles météorologiques : il ne fait pas froid, les platanes ont encore leurs feuilles qui tomberont avec le mistral, mais les jeunes pousses apparaissent déjà sur certains arbustes. Dans le post-scriptum Marie Moret indique à Eugénie Louis qu'elle pensera à elle lorsque les jours vont rallonger.

Marie Moret remercie Félix Alcan pour sa lettre du 1er avril 1901 lui indiquant qu'il lui faut réduire la taille des citations des ouvrages qu'elle souhaite utiliser dans Le Devoir. Elle lui indique qu'elle s'y appliquera et qu'elle lui enverra une nouvelle liste de citations. Elle lui demande d'examiner la possibilité d'établir une convention, comme celle que propose la Société des gens de lettres, permettant la reproduction partielle ou in extenso d'écrits scientifiques. Elle demande à Félix Alcan ce qu'elle lui devrait s'il permettait la reproduction des extraits mentionnés dans sa précédente lettre : 25 pages de la Critique de la raison pure de Kant et 10 à 15 pages de La synthèse chimique de Berthelot. Elle précise qu'elle n'inclut pas La théorie atomique de Wurtz, dont elle ne compte citer qu'une page et demie, ce qu'autorise l'éditeur, ou La conservation de l'énergie de Balfour Stewart, dont la citation aurait une taille inférieure à la limite fixée.

Marie Moret explique à Félix Alcan qu'à la suite de la lettre de celui-ci du 5 avril 1901, elle a écrit à l'héritier de Jules Barni, le traducteur de Kant, pour obtenir l'autorisation de reproduire des extraits de la Critique de la raison pure dans les « Documents pour une biographie complète de J.-B. André Godin » publiés dans Le Devoir et dans un tiré à part, et que monsieur Barni lui a accordé l'autorisation par une lettre envoyée du Perreux le 10 avril 1901, qui indiquait qu'il allait en informer Félix Alcan. Marie Moret assure Alcan qu'elle mentionnera le nom de l'éditeur de l'œuvre de Kant. Elle informe Félix Alcan qu'elle a réduit de moitié les citations qu'elle souhaite faire de La synthèse chimique de Marcellin Berthelot pour rester en-dessous des limites fixées par l'éditeur dans ses lettres des 1er et 5 avril 1901 ; elle joint à sa lettre une note sur le sujet et demande à Félix Alcan l'autorisation de reproduire ces textes dans les « Documents pour une biographie complète de J.-B. André Godin ».

Marie Moret remercie Félix Alcan pour sa lettre du 5 avril 1901 et lui annonce qu'elle va écrire à l'héritier de Jules Barni, le traducteur de la [Critique de la raison pure] de Kant.

Marie Moret explique à Félix Alcan qu'elle publie depuis 1891 dans Le Devoir, une revue mensuelle non commerciale tirée à 330 exemplaires, des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin », et qu'elle va être amenée à citer différents ouvrages pour établir « comment les conclusions de la science appuient les vues philosophiques de Godin » : la Synthèse chimique de Berthelot, la Théorie atomique de Wurtz, et la Critique de la raison pure de Kant traduite par Jules Barni et éditée chez Germer-Baillière en 1869. Marie Moret demande l'autorisation de citer ces ouvrages en mentionnant la source. Elle précise que les « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin » sont tirés à part à 100 exemplaires après leur publication dans Le Devoir.

Marie Moret remercie Félix Alcan pour sa lettre du 27 mars 1901 l'informant qu'il accorde l'autorisation de citer des passages de livres qu'il a édités à la condition que ceux-ci ne soient pas trop longs. Marie Moret adresse à Félix Alcan le détail des citations prévues sur une note jointe [copiée folios 116r et 117v] et lui précise qu'elle a ajouté aux citations de la Critique de la raison pure de Kant, 4 à 8 pages sans autre précision, pour tenir compte de l'évolution de son travail : « Indiquer la pensée de Kant sans citer textuellement, c'est risquer d'être inexact ; et certains textes ont besoin d'être donnés avec assez d'étendue, si l'on veut attacher le lecteur à l'idée et l'inciter à étudier lui-même le sujet aux sources indiquées. »

Marie Moret annonce à Flore Moret que la famille Moret-Dallet quittera Nîmes le jeudi 30 mai 1901 pour arriver à Guise le vendredi 31 mai à 4 h 15 de l'après-midi. Elle l'informe qu'elle écrira à monsieur Marchand pour le transport en omnibus et en camion. Elle invite Flore Moret à dîner le soir de son arrivée à Guise. Elle transmet ses pensées à madame Roger et les hommages d'Auguste Fabre.

Marie Moret accuse réception d'une facture du 9 juillet 1901, qui fait apparaître que Marie Moret doit 0,90 F à Fortin et Cie. Elle fait valoir qu'elle a cette somme en crédit chez Fortin et Cie à la suite du paiement de la facture du 20 avril 1901.

Marie Moret envoie à Fortin et Cie un chèque de 17,10 F en paiement d'une commande de divers articles : porte-plume, blocs serviettes indispensables, cure-dents, bloc-notes, pierre à repasser les canifs.

Marie Moret envoie à Fumouze frères un chèque de 27,75 F en paiement d'une commande comprenant divers articles de soin et d'hygiène : glycérolé d'amidon, brillantine Delabarre, savon Raspail, dragées d'assa-fœtida Raspail, camphre en grumeaux, ciment Delabarre.

Marie Moret envoie un chèque de 27,35 F à Fumouze frères et commande divers articles de soin et d'hygiène : mixture dessicative Delabarre, glycérolé d'amidon, savons antiseptiques, poudre de savon Raspail, camphre, préparations pour eau quadruple Raspail.

Marie Moret commande divers articles de soin et d'hygiène : brosse à tête et éponge de Venise.

Marie Moret envoie un chèque de 32,25 F à Fumouze frères en paiement d'une commande de divers articles de soin et d'hygiène : savons antiseptiques, mixture dessicative Delabarre, poudre de savon Raspail, préparation pour eau quadruple Raspail, brillantine Gœmmer, glycérolé d'amidon.

Marie Moret rappelle à Fumouze frères qu'elle a commandé le 15 août 1901 une brosse à tête et une éponge de Venise pour l'hydrothérapie. Elle envoie un chèque de 26,75 F et fait une nouvelle commande d'articles de soin et d'hygiène : brillantine Gœmmer, savons antiseptiques, préparations pour eau quadruple Raspail, poudre de savon Raspail, glycérolé d'amidon.

Marie Moret envoie à Fumouze frères un chèque de 27,85 F et commande divers articles de soin et d'hygiène : glycérolé d'amidon, savons antiseptiques, brillantine Gœmmer, poudre de savon Raspail, préparations pour eau quadruple Raspail, camphre, curette Delabarre à bec droit. Elle demande que Fumouze frères joigne à son envoi des échantillons de cure-dents fins et résistants s'ils en ont en vente, et de « quelque autre substance qui vous paraisse convenable ».

Marie Moret remercie Fumouze frères pour son envoi du 24 août 1901 et envoie un chèque de 11,75 F.

Marie Moret demande à Gardet et Cie la facture du foyer qui lui a été fourni. Elle évoque un calorifère que Gardet et Cie a pris en charge et à propos duquel elle donne des indications sur le nettoyage du foyer.

Marie Moret informe son correspondant qu'elle prépare son départ de Nîmes et qu'elle répondra à sa lettre du 21 mai à son retour au Familistère de Guise. Elle a prié Auguste Fabre de répondre à Gaston Collon sur une question étrangère à Marie Moret relative au Midi, réponse qu'elle joint à sa lettre. Elle transmet à Léon Denis l'expression de ses meilleurs sentiments.

Marie Moret remercie son correspondant pour sa lettre du 7 mai 1901 ; elle joint à son courrier une lettre d'Auguste Fabre, « mon collaborateur et ami », auteur notamment de la brochure sur Robert Owen. Elle envoie à Gaston Collon l'année 1896 du journal Le Devoir et le numéro de janvier 1897. Elle lui annonce qu'à son retour au Familistère, elle lui enverra les années 1889 à 1895 du journal, de façon à doter la bibliothèque de l'ensemble de ses parutions mensuelles. Elle précise que l'année 1896 et le numéro de janvier 1897 du journal relatent la tentative faite par Godin de la représentation du travail par le suffrage.

Marie Moret envoie à la Bibliothèque municipale de Tours les années 1889 à 1895 du journal Le Devoir et des ouvrages.

Marie Moret remercie Gauthier-Villars pour sa lettre du 1er avril 1901 l'autorisant à citer dans Le Devoir des extraits des volumes du Congrès international de physique et de l'ouvrage de Jouffret [La théorie de l'énergie]. Elle lui indique qu'elle va solliciter Louis Olivier pour l'autoriser à citer dans le journal des articles de la Revue générale des sciences pures et appliquées. Marie Moret évoque la publication, « d'un prix inestimable à mes yeux », du quatrième volume du Congrès international de physique et adresse un chèque de 200 F à Gauthier-Villars pour aider à son achèvement.

Marie Moret remercie Gauthier-Villars pour sa lettre du 6 avril 1901 et complimente l'éditeur. Elle lui demande d'utiliser le chèque qu'elle lui a envoyé, que Gauthier-Villars ne veut pas utiliser au financement de l'édition du quatrième volume du Congrès international de physique, à l'achat de séries des trois premiers volumes du Congrès ; elle demande dans un premier temps l'envoi de deux séries. Elle remercie Gauthier-Villars pour son information sur les cotisations du Congrès ; elle envoie un chèque de 200 F destiné à « ces Messieurs de la Commission ».

Marie Moret explique à Gauthier-Villars qu'elle publie depuis 1891 dans Le Devoir, une revue mensuelle non commerciale tirée à 330 exemplaires, des « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin », qu'elle doit établir « comment les conclusions actuelles de la science appuient les vues philosophiques de Godin », et qu'elle va être amenée à citer les rapports du Congrès international de physique tenu à Paris en août 1900, édités par Gauthier-Villars. Marie Moret demande l'autorisation de citer l'ouvrage en mentionnant la source. Elle précise que les « Documents pour une biographie complète de J.-B. A. Godin » sont tirés à part à 100 exemplaires après leur publication dans Le Devoir. Dans le post-scriptum de la lettre, elle ajoute qu'elle aura également à citer l'Introduction à la théorie de l'énergie par E. Jouffret.

Marie Moret remercie Gauthier-Villars pour leur lettre du 25 mars 1901. Elle indique qu'elle pense citer 25 à 30 pages parmi une dizaine de rapports dans les trois premiers volumes du Congrès international de physique. Elle fait l'hypothèse de citer des passages du quatrième volume à paraître.

Marie Moret remercie Gauthier-Villars pour leur lettre du 25 mars 1901 qui lui demande de préciser les passages de l'ouvrage qu'elle souhaite reproduire. Elle indique qu'elle pense citer 25 à 30 pages parmi dix à quinze rapports dans les trois premiers volumes du Congrès international de physique. Elle précise que les citations les plus longues seraient tirées des rapport d'Henri Poincaré, de J. J. Thomson et de Lord Kelvin, et qu'elle citera également la présentation du congrès par Charles-Edmond Guillaume et Lucien Poincaré, ainsi que le discours d'ouverture du congrès par A. Cornu, publiés dans la Revue générale des sciences pures et appliquées ; elle ajoute qu'elle compte dans les 15 à 30 pages de citations d'éventuels extraits du quatrième volume à paraître. Dans le post-scriptum, Marie Moret indique qu'elle évalue à cinq pages les emprunts qu'elle pourrait faire à l'ouvrage de Jouffret, Introduction à la théorie de l'énergie.

Marie Moret informe Geo. W. Wheatley et Cie qu'elle leur envoie une caisse contenant 23 volumes du Devoir, 4 ouvrages de Godin et 8 brochures, qu'ils doivent expédier à la Bodleian Library à Oxford. Elle leur demande de lui communiquer le prix et la date de l'expédition.

Marie Moret envoie un chèque de 22,75 F à Geo. W. Wheatley et Cie en paiement de la facture du 23 juillet 1901.

Marie Moret annonce à son correspondant qu'elle lui enverra bientôt à Paris la caisse destinée à la Bodleian Library à Oxford.

Marie Moret explique à son correspondant qu'il lui arrive d'expédier les écrits de Godin et les numéros du journal Le Devoir par colis postal aux bibliothèques publiques à l'étranger ; elle a un envoi de 50 kg à faire à la Bodleian Library à Oxford et lui demande s'il peut se charger de cet envoi et de son conditionnement pour le transport maritime, et à quel prix. Elle indique que sa banque à Paris est Offroy et Cie.

Marie Moret envoie un chèque de 28,50 F à G. Renaut et Cie et commande une échelle meunière en chêne ciré à 10 marches.

Marie Moret fait observer à Guillaumin et Cie qu'elle n'a pas reçu le relevé de son compte chez eux au 31 décembre 1900. Elle commande deux ouvrages de Jeanne Mairet et demande si le quatrième volume du Congrès international de physique de Paris en 1900 est en composition.

Marie Moret demande à Guillaumin et Cie le prix des volumes du Congrès international de physique pour  renseigner « quelqu'un d'ici ».

Marie Moret accuse réception de la carte de Guillaumin et Cie du 15 janvier 1901 et leur rappelle qu'elle est dans l'attente du quatrième volume du Congrès international de physique de Paris en 1900, dont elle a déjà les trois premiers volumes.

Marie Moret remercie Guillaumin et Cie pour sa carte du 4 janvier 1901 et leur demande de lui procurer les numéros de la Revue scientifique dans lesquels ont été publiés les discours tenus au congrès de l'Association britannique pour l'avancement des sciences qui a eu lieu à Bradford en septembre 1900.