FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Louise Bonnemain du 9 décembre 1879. Il l'informe qu'il ne peut garantir que son protégé trouvera au Familistère des ressources pour subsister : « J'ai créé ici pour une population toute entière les ressources exceptionnelles d'une vaste association, mais en m'occupant ainsi de la masse, je ne puis m'occuper des individus ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Fauvety pour ses vœux du 31 décembre 1879. Il lui adresse en retour ses vœux pour qu'il poursuive la propagande des idées nécessaires à la régénération des sociétés. Il le félicite pour son dernier livre, Le spiritisme devant la science dont le journal Le Devoir rend compte. Il l'informe que depuis qu'il l'a vu au Familistère, il est absorbé par la constitution définitive de l'association du Familistère ; il pense que la rédaction des statuts et règlements est trop approfondie pour être comprise des socialistes, mais qu'ils seront étudiés dans l'avenir. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et de la sœur de cette dernière.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Leblon que ses établissements vont être constitués en association comprenant plus de 1 000 personnes participant aux bénéfices de l'industrie, et que la personne recrutée aura dans ses attributions le contrôle et la surveillance des conseils de l'association. Il ajoute qu'il recherche des hommes au caractère bienveillant. Il demande à Leblon de venir à Guise pour s'entretenir avec lui et il propose de payer ses frais de voyage à hauteur de 30 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Barbary que les usines du Familistère fabriquent des appareils de chauffage portatifs domestiques, et que l'emploi en question consiste à étudier des modèles nouveaux et à construire les modèles, et requiert la connaissance des moyens de fonderie. Il ajoute que ses établissements sont constitués en une association réunissant plus de 1 000 personnes qui participent aux bénéfices de l'industrie, que les employés doivent contrôler et surveiller les conseils du Familistère, et qu'il a besoin d'hommes au caractère bienveillant. Godin demande à Barbary le minimum d'appointements qu'il accepterait, son âge, sa situation de famille et s'il fait usage de tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Hustache qu'en raison de son éloignement, il ne l'invite pas à faire le voyage de Guise pour trouver un emploi dans l'association du Familistère, et qu'en raison de son instruction fort élémentaire, il ne pourrait à ses débuts occuper qu'un emploi de manœuvre, payé 0,20 à 0,25 F l'heure.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Louis Lang qu'il a choisi un autre candidat pour l'emploi [de sous-chef de la comptabilité de l'usine du Familistère de Guise] auquel il postulait, mais il lui demande s'il peut venir à Guise pour organiser les écritures de l'association du Familistère. Il lui demande quels appointements il désirerait obtenir pour ce travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Fauvety qu'il publierait volontiers son compte-rendu du livre de Nus, Choses de l'autre monde. Il l'informe que le nombre d'abonnés au journal est tombé à 250 en avril, mais qu'il peut tout dire à ce sujet, sans ménager le public « qui sait toujours non seulement nous deviner, mais aller même au-delà de ce qu'admet la raison des penseurs ». Il annonce à Fauvety que la publication des statuts de l'association du Familistère doit être le point de départ d'une phase nouvelle pour Le Devoir, qui doit servir à établir les bases pratiques de la morale dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit même pas que les hommes aient acquis comme nous la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien dans l'humanité. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il cherche à recruter de nouveaux collaborateurs et pense transformer son journal en revue. Il lui demande son avis à cet égard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Glaser de Willebrord qu'il ne peut pas donner un emploi à son protégé Eccarius surtout s'il ne sait pas suffisamment le français. Il lui explique que le journal Le Devoir n'est pas un journal de propagande d'idées générales, mais qu'il a été fondé pour une œuvre toute spéciale, qu'il entre dans une phase nouvelle depuis la publication des statuts de l'association du Familistère et qu'il doit maintenant servir à établir les bases de la morale pratique dans l'humanité. « L'histoire prouve qu'il ne suffit pas que les hommes aient acquis, même comme nous, la connaissance certaine de la vie d'outre-tombe, pour être véritablement fixés sur ce qui constitue le vrai bien. Il me semble qu'il appartient à notre époque non seulement de déterminer les principes du bien, mais d'en réaliser l'application dans les faits de la vie individuelle et surtout sociale. » Pour accomplir cette œuvre, explique Godin, il lui faut des concours, mais il ne voit pas comment Eccarius pourrait y prendre part. Il précise qu'il a déjà un correspondant à Londres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Auguste Fabre a annoncé à Marie Moret sa venue à Guise. Fabre a posé à Godin une question [relative à un emploi à offrir à Philip, un ami de Fabre, et à d'autres personnes de sa connaissance]. Godin explique à Fabre que l'association du Familistère requiert des apôtres dévoués à l'œuvre, mais que des collaborateurs entraînés par les illusions pourraient être préjudiciables et que peu d'hommes partisans des idées nouvelles se rendent compte des obstacles à surmonter. Il ne veut pas que l'on pense que le Familistère est un séjour de bonheur et souhaite que les hommes dévoués à l'œuvre du Familistère soient aussi des travailleurs utiles. Il donne le détail des ateliers de l'usine où un ouvrier intelligent peut trouver sa place et ajoute que des aptitudes spéciales sont nécessaires pour les fonctions de direction. Sur Philip et sa femme : ils vivent heureux à Nîmes et l'horlogerie n'a pas de rapport avec l'industrie du Familistère ; ils doivent mûrir leur résolution de venir au Familistère. Godin demande à Fabre que ses amis désireux de contribuer à l'œuvre du Familistère lui fassent part des connaissances pratiques qu'ils possèdent.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à veuve Éthiou-Pérou sa lettre de la veille et l'envoi des 25 placards de Mutualité sociale. Il lui envoie des corrections supplémentaires des articles 44 et 138 des statuts de l'association du Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Favelier du 25 avril 1880. Godin prévient Favelier que l'association du Familistère est si souvent sollicitée pour des prétendues inventions de fourneaux de cuisine, qu'il ne doit pas beaucoup espérer de sa proposition. Il l'informe que le journal Le Devoir va publier la partie principale de sa circulaire. Il lui conseille d'expédier par chemin de fer les livres qu'il veut donner à la bibliothèque du Familistère et il le remercie au nom de l'association du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Guyot-Dormoy la nature de l'association du Familistère, qui embrasse à la fois le domaine de l'industrie et celui de la vie domestique, et lui indique que les statuts de l'association ne comprennent pas de règles spéciales pour le service alimentaire. Il lui laisse espérer qu'il publiera un travail dans le journal Le Devoir pour répondre à sa demande et à d'autres analogues.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Nus pour sa réponse. Il l'invite à venir au Familistère le plus tôt possible pour parler du journal Le Devoir ou de la revue qui lui succédera, voire pour y séjourner et partager avec lui « l'idée que l'œuvre de l'association du Familistère doit être un point de départ pour bien des réformes à accomplir dans nos sociétés modernes, et particulièrement pour l'inauguration de l'association du capital et du travail, non avec l'idéal de bonheur qu'y attachaient autrefois les phalanstériens, mais au moins avec la certitude d'introduire la justice dans la répartition des fruits du travail et de traduire en pratique l'idée religieuse qui nous est commune ». Godin demande à Nus s'il connaît un rédacteur imbu de l'idée de l'association et des réformes sociales nécessaires, qui pourrait remplacer Champury. Il lui communique les horaires des trains de Paris à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la répartition des bénéfices au personnel de l'Association coopérative du capital et du travail selon les catégories sociales. Il transmet à Harry Meltzer les compliments de Marie Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'arrivée de Fabre au Familistère. Godin assure Fabre qu'il attend sa collaboration au Familistère en plus de celle de Marie Moret. Il fait l'historique de la relation d'Auguste Fabre au Familistère : sa visite en 1878, sa lettre à Massoulard sur son intention de revenir au Familistère, sa recommandation de Pascaly, la lettre de Godin du 13 septembre 1880 et sa réponse du 7 octobre 1880, son séjour de deux mois au Familistère et son silence ensuite. Il l'encourage à se mettre au service du Familistère au moment où s'organise l'association.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos de l'ouvrage Mutualité sociale. Godin exprime à Fauvety sa crainte que la presse garde le silence sur son livre et les questions sociales sérieuses. Il espère le concours de ses amis ; il signale qu'il va prévenir Nus de la mise en vente du livre et qu'il n'a plus à redouter l'utilisation du livre dans le procès contre son fils. Fauvety propose à Godin un rédacteur du journal Le Devoir qui ne connaît pas les questions sociales mais pourrait faire des conférences au Familistère : Godin doute de la capacité de celui-ci à faire des conférences de façon simple et claire sur l'association à la population du Familistère. Il regrette que la santé de Fauvety ne l'autorise pas à un concours régulier au journal.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les obligations fiscales de l'Association coopérative du capital et du travail déduites de l'étude des statuts dans Mutualité sociale. Sur le tracé dans Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon : Godin s'attend à ce que le conseil général accepte le passage en tunnel sous le château-fort de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Nus que le procès avec son fils s'est conclu par arbitrage du premier président de la cour d'appel d'Amiens, accepté par les deux parties. Il explique à Nus que 18 ans de luttes et 3,5 millions de francs soutirés à ses valeurs liquides ont jusque-là paralysé l'œuvre d'association qu'il s'apprête à fonder et dont les statuts sont désormais en vente. Il regrette de ne pas avoir davantage de collaborateurs dévoués et demande à Nus de lui adresser les personnes de valeur aptes aux fonctions administratives, comptables et industrielles. Sur la publicité à faire à l'ouvrage Mutualité sociale et l'influence de ce dernier sur la transformation du journal Le Devoir. Il lui signale que la santé de Fauvety ne lui permet pas d'offrir un concours régulier au Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Pellarin son livre Mutualité sociale. Il remercie Pellarin pour sa bonne appréciation des « Notions préliminaires » des statuts de l'association du Familistère. Godin demande à Pellarin s'il peut lui trouver un collaborateur pour le journal Le Devoir. Il le remercie pour ses articles à paraître dans Le Devoir. Sur la difficulté à faire des statistiques sur la population du Familistère telles que le demande Pellarin dans sa lettre du 19 juin 1880. Godin se réjouit de la visite de Pellarin ; il lui signale qu'il sera absent au milieu du mois d'août.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Leymarie son livre Mutualité sociale qui comprend les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail, et il lui demande d'en faire un compte rendu dans le prochain numéro de la Revue spirite. Il l'informe que monsieur Bourgeois n'a pu trouver un jardinier pour le Familistère, mais qu'il est entré en relation avec monsieur Pothenot qui lui propose quelqu'un âgé de 64 ans. Godin demande à Leymarie s'il faut renouveler l'offre d'emploi dans la Revue spirite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Pothenot de la peine qu'il s'est donné pour trouver un jardinier, mais il l'informe qu'il ne peut accepter un homme de 64 ans dans l'association du Familistère. Il lui rappelle sa promesse de lui envoyer des articles pour le journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Clapeyron a proposé à Godin d'employer ses fils. Godin explique à Clapeyron qu'il veut bien examiner sa proposition s'il s'agit de jeunes gens prêts à coopérer intellectuellement et moralement à l'association du Familistère, mais qu'il vaudrait mieux qu'il garde ses fils à Saint-Étienne s'il s'agit seulement de leur faire faire leurs débuts dans la carrière industrielle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Maréchal du 30 juillet 1880 en lui annonçant qu'il ne retient pas sa candidature à la direction de la comptabilité de l'association du Familistère. Il lui explique que la personne recherchée doit être un savant comptable et aussi posséder les qualités morales pour faire partie des conseils de l'association.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Aubertin que le jardinier du Familistère perçoit actuellement 66 F par mois, qu'il loue son logement au Familistère (un logement de deux pièces à 11 F par mois) comme le reste du personnel et qu'il achète ses combustibles et ses légumes dans les magasins. Il ajoute qu'un jardinier attaché à l'association du Familistère aurait droit à une participation aux bénéfices annuels. Dans le cas d'un accord, Godin demande à Aubertin de l'autoriser à prendre des renseignements sur lui dans les maisons où il a travaillé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Élie Reclus que 5 % du capital de l'association de 4 600 000 F sont à répartir en dividendes au travail, soit 230 000 F chaque année, et qu'ainsi le capital sera remboursé en vingt ans.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Levasseur un exemplaire de Mutualité sociale. Il lui demande plusieurs exemplaires du numéro du jour du Courrier de l'Aisne qui contient la publication de l'extrait légal des statuts de l'Association coopérative du capital et du travail.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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À propos de la constitution de l'Association coopérative du capital et du travail.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin renvoie une épreuve corrigée du certificat d'inscription d'épargne de la Société du Familistère. Il fait des remarques sur la composition du certificat.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à madame Éthiou-Pérou deux épreuves et le bon à tirer du certificat d'inscription d'épargne et du certificat d'apport de la Société du Familistère. Il fait des recommandations pour le tirage des certificats.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Sholler qu'il peut venir occuper le poste de jardinier du Familistère pour lequel il lui a rendu visite à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond tardivement à la lettre du 5 octobre 1880 car il a passé quelques jours à Bruxelles. Sur le paiement de frais et d'honoraires à André et à Godet. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : sur le paiement de frais de procès-verbal. Sur le procès entre Godin et son fils Émile : Godin ne trouve pas trace dans les copies de lettres d'une lettre de remerciement à Saudbreuil pour son intervention officieuse ; il demande à Tisserant s'il a souvenir qu'une telle lettre ait été envoyée. Il l'informe que l'Association coopérative du capital et du travail s'installe et que ses conseils fonctionnent.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Meltzer une lettre destinée à Eugène Nus qui explique la cause de son silence. Il suppose que Meltzer a continué à assister à des réunions chez Leymarie et qu'il a pu obtenir les noms des personnes qui s'intéressent au spiritisme à Paris. Il précise qu'il est absorbé par l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Eugène Roi, âgé de 25 ans, a écrit à Godin le 20 octobre 1880 pour lui demander des conseils sur son avenir. Godin envoie à Roi une brochure de 200 pages. Il précise que l'Association coopérative du capital et du travail fonctionne désormais. Il ajoute qu'il ne peut lui envoyer des livres de la bibliothèque du Familistère.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

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Auteur : Fabre, Auguste (1839-1922)
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Auguste Fabre dément qu'une grève ait eu lieu dans les Fonderies et manufactures du Familistère. Il indique que l'installation de l'Association coopérative du capital et du travail a donné lieu à un échange d'explication avec le personnel. Il demande au Temps d'insérer un rectificatif.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : à la suite des observations que Neale a faite à l'occasion de sa dernière visite au Familistère sur les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail, Godin l'informe qu'en plus des statuts, il a rédigé un acte testamentaire pour éviter à l'association tout procès avec ses héritiers. Godin demande à Neale s'il peut bénéficier de son avis à ce propos.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confie à Sauvestre qu'il cherchait à obtenir son adresse et que sa lettre est parvenue à point nommé pour qu'il lui adresse son livre Mutualité sociale contenant les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail. Il joint à son envoi le numéro du journal Le Devoir qui dément l'information d'une grève au Familistère et lui annonce qu'il lui servira gratuitement le journal à l'avenir. Dans la mesure où Sauvestre semble avoir besoin de travailler, Godin lui demande s'il ne voudrait pas l'aider à vaincre le silence de la presse française à l'égard de l'association du Familistère et de son journal. Il l'informe qu'il se trouvera à Paris le lendemain et les jours suivants au Grand hôtel de la place du Palais-Royal, où ils pourraient se rencontrer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Léautey à sa demande son livre Solutions sociales : après la lecture du remarquable article de Léautey dans L'Événement du 23 novembre 1880, Godin pense que l'ouvrage pourra l'intéresser. Il espère que Léautey pourra l'aider à découvrir le comptable dont il a besoin pour le Familistère. Il l'informe qu'il a eu une conversation avec Gagay (?) avec qui il avait déjà correspondu au sujet de l'emploi de comptable.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin annonce à Neale qu'il veut par son testament empêcher que ses héritiers dissolvent l'association du Familistère et se partagent sa fortune ; il lui explique qu'après avoir laissé 3 millions à ses héritiers, la loi française l'oblige à leur céder la moitié de sa fortune au moment de son décès ; il lui soumet la rédaction de son testament. Neale a exprimé son souhait de devenir associé de l'Association coopérative du capital et du travail : Godin lui indique que les statuts ne le permettent pas, mais qu'il peut lui céder un titre d'apport de manière à ce qu'il soit enregistré comme membre de l'Association. Il l'informe qu'il a envoyé 75 livres à son chargé d'affaires à Londres pour qu'il suive l'affaire Muller et évoque la possibilité que l'Association s'adresse à lui pour défendre ses droits. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le testament de Jean-Baptiste André Godin : Godin explique à Ringuier qu'il veut faire un testament pour sécuriser l'avenir de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui demande s'il veut être avec Ganault son exécuteur testamentaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin expose au ministre les difficultés que l'Association coopérative du capital et du travail a connues pour déposer à temps sa déclaration d'enregistrement, refusée par le receveur de l'enregistrement. Il demande au ministre sa compréhension et son indulgence.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un bicycle. Howland a vanté auprès de Godin les mérites d'un nouveau modèle de bicycle avec manivelles et pédales : Godin est circonspect et demande des plans plutôt que des louanges dans la perspective de déposer un brevet en France et obtenir de l'inventeur un contrat d'exclusivité de la production en France du bicycle par la Société du Familistère Godin et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le rédacteur du journal Le Devoir : Godin confie à Fauvety que Fortis pourrait convenir mais qu'il n'est pas certain de pouvoir l'accepter dans l'Association du Familistère, et qu'il va se rendre à Paris pour essayer d'éclaircir la question. Il lui propose de le rencontrer à Asnières.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Hameray qu'il lui est difficile d'apprécier les services qu'il pourrait rendre à la Société du Familistère s'il ne peut se renseigner sur son compte. Il l'informe que la Société du Familistère de Guise construit des appareils de chauffage et qu'elle emploie 1 200 à 1 500 ouvriers. Godin demande à Hameray s'il a des dispositions qui lui permettent d'apprécier les conditions nécessaires à une parfaite exécution des travaux industriels, et s'il a l'esprit d'invention.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Catineau a proposé à Godin un candidat à un emploi, qui a été employé au percement du tunnel du Saint-Gothard. Godin lui explique qu'il doit connaître ses aptitudes et ses prétentions salariales et qu'il cherche particulièrement à attacher des personnes à l'Association du Familistère. Il engage le candidat à se mettre en rapport avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Gillot l'ouvrage Mutualité sociale comprenant les statuts de l'Association coopérative du capital et du travail, utile à la fonction qu'il va remplir. Il attire son attention sur les titres 8, 9 et 10 des pages 151-157 et 219-221 du livre, qui concernent la comptabilité générale de l'association.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Gillot du 20 septembre 1881, par laquelle il propose à Godin de procurer à l'association du Familistère les employés spéciaux dont elle a besoin : Godin lui demande de le mettre en relation avec les candidats.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin informe le duc de Padoue que l'association du Familistère construit un mur sur la rive droite du canal des usines pour empêcher les dégâts que le canal cause aux berges du Familistère, mur que son représentant a jugé nuisible à ses intérêts. Il explique au duc qu'il a été informé de l'affaire pendant son séjour en Suisse et qu'il était descendu à l'hôtel des Alpes à Interlaken dans l'espoir de le rencontrer et de l'assurer que l'association ne cherche pas à réduire le lit du canal. Il lui confirme la volonté de l'association de maintenir la largeur du canal au Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Raoux qu'il enverra désormais le journal Le Devoir à titre d'échange à Lo[...], directeur du journal L'Utilité publique, et qu'il demande l'échange au journal La Science libre. Il espère que Raoux a corrigé les coquilles du texte de sa conférence [de Lausanne] pour sa publication dans L'Utilité publique. Il l'informe qu'il n'a plus d'exemplaires du numéro du Devoir contenant cette conférence, mais qu'il lui envoie 10 exemplaires du numéro de la semaine du journal qui comprend le rapport de l'administrateur-gérant à l'assemblée générale de l'association du Familistère. Il lui indique qu'il n'a reçu aucun abonnement de Lausanne. Il lui demande si c'est la brochure Le Familistère de Guise ou le Palais social en nouvelle orthographe qu'il compte rééditer ; il voudrait qu'y soit mentionnée la constitution légale de l'Association coopérative du capital et du travail. Il lui signale que Marie Moret lui envoie la lithographie demandée.
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